La découverte de Marie.
La lecture détaillée du questionnaire renvoyé par Marie mapprit quelle mesurait 1,61 mètre pour 56 kilos, que son tour de poitrine était de 90D. Elle était née à Angoulême, où elle résidait actuellement et elle était enseignante dans un lycée du centre ville. Elle avait 40 ans depuis quelques semaines et sétait mariée 10 ans plus tôt avec Patrice. Ils avaient deux enfants, de 6 et 8 ans. Jappris quelle avait été dépucelée à lâge de 17 ans par un homme beaucoup plus âgé quelle et quil lavait prise un peu de force. Elle en avait gardé une tendance à la soumission et un goût pour les hommes murs. Après son mariage, elle avait eu une liaison avec le CPE du collège où elle enseignait dans un département voisin en attendant sa mutation. Patrice mavait parlé de cette liaison quil avait surprise et dont il ne savait pas grand-chose.
En tous cas, jétais ravi de voir que Marie avait pleinement joué le jeu et avait rempli mon questionnaire jusquau bout. Elle avait attribué la note de 8 à la sodomie et celle de 8,5 à la fessée. La fellation et le cunnilingus obtenaient la note de 10. Elle avait vraiment un goût prononcé pour les relations buccales. Sans surprise, elle plaçait la levrette et le 69 en tête de ses positions préférées du Kâma-Sûtra.
Je me mis rapidement au travail, rédigeant une première version de son dépucelage. Il me manquait de nombreux éléments, mais javais décidé de procéder par une méthode itérative. Je lui envoyais une première version et elle la critiquait ou la complétait par ses remarques, puis jen rédigeais une seconde et elle réagissait de nouveau. Cette méthode, inspirée des techniques de développement informatique modernes, permettait dêtre efficace et de susciter, à chaud, les réactions qui, autrement nauraient peut-être pas été exprimées. Volontairement, javais décidé de men tenir à trois itérations avant de produire un texte définitif.
Marie reçut mon premier texte moins de 24 heures après mavoir retourné le questionnaire. Elle ne tarda pas à menvoyer un mail qui synthétisait ses remarques et ses objections.
De : Marie
Objet : Mes remarques
Date : 26 Juillet 2013 22 :30
A : Gilles
Marie,
Pour débuter notre collaboration, jai rédigé un chapitre décrivant ton dépucelage tel que je limagine. Il est évident quil manquera de nombreux détails et quil y aura certaines incohérences, mais je veux que tu réagisses sur ce texte. Tu me feras part de toutes tes remarques, tu me signaleras ce qui ne va pas, tu complèteras la description des faits et des personnages.
Je pense que tu as conservé la carte de visite que je tai remise lors de notre première rencontre. Mon numéro de téléphone portable figure dessus. Appelle-moi pour que nous soyons plus efficaces. Dailleurs, je souhaite pouvoir te joindre à tout moment, même quand tu ne lis pas tes mails.
Au travail ! Une biographie, cela se mérite.
Je tembrasse tendrement dans le cou.
Ton biographe passionné.
Gilles.
Dès le lendemain matin, Marie mappelait sur mon téléphone portable. Je ressentis une émotion que je mefforçai de dissimuler en entendant sa voix. . Je pris un ton à la fois autoritaire et mielleux, alternant les questions directes visant à linstaller dans une situation de soumission et de dépendance psychologique, et les suggestions de gestes tendres et érotiques pour lui donner envie de me céder au plus vite.
Javais compris, depuis le début, quil me faudrait jouer de ce subtil mélange entre force et tendresse pour la séduire.
Après plusieurs séances déchanges et deux nouvelles versions envoyées, nous avions enfin arrêté une version définitive du chapitre intitulé « Dépucelage sans douceur ».
Dans les semaines qui suivirent, Marie partit en vacances avec son mari et ses enfants. De fait, elle était beaucoup moins disponible pour nos échanges, mais jexigeai quelle me téléphone au moins une fois par jour, histoire de maintenir une certaine pression.
La fin de notre « période dessai » arriva rapidement. Je navais écrit que trois chapitres au cours de ce mois vite écoulé et je navais pas revu Marie. La veille du jour fatidique, je décidai de lui envoyer un mail.
De : Gilles
Objet : Mes remarques
Date : 21 Août 2013 10 :12
A : Marie
Marie,
Cest demain que se termine notre période dessai. Comme tu le sais, ce moment sera fatidique pour la suite de nos relations. Soit nous nous engagerons et poursuivrons notre collaboration jusquau terme de lobjectif que nous nous sommes fixés, soit elle sarrêtera et je chercherai une nouvelle inconnue prête à me dévoiler sa vie.
Pour ma part, je nai pas encore pris ma décision. Jattends de pouvoir échanger avec toi sur les conditions futures. Cet instant étant, somme toutes, assez solennel, je propose que nous nous rencontrions de nouveau pour prendre cette décision ensemble. As-tu la possibilité de venir sur Bordeaux ? Jaimerais que notre rencontre ait lieu dans le même café que celui où nous nous sommes vus pour la première fois.
Si vraiment ce nest pas possible, préviens-moi rapidement, je viendrai à Angoulême.
Je tembrasse tendrement.
Ton biographe à lessai.
Gilles.
Marie me répondit moins dune heure plus tard. Elle me dit quil fallait justement quelle aille à Bordeaux et quelle allait seulement avancer son voyage. Elle me donnait rendez-vous dans le même café que la dernière fois à 15 heures. À ce moment là, je savais quelle était à moi
Le lendemain, jentrai dans le café à 15 heures précises. Comme je my attendais, Marie était déjà là. Elle était assise exactement à la même place que la fois précédente. Je me suis installé en face delle et elle ma tendu ses lèvres que jai embrassées avec douceur. Je lai regardée droit dans las yeux et je lui ai posé la question fatidique.
— Alors, tu es prête à signer le contrat définitif ? lui demandai-je en posant le document que javais apporté.
— Oui, me répondit-elle avec un large sourire.
— Il vaudrait mieux que tu lises les conditions dabord, repris-je en lui tendant le contrat.
— Tu ne veux pas me résumer mes engagements ? demanda-t-elle. Je nai pas envie de lire.
— Daccord. En résumé, tu tengages à mappartenir complètement jusquà la fin du livre. Tu devras être joignable 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Tu tengages à ne rien me cacher de tes relations sexuelles passée, présentes ou futures. A chacune de nos rencontres, qui devront avoir lieu au moins une fois par semaine, tu devras porter les tenues que jaurai choisies et réaliser tous les défis que je te proposerai
— Cest beaucoup, me fait remarquer Marie et que se passera-t-il si je ne respecte pas ces conditions ?
— Je te punirai ! Au premier manquement, tu auras droit à une fessée, ce qui nest pas forcément désagréable, mais dès la seconde, les sanctions salourdiront et pourront aller de la privation totale de liberté pendant 24 ou 48 heures, jusquà la livraison à un groupe dhommes qui disposeront de toi comme ils lentendent.
— Et en contrepartie, tu tengages à quoi ?
— Eh bien, pendant toute la durée du contrat, je prendrais en charge tous tes frais de déplacement, desthétique, dhabillement. Je mengage, moi-aussi à être joignable 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Lors de nos rencontres, je mengage à te procurer au moins deux orgasmes.
Marie me sourit de nouveau et prit le stylo que je lui tendais. Elle signa le contrat sans la moindre hésitation. Je pris le stylo à mon tour et apposai mon paraphe au bas de la dernière page.
— Maintenant, tu mappartiens ! lui dis-je. Noublie pas que je tai promis deux orgasmes à chaque rencontre Tu veux le premier ici ou tu attendras dêtre chez moi ?
— Ici ? sexclame Marie en me regardant dun air interloqué.
— Oui, si tu nas pas mis de culotte comme je te lai demandé
— Non, je nen ai pas, me dit elle en rougissant.
— Alors, écarte les cuisses, lui réponds-je dun ton ferme.
Je la vois écartant largement les jambes et soulevant la robe planche que je lui ai demandé de porter. Je retire le mocassin que je porte et dans lequel je suis pied nu et je remonte le long de sa jambe. Mon pied atteint rapidement son intimité et mon gros orteil cherche louverture de son sexe. Cette cochonne mouille comme une folle ! Jintroduis la pointe de mon pied dans son vagin et je bouge, aussi régulièrement que je peux pour lui procurer des sensations agréables. Je vois quelle est inquiète et surveille du coin de lil la serveuse en train de nettoyer le bar. Heureusement, à cette heure creuse de laprès-midi, nous sommes les seuls clients. Après plusieurs va-et-vient, je ressors mon pied ton humide et je remonte vers son clitoris. Jentame un mouvement circulaire et jessaie dexercer la juste pression. Marie rejette la tête en arrière et je vois quelle commence à respirer plus vite. Jaccélère alors et je la vois se mordre les lèvres. .
— Arrête ! me dit-elle. On va nous remarquer.
— Ce nest pas grave, lui réponds-je. La serveuse sait probablement ce que cest davoir un orgasme. Je veux que tu jouisses sans te retenir !.
Elle écarte encore plus les cuisses et je poursuis mon mouvement. Elle serre les dents, mais le plaisir lenvahit. Je la vois sagiter de soubresauts et soudain, elle ne peut plus se retenir et pousse un petit cri.
La serveuse relève la tête et lui demande.
— Ca ne va pas madame ? Vous voulez que jappelle quelquun ?
— Ne vous inquiétez pas, réponds-je. Je moccupe delle.
La jeune serveuse se rend alors compte de ce que je suis en train de faire et rougit subitement. Je poursuis quelques secondes et Marie se laisse complètement aller, connaissant avec moi un premier orgasme dont elle se souviendra.
Lorsque nous quittons le bar, la serveuse me regarde avec un sourire coquin, apparemment elle na pas été choquée, bien au contraire
Je la regarde et je lui souris, elle est mignonne et je me dis que jaimerais bien la voir avec Isabelle. Je garde cette idée dans un coin de ma mémoire.
(A suivre)