ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 06 : Perspectives d’avenir.

Alice me suit cette fois plus détendue, parce qu’elle a pris conscience que personne ne peut la voir, et lorsque nous arrivons à l’arrière de la maison, ses seins et ses fesses voient probablement le soleil pour la première fois de leur vie.

En découvrant la piscine vide qui est de bonne taille, et qui paraît encore plus grande parce qu’il y a peu de terrain autour, elle me dit :

Il y en a qui ne s’ennuient pas.

Vous n’en avez pas une ?

Non, on n’a pas la place, car dans notre quartier, les maisons sont construites les unes sur les autres.

Soudain, mon petit bout de femme devient toute blanc, enfin façon de parler, puis elle s’exclame :

Foutre ! J’avais promis aux filles de les appeler à neuf heures, et j’ai oublié.

Je souris de l’entendre jurer, sans savoir si ça lui est devenu naturel ou si elle se force, tandis qu’elle se dirige à grands pas vers la maison dans laquelle elle entre, par une des portes-fenêtres donnant sur la pièce à vivre. En passant, elle a posé le sac en tissu sur la table de jardin, qui se trouve sur les dalles de la terrasse qui est en grande partie à l’ombre, étant donné qu’à cette heure-ci, mon bureau fait obstacle au soleil. De toute manière, lorsque ce dernier s’élèvera pour monter au zénith, c’est cette fois l’avancée du toit qui l’empêchera de briller à cet endroit.

Mon amusement a grandi, en voyant les gros seins d’Alice se balancer au rythme de ses pas précipités, et avant qu’elle ne disparaisse, je lui demande :

Thé ou café ?

Elle me répond en criant, de l’intérieur du séjour :

Thé.

Je vais beaucoup plus calmement sur la terrasse, et avant d’entrer dans la cuisine en passant par une autre porte-fenêtre que je laisse elle aussi ouverte, je récupère au passage le pain et les viennoiseries.

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Tandis que je thé infuse, je prépare un plateau, en posant dessus tout ce qui nous sera nécessaire pour notre petit-déjeuner, et je vois mon amante revenir beaucoup plus tranquillement avec son téléphone à la main. Elle ressort tout naturellement sur la terrasse, sans se soucier du fait d’être nue, et elle s’éloigne pour aller faire le tour de la piscine, sans doute pour pouvoir discuter tranquillement avec au moins l’une de ses filles.

Lorsqu’elle revient vers moi environ cinq minutes plus tard, j’ai posé le plateau sur la table de jardin, et je me suis assis pour l’attendre patiemment. Le beau visage d’Alice est parfaitement détendu et elle sourit, ce qui me fait comprendre qu’elle s’est inquiétée pour rien. Néanmoins, je lui demande pour la forme, une fois qu’elle s’est installée en face de moi :

Apparemment, tout se passe bien chez vous ?

Oui. Les filles se débrouillent toutes seules. Elles révisent leur bac, et elles m’ont donné la permission de rester plus longtemps.

Puis elle ajoute en rougissant légèrement :

Enfin, si tu es d’accord…

Étant donné que c’est pour moi une excellente nouvelle, je lui réponds :

S’il n’y avait pas tes filles, je te retiendrais prisonnière ici. Tu vivrais à poil en permanence, et je te baiserais comme j’en ai envie et aussi souvent que j’en ai envie.

En m’entendant dire cela, elle s’empourpre un peu plus, d’autant que j’ai placé mes mollets entre les siens, et que je suis en train de les écarter dans le but de l’obliger à ouvrir les jambes en grand. Cependant, elle ne proteste pas, et elle me répond comme si de rien n’était :

Ce serait une expérience à tenter, car il est certain que j’ai beaucoup de choses à apprendre, avant de pouvoir prétendre être la reine des cochonnes.

Tout en servant le thé, je lui dis :

Ta motivation me fait énormément plaisir, mais ce que j’aimerais pour l’instant, c’est savoir jusqu’à quand tu as la permission de rester ici ?

D’après ce que Léo m’a dit, autant que j’en ai envie. Mais je suis plus réaliste qu’elle, et il faudrait quand même que je sois rentrée au plus tard demain en début d’après-midi.

Tu sais, j’étais sincère lorsque j’ai dit que j’aimerais que tu restes tout le temps. Mais pratiquement tout un week-end seul en ta compagnie, c’est beaucoup plus que je n’aurais osé l’espérer hier encore. Par conséquent, je saurai m’en contenter. Cependant, il faudra qu’on aille faire des courses, car je dois t’avouer que lorsque je suis seul, je ne me donne pas la peine de cuisiner, et si tu vas ouvrir mon frigo, tu vas le trouver pratiquement vide.

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Alice sourit en m’entendant dire cela, probablement parce que cela correspond à l’idée qu’elle se fait de l’homme célibataire. Puis elle me demande, tandis que nous commençons à manger les petits pains aux raisins :

Tu te nourris, quand même ?

Je mets alors un claque à mon gros ventre, ce qui produit un bruit sourd, tout en lui répondant :

Ça ne se voit pas ?

Puis j’ajoute plus sérieusement :

Je vais au restaurant plus souvent qu’à mon tour. Et je te rappelle que j’ai également un couple d’amis, qui sont aux petits soins pour moi quand je suis en période de célibat.

Ils sont au courant, à notre sujet ?

Comme Marc travaille avec moi, il nous a vus quand on discutait hier à la terrasse du bistrot, et je lui ai dit que le soir, on allait manger ensemble au restaurant. Je suis prêt à parier qu’il n’attendra pas la fin du week-end, pour essayer de savoir comment ça s’est passé entre nous. D’autant plus que si je ne vais pas chez eux ni aujourd’hui ni demain, il va comprendre qu’il y a anguille sous roche. Mais si c’est ce qui te tracasse, je ne te les présenterai que lorsque tu te sentiras prête.

Alice me répond, en rougissant une fois de plus :

Justement. S’ils sont tes amis, je les accepterai comme tels, mais ce qui me fait peur c’est que vu mon inexpérience, ils risquent de me prendre pour une nonne que tu as tirée d’un couvant.

Cette réplique m’étonne grandement de sa part, parce que j’ai largement eu le temps de me rendre compte qu’Alice n’est pas stupide. Bien que nous n’ayons encore abordé aucun sujet traitant de la culture générale, rien qu’à sa façon de s’exprimer et à celle qu’elle a de raisonner, on comprend tout de suite qu’elle est intelligente. Par conséquent, la seule chose pour laquelle elle pourrait ne pas se sentir à la hauteur par rapport à Charlène, c’est au sujet des pratiques sexuelles. Si ma supposition est exacte, cela implique que mon amante a déjà pris la décision de faire la connaissance de mes amis, plus en profondeur que dans une simple relation platonique.

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Ce serait plutôt une bonne nouvelle puisque si notre relation devait durer, ce que j’espère de tout mon cur, cela me permettrait de ne pas négliger Marc et Charlène. Aussi, pour m’en assurer je demande à Alice :

Est-ce que tu es en train d’essayer de me faire comprendre que tu as envie qu’on se mélange à eux, mais que tu crains de te sentir ridicule, par rapport à ton manque de connaissances dû à ta longue période d’abstinence ?

Elle devient alors écarlate, avant de me répondre :

Oui, c’est un peu l’idée. Et cela va dans la logique de celle qui veut devenir la reine des cochonnes…

Sur le coup, je suis bluffé, mais également un peu effrayé, parce que je sais pour avoir déjà tenté la chose, que le couple que nous venons tout juste de former risque de ne pas résister à ce qui va arriver, si nous nous engageons dans cette voie. À moins bien évidemment, qu’Alice m’aime autant que ce que je suis épris d’elle. Cependant, du point de vue de la morale c’est un cap que j’ai déjà franchi, et afin qu’il n’y ait aucun malentendu, j’ai à présent envie de connaître les véritables motivations de mon petit bout de femme. Par conséquent, je lui demande :

Avant d’envisager sérieusement cette option, je veux que tu me dises franchement si tu veux tenter cette expérience juste pour me faire plaisir, ou encore par envie ? Parce que tu sais, cela n’a rien d’une obligation. On pourrait par exemple vivre comme un couple banal pendant des mois voir des années, et attendre pour envisager d’aller plus loin, que notre relation devienne monotone.

Tu ne veux plus faire de moi la reine des cochonnes ?

Au départ, je t’ai dit ça pour plaisanter, et je ne pensais pas que tu me prendrais au mot. Avec le recul, je pense que si c’est ce dont tu as besoin pour être plus épanouie, c’est une bonne idée. Mais je te rappelle que quand on en a parlé, il ne s’agissait que de notre intimité, et qu’il n’était pas question de nous mélanger à d’autres personnes.

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Alice réfléchit quelques instants, avant de me dire :

Eh bien, dans ce cas, le mieux est que pour l’instant, tu me les présentes en temps que simples amis, et lorsque je me sentirai prête, on pourra envisager le plus si affinités. Mais si je suis ignorante sur certaines choses, je ne suis pas non plus idiote, et je sais ce qui te chagrine.

Quoi donc ?

Tu as des doutes sur les sentiments que j’éprouve pour toi, ce qui est normal étant donné que nous ne nous connaissons que depuis hier. Et comme tu m’as avoué, qu’une de tes relations avait capoté à cause du fait que tu avais partagé ta compagne avec tes amis, et qu’elle était ensuite devenue nymphomane, tu as peur que ça recommence avec moi.

Cette répartie me confirme qu’Alice est perspicace, étant donné que cette fois encore, elle m’a parfaitement cerné. Et loin d’en être chagriné, je lui réponds après avoir souri :

Tu as raison. Alors que toi tu es prête à te lancer, j’hésite parce que j’ai peur de te perdre.

Elle réplique en rougissant légèrement :

Alors dis-toi que si je me révèle être une femme qui a envie de se faire fourrer par tous les hommes qui passent, sans se soucier du fait que tu puisses en souffrir, c’est que je ne suis pas celle que tu as idéalisée. Et plus tôt, tu t’en rendras compte et mieux ce sera pour toi, parce que comme ça tu n’auras pas le temps de t’attacher à moi, et tu en souffriras moins.

Sa logique est imparable et je ne peux qu’être d’accord avec elle. Puisque cette discussion est terminée et que nous avons terminé notre petit-déjeuner, nous ramenons le plateau dans la cuisine, et les tasses et la théière finissent dans le lave-vaisselle.

Lorsque c’est fait, et vu que le temps d’après la météo va se maintenir au beau, je vais ouvrir les vannes qui vont remplir la piscine. Étant donné qu’elle est grande, il faudra plusieurs heures avant qu’elle ne soit pleine, ce qui d’après mon expérience devrait se produire vers midi.

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Ensuite, nous allons nous laver, et lorsque je propose à Alice que nous prenions notre douche ensemble, elle accepte en rougissant. Pour commencer, elle attache ses cheveux au-dessus de sa tête, grâce à des élastiques supplémentaires, que nous n’avons aucun mal à trouver dans le meuble de rangement de la salle d’eau que j’utilise. Puis je lui prête ma brosse à dents dont elle se sert sans hésiter, avant de l’utiliser moi même. Il y en a toujours des neuves d’avance dans les trois salles de bains de la maison, mais étant donné que nous avons déjà mélangé nos salives, je n’ai pas pris la peine de lui en sortir une, et elle a accepté la chose sans se poser de questions. Je ne me rase pas parce que c’est pour moi une corvée, que je n’accomplis que lorsque je dois aller travailler, ou les jours de mariage ce qui est beaucoup plus rare.

Alice ne me fait pas de remarque à ce sujet, ce qui veut vouloir dire deux choses. Soit elle s’en moque, soit elle aime le genre un peu manouche que ça me donne. De ce fait, l’étape suivante est d’aller dans la douche italienne, et avant que je n’actionne le levier qui commande l’arrivée de l’eau, mon petit bout de femme me demande d’essayer de ne pas mouiller ses cheveux, parce que sinon, ils mettraient très longtemps à sécher. Par conséquent, je règle les jets directionnels pour qu’ils évitent nos têtes.

Une fois que nous sommes mouillés, sans lui demander son avis, je décide de savonner son corps magnifique, et elle se laisse faire en fermant les yeux. Mais je gage qu’elle le fait plus dans le but d’apprécier pleinement les sensations que par pudeur, parce que cette fois, son beau visage ne change pas de teinte. Je commence en toute logique par son cou, pour continuer par ses épaules, et elle se tourne sans que j’aie besoin de le lui demander, afin que je puisse frotter son dos. Sa peau est douce au toucher, mais cela peut être trompeur parce que non seulement elle est mouillée, mais qu’en plus, le gel douche fait glisser mes mains. Néanmoins, c’est un vrai régal de la sentir se laisser tranquillement bouchonner, tandis que je m’applique sur toute la surface de son épiderme.

Lorsque je m’occupe de ses fesses charnues, et que je les écarte pour la nettoyer entre elles, Alice ne proteste pas. Par conséquent, je me mets à frotter son petit anus fripé avec mon index, et comme elle ne bronche toujours pas, je l’enfonce dans sa rosette. Je ne sens aucune crispation de sa part, bien que je sois certain qu’elle est encore vierge de ce côté-là, et je pousse l’audace jusqu’à la branler quelques instants, les coulissements de mon doigt étant facilités par le savon. Il me semble l’entendre à ce moment-là pousser un soupir, mais je n’en suis pas certain. Par contre, comme elle m’a laissé sans difficulté m’introduire en elle de cette manière, cela me laisse espérer qu’elle ne s’opposera pas à ce que je la sodomise, lorsque nous nous connaîtrons un peu mieux.

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Ensuite, sans que j’aie besoin de le lui demander, Alice me fait nouveau face, et je constate qu’elle a l’air d’apprécier mes attentions, puisque bien qu’elle soit légèrement rouge, un petit sourire s’est dessiné sur ses lèvres légèrement pulpeuses, et son beau visage est parfaitement détendu. Par conséquent, je m’applique sur le devant de son corps, et lorsque vient le tour de sa grosse poitrine, sur laquelle je m’attarde plus longtemps que nécessaire, je n’ai cette fois aucun doute sur le fait qu’elle pousse un soupir de contentement. Puis je descends le long de son ventre légèrement rebondi, sans oublier ses flancs, avant de m’intéresser à son bassin, à sa petite touffe de poils noirs puis à sa vulve, que je savonne dans ses moindres recoins. Je vais même jusqu’à mettre deux doigts dans son vagin, pour le nettoyer lui aussi.

J’ai légèrement hésité avant de faire cela, me disant que pour cette partie de son anatomie, Alice utilise peut-être un savon spécial, mais elle n’a pas fait mine de m’arrêter, par conséquent je m’y suis introduit, mais en douceur. Lorsque j’ai terminé, je me mets accroupi pour m’occuper de ses jambes, puis de ses petits pieds que je trouve charmants tant ils sont menus, et qu’elle soulève l’un après l’autre pour me faciliter la tâche. Je termine par ses aisselles lisses et ses bras, après m’être relevé, et Alice rouvre les yeux avant de me remercier d’un sourire.

J’ai effectué ce nettoyage sans ressentir de tension sexuelle, tant cela m’a semblé naturel. Cependant, mon sexe a gonflé tout en restant pendu entre mes jambes, et il continue à le faire lorsqu’Alice me rend la politesse, en me savonnant tout aussi consciencieusement que ce qu’il en a été pour elle. Ce n’est que lorsque tout comme je l’ai fait avec sa vulve elle s’occupe de mon pénis, que ce dernier se dresse pour se mettre en érection. Étant donné que contrairement à mon petit bout de femme, j’ai gardé les yeux ouverts, pour pouvoir l’observer et voir comment elle réagit, je me rends compte qu’il y a de la malice sur son beau visage, lorsqu’elle me branle quelques instants sous le prétexte de nettoyer mon membre.

Et alors que mon sexe donne des signes de faiblesse une fois que je lui ai tourné le dos, il se redresse aussitôt au moment où mon amante passe un doigt sur mon anus, avant de l’enfoncer en lui comme je l’ai fait avec le sien. Cependant, elle ne s’y attarde pas, car sans doute estime-t-elle que cela est suffisant, pour se venger de la petite profanation qu’elle a subie de ma part.

Tout comme moi, elle doit penser que ce n’est pas le bon moment pour explorer plus avant nos corps respectifs, étant donné que si nous voulons manger à midi, nous devons aller faire des courses.

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Lorsqu’Alice a terminé de s’occuper de mon corps, nous nous rinçons, puis nous nous séchons mutuellement, et elle rattache ses cheveux en queue-de-cheval haute. Vient ensuite le moment de nous habiller, et je lui propose de lui prêter des vêtements, que certaines de mes ex avaient laissés sur place et ne sont jamais revenues chercher.

Elle accepte sans hésiter, mais en rougissant légèrement, tout en m’avouant qu’aller dans un supermarché en robe du soir et en escarpins lui semble être déplacé. Par conséquent, après avoir remis ses sous-vêtements de la veille, que nous sommes allés prendre avec le reste des affaires que nous avions laissées hier dans le salon, nous nous rendons dans une des chambres, qui se trouvent de l’autre côté de la maison par rapport à la mienne. C’est en effet à cet endroit que ses fringues ont été rangées, après avoir été lavées et repassées.

Alice enfile un tee-shirt ainsi qu’un short assez large, elle reste en espadrilles, et sa tenue est complétée par son sac à main, qui doit probablement contenir toute sa vie. Pour ma part, je m’équipe d’un bermuda ainsi que d’un polo, et pour ne pas dépareiller, je reste chaussé comme elle. Nous voilà donc sur le point de partir en commission, comme un vieux couple et dans une tenue plus que décontractée, qui est en harmonie avec notre humeur, mais aussi le beau temps, de ce dernier samedi du mois de mai. Ma nouvelle compagne est détendue, même si une fois qu’elle a chaussé ses lunettes de soleil aux verres fumés, je ne peux plus essayer de deviner quels sont ses sentiments.

À suivre…

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