Paris, début septembre, jeudi soir 21h10…
Elle ferme la porte de son appartement et se retourne pour la verrouiller. Elle dépose ensuite son trousseau de clefs et son sac sur le guéridon dans le hall d’entrée et accroche sa veste de tailleur au portemanteau.
Elle se dirige ensuite vers la cuisine, ouvre le frigo et se sert un grand verre de jus d’orange qu’elle avale d’un trait. Puis, elle va au salon et s’affale dans le canapé, retire ses chaussures et entrouvre son chemisier boutonné jusqu’au cou. Enfin tranquille après une longue journée de boulot.
Elle, c’est Sophie, jolie jeune femme de 31 ans en pleine ascension professionnelle malgré son jeune âge. Sophie est une surdouée ayant toujours réussi dans tout ce qu’elle entreprenait.
Diplômée ingénieure polytechnicienne à 23 ans à peine après des études primaires, secondaires et supérieures menées tambour battant, elle s’est lancée comme indépendante dès sa sortie de l’université. Viscéralement attachée à son indépendance, elle n’a jamais envisagé d’offrir ses compétences à d’autres et a donc rapidement fondé sa propre entreprise qu’elle développe depuis huit ans.
Celle-ci compte actuellement 25 collaborateurs et est spécialisée dans les services informatiques pour l’industrie et le développement de programmes adaptés. Depuis peu, elle a lancé un nouveau département spécifiquement dédié à l’intelligence artificielle.
C’est dire si les journées de Sophie sont longues et fatigantes.
Ce soir, précisément, elle sort d’une réunion avec son commercial afin de mettre en place une stratégie de vente pour son dernier produit.
Avec une telle vie, elle n’a jamais connu de vraie relation amoureuse et sa vie intime se résume à un coup par ci, un coup par là et surtout ne pas s’attacher. Comme disait Jacques Brel: "… Il faut bien que le corps exulte !"
Pourtant, son physique lui permettrait de tomber tous les hommes qu’elle voudrait.
Elle mesure environ 1m70 pour 55kg, a de longs cheveux châtains, une jolie silhouette avec une taille mince, de longues jambes fines et de jolis seins. Ainsi faite, elle attire les regards de tous les mâles qu’elle croise mais n’y attache aucune importance.
Ce soir, par exemple, son nouveau commercial, un homme d’une quarantaine d’années, n’a pas cessé de la regarder en coin et de la draguer en douce, ce qui l’exaspère particulièrement. S’il persiste dans cette attitude, et malgré ses indubitables qualités professionnelles, il ne fera pas long feu dans son entreprise.
C’est pour éviter ce genre de situation que Sophie s’habille toujours d’une manière très stricte, pantalon-veston ou tailleur deux pièces, le tout sur des chemisiers fermés jusqu’en haut ou des pulls ras du cou. En aucun cas elle n’envisagerait d’avoir la moindre relation ambiguë avec un membre de son personnel, au risque de voir son autorité mise à mal.
Mais bien sûr, en contrepartie, sa vie privée ressemble au désert de Gobi: aride et inhabitée.
De plus, le régime de travail qu’elle s’impose commence tout doucement à ronger sa résistance physique. Elle n’a plus pris le moindre jour de congé depuis au moins trois ans et elle sent qu’il est temps qu’elle prenne une pause. La rentrée s’est bien déroulée, la boîte tourne et pourra bien se passer d’elle pendant une petite semaine.
C’est décidé. Elle l’annoncera à ses plus proches collaborateurs demain matin lors de la réunion de direction hebdomadaire. En attendant, elle allume son PC et se met à la recherche du meilleur point de chute possible.
Vendredi matin, 9h45
Sophie est assise à son bureau. Face à elle, Justine, sa comptable depuis le début, Diego, son responsable R&D et André, son commercial.
Après avoir fait le tour de tous les sujets d’actualité des trois responsables et pris les décisions nécessaires, Sophie leur annonce qu’elle débranche la prise pour une huitaine et qu’elle souhaite qu’on lui fiche la paix la plus royale pendant cette période. Dans ce but, elle éteindra son téléphone portable professionnel et ne gardera allumé que son portable privé. Seuls ses parents en connaissent le numéro et Sophie confie à Justine le soin de les contacter uniquement en cas d’urgence extrême (ce qui n’est jamais arrivé dans l’entreprise en huit ans d’existence !).
Ensuite, renvoyant chacun à ses occupations, elle sécurise son bureau au moyen de son code personnel et descend au garage récupérer sa voiture. Sophie n’est pas du genre bling-bling et possède une petite citadine hybride, et, les rares fois où cela est nécessaire, elle fait ses déplacements plus longs en avion ou en train.
Cette fois-ci, ce sera le train car elle a réservé une suite junior dans un hôtel-resort de la Côte dAzur pour ne pas perdre son court temps de vacances dans des voyages trop longs.
Arrivée juste à l’heure, elle dépose sa voiture au parking longue durée de la gare et s’installe à sa place réservée depuis la veille.
Vendredi 17h30
Sophie est arrivée à destination en fin d’après-midi et s’est immédiatement installée dans sa suite. Sa réussite professionnelle s’accompagne naturellement d’une aisance financière plutôt rare chez une personne de son âge, célibataire de surcroît, ce qui lui permet de s’offrir ce luxe.
L’hôtel est composé de plusieurs bâtiments répartis dans une vaste propriété en bord de mer. Le bâtiment central regroupe la réception, les services administratifs, le restaurant et les cuisines ainsi que les divers lieux de détente comme, entre autres, un spa, une discothèque, plusieurs bars, une salle de spectacle et une salle de jeux.
Des petits pavillons disséminés dans le parc abritent les logements et d’autres lieux récréatifs tels qu’un restaurant à la carte, une école de plongée et de ski nautique, etc…
Les appartements de Sophie se composent d’une chambre avec un immense lit King Size, un dressing et une coiffeuse, d’un salon avec un canapé, deux fauteuils, une table basse, un téléviseur dernier cri et un frigo, et d’une salle de bains équipée d’un jacuzzi, d’une douche à jets, plus toilettes et lavabo double. La décoration est sobre et les coloris sont pastel.
Enfin, elle dispose d’une grande terrasse privée et avec un accès direct aux magnifiques jardins de l’établissement.
Vu la chaleur qui règne encore dans le midi en ce début septembre, Sophie a transpiré abondamment durant tout le trajet malgré la climatisation installée partout. Elle décide donc de se mettre à l’aise et, avant tout, de prendre une douche. Elle se débarrasse prestement de l’ensemble pantalon-veston qu’elle avait revêtu pour aller au bureau ce matin et pour le voyage.
Elle entre donc entièrement nue dans la salle de bains et le grand miroir mural lui renvoie l’image d’une magnifique jeune femme, hyper désirable, aux superbes seins hauts placés, au pubis entièrement épilé et au fessier joliment rebondi.
Elle a beau connaître cette image par cur puisque c’est la sienne, elle ne peut s’empêcher de penser que sa hargne au boulot la fait sans doute passer à côté d’autres aspects de la vie et que c’est littéralement un péché de ne pas profiter d’un corps comme le sien.
Elle prend donc la ferme résolution de le satisfaire le plus possible durant ces courtes vacances !
En attendant, après avoir étudié rapidement le mode d’emploi de la douche à jets, elle s’y installe et commence par une douche classique, en la réglant sur une température tiède qui a tôt fait de la détendre.
Puis, par jeu, elle essaie les jets latéraux, réglables individuellement en puissance et direction et qui sortent de tous les côtés.
Un de ceux-ci, moyennement fort, gicle directement sur son pubis et elle est soudainement surprise par l’effet d’excitation que ce contact lui procure. Sans réfléchir, elle se colle contre la bouche d’eau, écarte les jambes et offre sa vulve au jet qui vient masser son clitoris.
Ses mains remontent inconsciemment le long de son corps et viennent se poser sur ses seins. A ce contact, elle sent un frisson de désir trop longtemps contenu monter le long de son échine et s’abandonne à cette sensation qu’elle n’a plus connue depuis des mois.
Ses seins se durcissent, ses tétons se dressent, son clitoris se gonfle et la cyprine coule entre ses cuisses. Son plaisir monte à une vitesse incroyable, proportionnelle à son impatience à enfin jouir.
Et soudain, d’un seul coup, tout son corps est secoué de spasmes incontrôlables. Elle écrase ses seins de ses mains, elle roule les tétons entre ses doigts, elle presse son clitoris contre le jet d’eau et se laisse envahir par un violent orgasme. Et tout ça, sans aucun partenaire !
Au bout d’un moment, Sophie retrouve petit à petit ses esprits et son self contrôle.
Elle coupe l’arrivée d’eau et sort de la douche. Attrapant une serviette, elle se sèche et, détendue après cet agréable intermède, se regarde à nouveau dans le miroir.
Et c’est vrai que, sans fausse modestie, elle possède un corps superbe, capable d’enflammer n’importe quel mâle normalement constitué. Elle a une taille fine, de longues jambes galbées, des hanches légèrement en amphore, un ventre plat d’où ressort un pubis bombé et entièrement épilé, des seins fermes ni trop gros ni trop petits (90B), de jolis mamelons au milieu d’aréoles sombres, des fesses rondes, musclées et dures comme de la pierre. Elle a une longue chevelure lisse châtain foncé qui lui tombe dans le dos et des yeux noisette.
Et c’est tout aussi vrai qu’il ne tient qu’à elle d’amener ce magnifique corps beaucoup plus souvent à l’extase.
Elle repasse ensuite dans la chambre et enfile un joli bikini qui met toutes ses formes en valeur.
Sur ces entrefaites, l’après-midi se termine et le soleil commence à décliner. C’est donc le moment de profiter de sa terrasse sans risquer de se brûler la peau qui est pâle sur tout le corps, conséquence d’une absence de vacances depuis trois ans.
Elle s’allonge donc dans le fauteuil de plage de sa terrasse et laisse son regard courir sur le paysage qui s’étend devant elle.
D’un côté, les jardins descendent jusqu’à la plage de sable privative de l’hôtel. En cette fin de saison, l’établissement est surtout fréquenté par des couples d’un certain âge, n’ayant plus charge d’enfants. Et quelques-uns de ces couples profitent encore des derniers rayons de soleil.
De l’autre côté, sa vue rencontre les équipements récréatifs tels que des terrains de tennis, des pistes de pétanques, un parcours santé et la magnifique piscine quasi déserte à cette heure-ci.
Et, debout au bord de celle-ci, elle aperçoit un jeune homme qui a l’air de s’ennuyer prodigieusement !
Il est seulement vêtu d’un short aux couleurs de l’hôtel et elle en déduit qu’il s’agit d’un animateur comme il y en a toujours dans ce genre d’établissement.
En le regardant plus attentivement, Sophie constate que c’est un bien beau garçon, sensiblement plus jeune qu’elle, et qu’il se démarque de tous les autres hommes qu’elle peut voir pour l’instant.
Assez grand, mince et musclé, il a des épaules carrées, un torse glabre d’où ressortent des pectoraux puissants, des hanches étroites et un fessier rond et ferme. Ses cheveux blonds, mi-longs et bouclés ainsi que son visage encore adolescent achèvent de lui donner un petit air de dieu grec qui interpelle Sophie.
Toujours guidée par son caractère dominant, elle se dit qu’en voilà un qui ferait une bien belle proie à afficher à son tableau de chasse.
Eh bien, c’est décidé, dès demain matin, elle va l’aborder et elle ne doute pas un seul instant que ses charmes le feront chavirer et tomber dans ses bras… et dans son lit.
Vers 19h00, Sophie retourne dans sa chambre pour s’apprêter pour la soirée. Elle retire son bikini et enfile un string et un léger soutien-gorge, tous deux en fine dentelle blanche. Puis elle se glisse dans un pantalon moulant blanc, boutonné par-devant. Elle termine sa tenue par un de ses habituels chemisiers, également blanc, fermé jusqu’en haut et cintré dans le dos. Celui-ci lui colle littéralement au corps et souligne agréablement sa silhouette élancée.
Puis elle sort et se lance à la découverte des lieux.
Vendredi 21h00
Sophie quitte le restaurant à la carte où elle a dîné très légèrement comme c’est son habitude. Elle évite les repas copieux, surtout le soir, par souci de préserver sa ligne.
Elle traverse les jardins et rejoint le bâtiment principal. Elle continue sa balade à travers celui-ci, passe par la discothèque et les bars et, finalement, se retrouve à l’entrée de la salle de jeux où elle pénètre.
La salle est totalement vide à l’exception d’une table où un joueur fait face à un écran et dispute une partie d’échecs contre la machine. Et, agréable surprise, ce joueur n’est autre que le beau maître-nageur qui a attiré son attention cet après-midi. Il porte toujours le même short et a passé par-dessus un T-shirt également aux couleurs de l’hôtel.
Sophie, elle-même bonne joueuse d’échecs, se dit que c’est une occasion en or pour aborder le garçon. Elle avise une étagère où sont empilées des boîtes de jeux, prend un échiquier et s’approche du joueur qui ne l’a pas encore remarquée.
"- Ça te dit de faire une vraie partie ?" lui dit-elle adoptant naturellement le tutoiement.
Il lève la tête, un peu surpris, et, admirant la superbe fille qui lui fait face, lui répond:
— – Volontiers, ce sera plus amusant que d’essayer de battre cette machine infernale !
Elle s’assied donc de l’autre côté de la table, déploie l’échiquier et, pendant qu’elle installe les pièces sur les cases, elle engage la conversation.
— – Je m’appelle Sophie et toi…?
— – Euh, enchanté, moi c’est Arthur. Vous êtes cliente à l’hôtel ? Pourtant je ne vous ai pas encore vue.
" – Normal, je ne suis arrivée que cet après-midi. Mais tu peux me tutoyer, Arthur, nous sommes de la même génération !" lui dit-elle avec son plus beau sourire. "J’ai 31 ans et toi ?"
— – Ben, moi, j’ai 24 ans.
— – Et tu travailles ici ?
— – Oui et non. Oui car, en effet, je suis animateur de sport et non car, en réalité, je suis étudiant et ce n’est qu’un job de vacances pour arrondir mon budget.
— – Ah, et tu fais quel genre d’études ?
— – Je fais la médecine et il me reste deux ans pour terminer mais, en fait, je suis un cursus particulier car je me destine à la recherche.
— – Hou là, c’est du sérieux ça ! Je vais avoir affaire à une tête comme adversaire ! D’autant que, si tu es déjà aussi loin dans de telles études, c’est que tu n’as pas traîné en route !
— – En effet, j’ai eu mon bac à 17 ans.
— – Bravo. Bon, on commence ? Tu peux choisir la couleur.
Et les voilà engagés dans une partie serrée.
A chaque fois que c’est à lui de jouer, Sophie l’observe pendant qu’il réfléchit. Et elle constate avec plaisir qu’il est encore plus attirant vu de près que de loin.
Il a un beau visage lisse, à peine recouvert d’un léger duvet, un nez droit, des yeux d’un bleu intense s’accordant parfaitement à la blondeur de ses cheveux en bataille. Il s’exprime d’une voix claire, dégage une senteur fraîche sans doute due à une eau de toilette de qualité et, ce qui plaît par-dessus tout à Sophie, manifestement il ne fume pas.
Après une heure d’âpres échanges, c’est Sophie qui gagne la partie.
— – Echec et mat, mon petit Arthur !
— – Félicitations Sophie, tu joues vraiment bien. Et merci pour la partie. C’était un vrai plaisir, autre chose que contre cette foutue machine.
Craignant tout à coup qu’il ne prenne déjà congé, Sophie lui dit:
— – On va au bar ? Je t’offre le verre de consolation.
— – D’accord, je te suis.
Ils se lèvent et se dirigent vers la sortie de la salle toujours aussi déserte.
Soudain, n’y tenant plus, Sophie se retourne et plaque Arthur contre le mur. Dans le même mouvement, elle pose sa bouche contre la sienne et l’embrasse furieusement.
D’abord surpris par cet assaut inattendu, il ne tarde pas à répondre à son baiser et, entrouvrant les lèvres, il enroule sa langue autour de celle de Sophie. Il entoure sa taille des deux mains et caresse ses fesses à travers le mince tissu du pantalon.
En réponse, Sophie passe ses mains sous son T-shirt et lui palpe le torse, titillant au passage ses tétons qui se dressent comme ceux d’une femme.
Et, pour le ferrer définitivement, elle glisse une main dans son short et s’empare de son sexe qu’elle sent gonfler dans sa main à une vitesse prodigieuse. Cette fois, plus de doute, il est mûr.
— – Et si on allait le prendre dans ma chambre, ce verre ?
Le pauvre garçon, tout retourné par ce qui lui arrive, n’arrive plus à prononcer un mot et répond seulement par des hochements de tête répétés. Bien sûr qu’il préfère aller dans sa chambre ! Et le plus vite possible.
Ils traversent donc rapidement les jardins pour se retrouver dans la suite de Sophie.
Là, Sophie prend, comme toujours, l’initiative. Elle glisse à nouveau les deux mains sans aucune retenue sous le T-shirt qui vient se tire-bouchonner sous les aisselles du garçon. Celui-ci, pour savourer au maximum les caresses de sa partenaire, s’en débarrasse en levant les bras.
Sophie en profite pour baisser son short d’un seul mouvement par-dessus ses hanches et ses fesses et le vêtement lui tombe sur les chevilles. Il l’évacue d’un geste du pied et le voilà entièrement nu devant elle, une érection triomphante se dressant au milieu d’une discrète toison blonde !
Elle empoigne ce sexe gorgé de sang, brûlant et palpitant et commence à le masturber de haut en bas et de bas en haut, dans un lent mouvement de va-et-vient en serrant fort les doigts autour de sa hampe.
Pendant ce temps, Arthur tente vainement de la déshabiller à son tour. Mais les vêtements de Sophie l’en empêchent. Son pantalon ne comporte pas de zip, seulement des boutons impossibles à défaire, dautant plus qu’il a les mains qui tremblent tant son émotion est grande.
Et cela, sans parler de son satané chemisier fermé jusqu’au cou par de tout petits boutons disposés par groupes de deux tous les cinq centimètres. Et même pas moyen de glisser les mains en dessous tant il est ajusté. Tout ce qu’il peut faire, c’est la caresser à travers ses vêtements, et ça, au moins, il ne s’en prive pas.
Elle le pousse alors doucement vers le lit où il s’étale sur le dos, son sexe fièrement dressé vers le haut.
Sophie se coule entre ses jambes qu’elle écarte doucement, s’empare du pieu de chair et l’enfourne dans sa bouche. Tout en suçant le gland et la hampe, elle lui palpe les testicules d’une main et le pompe de l’autre main.
Arthur est comme tétanisé. Il est tendu comme une corde de violon et tout son corps n’existe plus que pour profiter à fond de ce divin moment.
Sophie continue son manège avec passion. Elle savoure chaque millimètre carré de ce sexe puissant, elle goûte avec délice la saveur de ce jeune corps qui s’offre à elle, elle n’a plus qu’une envie: le faire jouir le plus fort possible.
Et le moment tant attendu par tous les deux s’approche rapidement. Arthur pousse de plus en plus rapidement sa queue à la rencontre de la bouche de Sophie. Elle comprend qu’il ne va plus tarder à venir et elle accélère les mouvements de sa bouche et de ses mains… et, d’un seul coup, Arthur s’abandonne au formidable orgasme qui l’envahit. Il jouit pendant de longues secondes, par saccades successives et Sophie recueille avec gourmandise dans sa bouche tous les jets de sperme qu’elle avale avec délice.
Car, contrairement à beaucoup d’autres femmes, Sophie adore le goût un peu âcre et douceâtre du sperme et s’en délecte à chaque fois. Pour profiter jusqu’à la dernière goutte du précieux nectar, elle presse les couilles d’Arthur et appuie un doigt en remontant le long de son urètre pour ne rien perdre de son jus.
Comblée par la bonne dose d’hormones mâles qu’elle vient d’avaler, elle se couche à côté d’Arthur et lui caresse tendrement le torse.
Anéanti de plaisir, le garçon ne bouge plus d’un poil. Il digère l’extraordinaire orgasme qu’il vient de connaître alors qu’il n’a même pas pu toucher la peau de sa partenaire.
Revenant doucement à lui, il se retourne et fait mine de tenter à nouveau de la déshabiller.
Mais Sophie, machiavélique, s’esquive et lui dit:
— – Doucement mon chéri, pas tout le même jour. On ira peut-être plus loin une autre fois mais, maintenant, j’estime que tu as déjà beaucoup reçu. Je suis fatiguée et j’ai envie de me reposer.
Et, le prenant par la main, elle le relève hors du lit, ramasse ses vêtements qu’elle lui tend avec un sourire et le pousse gentiment vers porte de sortie.
Et c’est ainsi qu’Arthur se retrouve complètement à poil dans les jardins de l’hôtel ! Il se rhabille prestement et retourne, un peu frustré quand même, vers sa chambre située dans le bâtiment principal. Il repense à ce qu’elle lui a dit: " -… une autre fois peut-être…" et s’en trouve réconforté. Il y aura donc une autre fois et là…!