Paul savourait sa petite vengeance envers Léa, il devenait pervers envers eux et tout en acceptant leurs jeux, il se vengeait. Il se demandait ce qu’il allait réserver à sa fille et son fils et aussi à la famille de Louis pour assouvir ses fantasmes.

On sonna à la porte, Paul regarda, c’était justement Louis et son fils Nico. Il leur ouvrit.

Salut les hommes, en forme ? dit Paul.

Oui tout va bien, répondit Louis.

Ils entrèrent et passèrent sur la terrasse, il était environ 10h30.

Je vous offre quoi ? Café, bière, jus de fruit, apéro ?

Bière ? répondirent les deux hommes.

Paul alla chercher trois bières et ils s’assirent sur les canapés bas autour de la table basse.

Louis dit à Paul :

On vient te voir pour savoir si cela vous intéresserait d’aller passer un petit séjour dans notre maison en Espagne au bord de la Méditerranée ? Toi, Léa et – s’ils veulent venir – Manon et Nino. Il y aura aussi nos enfants et leurs copains, copine à vous de voir, on y va pour le 14 juillet et on y reste une quinzaine à trois semaines.

Je vais en parler et je te tiens informé, dit Paul.

Manon émergea de son sommeil, elle descendit et entendit des voix, elle se dirigea vers les trois hommes et les embrassa un à un. Elle portait une nuisette blanche transparente en dentelle et laissait paraître qu’elle était entièrement nue dessous, cela ne la dérangeait pas. Elle alla prendre un jus de fruit en cuisine et s’assit à côté de Paul. Louis et Nico la dévoraient des yeux. Paul le vit très vite. Paul s’adressa à Manon.

Je crois que tu ne laisses pas nous autres indifférents ma chérie, à la vue de leurs bosses dans leurs shorts.

Paul enfin c’est Manon, c’est ta fille, on l’a vue gamine, dit Louis.

Je constate, dit Paul.

Manon avala son jus d’orange, elle se leva et se dirigea vers les deux hommes.

Alors, je vous fais envie les hommes ? leur dit-elle.

Elle était debout devant les deux hommes, les jambes légèrement écartées. Elle enleva sa nuisette, se dirigea vers Louis et se mit à genoux devant lui. Elle lui passa la main dans le short par la jambe droite qui était large, lui saisit de la queue qui était de belle taille et commença à la caresser. Elle passa ses deux mains de chaque côté de la taille du short et Louis souleva ses fesses. Elle descendit celui-ci aux chevilles de Louis. Sa queue se dressa bien raide entre ses cuisses.

Manon prit sa queue dans ses mains et commença à la branler par des va-et-vient de bas en haut. Elle lui caressait les couilles avec l’autre main, elle regarda Nico et lui dit :

Viens t’occuper de ma chatte au lieu de te branler.

Elle s’était mise à quatre pattes, Nico enleva son short, il bandait raide. Il se mit à genoux derrière Manon et enfila sa queue dans la chatte trempée de Manon.

Hum c’est bon, dit Manon.

Il la pénétra jusqu’aux couilles d’un seul coup. Il commença à limer Manon. Louis, lui, commençait à gémir et à jouir doucement tellement les va-et-vient de Manon étaient experts. Paul, assis, assistait à la scène de baise.

Manon se dégagea de Nico, elle se mit à califourchon de dos par rapport à Louis et elle présenta son trou du cul au gland de Louis. Celui-ci saisit sa queue et pénétra lentement le petit trou lubrifié de Manon. Quand Manon sentit qu’elle était bien dilatée, elle laissa peser tout son poids sur la queue de Louis et elle s’empala jusqu’aux couilles du bon Louis. Elle cria :

Oh oui Louis encule-moi c’est tellement bon.

Nico enjamba son père et vint face à Manon, il mit sa queue devant la chatte trempée de Manon et la pénétra d’un seul coup. Il commença à limer Manon, prise dans une double pénétration.

Les deux hommes limaient Manon depuis 20 minutes maintenant et elle avait joui à deux reprises, quand Paul se leva et se dirigea vers Manon. Il enleva son short et fit apparaître une queue imposante. Il se mit à califourchon au-dessus de Louis entre Nico et Manon. Il fit pratiquement coucher Manon sur le dos, sur Louis qui avait la tête surélevée. Paul présenta sa queue à côté de celle de Nico, il lui dit de la sortir de la chatte de Ninon, il prit sa queue et celle de Nico dans ses mains et les présenta à l’entrée du vagin lubrifié et dilaté de Manon, Paul regarda Nico et lui dit :

Tu pousses en même temps que moi, OK ? Allez, pousse.

Les deux hommes poussèrent en même temps, entrant leurs deux bites simultanément dans le vagin de Ninon, celle-ci poussa un cri :

Oh oui deux bites dans ma chatte, hum j’adore, plus une dans mon cul, allez, défoncez-moi par les deux trous.

Les trois hommes imposèrent leur rythme à Ninon, Louis la tenait par les hanches et imposait la cadence. Les va-et-vient dans sa chatte et dans son cul la firent jouir à plusieurs reprises, les trois hommes s’encourageaient mutuellement :

Allez encore, plus vite, plus profond, encore, il faut qu’on jouisse ensemble les mecs, quand on sera prêt, on vide nos couilles ensemble et on se retire pas, on lui remplit le cul et la chatte.

Je vais pas tenir… dit Louis.

Moi non plus, dit Nico.

Encore un peu, dit Paul.

Cela faisait 40 minutes que Manon se faisait baiser, quand Louis cria qu’il déchargeait dans le cul de Manon, les deux autres qui s’étaient retenus déchargèrent aussi dans la chatte de Ninon. Du sperme coula par les deux orifices de Ninon, Nico et Paul se dégagèrent et allèrent laver leur queue sous la douche de la piscine. Nico était affalé sur Louis, toujours empalé sur la queue de Louis, qui même après avoir éjaculé était toujours raide.

Ninon reprit ses esprits, se dégagea de la bite de Louis, se leva et disparut dans la maison, Louis rejoint ses compagnons pour lui aussi se laver la queue. Les trois hommes se rhabillèrent et vinrent finir leur bière. Louis et Nico prirent congé de Paul.

Quand Paul entra dans la cuisine, Manon était devant le réfrigérateur, elle dit :

On mange quoi Papounet ?

Regarde dans le réfrigérateur, il doit y avoir ce qu’il faut.

Ninon trouva son bonheur pour le déjeuner avec son père. Manon demanda à Paul :

Ca t’a plu de me baiser avec Louis et Nico ?

Beaucoup. Tu es magnifique ma fille, et tu baises comme une déesse, des seins somptueux et des fesses magnifiquement rebondies.

A quand la suite ? Si tu as des idées, pense à moi, dit Paul.

A suivre…

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