Au cours de ma première année de Fac’, j’ai rencontré un étudiant antillais avec lequel j’ai immédiatement sympathisé… Il était loin de son île natale et comme il me l’a avoué ensuite, il n’imaginait pas les métropolitains aussi racistes… Je lui avais expliqué à ce moment-là que l’afflux d’immigrés de tout horizon y était pour quelque chose.
Nous partagions beaucoup de points communs : l’amour de la littérature ancienne, de la musique des années 50 / 60 et en dehors des cours, nous faisions de longues promenades dans Paris que je lui faisais découvrir. Nous visitions les différents musées avant que Jimmy regagne sa chambre à la Cité U et que de mon côté, je rentre dans le logement que je partage avec ma mère dans le centre de Paris.
En fait de logement, il s’agit d’un appartement bourgeois dont ma mère a hérité d’une lointaine parente qui l’a mis à son nom avant de décéder. J’occupe une petite chambre avec un cabinet de toilette qui à l’origine devait être destinée à une bonne…
Ma mère Julie est écrivaine et la pièce qui lui sert de bureau est encombrée de livres de toutes sortes qui parfois, servent pour la description de lieux qu’elle veut inclure dans ce qu’elle écrit. Elle a été mariée quelques années et mon père a disparu un jour et ayant fait le nécessaire pour le divorce, il n’a plus donné de nouvelles…
N’allez pas croire que ma mère n’a pas d’homme dans sa vie… je dirais même qu’elle en a eu plusieurs pour des liaisons plus ou moins durables… Je sais aussi que de temps à autre, elle se rend dans des clubs coquins qui sont assez nombreux dans la capitale : c’est, dit-elle, un exutoire à sa libido…
De mon côté, je ne suis plus une oie blanche depuis quelques années… Après une relation saphique avec une camarade de lycée, j’ai sauté le pas lors de la boum de fin d’année avant d’entrer en terminal… Ensuite, j’ai fait plusieurs essais’ avec des copains, mais j’en ressortais insatisfaite… Je n’étais pas avide de sexe comme certaines de mes camarades qui collectionnaient les amants et en changeaient tous les week-ends ! Donc ma relation avec Jimmy restait platonique ! Et cela semblait nous suffire…
Et ce qui devait arriver… arriva !
Avec Jimmy, nous avons été surpris en fin de journée d’un samedi de printemps par une brusque averse orageuse comme il y en a à cette saison. Nous avons tenté de nous réfugier dans un magasin, mais décidément l’averse durait si bien que nous nous sommes retrouvés en marchant vite dans ma chambre… Trempés jusqu’aux os !
Dès que nous sommes arrivés, nous avons éclaté de rire et avec son inimitable accent créole, Jimmy a dit :
Et maintenant… il ne me reste plus qu’à me déshabiller et faire sécher mes vêtements !
C’est une bonne idée… en plus, je t’offre l’hospitalité !
Oh merci, mais ton lit me semble bien étroit !
On se serrera… à moins que tu ailles dans une des chambres de l’appart’ de ma mère !
Non… je ne veux pas la déranger !
Comme tu veux ! Je vais voir ce qu’il y a dans le réfrigérateur pour dîner !
Excellente idée… j’ai faim… mais c’est de toi que j’ai faim depuis que je te vois en soutif et string ! Regarde l’effet que tu me fais !
Oh… Tout ça pour moi ?
Et j’éclate de rire à nouveau…
C’est vrai que ce que Jimmy tente de dissimuler dans son boxer a de quoi en faire baver plus d’une… Il a un véritable paquet’ entre les cuisses et la protubérance cachée par le tissu est plus que prometteuse… le gland dépasse même au-dessus de la ceinture élastiquée !
Et moi, pour échapper à cette vision, je me précipite dans la cuisine d’où je reviens les mains chargées de victuailles et de boisson pour découvrir Jimmy allongé sur mon lit, entièrement nu et sa bite dans sa main droite !
Et quelle bite…
Laissez-moi la décrire : au moins 25 centimètres de long, un gland rose qui tranche sur la peau noire, découpé comme le chapeau d’un champignon… et un diamètre pratiquement égal à celui d’une canette de soda ! Quel engin ! Et pourtant, j’en ai déjà vu quelques un… mais jamais de ce gabarit ! Et les couilles entre les jambes sont du même gabarit…
Regarde ce que j’ai pour toi !
C’est effectivement intéressant… mais…
Quoi… mais… je pense que tu nas jamais rien vu de pareil !
Certes non, mais comment font les filles pour absorber un tel calibre ?
Il suffit de bien les préparer… à voir comment tu te trémousses, je suis sûr que ta chatte bave d’envie !
Sur… je suis une véritable fontaine !
Alors qu’attends-tu ? Ôte ton string et ton soutif et viens près de moi !
J’ai rejoint Jimmy sur le lit et aussitôt, il m’a prise dans ses bras et a couvert mon visage de baisers en disant que cela faisait longtemps qu’il avait envie de moi… Je sentais la grosseur de son sexe entre nos deux corps et je mouillais de plus en plus… je fantasmais sur ce chibre en me demandant ce que je ressentirais lorsque je l’aurais en moi !
Car c’était certain… Il allait entrer en moi, mais Jimmy ne semblait pas pressé ! Il découvrait mon corps qu’il embrassait, laissant çà et là des traces humides lorsqu’il s’était un peu attardé sur la pointe d’un sein ou le creux de mon nombril puis sa bouche est arrivée sur mon pubis. Sa langue a fouillé ma fourrure avant d’aller titiller mon clitoris et s’introduire entre mes lèvres intimes… Que ses baisers étaient bons et je mouillais de plus en plus… J’avais l’impression que ma chatte bavait en continu !
Je suis à toi ! Prends-moi !
Tel est l’aveu et l’invitation que j’ai prononcés à cet instant…
J’avais un garçon dans mon lit pour une fois depuis de longs mois et j’allais en profiter… Ce ne serait pas une étreinte à la sauvette comme j’en connaissais trop souvent lorsque je découchais…
J’étais allongée sur mon lit, les cuisses ouvertes et j’attendais que Jimmy me prenne…
Viens… ne me fais pas attendre… Tu as de quoi te couvrir dans la table de chevet !
J’avais devant les yeux ce chibre aux dimensions hors norme’, mais je n’avais pas peur… Je savais… je sentais… que mon partenaire serait doux… et il l’a été !
Vous raconter les péripéties de cette nuit serait trop long, mais si j’avais jeûné pendant quelques mois, je me suis rattrapée… Après m’avoir baisée une première fois à la missionnaire, Jimmy a remis le couvert plusieurs fois dans des positions quelque peu acrobatiques…
A l’université, nous nous affichions ouvertement et des filles, certainement jalouses, me témoignaient une hostilité marquée…
Désormais, Jimmy passait la nuit de samedi au dimanche dans ma chambre et il me baisait comme un dieu ! Chaque fois qu’il me quittait pour regagner sa chambre, j’étais moulue et courbaturée… mais j’étais heureuse d’avoir un tel amant !
Mais je n’aurais jamais dû en parler à ma mère !
Nous allions arriver à la fin de l’année universitaire et comme chaque samedi, Jimmy passait la soirée et la nuit avec moi… Nous avions pris l’habitude de renter par la porte de service, ce qui facilitait beaucoup les choses… Nous ne risquions pas de croiser ou de déranger ma mère…
Ce samedi-là, nous venions d’arriver dans ma chambre quand ma mère a frappé à la porte et est entrée en coup de vent dans la chambre… Jimmy sortait de la douche, nu comme nous en avions pris l’habitude et ma mère s’est écrié :
Oh… le beau spécimen ! Tu as de la chance !
Oh maman… tu n’es pas sérieuse…
Si justement… tu ne me le prêterais pas, ne serait-ce que pour une soirée ?
Décidément, tu es tombée sur la tête !
Mais non… ce qu’il me donnerait ne te priverait pas, car je me doute qu’un tel mec doit avoir des réserves ! En plus, se faire une quadra’… Approche-toi Jimmy que je tâte de la marchandise !
J’étais éberluée du comportement de ma mère… Même si nous étions très libres, jamais je n’aurais imaginé une telle situation… Demander à partager le mec qui m’envoyait si bien en l’air, je n’en revenais pas !
Je suis certaine qu’avec toi, il n’a pas encore tout tenté !
Et quoi ?
Avec un tel rostre, tu n’as jamais de lavoir une gorge profonde… N’est-ce pas Jimmy ?
Oh non… je suis trop gros et top long… Aucune fille n’a voulu tenter l’expérience !
Tu vois…
Là-dessus, ma mère s’est agenouillée devant Jimmy. Elle a saisi la bite entre ses doigts et elle a passé le bout de sa langue sur le gland et le frein… Puis, ouvrant sa bouche, elle a avalé le sexe de Jimmy pour l’enduire de salive…
Comme elle n’avait plus besoin de ses mains, elle s’est débarrassée de sa robe pour se retrouver en string et soutif noirs qui tranchaient sur sa peau de blonde ! Mais le soutif n’a pas tardé à voler lui aussi, dévoilant les seins volumineux de la génitrice… Mon 90AB semblait ridicule à côté de son 95D. En plus, à plus de quarante ans, sa poitrine tenait droit… aucun signe d’avachissement !
Peu à peu, ma mère absorbait le chibre de Jimmy qui roulait des yeux en me regardant. Bientôt, son pubis était en contact avec le menton de ma mère qui caressait les bourses…
Waouh… qu’elle est bonne ta mère ! Jamais on ne m’a sucé comme ça !
Quelle salope… T’es mon mec et elle te suce !
Julie a recraché la bite de Jimmy et avec un grand sourire, elle nous a dit :
Il sent bon… mais pour l’instant, j’en ai assez goûté !
Madame Julie, ce n’est pas cool ! Tu m’as bien excité et tu me laisses en panne !
Mais non… Je vais m’allonger sur le lit et je vais te faire cracher ton foutre en faisant une cravate de notaire !
Ah bon… t’as des seins faits pour ça !
Les seins de ma mère sont effectivement très généreux, ronds et (je le découvrais) très fermes avec un téton qui s’érigeait au milieu d’une aréole bistre…
Dès qu’elle s’est allongée sur mon lit, elle a pressé ses seins l’un contre l’autre et a dit à Jimmy de venir la rejoindre. De mon côté, la pipe à gorge profonde ne m’avait pas laissée insensible aussi avais-je la main dans mon string et deux doigts dans ma chatte qui bavait… C’était hallucinant… ma mère suçait mon copain et ça m’excitait !!!
Dès que Jimmy a été en place sur son ventre, il a abaissé sa bite et l’a mise entre les seins de ma mère où il a commencé à aller et venir.
Oui… comme ça… Branle-toi bien entre mes loches, tu vas voir… bientôt, tu vas cracher ton foutre !
Le spectacle était hallucinant… le sexe foncé de Jimmy allait et venait entre les globes pâles et parfois le gland allait frapper le menton…
Attention… je vais venir !
Jennifer, viens récolter le jus de Jimmy… on te doit bien ça !
Dès que Jimmy a commencé à cracher son foutre sur les seins de ma mère, je me suis approchée et j’ai gobé la bite de mon copain pour en tirer les dernières giclées.
Tu vois ce qu’on peut faire… j’ai avalé sa bite jusqu’au plus profond de ma gorge et je me suis servie de mes seins pour faire cracher son foutre… Il aurait pu aussi bien se lâcher dans ma gorge… mais je le voulais ainsi.
T’es une belle coquine ! C’est quand même MON mec !
Sois tranquille… il a encore des réserves ! Bon… puisque ton lit est trop étroit, on va passer tous les trois dans ma chambre… nous y serons mieux pour la suite ! On va s’occuper de Jimmy à deux… Il ne sera certainement pas contre !
Nous nous sommes relevés tous les trois et Julie, saisissant la queue de Jimmy dans une main, elle l’a entraîné dans sa chambre et j’ai suivi le mouvement, admirant au passage la chute de reins de ma mère et ses fesses bien fendues sous sa taille étroite.
Lorsque nous sommes entrés dans sa chambre, j’ai été très surprise… je savais qu’elle avait fait faire de travaux, mais je ne m’en étais guère souciée. Elle avait remplacé son lit classique par un immense lit rond de plus de deux mètres de diamètre, garni de coussins de toutes formes. Un miroir avait été posé au plafond et les principaux murs étaient garnis de gravures licencieuses…
Ce décor était en tout point identique à ceux qu’elle décrit dans ses livres érotiques principalement… J’avais eu la curiosité d’en lire quelques-uns et les scènes décrites m’avaient bien émoustillée ! On ne se refait pas… quand on a une mère libertine, les gènes ne mentent pas…
Jimmy, à toi de me faire plaisir ! Bouffe-moi la chatte, comme ça, on ne sera pas en reste ! Et toi, Jennifer, ne reste pas plantée là… glisse-toi entre les cuisses de Jimmy et montre-nous ce que tu sais faire avec ta bouche !
Ma mère avait pris la direction des opérations… Elle s’est allongée sur le dos et a ouvert le compas de ses jambes… son sexe à la toison taillée en forme de cur était un appel auquel Jimmy a répondu aussitôt en y mettant la langue… et comme il était à quatre pattes, je me suis glissé sous lui pour aller sucer sa bite comme ma mère l’avait suggéré !
Effectivement, la taille du lit permettait des fantaisies… qui rapidement ont porté leurs fruits… Sous les caresses de la langue de Jimmy et les deux doigts enfoncés dans la chatte de ma mère, celle-ci n’a pas tardé à jouir… Jimmy bandait et j’avais bien du mal à avaler une partie de son sexe !
Je le voulais en moi ! Et autre part que dans ma bouche ! Ma chatte bavait depuis trop longtemps… elle avait envie d’être honorée !
Jimmy… Baise-moi… Ne me fais plus languir… Fourre-moi ta queue dans la chatte !
Je vais te baiser en levrette, comme ça, tu me sentiras bien !
Oui, Jimmy a raison… Comme ça, sa queue ira bien au fond de ta chatte !
OK… comme en plus, je suis en bonne période, il pourra cracher son foutre directement !
Génial ! ça faisait longtemps que j’en avais envie !
Dès que j’ai été en position, les bras en appui sur les genoux de ma mère, Jimmy a introduit sa bite dans ma chatte qui s’est ouverte comme jamais… Je l’ai sentie progresser en moi et lorsque le gland a buté tout au fond, j’ai ressenti comme une décharge électrique qui est remontée le long de mon dos.
Pendant que Jimmy commençait à aller et venir dans ma chatte, j’avais celle de ma mère sous les yeux… Je pouvais la détailler. Outre sa toison taillée en forme de cur, je distinguais les lèvres gorgées de sang et l’entrée de sa conque pleine de sucs… Un instant, j’ai pensé à celle qui m’avait initiée aux caresses saphiques… et j’ai dit à ma mère combien je trouvais son sexe très beau !
Je sentais le plaisir monter dans mes entrailles… Jimmy me baisait de plus en plus fort, faisant claquer son pubis contre mes fesses si bien qu’il n’a pas tardé à m’envoyer en l’air de la plus belle des façons, m’inondant de son sperme qui n’arrêtait pas de jaillir !
Lorsque nous nous sommes désunis, j’ai senti son sperme refluer et sortir de moi et ma mère s’est adressée à moi :
Tu vois ma fille… ton mec est en pleine forme ! Il a juté sur moi il y a moins d’une demi-heure et là, il t’a servie généreusement !
Waouh… mais c’est le pied… avoir deux femmes à honorer ! Madame Julie, c’est quand tu veux ! Regarde, je bande encore !
Je vois… comme les scouts… TOUJOURS PRET ! mais j’ai envie de te sentir ailleurs que dans ma chatte… Ton mandrin dans mon cul, ça me fait envie !
MAMAN ! T’es devenue folle !
Mais NON ma fille… J’ai ENVIE de la sentir dans mon boyau étroit ! Ma chatte a vu passer trop de monde… On verra une autre fois ! Jennifer, suce-le un peu et couvre-le ! Ensuite, Jimmy s’allongera et je viendrai m’empaler…
J’ai compris… tu veux me sentir et emplir ton cul selon ton désir !
Oui mon bel étalon… T’es quand même bien monté alors je veux y aller doucement !
J’ai fait ce que ma mère demandait et je l’ai vue chevaucher Jimmy… Elle lui tournait le dos et avait placé le bout de la queue à l’entrée de son sphincter qu’elle avait enduit généreusement d’un gel translucide devant faciliter l’introduction… Le sexe de Jimmy était dressé comme un pal et il n’a pas plié lorsqu’il est entré dans le cul de ma mère… Comment avait-elle pu absorber ce rostre que j’avais bien du mal à faire entrer dans ma bouche ???
Oh… qu’il est bon… Il m’emplit bien ! Jennifer, donne-moi mon vibro brun que je le mette devant…
Dans le tiroir indiqué par ma mère, j’ai découvert tout un tas de gadgets érotiques allant de l’uf vibrant à un gode ceinture de belle taille et passant par une série de sexes masculins bien imités de toutes les tailles et toutes les textures. J’ai passé le gode demandé à ma mère qui l’a enfilé dans sa chatte dès qu’elle a entrepris les mouvements, faisant aller et venir le sexe de Jimmy dans son sphincter. Je regardais la scène avec un regard halluciné : le sexe gigantesque de Jimmy allait et venait dans le boyau étroit de ma mère qui manuvrait un gode de belle taille dans son sexe… et moi, j’avais deux doigts enfoncés dans ma chatte.
Tu as ce qu’il te faut dans le tiroir… Fais-toi plaisir pendant que ton copain me sodomise ! Je te le rendrai après !
Je dois avouer que lorsque nous avons joui tous les trois pratiquement en même temps, ce fut un feu d’artifice… de grognements et mouvements désordonnés.
Et nous nous sommes endormis tous les trois dans le lit de ma mère.
Après cette nuit de débauche, il y en a eu d’autres…
Jimmy se partageait entre ma mère et moi et nous avions pris nos habitudes dans le lit rond… Mais le summum, je pense, c’est quand avec ma mère nous nous sommes gouinées pour la première fois pendant que Jimmy allait et venait dans ma chatte…
Quant à la sodomie, malgré les tentatives de Jimmy, il n’est pas encore passé par ma porte arrière !
Fin.