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mes délires – Chapitre 2




Depuis que j’ai découvert ce site et quà présent je sais qu’il existe des personnes encore plus tordues que moi, je vais continuer de ce pas à vous faire partager et vous faire vivre les moments les plus pimentés de mon existence.

Pendant une année, moi Solveig l’Africaine aux formes sauvages, j’ai entretenu une relation avec un homme avec qui je m’entendais merveilleusement, mais à cela près quil me manquait une chose : LE SEXE ! Moi, le sexe, je ne peux m’en passer ; si vous pouviez savoir le nombre de fois que je me masturbe chaque jour, vous n’en reviendrez pas Dès que je pense un peu à un chibre, je pose immédiatement mes doigts sur mon bouton intime. Dès que je vois une queue, je mouille instantanément, surtout que chez nous, en Afrique, c’est monnaie courante de voir des hommes brandir leur teub à nimporte quel moment de la journée juste pour se soulager ; et moi, en bonne vicieuse, chaque fois que je vois un homme en train d’uriner, je ne rêve que de voir sa queue pour essayer d’imaginer ses dimensions et quelles sensations une pareille bite pourrait m’offrir, vu que mon chéri n’était plus très jeune et quavec lui, la baise, c’était comme un voyage ennuyeux.

Aujourd’hui, comme à mon habitude, je me suis offert les services d’un chauffeur de taxi pour une journée entière, ce que je fais chaque fois que je vais voir mon "old man". Donc, à mon réveil, j’ai pris du temps pour me faire belle ; je me suis épilée les aisselles, la chatte et la raie de mon cul : il fallait que je sois propre parce que mon chéri aimait faire glisser ses mains sans y rencontrer un quelconque obstacle. Après mon épilation, je lavai doucement mon vagin, sans oublier d’y enfiler des doigts, et surtout de faire des mouvements circulaires à son entrée. Après avoir pris mon bain, je mis l’un des mes ensembles en soie récemment acquis à la friperie ; j’aurais bien aimé y aller nue pour lui faciliter la tâche, mais bon : je voulais qu’il me voie ainsi pour qu’il sache comment j’employais son argent. Je mis une robe rouge ultra moulante qui marrivait au niveau des genoux. Quand je sortis de mon studio, le chauffeur de taxi m’attendait en montrant de limpatience ; mais je m’en fichais pas mal !

Comme à l’accoutumée, une fois au bureau de mon pépé, je me fis annoncer par sa secrétaire à qui il avait dit que jétais sa nièce ; moi je savais bien qu’elle n’était pas dupe, certainement à cause de mes tenues toutes plus suggestives les unes que les autres. Lorsqu’il me fut dit que je pouvais entrer, je trouvai mon old man avachi sur son fauteuil. Ses yeux se baladaient sur tout mon corps, et je pouvais y lire du désir, une envie de sexe ; mais nous savions tous deux qu’il n’était pas endurant. Cest donc juste pour lui faire plaisir que je me prêtais toujours à ce petit jeu. Il me demanda d’avancer et de retirer lentement ma robe, ce que je fis, puis il me demanda de me rapprocher de lui tout en retirant tour à tour mon string et mon soutien gorge. Lorsque je fus complètement à poil, il me demanda de le rejoindre. Il plaça alors sa main sur ma moule, ce territoire quil considérait comme sien. Il introduisit deux doigts, les retira puis les suça.

Jai toujours aimé le goût de ta chatte, et son odeur est un délice.

Moi, comme à chaque fois, je souriais car je savais qu’avec lui les préliminaires étaient un ravissement. Il mallongea sur son bureau et enfouit son visage entre mes fesses pour pouvoir aspirer ce liquide qu’il aimait tant, pour pouvoir recouvrir son visage de ma mouille et de mon odeur. Il commença par me mordiller les grandes lèvres tout doucement puis il me les calma avec une succion. Il écarta mes grandes lèvres pendantes pour mieux voir l’intérieur de mon intimité, puis il cracha dessus et se remit à me laper et à m’embrasser la chatte. Il me la suça pendant cinq minutes, et moi je poussais des petits gémissements de plaisir. De nouveau, il introduisit tous ses doigts dans ma chatte et enfin sa main.

Je vais effectuer une fouille, tel un archéologue, pour trouver ton point G.

Il fouilla cette chatte qu’il connaissait si bien ; j’éprouvais simultanément du plaisir et de la douleur mais, pour ne pas le frustrer, je le laissai continuer ce qu’il avait entrepris. Ne pouvant plus me retenir, je jouis. Mon corps tremblait très fort ; j’étais comme en transe : c’est toujours ainsi lorsque je suis fistée ou lorsqu’on s’amuse avec mon clitoris. Il retira sa main et me fit m’asseoir sur son bureau, les jambes bien ouvertes ; il pouvait bien voir ce clitoris tendu comme un gland et ce trou béant tout englué de cyprine. Il ne voulut pas que je lui fasse une fellation car il devait assister à une réunion quelques minutes plus tard, et il me pénétra avec une telle violence que je me dis que pour une fois je ne resterais pas sur ma faim ; mais aussitôt il augmenta la cadence de ses reins déversa sa semence en moi. Il me demanda d’enfouir mes doigts dans ma chatte pour y recueillir son liquide, de les porter à ma bouche et de les sucer, ce que je fis.

Lorsque je fus rhabillée, il me raccompagna jusquau taxi et me tendit une enveloppe en me disant qu’il passera au studio en fin de soirée ; je répondis en hochant la tête. Moi, la seule chose que je désirais, c’était éteindre ce feu qu’il avait allumé en moi : à cause de lui, ma foufoune était en feu il me fallait par tout moyen trouver un pompier pour assouvir mes désirs.

(la suite la prochaine fois)

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