Mes craintes étaient infondées, javais réussi à la rassurer.
Nous avons continué nos activités coupables, mais il y avait désormais une nouvelle variante dans nos petits jeux interdits : quand je métais diverti tout mon soûl avec ses appas, je ne lui grimpais plus dessus pour me finir ; maman me suçait la queue.
Il ne me manquait quune chose pour que mon bonheur soit parfait : la baiser !
Elle sobstinait à refuser que je lui enlève sa culotte.
Je ne comprenais pas les raisons obscures, les tortueux cheminements de sa conscience pour quelle simagine que me permettre de lui ôter cette dernière muraille symbolique était plus immoral que de me tailler des pipes.
La psychologie féminine est un mystère, un puits sans fond
Elle ne voulait tout simplement pas aller jusquau bout, alors, jour après jour, elle repoussait les limites de ce quelle maccordait.
Elle avalait mon sperme maintenant, elle nallait plus le recracher dans le lavabo ; une concession quelle me permettait parmi dautres.
Mais, demeurait dans son attitude, surtout quand cétait fini, une persistante impression de culpabilité dont elle narrivait pas à se défaire et que je remarquais.
— Au fait Victor, noublies pas que nous allons chez tes grands parents demain soir Ne prévois rien dautre, mon chéri.
Je venais de jouir dans sa bouche, je la regardais papillonner dans la chambre en petite culotte, allongé sur son lit comme un pacha.
— Oh non maman, par pitié ! Tu nauras quà dire que je suis en retard dans mes révisions je nai pas envie dy aller.
Javais complètement oublié. Quelle angoisse ! Cétait le genre de soirée familiale assommante et interminable à laquelle tout le monde rêve déchapper.
Elle a fait comme si mes arguments navaient pas dimportance et elle a disparu dans la salle de bain. Elle avait gâché ma journée.
Mes grands parents habitaient à une heure de route.
Ils vivaient dans une luxueuse bâtisse perdue dans les terres.
On ne les voyait que très rarement ; à la Noël, pour les anniversaires, ce genre de réunions.
Ils détestaient copieusement maman. Ils la trouvaient ordinaire, pour ne pas dire vulgaire.
Elle ne faisait pas partie de leur monde, mais ils lui reprochaient surtout davoir mis le grappin sur leur fils, persuadés quelle avait tout planifié depuis le début dans son propre intérêt.
Pour une raison qui méchappait, ils madoraient.
Nous sommes arrivés en fin daprès midi.
Niveau vestimentaire, maman avait fait fort : elle portait un petit haut moulant très décolleté, et une jupe crayon qui mettait admirablement en valeur son beau derrière.
Elle était si bandante que je me suis demandé sur le moment comment javais pu mettre si longtemps pour men émouvoir.
Je savais quelle lavait fait exprès pour emmerder ses beaux-parents qui la trouvaient trop délurée. Il leur en fallait peu, coincés comme ils étaient, mais il faut bien avouer que je ne pouvais pas leur donner tort pour une fois.
Tous les mâles présents dans lassemblée ont dû sastiquer avec une image précise en tête, les jours suivants.
Mon père navait pas lair dérangé par la tenue provocante de sa femme, bien au contraire ; on voyait quil était fier quelle inspire le désir, son ego en était flatté.
La soirée sest déroulée exactement comme je my attendais, longue et soporifique à souhait.
Inévitablement, est arrivé le moment où ils nont pas pu sempêcher de se pousser dans leau encore habillés, et maman a fait sensation en ressortant de la piscine toute mouillée.
Comme ses vêtements nétaient pas secs au moment de partir, ma grand-mère, excédée, lui a prêté une longue chemise de bucheron difforme pour quelle se change.
Un type, que nous ne connaissions pas, nous a demandé si nous pouvions le déposer au village. Il a invoqué une voiture à récupérer, je ne sais quoi. Il sest assis dautorité sur le siège passager, je me suis installé sur la banquette arrière avec maman.
Après quelques kilomètres je me suis allongé, en chien de fusil, et jai posé ma tête sur ses genoux.
Ma joue reposait sur ses cuisses nues ; elles étaient douces et fraiches, le contact était délicieux.
Jai dû somnoler un moment.
Quand jai ouvert les yeux, sa chemise épaisse était remontée, et javais mon visage dans son nid.
Elle me démêlait les cheveux, les enroulait distraitement autour de ses doigts.
Mon père lui a demandé si elle avait du feu, et il sest alors tourné vers nous en lui posant la question.
Il faisait noir dans la voiture – cétait une nuit sans lune, il ny avait pas déclairage sur cette départementale – mais quand il a vu la position que joccupais, il a agressé maman en aboyant.
— Mais quest-ce qui te prend ? Tu ne vois pas quil a le nez dans ta culotte ! Ce nest plus un petit enfant, bon-sang !
— Il dort ! Parle moins fort, tu vas le réveiller Et nous ne sommes pas seuls dans la voiture, mon amourTu devrais te calmer et regarder la route.
— Mais enfin, quest-ce qui ne tourne pas rond chez toi ? Il na plus cinq ans, merde ! Quand vas-tu cesser de le materner comme un bébé ?
Papa à encore juré en déplorant le comportement de sa femme, mais il sest retourné et a continué à conduire comme si de rien nétait.
Il devait avoir conscience quil se donnait en spectacle, ou pire encore, quil montrait à un inconnu quil était jaloux de son propre fils.
Le pauvre type hallucinait dailleurs. Il ne disait rien, pétrifié par la scène à laquelle il venait dassister.
Le voyage sest poursuivi dans une mauvaise humeur palpable, et malgré tous les efforts que faisait notre invité pour engager la conversation, personne dautre que lui ne parlait.
Maman était furieuse. Elle narrêtait pas de cogner nerveusement ses genoux lun contre lautre, faisant rebondir ma tête dans la fourche de ses cuisses.
Contrairement à ce quelle avait affirmé je ne dormais pas, et depuis que mes yeux sétaient habitués à lobscurité, jétais aux premières loges.
Comme lavait fort à propos fait remarquer mon père, javais bien le nez où il le disait.
Je pouvais apercevoir les poils de sa chatte, derrière sa culotte encore imprégnée de chlore.
Cétait touffu et mystérieux là-dedans ; ça me donnait envie.
Jai saisi lopportunité ; jai approché mon visage et jai reniflé les effluves que sa chatte exhalait.
Jai léché, timidement, du bout de la langue, le renflement de ses lèvres charnues imprimé sur létoffe en soie.
Papa ne pouvait pas deviner ce que je faisais, même en se retournant : je navais pratiquement pas bougé.
Jétais sur le point de menhardir, daller plus loin, quand maman ma violemment tiré en arrière en agrippant mes cheveux.
— Victor mon chéri, sois gentil maintenant, retourne de ton côté Tu me donnes chaud, tu sais !
Je lai dévisagée, ahuri, avec des yeux bovins et les joues en feu, alors elle ma fait un petit clin dil complice et sest mise à regarder le paysage la joue collée au carreau.
Devant, papa et son nouveau copain sétaient finalement entendus sur un sujet, et ils discutaient à bâtons rompus.
Nous avons laissé notre passager où il le souhaitait et maman a changé de place, elle est montée devant sur ordre de mon père.
Comme il était tard quand nous sommes arrivés, nous avons regagné nos chambres immédiatement.
Jai écouté de la musique au casque, pianoté sur mon ordinateur, essayé de lire rien à faire.
Deux heures après, je navais toujours pas sommeil.
Je narrêtais pas de penser à maman.
Je lavais goûtée dans la voiture.
Enfin, pas vraiment goûtée ; disons que javais picoré autour, de quoi mouvrir lappétit.
Elle me rendait de plus en plus fou.
Ny tenant plus, je suis sorti de ma chambre et me suis dirigé vers celle de mes parents – à lécart de la mienne.
Jai collé mon oreille à la porte ; mon père dormait, je lentendais ronfler. Je me suis décidé et je suis rentré.
A pas de loup, je me suis dirigé vers maman, qui dormait bordée jusquaux oreilles.
Je ne voyais presque rien, alors je suis ressorti pour allumer lapplique dans la salle de bain, juste en face de leur chambre.
En jouant de manière adéquate avec les portes, leffet était saisissant ; le côté du lit où maman dormait était éclairé juste ce quil fallait : assez pour que je vois ce que jétais venu chercher, mais insuffisant pour la réveiller.
Je lai regardée, et comme les ronflements réguliers de mon père me confirmaient quil dormait à poings fermés, jai lentement rabattu le drap sur le corps de ma mère.
Elle portait une nuisette que je connaissais, celle à larges mailles ; tout un programme !
Elle dormait sur le dos, les jambes légèrement écartées, et je pouvais enfin voir sa chatte.
Elle avait la motte poilue mais bien entretenue, la touffe épilée en un triangle parfait.
Je me suis agenouillé et jai posé ma main sur son ventre, jai palpé sa chair tiède, un peu molle ; quel supplice jendurais !
Tout sest passé très vite.
Je me suis penché et jai enfoncé ma langue dans la fente. Cétait chaud, âcre, un peu poivré, délicieusement gluant.
Papa ronflait toujours.
Tout à coup, maman sest redressée comme un ressort cassé. Il y avait de la panique dans ses yeux.
Elle a voulu me repousser, mais sa vulve avait bon gout, ma bouche y était fermement accrochée, comme une palourde à son rocher.
Elle a réussi à descendre du lit sans réveiller mon père, et, une fois debout, elle ma tendu la main.
Son geste ma tellement surpris que je lui ai spontanément donné la mienne.
Elle ma entrainé, à petits pas légers, hors de sa chambre.
Nous sommes descendus dans la cuisine, et soudain, sans prévenir, elle sest retournée et ma donné une gifle magistrale.
Elle fulminait, je ne lavais jamais autant vue en colère.
— Quest-ce qui ta pris, Victor ? A quoi tu joues ? Pour qui tu me prends ?
Jétais si choqué par son geste que jai éclaté en sanglots. Elle ne mavait jamais frappé avant, cétait la première fois quelle levait la main sur moi. Je me sentais comme un petit garçon qui découvre que le monde nest finalement pas tout à fait tel quil limaginait.
Elle ma regardé bouche-bée.
— Et si ton père sétait réveillé tu y as pensé ? Je sais quà ton âge vous avez, vous les garçons, des pulsions incontrôlables mais ce nest pas une raison ! Je ne te néglige pas, non Je suis même très gentille avec toi, tu ne trouves pas ?
Elle comprenais quelle mavait blessé, que javais trouvé sa réaction disproportionnée, alors elle essayait de se rattraper avec ses allusions à peine déguisées qui me donnaient des frissons.
Je navais rien à répondre bien sûr, elle avait raison, alors je lai regardée et jai pensé quelle avait lair encore plus nue, dans sa nuisette affriolante qui ne dissimulait rien de ses formes voluptueuses, que si elle avait été vraiment à poil.
— Je suis désolé maman, mais je narrête pas de penser à toi tout le temps Cest plus fort que moi !
Elle sest jetée dans mes bras.
— Mon pauvre petit chéri Je sais que cest dur pour toiAllez viens, suis-moi
Elle ma repris par la main et je lui ai emboité le pas ; je me donnais limpression dêtre un gentil toutou capable de la suivre jusqu’au bout du monde.
Je pensais quelle allait retourner dans sa chambre et me planter là, mais elle sest dirigée vers la mienne.
Elle sest assise sur mon lit, a baissé mon pantalon de pyjama.
Elle ma pris dans sa bouche, ma sucé un peu.
Elle a retiré sa nuisette, sest allongée toute nue sur mon lit, ma attiré sur elle.
Elle ma guidé dune main en écartant les cuisses, et je me suis enfoncé, en suffocant, dans une matière chaude et visqueuse.
Elle remuait sous moi, mengloutissait.
— Oh maman ! Je suis en train de te je te
— Oui mon chéri, baise-moi Baise ta maman, cest ce que tu attends…
Cétait tellement bon, tellement puissant que jai explosé presque immédiatement.
Je ne me suis pas retiré juste après, jai attendu de débander pour sortir. Je suis resté sur elle, en elle, à lui faire des petits baisers dans les cheveux, dans le cou, le corps parcouru de frissons à retardement.
— Je vais aller me coucher maintenant, mon chéri Il ne faudrait pas que ton père se réveille et quil se demande où je suis !
Elle sest levée, a ramassé sa nuisette, ma embrassé sur la bouche – un vrai baiser damoureux – et elle est sortie de ma chambre encore à poil. Elle ny avait pas passé plus de cinq minutes.
Jai accompagné du regard sa silhouette tout en courbes.
Je narrivais pas à réaliser ce qui venait de nous arriver.
La tête me tournait.
Je me suis endormi tout de suite, avec encore le gout de sa chatte sur la langue
