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Et ça vous fait quoi ? – Chapitre 3




A présent, les rôles sont inversés. Momone est blottie dans mes bras, les yeux fermés. Nous sommes nus tous les deux, son corps tremble un peu, mais je ne pense pas que ce soit de froid. Je caresse son dos à deux mains et lorsque je descends un peu plus bas sur ses fesses, elle ne peut sempêcher davoir une ébauche de refus. En revanche, son ventre, plaqué contre le mien, ne peut ignorer la raideur de ma queue et elle ne fait rien pour atténuer le contact. Enfin, suite à un mouvement presquimperceptible de son corps, je sens quelle se détend. On change de position. Elle est couchée sur le dos, immobile, les yeux clos. Jentreprends de descendre le long de son corps. Jembrasse ses seins magnifiques, longuement, doucement, je lèche ces globes jumeaux de la pointe de la langue, faisant naître des frissons sur sa peau laiteuse.

Puis je continue mon chemin, jarrive à son nombril, je pose un moment la joue sur son ventre à peine bombé. Je ne suis plus quà quelques centimètres du paradis et jen sens déjà la suave odeur. Je mimprègne de ce parfum lourd, chaud, épicé, je le respire si fort que jai la sensation de le sentir sur ma langue. Je mapproche de cette toison dor, littéralement, bien élaguée sur les côtés mais dont le triangle a conservé sa longueur de poils. Ça y est, jai le nez dedans, le parfum se fait entêtant. Je vois le capuchon rose du clito, masquant à peine un petit bouton qui ne demande quà sortir, puis ce sont les lèvres, soigneusement épilées, encore closes. Je commence à lécher cette chatte qui nattendait que cette occasion pour sentrouvrir. Ma langue sinsinue entre les plis, cueillant au passage les premières traces du plaisir de Momone et cherche à entrer plus avant dans ce pertuis damour.

— Ça suffit, je ten prie, dit ma mère. Nous navons pas le droit

— Arrête un peu avec tes scrupules. Nous avons déjà réglé la question. Laisse-toi aller, ferme les yeux, ne pense quà ton plaisir.

— Mais, et toi ?

— Plus tard, rien ne presse, nous avons la nuit devant nous, tu as dit. Relâche tes muscles, écarte tes jambes et laisse venir le plaisir.

Convaincue ou plutôt ayant très envie de lêtre, Momone se détend enfin. Jai libre accès à cette fente mystérieuse, déjà moite de désir. Très vite, ma mère commence à onduler du bassin en gémissant doucement. Je ne crois pas que mon père la prive de sexe, je ne crois pas non plus que ce soit une nymphomane. Cest plutôt, à mon sens, le désir et la peur mélangés de transgresser un tabou majeur qui lexcitent beaucoup. A peine dix minutes de minette et Momone crispe ses cuisses, son ventre se creuse, ses gémissements deviennent des cris et je sens sur ma langue un nectar salé et abondant. Je manque lâcher la purée moi-même tant je suis fier. Je viens de faire jouir ma mère. Je marque une pause avec ma langue.

Maintenant, je suis à genoux entre ses jambes, la queue toujours à la verticale. Je me saisis de ses chevilles et ramènent ses pieds devant mon visage. Les quelques femmes que jai connues ont toujours apprécié les bisous sur les orteils. Il serait étonnant que ma mère soit différente. Je commence donc à gober lun après lautre ses orteils, passant ma langue entre eux, les suçotant, les mordillant, puis, la bouche toujours collée à sa peau, je remonte le long de ses jambes, mattardant aux creux de ses genoux, puis jouvre le compas de ses cuisses pour reprendre ma position initiale. Dune main, elle repousse doucement ma tête.

— Attends mon trésor, ça suffit pour moi, pour le moment. Tout bien réfléchi, je suis daccord avec toi. Tu es largement majeur et responsable et je pense que si ta femme attendait de toi de la fidélité, elle ne safficherait pas, la porte ouverte, en train de sucer son beau-père. De plus, à ma grande honte, jai très envie de toi, sexuellement parlant.

— Tu veux dire que tu es daccord pour quon ait une relation complète ?

— Jai évité dy penser jusquà présent, mais je peux te dire que tu es à lorigine de bien de mes insomnies et quil mest même souvent arrivé, lorsque ton père me baisait, de fermer les yeux et de rêver que cétait toi qui me pénétrais. Alors je plonge ! Allonge-toi sur le dos, je vais faire ce dont je meurs denvie depuis si longtemps.

Et voilà dans quelles conditions ma petite mère chérie ma fait ma première pipe. Ce ne fut pas génial. A peine a-t-elle gobé ma bite que lexcitation ma fait décharger. Momone, à genoux entre mes jambes, ma queue enfoncée jusquaux poils dans sa bouche, a tout avalé. Et dieu sait quil y avait la dose !

— Excuse-moi, maman, je nai pas pu me retenir.

— Cétait parfait mon chéri, cela me fait un excellent préliminaire. Un peu comme une mise en bouche, on va dire. Et ton foutre est délicieux.

— On va passer aux choses sérieuses, maintenant, déclarai-je.

Je bande toujours autant, alors je la renverse sur le dos, et dun seul élan, je la pénètre, à la missionnaire. Ma queue entre sans peine dans cette grotte qui lattendait manifestement. Je prends mon temps et je lime lentement, profondément. Elle a ceinturé ma taille avec ses jambes et je constate que malgré la cinquantaine, elle fait preuve dune sacrée souplesse. Jaccélère mes va-et-vient. Momone entonne le chant de la jouissance, à présent elle anticipe mes mouvements en donnant de grands coups de reins, au risque de me faire sortir prématurément. Mais je suis trop bien enfoncé en elle et après un final échevelé, je me vide en elle en rugissant. Puis je retombe à ses côtés, essoufflé mais bien décidé à recommencer dès que possible. Cest sans doute un sentiment partagé car ma mère, après une courte pause dun quart dheure, se couche à côté de moi, tête-bêche et sa langue entreprend un nettoyage complet de ma bite.

— Je suis fière de toi, mon petit mâle et je narrive même pas à avoir honte de ce que jai fait.

— Ça tombe bien, moi non plus. Donc on peut continuer.

— Tu veux recommencer ? Tu es infatigable !

— Non, pas recommencer, jai dit : continuer. Il me reste encore un territoire de toi à explorer.

— Tu ne veux pas dire

— Si, si, petite mère chérie, jai bien lintention de tenculer.

— Tu ne mépargneras rien, constate en souriant tristement ma petite mère. Je pensais bien que tu voudrais me prendre par derrière, comme un mâle qui impose sa loi à sa femelle. En cela, tu es le digne fils de ton père. Il se trouve hélas, que non seulement je vais te laisser faire, mais quen plus je vais y prendre beaucoup de plaisir, alors vas-y, sers-toi.

Simone se place à quatre pattes sur le lit, le cul haut levé, la tête posée sur le drap. La posture est terriblement obscène et je bande à en avoir mal. Je commence par me pencher sur ce cul ainsi offert et je lèche amoureusement cet il sombre qui palpite comme sil mappelait. Puis je me redresse et ma bite vient se poser sur lillet qui se laisse investir sans difficulté. Ma queue glisse doucement dans les profondeurs maternelles et sans plus tarder je commence à limer. Ma mère a lair dapprécier, car elle accompagne de grands coups de reins mes propres mouvements. Jai rarement eu loccasion denculer une femme, jamais avec Nicole, quelquefois avec des amies de passage. Mais jamais je nai ressenti un plaisir aussi violent. Je me déchaîne avec une brutalité que je ne me connaissais pas, Momone crie, moitié plaisir, moitié douleur, mais je nen tiens aucun compte. Quand enfin je tapisse ses entrailles, jai limpression que mon cerveau gicle en même temps que mon foutre. Je suis au bord de lévanouissement, mais encore suffisamment conscient pour mapercevoir que Momone pleure en silence.

— Quy a-t-il, demandai-je ? Jai été trop brutal, pardonne-moi ma petite mère chérie.

— Cest vrai que tu ny as pas été de main morte, mais rassure-toi, je ne pleure pas de douleur mais de bonheur ! Jamais je nai ressenti une telle émotion. Cela va bien au-delà du simple orgasme que jéprouve avec ton père.

— Il tencule souvent ?

— De moins en moins, cest surtout pour lui une manière de marquer sa supériorité. En principe, jy ai droit lorsquil est avec des amis. Il montre ainsi que je suis son objet sexuel, que jaccepte tout ce quil demande, quoi que ce soit.

— Et pourquoi acceptes-tu ce traitement indigne ?

— Parce que jaime ton père et aussi parce que jaime quil me traite comme cela. Jai comme une sorte de fierté dêtre abaissée et humiliée en public. Dautant plus que je sais que cest une posture, en privé, ton père est très doux et très respectueux avec moi.

— Donc, si jai tout compris, il vous arrive de partouzer ?

— Plus tellement, maintenant, ton père continue davoir des maîtresses, parfois il les amène ici pour que je participe à leurs ébats, mais pour ce qui me concerne, il y a déjà plus de deux ans quaucun homme à part lui ne ma touchée.

— On dirait que tu le regrettes !

— Un peu, oui. Je ne suis pas une sainte mon chéri, et jaime baiser. Je suis bien servie avec ton père, mais un peu de changement de temps en temps, ça mallait bien.

— Et bien maintenant, tu mauras moi !

— Oui et dailleurs à ce propos, je voudrais te demander le secret total sur ce qui vient de se passer. Je dirai bien sûr à ton père que tu mas baisée, tu pourras en faire autant avec ta femme, mais jure-moi que jamais ils ne sauront que tu mas enculée. Jure-le !

— Je te le jure, ma Momone adorée. A une seule condition, cest quon recommence.

— Bien sûr quon recommencera, mon chéri, mais la sodomie fera partie de notre jardin secret. Ton père nous massacrerait sil savait que nous avons fait ça ! Et il nest pas question quil se sente menacé de perdre son privilège de mâle dominant, mais dun autre côté, jespère bien que tu renouvelleras souvent ce que tu viens de faire. En secret. Pour tout le monde.

— Comme tu voudras. Javoue que, maintenant que tu le dis, je commence à comprendre le sens de cette pratique. Enfiler une chatte, cest du plaisir physique, un point cest tout. Mais enculer sa partenaire, cest quelque chose en plus. Un acte de domination absolue. Je comprends maintenant pourquoi Nicole ne la jamais accepté de moi.

— Et je suis à peu près certaine quelle laccepte très bien de ton père.

— Moi, je men fous. Elle veut me dominer, bien, moi je laime comme elle est et jaccepte sa domination. Je suis sûr que si elle avait une bite, jaccepterais aussi quelle mencule. Mais du moment que je tai toi, tout va bien. Je pourrai ainsi jouer alternativement le dominant avec toi et le dominé avec Nicole. Tu veux bien ?

— Mais oui, mon chéri, tout ce que tu veux, je suis ton enculée, ta soumise, ta maman indigne. Mais noublie jamais : il faut que lon garde cela secret, totalement secret.

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