Il y a dix ans de cela, il mest arrivé une aventure incroyable, mais vraie. Je peux vous le jurer sur tout ce que jai de plus cher. Mon clitoris par exemple!
Voilà. Jallais me marier avec un jeune homme dont jétais très amoureuse. Je navais que vingt ans et ne voulais pas écouter ma mère qui massurait que cétait trop tôt et que lon pouvait tomber amoureuse plusieurs fois à cet âge en croyant à chaque coup que cétait la bonne. Quil fallait vivre un peu avec le garçon pour le mettre à lépreuve Enfin, vous savez toutes ces choses quune mère moderne et sensée dit à sa fille. Mais comme toutes les filles, je nen avais rien à foutre, jaimais Vincent et je le voulais, en robe blanche, pour la vie, et plein de bébés!
Vincent mavait souvent parlé de ce père quil détestait, car il avait plaqué sa mère lorsquil avait cinq ans, sorte de don juan de pacotille, daprès lui. Vincent massura quil avait un sourire étincelant, avec de belles dents, comme peuvent avoir certains ritals, et qui fait toujours craquer les filles. Je me mis à le taquiner, en disant que moi je préférais le fils, et patati et patata De fait, il était plutôt beau sur les photos, genre Sean Connery, mais je naimais pas son air supérieur.
La veille de la cérémonie, nous devions aller accueillir ensemble ce fameux papa, ou laisser mes parents aller à laéroport, mais finalement par un concours de circonstances quil serait trop long à raconter, cest moi qui suis partie à Orly avec ma petite voiture neuve.
Il était plus grand que dans mon imagination et surtout beau-papa était magnifique, avec un sourire tout à la fois lourd, sensuel et éblouissant, des yeux marrons chauds, qui vous faisaient fondre, de magnifiques cheveux raides, drus, coupés très courts et un teint caramel qui me donnait envie de mordre. Il ma regardée de la tête aux pieds, sans aucun air supérieur. Javais une petite robe saumon à jupette plissée et mes cheveux blonds et lisses étaient lâchés. Je ne portais ni maquillage, ni bijoux. Cet homme-là avait lair de navoir ni passé, ni avenir, juste un présent libre, amoral. Il me sera sur son veston de prix, son magnifique pull en cachemire dont la douceur menveloppa et je sentis contre moi, tout à coup, ce que cétait quun homme mûr, avec un beau corps musclé. Un homme qui a réussi, qui sait ce qui lui va, où il va. Son parfum chaud, musqué, fit mon cur battre la chamade. Cétait fou. Je me sentais irrésistiblement attirée par ce mâle qui en savait tellement sur les femmes et la vie. Il me lança dans un français parfait, avec un air coquin :
– Alors, petite fille, on a hâte davoir un petit mari? Et en disant cela, il membrassa sur la bouche sans que je pense à faire un geste pour len empêcher, puis il murmura :
– Marie-toi, et tu connaîtras les joies «innommables» de ladultère.
Sa voix grave me secouait lentrecuisse. Je ne me reconnaissais pas; jétais envoûtée. Je nai réalisé, que jallais me marier le lendemain matin, quen voyant Vincent. Jétais si pâle et perturbée quil ma dit :
– Oh, cest un vieux cabot, tu finiras par lapprécier comme les autres! Et il riait.
Jai ris avec lui. Il a embrassé froidement son père. Le soir, on avait décidé de ne pas coucher ensemble pour conserver à la cérémonie sa fraicheur. Tout le monde dormait dans la villa de ma famille, dans le Val de Marne, dont le jardin bute sur la rivière. Vincent et son père dormaient au rez-de-chaussée, dans des chambres damis, et mes parents et moi à létage. Je narrivais pas à dormir. Je me demandais soudain si je ne faisais pas une connerie. Il était trop tard. Jai voulu me caresser pour mapaiser, mais je trouvais cela moche juste avant de passer devant monsieur le curé, de se branler comme une pucelle. Je me suis glissée hors de la chambre pour aller retrouver Vincent qui dormait à létage en dessous, mais au moment daller le retrouver, je suis tombée sur mon beau-père en pyjama de flanelle noire, une cigarette à la main et un grand châle Egyptien jeté sur lépaule. Je lai trouvée si beau, que jen aurais chialé.
Le reste Ah, jai honte! Je ne sais pas. On sest retrouvés dans le jardin à prendre lair. On était en mai. Il faisait un peu frais. Je métais appuyée sur la balustrade, face au fleuve. Jai frissonné. Il est passé derrière moi et nous à entourés dans un même geste avec cet immense châle. Jai senti dans son pantalon léger, la vigueur dune verge importante dune dureté pas possible, qui sencastrait dans ma chemise de nuit. Cétait affreux. Jai senti un flot de mouille minonder lentrecuisse. Je ne peux pas lexpliquer. Il a commencé à me mordiller la nuque en relevant mes cheveux. Javais des frissons qui me traversaient. Je tremblais comme une feuille, mais plus de plaisir que de froid. Je me laissais initier, totalement. Mes seins me faisaient mal tellement les pointes étaient dures et, pour la première fois, javais envie dêtre baisée. Je mexplique. Jusquà présent, javais des chaleurs dans le ventre quand un garçon membrassait, mais il fallait que je jouisse bien fort sous ses doigts ou sa bouche pour avoir envie de faire lamour. Avec Vincent cétait comme ça. Avec son père. Non. Ce que je voulais, cétait quil vienne dans mon con. Quil arrête ce supplice. Cette lourdeur dans ma chatte qui faisait que javais limpression quelle pendait. Je sentais mon sexe indépendant qui réclamait quon lui rentre dedans. Quon le bourre à grand coups. Javais envie quil me déchire. Il prit lentement, très lentement, mes deux pointes de seins entre ses doigts et joua avec un très, très long moment. Je me cambrais en arrière butant contre son pénis. Je sentis quil retirait une de ses mains pour dégager son membre. Jai glissé ma main en arrière et jai senti cette chair brûlante dans la nuit froide.
– Relève ta chemise et mets-la en toi, dans ta chatte.
Jai empaumé cette longue tige et je lai branlée un peu. Le gland était large et finissait en pointe; il ma semblé quil était circoncis, car je narrivais pas à le branler. Comme je continuais à la caresser et que je sentais un peu de jute au bout de sa queue, cest lui qui a relevé ma chemise et jai happé tout le morceau dans mon con. Je navais jamais rien connu de si bon. Jai crié. Il a mis sa main sur ma bouche :
– Chérie, on va le faire très lentement, retiens-toi.
Et il sest retiré de mon con qui essayait de le retenir avec des succions désespérés. Ce nétait pas moi qui baisais. Je vous le jure Qui basait ? Mais mon con, qui faisait tout ce quil voulait. Jen aurais pleuré tellement javais envie quil revienne. Il ma dit :
– Écarte tes lèvres, bien fort, je vais te baiser, ma petite chérie.
Jétais une vraie petite chienne. Jai appuyé mon buste sur la balustrade et les deux mains sur mon con, je lui ai frayé un passage. Jai senti quil se reculait pour regarder ma fente qui devait luire un peu dans léclairage de jardin. Il est entré et je me suis collée à lui, pour coller à lui, pour quil ne parte pas. Il baisait bien, comme un gros salaud, faisant attendre le prochain va-et-vient, à réinvestir ma chatte trempée. Pendant quil me baisait, il continuait à passer sa langue le long de ma jugulaire, à sucer mes lobes, à glisser dans mon oreille. Je devenais folle. Il a repris mes seins en mains et les a malaxés tout allant au bout de mon sexe. Ma chatte laspirait, le baisait. Jai joui en lui mordant la main et les contractions de mon premier orgasme vaginal ont déclenché son éjaculation. Normalement, je ne sens pas le sperme dans mon con, mais là, jappréciais les giclées qui fouettaient mon utérus. Ah! Si je navais pas pris la pilule, sûr, il maurait engrossée!
Je suis remontée en courant. Vincent dormait toujours. Je nai pas osé me laver. Javais peur des bruits deau à deux heures du matin et jai passé le reste de la nuit, toujours aussi excitée, envoutée, perdant la semence de beau-papa entre mes cuisses frissonnantes. La messe était à 10 heures. A sept heures du matin, beau-papa a voulu memmener avec ma voiture chez une coiffeuse de mes amies pour le coup de peigne de la mariée. Jétais en guêpière rose, ma robe blanche toute simple bien fermée et mes escarpins immaculés qui me faisaient un peu mal. Je métais maquillée avec soin à six heures du matin, pour cacher mon insomnie. Francesco a ouvert la portière passager dans un sous-bois au retour, et sest glissé entre mes cuisses. Il a relevé ma robe en faisant bien attention, il ma aimée avec sa bouche torride, me faisant jouir en trois secondes de succions de mon clitoris bandé à fond. La chatte me brûlait. Il a ris.
– Alors là, ma petite chérie, je crois que tu es prête pour le mariage!
Jai rougi Je me suis mariée comme dans un songe, recevant les baisers de mon mari, les consentements, les amis sans y croire. A quatre heures du matin, après que mon nouvel époux se soit endormi ivre mort comme dans les mauvais romans, je suis partie à la salle de bains. Francesco my a retrouvée. Jétais en culotte. Il a attrapé ma tête et sortant sa verge toujours aussi dure de son pantalon de smoking, il ma fait lemboucher jusquaux couilles. Son gland avait dépassé le fond de la gorge. Je navais jamais fait ça. Il ma baisée comme ça, vulgairement, méchamment et jaimais ça. Sa queue me remplissait; ma bouche était une chatte et jallais tout me prendre. Et tout en me maintenant, il a tout lâché. Je ne pouvais quavaler. Avaler encore. Jétais comblée. Je pleurais. Ma mère entendit du bruit. Elle a tapé à la porte :
– Ça va ma chérie?
– Oui, maman, je prends une douche!
– Tu nas pas besoin de moi?
– Non, ça va, retourne te coucher.
Heureusement elle est repartie. Et le lendemain, beau-papa sest envolé vers lItalie en nous invitant Vincent et moi pour notre voyage de noces à Venise. Je lai revu deux fois. Mais cet homme aurait fait de moi son esclave sexuelle. Jai préféré arrêter à tout jamais.
Je suis mariée depuis dix ans et Vincent na jamais rien su. Nous avons deux enfants, et le garçon sappelle François
