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Léa – Mon esclave – Chapitre 4




Pour rappel : Léa était allongée sur le dos, sur le lit. La tête au bord de ce dernier reposant presque dans le vide. Ses jambes étaient repliées, ses talons collés à ses fesses. Ses poignets étaient solidement attachés à ses chevilles par du ruban adhésif. Je m’étais placé à ses pieds, pour avoir facilement accès à son intimité.

Son frère, lui, était tout sauf préoccupé par le tabou de l’inceste ! La queue rouge et bien dressée, n’attendait que ça depuis la découverte de la débauche de sa petite sur.

Les yeux de Léa s’écarquillèrent, sa bouche s’ouvrit paniquée mais aucun son n’en sortit. Bien qu’elle savait pertinemment qu’elle n’aurait d’autre choix que de se soumettre, elle tentait de fuir ses obligations.

Arthur vint se placer au-dessus de son visage, queue en main. L’odeur que celle-ci dégageait était très forte. Un mélange de sperme, de transpiration et de pisse. Je n’en attendais pas moins de lui, mais là quand même… c’était presque un clochard à ce niveau ! (D’ailleurs si vous êtes concernés, ayez une hygiène irréprochable. C’est important. Après cette expérience j’ai clairement fait comprendre à Arthur que s’il voulait un jour pouvoir rejouer avec sa sur, il devrait vraiment changer sur ce point.)

— Allez petite pute ! Lança son frère. Mange ma queue !

Léa ferma immédiatement la bouche telle un enfant refusant de se nourrir.

— Hey arrête un peu de faire la mijaurée ! Je t’ai vu sucer la bite sale de ton mec alors qu’elle sortait de ton cul ! Alors ouvre la bouche et plus vite que ça !

Son frère, après quelques vaines tentatives, commença à perdre patience. Il claqua le pubis de sa sur suffisamment fort pour lui décrocher un cri. Le petit malin introduisit son bâton puant dans la bouche de Léa avant qu’elle n’eût compris la supercherie. Son service trois-pièces était exempt de poil, chose qui me paraissait étrange étant donné son hygiène et le fait qu’il soit célibataire depuis un moment.

— Ah bah voilà quand tu veux ! Tu vois que sucer ton frère n’est pas si mal ! Dit-il moqueur.

Alors que je me décidai à doigter le con de mon esclave, je compris bien vite qu’elle n’était pas tout à fait contre cette relation incestueuse. Ses lèvres étaient trempées, son col dilaté. L’introduction de mes doigts se fit sans effort, et provoqua des gémissements étouffés.

— Ah qu’est-ce que c’est bon putain ! Tu suces vraiment bien bordel ! Montre-moi ta chatte… Bien rasée comme les putes qui font le trottoir, ça m’étonne pas !

Le troisième doigt était entré encore sans trop de difficultés, mais je ne voulais pas y faire entrer un quatrième avant que son frère ne jouisse. Celui-ci ne mit pas longtemps à venir jouer avec le clito de sa sur. Enfin… « jouer » est un bien grand mot. Torturer serait plus approprié car il lui assénait de grandes claques sonores. Le corps de Léa se tordait à chaque fois que la main de son frère atterrissait sur son bouton.

— Hum… HUUUUUMMMMMMM ! Léa tentait de nous faire comprendre par des gémissements qu’elle était ambivalente entre le plaisir que mes doigts lui offraient et la douleur que son clitoris lui faisait.

Mes doigts devenaient de plus en plus habiles et le combo des deux semblait faire beaucoup d’effet à cette jeune pute car elle tentait de gémir malgré le gros membre de son frère qui lui baisait littéralement la bouche. De son autre main il lui malaxait les seins, et jouait avec ses tétons qui étaient, à vue d’il, durs comme de la pierre.

— Regarde-moi ces mamelles ! T’es vraiment bonne surette, ah oui lèche-moi comme ça ! Continue, ahhh putain quelle pute. Son frère n’en finissait plus de l’insulter.

Alors que les râles d’Arthur nous informaient de son imminent déversement de foutre, j’insérerai le quatrième doigt en elle. Ce qui la fit jouir presque immédiatement.

Son corps se mit à trembler, ses yeux se révulsèrent et sa chatte inonda ma main de son nectar.

— Hey ! On ne t’a pas autorisé à jouir esclave ! La grondais-je.

— Comment oses-tu jouir avant que ton frère ne se soit vidé les couilles ? Hurla Arthur en parlant de lui à la 3e personne.

Dans un élan commun je rabattis les genoux de Léa contre ses seins et Arthur lui saisit le clito si fort que sa sur hurla à travers la bite qu’elle avait toujours en bouche.

Je récupérai le plus gros des jouets que j’avais achetés la veille et lui enfonçai dans le cul. C’était un gode de taille respectable, et de largeur similaire à ma propre queue. En plastique de mauvaise facture, celui-là ne glissait pas bien du tout. Évidemment, je navais pas pris le temps de le lubrifier. Je lui enfonçai malgré les hurlements et les pleurs de mon esclave.

— Tu comprends que tu n’aurais pas dû jouir avant moi hein sale chienne ! Lança son frère tout en lui baisant la bouche de plus belle.

Le clitoris de Léa, comme vous le savez déjà, devient TRÈS sensible après qu’elle ait joui…

Arthur, qui n’en savait sûrement rien, tirait dessus comme pour l’arracher, le tordait le plus possible et le pinçait si fort qu’elle hurlait tout ce qu’elle pouvait. Ses pleurs devaient plaire à son frangin car il lui déversa tout son foutre dans la bouche sous un râle de plaisir et un flot d’insultes envers sa sur pendant que je m’amusais à détruire l’anus de Léa aussi rapidement que possible.

Après deux ou trois minutes, je finis par ralentir le rythme et la laissai finalement tranquille.

— Eh bah on dirait que tu aimes ça finalement ! Lui dis-je alors qu’elle s’appliquait à lécher les couilles et l’anus de son frère.

— Ou… Oui maître ! J’aime être votre esclave, merci maître. Me répondit-elle entre deux coups de langue.

Elle ne voulait certainement pas risquer une autre punition pour manque d’enthousiasme…

— Bon c’est pas tout ça mais j’ai des potes qui m’attendent pour jouer ! Merci de m’avoir prêté ton vide-couille ! Nargua son frère en quittant la pièce.

Je détachai Léa qui se releva pour s’étirer.

— Ah mon Dieu ! Vous n’y êtes vraiment pas allé doucement ! Ahhh putain j’ai trop mal au cul. Se plaignait-elle en direction des toilettes.

— Attention à ton langage, mais tu as bien travaillé ce soir petite chienne ! Fais un brin de toilettes et viens dormir, demain on devra parler.

— Bien maître ! me dit-elle séchant ses larmes et essuyant sa bouche. Bonne nuit.

— ———-

Le soleil était déjà haut dans le ciel lorsque nous émergeâmes de notre sommeil. Léa, comme à notre rituel, se rendit directement à ma queue. Je refusai de jouir mais pris le temps de lui pisser dans la bouche tout de même (au grand malheur de Léa qui détestait toujours autant cela).

Elle alla se laver les dents et prépara le petit-déjeuner pour son frère et moi. Lorsque celui-ci vint nous rejoindre je pris la parole.

— Bon alors, comme ton frère a bien compris la pute que tu es, et qu’il serait très certainement ravi de se servir de toi comme bon lui semble : lorsque je ne serai pas là c’est à lui que tu devras obéir !

Léa réagit immédiatement :

— Hein ?! Mais non je t’en supplie ! Pas lui ! Tu sais à quel point… tu sais que j’ai eu des problèmes avec lui.

— QUELS PROBLÈMES ? réagit immédiatement son frère.

— C’est déjà décidé. De toute façon on est tout le temps ensemble donc les rares fois où tu seras seule avec lui, bah tu devras lui obéir c’est tout. Je vais t’envoyer un e-mail Arthur, avec les quelques règles que tu devras respecter. Si tu ne les suis pas, ta sur sera de nouveau libre de ne plus t’obéir, et tu perdras le précieux vide-couille que tu viens de gagner !

— Pas de soucis ! Tu vas voir surette, tu vas finir par m’aimer ! Ou pas en fait, j’m’en tape du moment que tu me vides les couilles convenablement ! Rétorqua-t-il moqueur. D’ailleurs, est-ce que dans tes règles j’ai le droit de la partager avec des amis ?

L’inquiétude de Léa crût de nouveau.

— Oui mais les règles sont très strictes : ils doivent tous faire les tests des MST. (Maladies sexuellement transmissibles) Et ce même s’ils décident de mettre une capote ! Attention c’est la règle la plus importante ! Pas d’orgie sans tests !

— OK ! OK ! Bon, viens là petite pute, j’ai pas eu l’occasion de te prendre la chatte hier soir !

Léa semblait au bord des larmes. Elle savait qu’elle devait m’obéir si elle souhaitait conserver notre relation, et elle le voulait vraiment, sinon elle n’aurait jamais accepté que son frère la touche sexuellement. Elle me suppliait du regard, et son minois me fit de la peine :

— Tu ne prends que ça chatte par contre. Son cul a été bien défoncé hier soir, elle ne mérite pas que ta queue vienne s’acharner une nouvelle fois dessus.

— Mer… merci maître ! dit Léa dans un grand soupir de soulagement.

Arthur prit les hanches de sa sur, fit tomber la culotte à ses pieds et se leva pour placer son bassin à la bonne hauteur. Il sortit sa queue sûrement durcie depuis son réveil (a-t-elle au moins débandé dans la nuit… ?) et la plaça à l’entrée du con de son nouveau jouet.

— Je suis sûr que tu mouilles déjà ! Ah… bah oui ! Mon gland me dit que tu n’attends que ça.

— Oui Arthur, j’avais vraiment envie que tu me prennes par là… dit-elle le plus sarcastiquement du monde.

Cela ne lui plut pas vraiment alors il enfonça son membre de chair bien au fond de sa sur en se servant de ses épaules comme je l’avais fait la veille lorsque je l’avais sodomisé (copieur !).

— Ahhhh… Oui, Arthur, oh j’aime ça ! Prends mois bien fort !

— Tu vois que tu aimes ça hein petite chienne ?! Lui dit-il en attrapant sa chevelure et lui assignant une claque sur la fesse.

— AH ! Oh, oui, inonde-moi, ahh oui joui en moi ! S’il te…

Elle n’eut pas le temps de continuer son cinéma car je venais de lui fourrer mon chibre dans la bouche.

— Ferme la un peu et suce. Lui ordonnais-je.

Je savais qu’elle ne prenait pas du tout son pied, et que toutes les conneries qui sortaient de sa bouche n’étaient que pour faire durer la torture moins longtemps. Après, un bon quart d’heure, le bougre finit enfin par jouir au fond de sa chatte. Me faire sucer aussi longtemps n’est pas désagréable mais ne me fait pas jouir pour autant. Je voulais rappeler à l’ordre ma soumise pour avoir voulu simuler mais je devais d’abord me débarrasser de son frère.

— Maintenant que tu as bien mangé et que tu as les couilles vides, va donc t’enquérir des règles qui viennent de pair avec ta sur.

— « T’enquérir » Monsieur est distingué, excusez-nous du peu ! se moqua-t-il en regagnant sa chambre.

— Et montre-moi un peu de respect si tu veux pouvoir utiliser ta sur comme bon te semble, c’est de ma gentillesse que profitent tes couilles pour l’instant !

— Sorry ! me répondit-il en verrouillant sa porte.

Je regardai Léa qui me léchait les couilles péniblement après déjà 15 minutes de fellation, sa bouche et sa langue était très certainement pleine de crampes.

— Depuis quand tu simules toi ?! C’est la première fois que je te vois faire ça et j’espère que ce sera la dernière ! Tu dois traiter ton frère avec respect, et s’il veut te prendre la chatte pendant 10h de suite, tu le remercies ! Est-ce que c’est clair ?!

— Oui par… pardon maître ! Je… Je…

— Tais-toi ! Et mets-toi sur le tabouret. J’avais dit qu’on ne toucherait pas à ton cul mais ça, c’était avant que tu m’humilies de la sorte ! Tu as de la chance qu’il n’ait rien remarqué sinon je t’aurais certainement fister !

Léa se savait condamnée. Elle alla s’assoir sur le tabouret, dans la même position que la veille, la poitrine collée à ses cuisses, et le cul bien dégagé.

Je récupérai tout de même un pot de lubrifiant dont je me servis pour préparer son cul et mon membre. Les simples passages de mes doigts sur son trou m’indiquaient que le lubrifiant ne lui ferait pas de mal cette fois-ci, et que même avec, cette partie n’allait pas lui plaire.

J’entrai un doigt à l’intérieur : elle faisait déjà la grimace. Un deuxième la fit serrer les dents.

Je m’attardai un peu pour bien lui élargir le cul avant l’arrivée de ma queue. Lorsque je décidai qu’il était temps, j’introduisais en elle mon membre le plus précieux. Elle ne put retenir ses gémissements de douleur bien que je sois le plus doux possible. Il n’y avait pas besoin d’être brutal cette fois-ci, sa rondelle lui rappelait suffisamment bien qu’elle ne devrait plus jamais simuler. La sodomie dura un long moment, sous les gémissements plaintifs de la demoiselle, mais je finis par venir dans son cul, déchargeant de grosses quantités de foutre blanchâtre.

La règle n°1 s’appliqua, et après un brin de toilette nous partîmes nous balader.

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