Chapitre 47 : Une période s’achève, une autre commence
Journal intime de Sabrina, suite.
« Depuis que Déesse m’a rendu visite, je me sens enfin pleine. Comme s’il y avait eu un vide en moi durant toute ma vie et que Déesse était venu le combler. J’avais la sensation de renaître. Peut-être que ces nouvelles sensations d’allégresse et de plénitude que je ressentais en moi étaient dues au but que mavait légué Déesse. Elle m’avait indiqué la voie et je m’y engageais aveuglément.
Maintenant que j’avais un objectif, j’ai décidé de prendre ma vie en main. Désormais, je n’allais plus réciter bêtement les prières, j’éprouvais le désir de les dicter. J’ai donc décidé de devenir la mère supérieure de ce couvent. Mère Aliénor, qui occupait ce poste depuis de nombreuses années, s’était toujours bien occupée de moi et m’aimait comme si j’étais sa propre fille. Seulement, même si je le lui demandais à genoux, jamais elle n’accepterait de me céder sa place. Je n’avais de toute façon aucune envie de m’humilier ainsi et ce n’était pas comme cela que fonctionnait le système.
Non, les règles concernant la succession des mères supérieures dans les couvents étaient assez simples : Soit la mère désignait la religieuse la plus qualifiée pour assurer cette fonction de la plus haute importance, soit celle-ci mourrait et la mère supérieure suivante était élue par les surs du couvent. Comme je n’avais nullement l’intention de tuer mère Aliénor, j’ai décidé d’exploiter la première règle pour parvenir à mes fins …
— Ah, sur Sabrina. Entre donc, ne reste pas dans le couloir. Tu voulais me parler, ma grande ? Que souhaites-tu me dire ?
— Oh rien, ma mère. Je suis venu passer du temps avec vous.
— Comme c’est gentil de ta part. Mais, vois-tu, j’ai beaucoup de travail …
— Je peux vous aider. Il suffit de me dire ce que je dois faire.
— Oh c’est simplement de la paperasse. Regarde, ici, c’est un papier concernant la commande de cierge. Il n’y en a presque plus, il faut en acheter un nouveau stock. Cet autre papier concerne l’achat d’Ostie … Le rôle de mère supérieure n’est pas toujours très amusant, sais-tu.
Je suis certaine que je serai une meilleure mère que toi, pensai-je en souriant innocemment.
— Ça ne fait rien, m’exclamai-je avec enthousiasme, ce peut être beaucoup plus intéressant à deux !
La mère du couvent sourit et accepta avec joie. Elle n’était pas très lumineuse, ce qui signifiait un désir sexuel pauvre ou presque inexistant … La tâche n’allait pas être facile.
Pendant plus d’une heure, j’ai lu les papiers et j’ai essayé de les remplir du mieux que je le pouvais. Quand j’avais un doute, je posais la question à mère Aliénor qui m’expliquait avec patience. Je voyais dans ses yeux qu’elle était agréablement surprise de cette aide inespérée. Parfait.
À plusieurs reprises, j’ai tenté de l’exciter en m’abaissant pour montrer mon cul ou en collant mes seins sur elle mais rien n’y fit, sa lumière ne changeait pas le moins du monde. Au bout d’un moment, c’était même moi qui devenais excitée à force de stimuler mon imagination pour trouver des poses qui pourraient attirer le regard de la mère supérieure.
J’étais sur le point d’abandonner lorsque sur Agnès entra dans la pièce. Pendant qu’elle discutait avec mère Aliénor, je n’ai pas pu m’empêcher de l’observer à la dérobée. C’était une femme qui devait avoir la trentaine. Elle avait un visage assez doux et un regard sincère. Quelques mèches brunes s’échappaient de sa coiffe de religieuse et tombaient dans son cou gracile. Le reste de son corps était masqué par ses frusques beaucoup trop bouffantes à mon goût mais je pouvais somme toute deviner quelques formes assez avantageuses …
En la détaillant ainsi, j’eus une idée. Mère Aliénor avait l’air d’être extrêmement dure à excitée. Mais si nous étions deux …
Lorsque sur Agnès sortit du bureau, je pris congé de mère Aliénor et m’élançai derrière la jeune femme.
— Sur Agnès, appelai-je. Comment vas-tu ?
— Mais très bien, sur Sabrina. Et toi, qu’est-ce que ça fait d’avoir enfin dix-huit ans ?
— Eh bien … je me sens moi-même, répondis-je.
— Vraiment ? Pourtant, ce n’est qu’un chiffre …
— C’est vrai, mais c’est comme si j’avais trouvé ma voie.
— Oh je vois, Dieu t’aurait-Il envoyé un signe ?
— En quelque sorte …
Si elle savait, songeai-je en mon for intérieur.
— Si je suis venu vers toi, c’est pour te demander de l’aide, repris-je.
— Bien sûr, en quoi puis-je t’aider ?
— Eh bien voilà, ça fait un moment que j’ai du mal à me concentrer pendant mes prières et je me disais que tu pourrais peut-être m’aider à aiguiller mes pensées …
— Je voudrais bien, mais j’ignore comment faire cela.
— Ta seule présence sera suffisante, tu sais. Te savoir à mes côtés me permettra de me focaliser sur mes prières.
— Oh, d’accord. J’accepte avec joie dans ce cas.
J’avoue que je n’ai pas pu m’empêcher d’esquisser un sourire victorieux vite transformé en masque d’innocence.
— Ça te va de faire ça dans ma chambre ? Je me sentirai mieux.
— Bien sûr, me répondit-elle. Si ça peut te permettre de te sentir plus à l’aise.
Une fois dans ma chambre, j’installai un tapis au sol afin que l’on puisse s’y agenouiller sans que nos genoux ne soient trop douloureux. J’ôtai ma coiffe libérant par là même ma chevelure de feu et dégrafai les premiers boutons de mon col.
— C’est pour pouvoir respirer tranquillement, dis-je devant le regard interrogateur de sur Agnès.
Après un moment d’hésitation, elle fit de même et s’agenouilla à mes côtés. Jusqu’à maintenant, sa luminosité, bien que plus éclatante que celle de mère Aliénor, n’avait pas augmenté du tout.
Mince, pensai-je, ça risque d’être plus compliqué que prévu.
Je me suis mise à quatre pattes pour m’emparer d’un cierge et l’allumer et lorsque je revins à genoux, je captai le regard de sur Agnès juste avant qu’elle ne ferme les yeux. Mais mieux encore, sa lumière venait de gagner en éclat.
Ça va peut-être être plus simple que ce que je ne pensais …
Nous avons récité le Notre Père avant de nous plonger dans une méditation profonde. Mais celle-ci avait à peine commencée que j’ouvris les yeux en m’exclamant :
— Zut, j’ai oublié d’éteindre la lumière. J’y vais vite.
C’est ce que je fis mais lorsque je me replaçai sur le tapis, je vins me coller contre sur Agnès. Nos cuisses ainsi que nos fesses se touchaient et j’ai très vite ressenti sa gêne. Heureusement pour moi, elle n’osa pas se décaler.
Nous restâmes ainsi pendant de longues minutes, les yeux clos, avec pour seule lumière le cierge brûlant sereinement. Je jetai un regard de biais et constatai avec joie que la luminosité de ma chère compagne avait encore augmenté.
Saisie d’une idée, je pris sa main dans la mienne et la pressai tendrement. Je croisai son regard et un sourire confiant naquit sur mes lèvres. Elle me sourit en retour avec hésitation. Elle ne savait pas trop comment prendre mes avances …
Il ne m’en fallut pas plus pour me jeter à l’eau. Je me penchai en avant et posai mes lèvres sur les siennes. Je sentis immédiatement qu’elle se tétanisait. Elle était complètement perdue et n’avait aucune idée de comment réagir face à cette situation. D’autant plus que si elle se trouvait dans un couvent, c’est qu’elle n’avait pas eu à affronter très souvent ce genre de problème, et certainement pas avec une fille. La panique s’installa en elle tandis que je bougeais mes lèvres contre les siennes.
J’accentuai la pression et je sentis petit à petit sa bouche s’entrouvrir … je lembrassai tendrement et bientôt, elle me rendit mon baiser. Elle alla même jusqu’à gémir inconsciemment.
Ce petit couinement eut le don de m’exciter et je pris son visage entre mes mains pour donner plus d’intensité à notre baiser. Je me trouvais devant elle, nos poitrines se touchaient au travers de nos robes de religieuses et je me frottai à elle avec langueur.
— Je ne …
— Chhut, ne dis rien, la fis-je taire en l’embrassant de plus belle.
Je pris l’une de ses mains ballantes et la posai sur mes fesses. Ce contact m’électrisa et sembla réveiller sur Agnès. Son autre main se plaque sur mon derrière et le pétrit avec timidité au début puis avec de plus en plus d’ardeur. Je me trémoussais tellement contre elle que j’avais peur qu’elle sente mon érection entre ses seins. Mais c’était si bon que je ne parvenais pas à m’en empêcher : je mourrai d’envie de la prendre.
Sans cesser de l’embrasser, je dégrafai sa robe et la fis passer par-dessus elle. Une fois que l’habit fut enlevé, je m’empressai de récupérer ses lèvres entre les miennes. Mes doigts coururent d’eux-mêmes sur son corps et vinrent taquiner ses seins enserrés dans un soutien-gorge noir. Ses tétons pointaient délicieusement, véritable appel à la débauche.
Je dégrafai son soutien-gorge d’un claquement de doigts et croquai avidement l’un de ses seins.
— Mmmh ! Haleta-t-elle en pressant ma tête contre son buste.
Alors que je suçotais son téton, elle entreprit de me déshabiller avec une impatience fébrile. Pour une sur censée être prude, elle était drôlement entreprenante ! Zut, elle allait voir mon érection.
Pendant que j’ôtais ma robe, je poussai sur Agnès pour qu’elle se couche sur le dos et que, ainsi, ma verge lui soit cachée.
— Sur Sabrina, geignit-elle entre deux baisers, mmh … je … je n’ai jamais …
— Je sais, ne t’inquiète pas. Laisse-toi faire …
— Mmh … d’accord … Embrasse-moi encore.
Alors que je m’exécutais, ma main descendit le long de son ventre et vint caresser son con au travers de sa fine culotte. Celle-ci était d’ailleurs déjà très humide …
Ses gémissements s’accentuèrent sous mes massages et je sentis ma queue se durcir tellement qu’elle faillit s’évader de sa prison de tissus. Mes caresses se firent plus pressantes et le bassin de sur Agnès débuta un langoureux mouvement ondulant. J’avais l’impression d’être un joueur de flûte faisant danser ses serpents.
— Mmh … continue, gémit-elle.
Je retirai mon soutien-gorge et plaquai ma poitrine contre la sienne. Nos tétons étaient incroyablement durs et se caressaient les uns les autres dans une chorégraphie diablement érotique.
Grâce à mon étonnante vision, je pus deviner que c’était le moment de passer à l’action : sa luminosité éclatante semblait me supplier que je la prenne sur le champ !
Je baissai nos culottes à toutes les deux et positionnai mon sexe ultra tendu dans la direction de son minou.
— Tu es prête ? M’enquis-je.
— Heu … À quoi ?
Je souris. D’une légère poussée du bassin, j’engouffrai ma queue en elle.
— Oouuuh ! S’exclama-t-elle en ouvrant de grands yeux interloqués. Dieu tout puissant, qu’est-ce que c’est ?
Je ne répondis pas et l’embrassai tout en m’enfonçant davantage entre ses chairs brûlantes d’envie. Elle gémit intensément durant toute la pénétration et poussa même un cri orgasmique lorsque je butai contre sa matrice.
Je m’éloignai de son visage et la contemplai avec ravissement. Ses cheveux bruns tout ébouriffés étaient étalés autour de sa tête contre le tapis. Ses yeux trahissaient une incompréhension la plus totale et sa bouche s’ouvrait et se fermait comme pour poser une question qu’elle ne parvenait pas à formuler.
— Tu es belle, finit-elle par me dire en posant sa main sur ma joue.
Je lui souris. Elle aussi. Je me retirai d’elle en admirant la surprise et le plaisir sur son visage avant de m’enfoncer à nouveau jusqu’à la garde.
— Aaah ! Cria-t-elle en écartant les cuisses. Sur Sabrina … oooh ouiii !
Elle m’enlaça avec ses bras et ses jambes et m’accompagna en elle en geignant de bonheur. Son vagin coulait littéralement d’envie et était tellement serré que le plaisir monta à une vitesse fulgurante. Quelques coups suffirent pour me mettre dans tous mes états, et elle aussi …
Elle appuyait sur mes fesses avec ses talons pour m’encourager à aller plus profondément en elle. Elle s’était tout à coup métamorphosée : de sage sur obéissante, elle était devenue une véritable chienne en manque de baise. C’était comme si elle n’avait plus niqué depuis des années !
À la réfection, c’était peut-être le cas …
Elle en demandait encore et encore mais si je continuais de la sorte j’allais très rapidement exploser. J’ai donc décidé de la retourner sur le ventre pour la prendre en levrette. Le court laps de temps qu’il me fallut pour lui faire changer de position fut suffisant pour faire baisser mon plaisir. Je pus donc la prendre de plus belle, sans craindre de jouir trop vite.
Mes coups de boutoir la firent rapidement grimper au septième ciel. Elle hurlait à chaque pénétration
— Oh ! Oh mon Dieu ! Sabrina ! Oui ! Oui ! Plus fort !
Mon bassin claquait violemment contre ses fesses tandis que mon sexe la limait en profondeur. Peu de temps après, je sentis son intimité compresser délicieusement ma queue et elle se mit à pousser de longs gémissements irrépressibles. Elle jouissait !
— Tu jouis, sur Agnès ! C’est si bon !
— Mmmhmm ouiiiiiii ! Ooooooh mon Dieeuuuu …
Je fis encore deux ou trois allers retours en elle avant d’être à mon tour balayé par un violent orgasme. J’inondai sa matrice de mon foutre abondant en poussant un râle de bonheur. Suite à cela, je m’effondrai sur son dos, le souffle court et le cur battant la chamade.
Cette nuit-là, je fis jouir sur Agnès à six reprises et, à chaque fois, elle m’en redemanda.
***
Erika sentit un intense désir sexuel s’emparer d’elle. Sa verge se dressa aussitôt tandis que la lance hormonale de Morgane continuait de s’enfoncer en elle.
— Mmmh ! Gémit-elle.
Son vagin et son anus se mirent à couler abondamment et ses tétons durcirent instantanément. Elle tomba à genoux et tenta de résister au flot de désir qui l’envahissait mais il était trop puissant.
Elle baissa la braguette de son jeans et sortit son sexe qui était déjà aussi dur que le marbre et coulait littéralement d’envie. Elle le prit en main et commença à le branler en regardant sa mère dans les yeux.
Sa vision était voilée d’une sorte de brouillard sexuel et lorsqu’elle contempla Morgane, elle vit celle-ci d’une tout autre façon. Elle était revêtue d’une armure qui paraissait avoir été forgée avec des rayons de lumière. Un heaume éblouissant recouvrait sa tête et laissait filtrer quelques cheveux noirs tombant dans son dos. De larges épaulières encadraient un plastron qui moulait agréablement ses formes féminines et sur lequel des filaments dorés couraient en tous sens, y dessinant de splendides symboles. Ses jambes et ses pieds étaient eux aussi recouverts d’une protection faite de cet étrange et sublime matériau. Son bras, dirigé vers Erika, était armé d’une longue lance lumineuse qui, elle, était plantée dans le corps de la jeune fille.
— Tu es… rayonnante, Morgane, émit Erika sans cesser de se branler.
Morgane lui sourit et retira lentement la lance. Elle s’approcha de sa fille et lui souffla tendrement :
— Viens faire l’amour à ta petite maman.
Erika fut sur le point d’accepter mais elle eut un sursaut de rébellion.
— Non, gémit-elle.
Sans réfléchir davantage, elle projeta son pouvoir devant elle. Ce fut au tour de Morgane d’être surprise. Elle se couvrit le visage de son bras gauche et sans qu’elle y prête attention, un large de bouclier de lumière s’y matérialisa. Le pouvoir d’Erika se jeta sur celui-ci et le percuta de plein fouet avant de s’évaporer dans la nature sans laisser de trace.
Morgane regarda son bouclier avec surprise avant de reporter son attention sur Erika.
— Mais c’est qu’elle résiste, la petite. Allez, cesse tes enfantillages et viens enculer maman.
Et sans préambules, elle renfonça sa lance hormonale dans le corps de sa fille. Erika fut incapable de lutter davantage. Elle se releva prestement, baissa le pantalon de Morgane et enfonça sa verge dressée dans sa rondelle.
— Aaah oui ! Souffla bruyamment Morgane. Plus loin, Erika ! Plus fort !
Excitée comme elle était, la jeune fille ne résista pas aux injonctions de sa mère. Elle se mit à la sodomiser avec entrain, s’agrippant à ses hanches pour s’enfoncer plus profondément en elle.
— Oh, c’est bon, Morgane !
— Oui, ma fille ! Défonce-moi l’anus ! Accélère !
Le bassin d’Erika claquait contre les fesses de sa maman alors que sa queue s’enfonçait profondément en elle. Morgane posa l’une de ses mains contre le mur et écarta ses fesses de son autre main. Son petit trou suintait abondamment. Cette mouille anale coulait le long de son sillon interfessier avant de rejoindre le petit ruisseau de cyprine qui ondulait le long de ses cuisses et venait imbiber son pantalon.
— Continue, Erika ! Ta queue est incroyable !
Lubrifié comme il était, le sexe de la jeune fille n’avait aucun mal à s’enfoncer profondément dans le derrière de Morgane qui couinait de bonheur.
— Ton cul est dingue !
— Oooh je sais, Erika ! Branle-moi, maintenant ! Vite !
La jeune fille lâcha les hanches de sa mère et agrippa la hampe de cette dernière qu’elle se mit à secouer vivement.
— Mmh Oui ! Oui ! C’est bon ! Doigte-moi, Erika ! Doigte-moi !
Sa main droite continua à branler la queue de sa mère pendant que sa main gauche descendait avec empressement entre ses jambes. Là, elle mit trois doigts dans son puits d’amour et fit de rapides allers-retours qui eurent tôt fait de faire crier Morgane.
— Aah Erika ! Mon Dieu, Ouiiii !
La jeune fille sodomisa, branla et doigta sa mère pendant un moment jusqu’à ce qu’elle sentît un souffle chaud contre sa main gauche. Elle baissa les yeux et fut surprise de constater qu’il s’agissait de Simon qui venait de placer sa tête entre les cuisses de Morgane.
— Simon ? Mais … Débuta Erika.
— Je prends la relève, dit-il simplement avant d’enfouir son visage contre le vagin de son amante.
— Oh oui, mon Simon ! Bois-moi comme tu le fais si bien ! Aspire tout ! S’écria Morgane.
Le jeune scientifique ne se le fit pas prier. Il farfouilla dans tous les recoins les plus humides à l’aide de sa langue à la recherche de cette cyprine qu’il affectionnait tant. Morgane, prise de démence par tout ce plaisir, pressa la tête de Simon contre son intimité pour qu’il s’enfonce encore plus en elle.
— Vas-y, mon Simon ! Mmmh, avale mon jus ! Oui ! C’est bon, Erika ! Oooh oui ! Violente-moi l’anus ! Jouis en moi !
Erika gémissait intensément. Sa bite était compressée dans le cul de sa mère et y glissait avec une facilité déconcertante. Son entrejambe coulait abondamment et elle sentit soudainement un contact contre celui-ci. C’était Simon !
Sans cesser d’aspirer la chatte de Morgane, il avait décalé sa main pour venir la placer sous le con d’Erika. Il y enfonça deux doigts et se mit à doigter furieusement la jeune fille qui hurla de bonheur.
— Oooh ouiiii ! Je vais jouir ! Je vais jouir Morgane !
— Moi aussi, ma puce ! Donne-moi tout ton jus ! Remplis-moi l’anus ! Oh prépare-toi, mon Simon … ça vient !
— MmmMmh ! Gémit celui-ci entre deux lèches.
Il avait déjà du mal à respirer alors parler …
Erika donna encore quelques coups de butoir qui claquèrent violemment les fesses de sa mère avec de jouir dans une explosion de sperme.
— Aaaah ! Cria celle-ci en poussant le plus loin possible son sexe en pleine éjaculation.
Morgane sentit les jets de semence fuser en elle à une puissance ahurissante ce qui déclencha son propre orgasme.
— Mmmh Ouiiiii !
Ce fut comme si quelqu’un défonçait un barrage en elle. Sa cyprine sortit comme un torrent déchaîné et vint immédiatement se perdre dans la bouche du chercheur. Ce dernier ouvrit de grands yeux et se mit à afonner frénétiquement tout le jus de Morgane. Il s’arrima à ses fesses pour pouvoir enfoncer davantage sa tête entre ses cuisses détrempées. Il était tellement assoiffé qu’aucune goutte de mouille ne fut gaspillée.
Pendant ce temps, la queue de Morgane se contractait sous le passage des jets de sperme qui venaient s’échouer contre le mur avant de dégouliner le long de celui-ci.
Son orgasme prit fin et elle se redressa sur ses jambes tremblantes. Simon était assis, un sourire plaqué sur ses lèvres et le regard fiévreux perdu dans le lointain. Une érection déformait son pantalon mais ça n’avait pas l’air de fort le préoccuper. Erika, quant à elle, avait toujours son sexe enfoncé dans le derrière de sa maman. Elle le retira en haletant et il retomba entre ses jambes, reprenant petit à petit sa taille normale.
— Je crois que … j’ai compris comment fonctionne mon pouvoir, sourit Morgane en cherchant son souffle.
— Je ne m’attendais pas à ce que tu puisses te protéger du mien, enchérit Erika.
— Moi non plus ! Je t’avoue que je ne l’ai pas fait exprès …
— C’est bizarre, fit Erika en déshabillant sa mère des yeux, je ne te vois plus comme avant …
— Comment ça ?
— Eh bien, quand tu as planté … heu … ta lance … en moi, je t’ai vu différemment. Pleine de lumière. C’est comme si tu t’étais fait une armure de lumière.
— C’est ce que j’avais imaginé dans mon esprit, avoua Morgane. Mais je ne m’attendais pas à ce que tu puisses la voir …
— Bah c’était le cas jusqu’à ce que j’éjacule. Maintenant, tu es comme d’habitude …
— Tu voyais l’armure de Morgane ? Questionna Simon. Décidément, vos corps sont pleins de surprises ! Je parvenais également à la discerner mais uniquement grâce à mon ordinateur. J’aimerais faire d’autres expériences, notamment l’une ou l’autre à propos de votre vision …
— Bien sûr, nous sommes à ta disposition, tu le sais, sourit Morgane. Surtout si ça nous permet d’en apprendre davantage sur nous. Mais je me pose une question …
— Je t’écoute.
— Quand tu m’as fait avaler ces pilules et que j’ai eu ma transformation, tu m’as interdit de me reproduire, tu t’en rappels ?
— Heu … oui, Je m’en souviens très bien, fit Simon qui ne voyait pas où voulait en venir Morgane. Tu t’es d’ailleurs parfaitement débrouillée pour ne pas m’écouter.
— La question que je me pose est la suivante : mes filles sont-elles devenues des monstres ?
Simon ouvrit de grands yeux surpris et eut l’aire d’être extrêmement mal à l’aise. Il lança un coup d’il à Erika qui observait l’échange silencieusement avant de se recentrer sur Morgane.
— Je … heu … elles sont … enfin … oui. Je veux dire, non ! J’ai … je ne sais pas … enfin … elles sont parfaites !
— Donc nous pouvons nous reproduire sans que nos enfants ne soient atteints de malformations ou autres problèmes en tous genres ?
— Non, non … enfin … non, c’est exact. Je n’ai pas encore tout testé et il reste encore beaucoup de zones d’ombres concernant vos pouvoirs mais de ce que j’ai vu jusqu’à présent vous êtes … heu … parfaites.
— Bien ! S’exclama Morgane en jetant un regard complice à sa fille avant de sortir du laboratoire.
Erika se lança à la suite de Morgane.
— Qu’est-ce que ça voulait dire, cet interrogatoire ? S’enquit la jeune fille une fois qu’elle eut rattrapé sa mère dans la cuisine.
— Cela signifie, ma belle, la fin d’une bien longue période et le commencement d’une autre.
— Je ne comprends pas.
— Quand j’avais à peu près ton âge, débuta Morgane en se servant un grand verre d’eau, Simon m’a donné cette pilule absolument fabuleuse qui m’a fait telle que je suis actuellement. Sans cela, toi et tes surs n’existeriez pas et je ne me serais certainement pas mise en ménage avec Juliette, Mathilde et Eugénie que j’aime énormément. Cette pilule à apporter tellement dans ma vie, tu ne peux même pas imaginer … Cependant, depuis ma transformation, j’ai toujours eu une sorte de bride m’empêchant de faire tout ce que je voulais. Simon m’avait d’abord interdit de me reproduire de peur d’engendrer des monstres ou je ne sais trop quoi, ensuite je m’étais limitée à trois filles et pas plus, … Aujourd’hui, je sais que cette peur est infondée.
— Donc, ça signifie … ?
— Eh bien, je souhaite que le monde connaisse le bonheur que j’ai eu avec vous. Cela veut donc dire qu’à partir de maintenant, on retire cette satanée bride et on baise tout ce qui bouge !
Un sourire lubrique étira les lèvres de Morgane.
— Soyons enfin nous-mêmes !