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SIMPSONNERIES DEFENDUES – Chapitre 2




(Le texte entre partenthèses correspond aux pensées des personnages)

Bart se retourna une nouvelle fois dans son lit. En jetant un coup dil à son radio-réveil, posé sur la table de chevet, il saperçut quil était plus de minuit, et il ne dormait toujours pas. Les évènements de la soirée le faisait douloureusement bander, et le fait que son propre père ait assisté aux attouchements auxquels il sétait livré sur sa petite sur lexcitait encore plus.

Il se mit sur le dos, croisa ses mains sur sa poitrine pour ne pas céder à la tentation de se branler, une fois de plus, et il ferma les yeux.

Le lendemain matin, Lisa évita de croiser le regard de Bart. Elle pensait à ce qui s’était passé la veille au soir, et lui aussi. Jusqu’au moment de monter dans le bus scolaire, elle redoutait qu’il remette cette histoire sur le tapis.

A ce soir dans ma chambre, surette ! lui souffla son frère en montant dans le véhicule jaune.

Bart alla s’asseoir à côté de Milhouse, comme tous les matins, et Lisa rejoignit Janey, quelques rangées plus loin.

Faudra que je te dise un truc, à la récré ! souffla Bart à l’oreille de Milhouse avec un air de conspirateur.

Bart ! Je t’ai dit d’accord pour qu’on fasse des cochonneries ensemble, mais pas au bahut ! T’imagines, si on se fait prendre ?

Mais, il ne s’agit pas de ça. Enfin si, mais je vais rien te faire. Je vais juste te dire un truc.

Milhouse aurait voulu en savoir plus, mais il savait qu’insister auprès de son copain était inutile. Il remonta ses épaisses lunettes sur l’arête de son nez et se tourna vers Lisa pour lui adresser un sourire. Celle-ci bavardait avec Janey et Nelson, assis derrière elles, commençait à s’en mêler. Pourtant, il crut déceler une ombre sur le visage de la fillette.

Milhouse était fou amoureux de la sur de son meilleur ami, mais celle-ci l’avait éconduit une bonne fois pour toutes. Il aurait voulu sentir le goût de sa bouche et de sa langue contre les siennes, et pourquoi pas contre son pénis, qu’il avait un peu plus long et plus rond par-rapport à celui de Bart. Celui-ci avait découvert très tôt les plaisirs que lui procurait son zizi et les pouvoirs de transformation dont il était capable. Avide de partager ses découvertes, le jeune Simpson s’était naturellement tourné vers ce môme complètement ignorant. Ensemble, ils avaient fait le tour quasi complet des pratiques sexuelles courantes entre les garçons, allant jusqu’à se sodomiser comme s’ils dépucelaient une fille de leur classe.

Les deux garçons attendaient leur première fois avec un peu plus d’empressement, bien qu’à leur âge, ils savaient que leur amitié très particulière résisterait à toutes les tempêtes. Une amitié que la mère de Milhouse voyait d’un mauvais il. Elle trouvait que Bart était de ceux dont son fils devait se méfier.

Pauvre Madame Van Houten, le mal est fait. Votre petit garçon est perverti et se laisse tripoter, sucer, enculer par son meilleur ami, justement parce que c’est son meilleur ami. Et aussi parce que s’il refusait, Bart se détournerait de lui et irait voir ailleurs.

Ce dernier, le visage tourné vers la fenêtre, avait le regard vide. Il pensait à Janey. A son adorable petit cul qu’il n’avait vu qu’une furtive fois en entrant dans la salle de bains. Sa sur et elle prenait un bain. Janey était debout dans la baignoire, faisant face à Lisa qui, lui avait-il semblé, était agenouillée et avait enfoui son visage contre le pubis de sa copine. Se pouvait-elle qu’elle fût en train de…

Bart n’était pas dupe. Martin Prince, un garçon de sa classe, qui savait tout sur tout en matière de sexualité, lui avait dit que les garçons se suçaient entre eux et, lui montrant des photos, lui avait prouvé que les filles se léchaient le clitoris ou le vagin.

Lisa suçait ses copines, du moins celles qui venaient dormir à la maison, et devait certainement leur permettre de lui faire la même chose. Son sexe palpita dans sa culotte. Il y porta la main et le comprima à travers le tissu de son jean bleu.

Le bus s’arrêta devant le collège et les élèves regagnèrent leur classe respective. Il tardait à Milhouse d’être à la récréation de dix heures pour entendre Bart lui confiait un de ses nombreux secrets. Un de plus.

Ils se rendirent aux toilettes du préau et s’installèrent côte à côte devant les urinoirs. Bart se tourna vers Milhouse qui, lui, plus franchement, prit un malin plaisir à lui montrer son sexe. Ils pissèrent en silence et retournèrent dans la cour, sans se laver les mains.

Alors ? C’est quoi, ce que tu voulais me dire ? le questionna Milhouse.

Tu vas être vert, mon pote !

Pourquoi ? Ça concerne Lisa ? demanda Milhouse, inquiet.

Je lai branlée, hier soir !

Pardon ? fit Milhouse, la voix altérée d’émotion, de surprise et de curiosité.

A voix basse, et à l’abri des autres élèves, Bart expliqua par le détail les circonstances qui les avaient conduits, sa sur et lui, à se livrer à l’inceste. En omettant bien de parler d’Homer.

C’était dans ces moments-là que Milhouse regrettait d’être fils unique. Qu’est-ce qu’il aurait aimé avoir une petite sur, à lutiner, à pervertir, à éduquer sur son corps et sur le sien, toujours conciliant. Bart devait être le seul garçon de sa classe, et peut-être même du collège, à avoir masturbé une fille (parce qu’entre garçons, cétait légion). Peu importe que soit par sa propre sur.

Sala-Sali-Salut Homer !

Salut Flanders !

Alors ? lui demanda Ned en arrivant devant Le palais du pédé.

L’employé afficha une mine dubitative, un peu comme s’il était déconnecté.

Hein ?

Les romans-photos ? Tu n’as pas oubliés de les lire ?

D’oh ! fit-il en se frappant du plat de la main sur le front. Si, j’ai oublié, et je ne sais même plus ce que j’ai fait du sac.

Homer, fit Ned ! on ne peut pas te faire confiance ! Il faut absolument mettre quelque chose en rayon, mais il faut avoir lu ce que l’on propose. C’est la politique de la maison.

C’était tellement obscène, Ned, si tu savais. J’avais envie de vomir, j’avais envie de me branler…, commença-t-il en se remémorant les évènements de la nuit précédente, quand il avait perverti ses enfants.

Ah, bon ? Ils sont si bons que ça ?

Tu t’imagines : un frère qui branle sa propre sur ?

Tu sais, moi, dans ce genre de littérature, plus rien ne m’étonne. Et le frère et la sur, c’est une situation un peu courante. Mais, on peut les mettre en rayon ?

Hein ? Ouais, ouais, beaucoup…

Ned se dit que Homer avait dû passer une mauvaise nuit. mais il avait dormi comme une masse. Les nuits parfois torrides qu’il passait parfois avec Marge appartenait au passé et il en était réduit à se masturber, comme un ado puceau, pour évacuer son excitation.

On a le temps pour une petite pipe, lui souffla Ned en consultant l’heure à sa montre. Allez viens, mon gros ! lui dit-il en l’entraînant avec lui dans l’arrière boutique.

Là, Homer défit sa ceinture, baissa sa braguette, fit sauter le bouton de son pantalon et le baissa sur ses genoux. Une bosse déformait déjà le devant de son slip. Ned attendait l’apparition de son péché mignon. depuis qu’il avait surpris son employé en plein test avec un sextoys nouvelle génération, il avait souvent rêvé de la grosse bite noueuse et velue de Homer. Il avait fallu user de manigances, de promesses d’augmentation et de discrétion pour que ce mari et père de trois enfants acceptât de donner son pénis à sucer et, plus rarement, de l’enfoncer dans les entrailles de son patron.

Ce dernier tomba une nouvelle fois en admiration devant l’énorme pieu timidement tendu, mais déjà de bonne taille. Ned farfouilla dans son caleçon par sa braguette ouverte et en extirpa sa bite en totale érection, le gland décalotté. Il saisit l’organe qui s’érigeait sous son nez à la base, tira violemment sur le prépuce, et passa sa langue sur le gland. Jusqu’à l’humecter totalement. Faisant les grosse lèvres, Le moustachu déposa des baisers le long de la grosse saucisse…

( Mmmmh, une grosse saucisse)

La ferme, Homer !

… le long du gros tube de chair. Puis il en dirigea l’extrémité vers la bouche qu’il ouvrit, en rentrant ses dents, et saliva abondamment sur l’organe qui palpitait et tressautait. Lénorme paf lui déformait la bouche et lui gonflaient les lèvres.

Homer, comme à chaque fois, se contentait de fermer les yeux et de s’imaginer qu’il s’agissait de la bouche de sa femme, de celle de sa fille, de celle de son fils… Son esprit se figea sur la vision de ses enfants, la veille au soir. il débanda un peu, mais Ned le reprit avec tant d’enthousiasme qu’il parvint, au bout du compte, à le faire décharger.

Dans la surprise du premier jet, le moustachu donnait toujours un petit coup de dents. Ce que Homer n’aimait pas trop. Mais Ned gardait sa bite d’étalon en bouche jusqu’à ce qu’elle se dégonfle, en crachotant son trop plein de sperme.

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