Mai 2004. J’ai 28 ans, salarié, et je vis avec ma copine de l’époque dans notre petit appartement. Cela ne va plus du tout entre nous depuis plusieurs mois. D’ailleurs, on a rompu il y a quelques semaines et elle déménage la semaine prochaine dans son nouveau nid. Pour moi cette rupture a fait mal mais très vite je me suis ressaisi et suis passé à autre chose. Je tchate sur mon portable via un numéro spécial SMS. Je cherche un plan cul. Depuis quelques jours, je suis en contact avec une femme de 36 ans. Elle s’appelle Nathalie, est mariée et vit à une centaine de kilomètres de la ville où je suis. Elle est professeur dans un lycée professionnel. Quand elle m’a dit ça, le fantasme de la prof vicieuse s’est déclenché dans mon esprit. Elle a les cheveux courts, bruns, les yeux marrons et est ronde (selon ses termes). Quand je l’ai questionné sur sa poitrine, sa réponse m’a surpris et… excité. Nathalie fait un joli 100E! Je suis mauvais dans les tailles de seins, mais je sais que 100E c’est gros, c’est très gros et pour un coquin comme moi qui aime les seins, l’extase est à son comble: une prof, mariée, plus âgée que moi avec une poitrine de rêve, voilà qui me change de mon ex partenaire. Les SMS c’est bien, mais pour faire connaissance et espérer un rendez-vous, le téléphone c’est mieux. Je donne mon numéro à cette inconnue dont j’espère vraiment faire la connaissance et plus si affinité. Elle m’appelle dans la foulée, de la salle des professeurs de son lycée. Je suis comme fou. Sa voix est douce. Je suis chez moi sur mon canapé, et je ne peux m’empêcher de me branler alors que l’on parle de banalités (je sais c’est ridicule). Nous sommes mercredi, et l’on finit par se donner rendez-vous samedi après-midi. Autant dire que malgré l’éjaculation que je viens de produire, je bande à nouveau comme un âne et ça risque de ne pas retomber d’ici là.
Baiser avec une femme plus âgée que moi, qui plus est, mariée, je l’ai déjà fait, c’était avec ma tante Elodie quelques années auparavant quand j’étais étudiant (histoire normalement publiée sur ce site). Le plus dans cette histoire, c’est qu’il s’agit d’une inconnue. Je ne connais d’elle que la description qu’elle m’a donné au téléphone (avec ses gros seins!!!) et sa voix très agréable (pour une prof c’est étonnant).
Le jour J est arrivé. Je prends ma voiture direction la ville où réside Nathalie. J’attends sur un parking public. Mon portable sonne. Je décroche.
-"Salut Charles, t’es arrivé?
-Oui je t’attends.
-D’accord, je suis là dans 2 minutes."
Dans la minute qui suit, une voiture entre sur le parking. Mon portable sonne de nouveau:
-"T’es où?
-Je suis sur le trottoir près des voitures, en t-shirt bleu.
-Ah oui je te vois. J’arrive."
La voiture s’approche de moi. Je regarde à l’intérieur et vois une femme aux cheveux courts (comme elle me l’avait dit) et très ronde pour ne pas dire carrément grosse. Sur le moment, je suis un peu refroidi. mais intérieurement je me dis: "c’est ça les rencontres sur les sites de tchate."
Nathalie descend de voiture et l’on se fait la bise. Elle a un chemisier blanc et je devine sa poitrine volumineuse. Elle est assez petite et en effet très grosse.
-"On va prendre ta voiture si tu veux bien. Le lycée où je bosse n’est pas très loin et ma voiture est connue dans le coin. On va sortir de la ville et aller se balader un peu plus loin."
On arrive dans un village à quelques kilomètres de notre point de rendez-vous. On prend un café dans le bar du coin. On parle de tout et de rien: nos vies privées notamment. J’apprends qu’elle aime rencontrer des hommes malgré son mari. Elle a besoin de ce jardin privé inconnu de ce dernier. Moi, la conversation me gonfle. Je n’ai qu’une idée: baiser cette femme (pardon de parler crûment mais c’est pour ça que je suis venu). On quitte le café pour marcher dans la campagne. On longe des champs. Soudiain, on s’arrête et Nathalie dit:
-"Embrasse-moi. T’es pas très entreprenant.
-Excuse-moi, je suis un peu intimidé."
C’est donc elle qui fait le premier pas. Elle me roule une pelle et ses mains passent sur mes fesses.
-"On va pas faire ça ici. Retournons à ta voiture.
-On va à l’hôtel?" Proposai-je.
-"Oui mais il faut revenir vers la ville."
On arrive devant un hôtel: complet. Un second hôtel: complet. C’est le week-end du 1er mai avec un long pont pour couronner le tout. C’est vraiment barré cette histoire. Nathalie m’indique alors un coin. On retourne vers la campagne. Tout en me guidant, sa main gauche passe sur ma cuisse et glisse sur ma braguette, remonte sur mon torse puis file caresser ma nuque. Je conduis et fais tout pour rester concentré sur la route, mais je sens la chaleur monter. On arrive sur une petite route isolée, cernée par les bois. Je me gare en bord de route. J’ouvre mon coffre et prends mon sac à dos contenant une couverture, des préservatifs et des mouchoirs en papier.
-"Tu es prévoyant." Me dit-elle.
Nathalie m’entraîne dans un bois. Nous marchons quelques minutes et arrivons dans une petite clairière.
-"Ici on sera bien."
A peine le sac à dos posé. Nathalie m’embrasse de nouveau. Cette fois, je ne me contente pas de subir. J’entreprends certaines choses. Je l’embrasse dans le cou tandis que mes mains parcours son corps. Je la pelote: fesses, seins, hanches, mes mains explorent son corps toujours habillé. Puis j’ouvre le sac et étale la couverture. Nathalie enlève son chemisier et dégrafe son soutien-gorge. Ses 2 seins m’apparaissent alors. Je n’en peux plus. On se déshabille complètement. Nathalie garde sa culotte et s’accroupit. Elle prend ma verge toute raide dans la main et commence à me masturber: quel bonheur! puis elle la met dans sa bouche et me fait une fellation. Cela fait des mois que je ne m’étais pas fait sucer. Quel délice, je savoure ce moment. Elle descend sa bouche sur mes bourses qu’elle lèche et aspire. A ma grande surprise, je résiste, l’éjaculation n’est pas encore là malgré l’excitation de la situation. Puis Nathalie ôte sa culotte et sort une phrase qui ne fait qu’accroître mon désir de la prendre:
-"Je suis toute mouillée".
Elle s’allonge sur le dos. Je m’agenouille à ses côtés pour qu’elle reprenne le cornet 2 boules qu’elle avait délaissé quelques instants. Tout en me pompant copieusement, elle se caresse le vagin. De ma main droite je titille un de ses tétons puis je descends vers son sexe épilé et lui branle le clitoris avant d’introduire 2 doigts dans son vagin qui est bel et bien trempé de mouille. Nathalie finit par attraper la boîte de capotes et en retire un étui qu’elle ouvre. Elle sort le petit latex qu’elle déroule sur mon sexe. C’est à moi de jouer. Faut assurer Charly. Je me positionne devant son trou grand ouvert et me couche au-dessus de son gros ventre. J’introduis mon sexe dans le sien et j’entame un va et vient langoureux. Ma bouche commence à goûter ses 2 seins qui m’ont fait fantasmer depuis quelques jours. Je mordille les tétons à tour de rôle, les lèche, les tète. Puis je remonte vers sa bouche. Nos langues se touchent. Je plonge dans sa bouche, puis ressorts, embrasse son cou et reviens vers ses 2 loches énormes. Mon sexe entre et sort de son vagin. Nathalie pousse de petits gémissements. Ses yeux sont fermés puis elle les ouvre. On se regarde mutuellement.
-"C’est bon, continues." dit-elle.
Je sens l’arrivée de ma semence. J’accélère le mouvement et pilonne jusqu’au fond cette amante d’un jour. Je jouis dans un râle un peu retenu (on est en pleine nature certes, mais j’ai pas envie d’alerter d’éventuels passants). Je me retire de son vagin et enlève la capote pleine de mon jus. Nathalie me tend un mouchoir. Je nettoie mon gland. On attend quelques minutes. Puis j’embrasse de nouveau ma partenaire. Faut repartir au boulot. J’attrape une seconde capote que je m’installe moi-même cette fois. Nathalie s’est levée.
-"Couche-toi sur le dos et laisse-moi faire." Dit-elle.
Je m’exécute. Elle attrape ma queue, la branle un peu et s’accroupit au-dessus de moi à califourchon. Elle s’introduit ma bite et commence à monter et descendre. Je n’ai rien à faire si n’est de regarder cette jolie femme prendre son pied. Nos mains se tiennent. Puis je ne peux m’empêcher de peloter de nouveau les 2 seins qui s’agitent et ballottent devant moi. Nathalie s’arrête soudain et se positionne à quatre pattes. Je m’installe derrière elle et lui rentre dans le vagin. Une bonne levrette pour terminer, rien de tel! Mes mains tiennent chacune de ses grosses fesses. Mon bassin avance et recule contre ce derrière. Alors que Nathalie crie son bonheur et que je prends un pied pas possible, le bruit de moteur d’un tracteur de fait entendre au lointain puis se rapproche. Je ralentis la cadence et écoute attentivement. Nathalie, le sourire au lèvres me dit:
-"T’arrête pas, il faut finir et partir, on va avoir de la visite dans peu de temps."
Je reprends mon affaire. Mais craignant d’être vu, j’ai du mal à me reconcentrer sur ce cul. J’accélère pourtant le mouvement. Nathalie, d’une main entre ses jambes vient me caresser les bourses. Il n’en fallait pas moins pour m’aider. L’excitation revient de plus belle. En quelques instants mon canon crache pour la deuxième fois.
Que ce fut bon…