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rencontre sur le tchat – Chapitre 1




Je mappelle Emilie, cet été, ne partant pas en vacances, jai passé beaucoup de temps sur des chats , faire de nouvelles connaissances, ou tout simplement bavarder. Je me suis prise damitié, un jour ou je tchatais, avec un jeune et gentil garçon qui se prénommait Cédric. Nous avons beaucoup parlé, enfin beaucoup écris. Jusquau jour où nous avons décidé déchanger nos photos pour voir à quoi on ressemblait mutuellement. Je lui ai donc envoyé une photo de moi et il men a envoyé une de lui. Quand je lai reçu dans ma boite mail, je me suis dit :

Au la vache, quil est mignon. Ce qui ma incitée forcément à continuer de lui parler sur le chat et sur tout en privé. Nous parlions de tout et de rien, des trucs banals, des fois des choses plus personnelles. Il me disait quil navait pas de petite copine et quil sennuyait tout seul. Moi, à cette époque, je navais pas non plus de petit copain. Comme il habitait pas très loin de chez moi, nous primes la décision un peu folle de nous voir en vrai. Nous nous étions donné rendez-vous dans sa ville, auprès dun arrêt de bus. Dans sa ville pour éviter que ma mère nous surprenne. Cétait un jeudi après-midi. Jai donc pris le bus de mon village et me suis rendue au rendez-vous toute excitée de le voir enfin, il était tellement beau, enfin sur la photo, et si gentil avec moi. Je suis arrivée avant lui, 10 mn environ, me suis assise sur un banc et jai attendue. Tout à coup, jai vu une voiture arriver, ralentir et sarrêter à ma hauteur.

-Bonjour, vous êtes Emilie ?

-Heu, oui, bonjour monsieur.

-Je suis le papa de Cédric, il a eu un léger retard à son cour de sport et il ma demandé de venir vous prendre.

-Ha ? Ok, pas de problème.

Je suis donc montée dans la voiture sans me poser de question.

Jétais vêtue dune jupe courte en jean, un T shirt moulant je dois dire et une paire de bottines. Dessous, un soutien-gorge et un string tous les deux noirs.

Nous avons un peu parlé dans la voiture, enfin surtout lui, il ma posait beaucoup de questions toujours en regardant mes cuisses ou mes seins qui pointaient dures à travers mon T shirt car il faisait un peu frais, assise dans la voiture ma jupe était bien remontée et je ne pouvais pas plus cacher mes jambes. Tous les mêmes ces vieux cochons, pense quau cul . A mater les filles. Suis sûr quil bandait comme un âne en plus.

-Alors, vous vous connaissez depuis longtemps avec Cédric ?

-Pas depuis longtemps, depuis ces vacances en fait.

-Tes parents savent que tu es là ?

-Non, je leur ai juste dit que jallais voir une copine.

-Et quelquun dautre sait que tu es là ?

-Non, personne. Bizarre comme question mais bon.

Nous arrivâmes devant un immeuble et il gara la voiture.

Nous entrâmes sous un porche et pris lascenseur jusquau 3ème étage.

Arrivés devant la porte, il sortit un trousseau de clés, ouvrit.

-Venez jeune fille, entrez.

-Asseyez-vous. Vous voulez boire quelque chose, un jus dorange peut-être ?

-Heu, oui, je veux bien.

Il disparut quelques instant dans la cuisine, puis revint avec deux verres de jus dorange, men tendant un.

-Voilà Mademoiselle, buvez le bien frais.

-Merci monsieur.

-Ho, tu peux mappeler Jacques tu sais, je ne suis pas si vieux que ça et puis jaime bien les jeunes moi.

Je bus quelques gorgées de ce jus dorange tout en continuant de parler avec monsieur Jacques, puis, environ 10 mn plus tard, je sentis ma tête lourde, je me sentais soudainement très fatiguées.

-Ca ne va pas Emilie, me demanda le père de Cédric, avec une voix qui me paressait si lointaine.

-Cest, rien, un petit coup de barre, ça va passer.

-Allonge toi un instant sur le canapé, repose toi, détend toi.

Je me sentais si épuisée, si faible, que je ne résista pas et mallongea de tout mon long sur le canapé sans mendormir.

Jétais faible mais pas assez pour mendormir.

Je vis le père de Cédric sasseoir auprès de moi, et je sentis quil avait posé sa main sur ma cuisse dénudée. Je la sentais remonter lentement sans pourvoir réagir, mais je la sentais bien.

-Ne tinquiète pas petite Emilie, je ne vais pas te faire de mal, me dit- il dune voix qui avait changée.

Il continua à me caresser les cuisses tout en caressant de plus en plus haut. Il souleva mon T shirt jusquau-dessus de mon soutien-gorge et commença à me caresser les seins, les palpant, passant un doigt sur mes tétons. Il leva mon soutien-gorge au-dessus de mes seins sans le décrocher, se pencha sur moi et me lécha les seins, me suça les tétons en faisant le tour avec sa langue humide tout en prenant à pleines mains mes seins quil malaxait à présent plus fort, plus vigoureusement.

Mais que marrivait-il ? Que cétait-il passé ? Que faisais-je là ? Temps de questions qui se bousculaient dans ma tête pendant que je subissais les attouchements de cet homme que je ne connaissais pas. Mais où était Cédric ? Pourquoi nétait-il pas là à présent ?

-Tu va être bien sage ma petite chérie et faire tout ce que je te dirais. Tu va voir tu va aimer ça cochonne.

Puis il se leva et alla sagenouiller entre mes jambes. Il retira ma culotte, mécarta les cuisses, plongea sa tête sur mon intimité et commença à me laper les grosses lèvres à grand coup de langue tel un chien assoiffé. Il écarta ma chatte, entrepris de me sucer le clitoris en le pompant tout en menfilant un doigt dans la chatte, puis deux, puis trois tout en les faisant aller et venir. Je sentais ma mouille qui coulait sur mes fesses tellement jétais trempée, je mouillait comme une cochonne, javais honte mais je navais encore jamais connu une telle jouissance. Il sallongea de tout son long sur moi et menfonça sa grosse queue toute dure tout au fond de mon vagin en faisant de long et rapide va et vient. Je sentais son souffle chaud et rapide sur mon cou. Il plaqua sa bouche sur la mienne et menfonça sa langue humide dans la bouche, la faisant tourner autour de la mienne, en laspirant, la suçant. Il sorti de mon corps, me retourna en me mettant à genoux sur le canapé, les bras pendant au-delà de laccoudoir, mattrapa par les hanches, me lécha lanus en crachant dessus pour bien le lubrifier , présenta son braquemard en érection à lentrée, puis il lenfonça doucement, puis dun coup et me laboura pendant un temps infini. Javais le ventre en feu, je navais encore jamais été sodomisée. Et ce sexe était énorme, dur comme du bois. Je sentais ses grosses couilles pleines claquer sur mes fesses. Il me donnait des claques sur les fesses qui me chauffaient. Jétais en transe.

-Taime ça un petite salope, taime ça un la bite. Jvais te défoncer ma cochonne, jvais tout te donner à toi, tu va voir ce que tu va prendre. Ca tapprendra à tchater avec des inconnus.

Il sorti de moi puis me remis sur le dos. Il me prit par le mentons, mouvris la bouche et menfonça sa verge au fond de la gorge tout en se masturbant entre mes lèvres et en me maintenant la tête. Puis il éjacula de longs jets de sperme tiède dans ma gorge. Tellement de sperme que je due en avaler une partie pour ne pas étouffer, lautre partie coulant de chaque côté de la bouche.

Il partit un moment puis revint avec un verre de jus dorange.

-Tiens, me dit-il, bois ça va te faire du bien.

Nayant toujours aucune force pour bouger seule, Il me tint par la nuque et me fis boire. Après, plus rien, le trou noir, sen doute un somnifère.

Quand je me suis réveillée, jétais allongée sur le même banc où javais rendez-vous avec un sois disant Cédric qui nétait autre que monsieur Jacques, jétais habillée, sans ma culotte, et complètement dans le cirage. Un vieux pervers était en train de mater ma chatte sous ma jupe retroussée et avait déjà posé sa grosse main sur ma cuisse tout en se caressant la bite quil avait sorti de son pantalon.

Je le repoussa et Je repris le premier bus pour rentrer chez moi et je décida de ne pas parler de ce qui métait arrivé jusquà ce jour.

Je ne revis jamais ce monsieur Jacques mais je continua de fréquenter les chats, ça commençait à me plaire finalement. Cest à ce moment là que je suis devenue accroc au sexe, une vrai salope qui ne pensait à présent qua ce faire baiser par tous les trous, à sucer des queues, à boire tout ce sperme qui entrait dans ma gorge. Quelle salope je suis, mais cest si bon.

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