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Mamie Geneviève – Chapitre 7




Mamie Geneviève 7

J’ai à la maison mes deux petits enfants.  David qui m’a fait (re)découvrir le plaisir charnel et sa jeune sur Christelle, est tout aussi délurée. C’est avec cette dernière que je vais partager mon lit. En effet, ma maison ne dispose que de deux chambres.

Je fais ma toilette du soir quand Christelle entre sans frapper dans la salle d’eau.

Elle n’est vêtue que d’une culotte en coton imprimé. Je ne peux m’empêcher d’admirer son corps juvénile. Elle a des seins plutôt petits, mais bien fermes. Sa taille fine et son ventre musclé me font envier son âge. Ses jambes sont parfaitement galbées.

Mon inspection de sa silhouette l’amuse et par une forme de provocation, se retourne pour m’exposer ses fesses en se cambrant.

« Je te plais mamie ? Tu veux toucher ? »

Elle n’attend pas ma réponse et vient près de moi, prend ma main et la pose sur son sein droit.

Le contact doux et chaud me trouble et je retire ma main, toute confuse. Je me sens rougir.

Elle reprend ma main et la colle entre ses jambes en l’y maintenant.

« Tu préfères ma chatte ? »

Sous mes doigts je sens déjà la moiteur de sa vulve alors qu’elle me fait imprimer une caresse.

« Hummm ! Mamie tu me chauffes déjà ! »

 Je détourne le sujet et demande :

« Et David ? Il est où ? »

« Je l’ai renvoyé dans sa chambre, il voulais se taper l’incruste et nous mater toutes les deux ! Je lui ai dit d’aller se branler sans nous ! »

Ainsi, cette jeune fille fait la loi envers son frère et je crois qu’elle va bientôt me dominer également.

Elle se démaquille, se brosse les dents alors que nous sommes côte à côte devant le miroir.

Tandis que j’enfile ma chemise de nuit, elle s’assied sur les toilettes et sans la moindre gêne de ma présence, se met à uriner à gros jet.

« Va t’allonger Mamie, j’arrive tout de suite ! »

Je m’exécute, un peu craintive de cette petite dévergondée. Je peux faire preuve d’autorité et la repousser si elle m’importune, mais non ! Je ne souhaite pas de conflits et surtout, je pense que je suis curieuse de la suite.

Elle s’approche ! J’ai peur

Sa première action est de me mettre totalement nue. Elle jette ma nuisette roulée en boule avec ma culotte. Cette nudité me gêne encore plus.

« A toi maintenant, enlève ma culotte »

Comme elle est debout près du lit, je suis obligée de me pencher pour faire ce qu’elle me demande. Quand je me redresse, je constate que son pubis est totalement imberbe. Ca ressemble à un sexe de petite fille, autant qu’il m’en souvienne de mes enfants quand elles étaient petites.

Elle m’enjambe et s’allonge auprès de moi. Me voyant presque terrifiée, elle me caresse le bras délicatement et sa bouche rejoint la mienne. Elle est beaucoup plus délicate et son baiser me chavire. Ca y est, je me décontracte. Le constatant, Christelle me tient les mains et me fait me redresser, puis m’accroupir face à elle dans la  même position.

« Voilà, Mamie, tu vas faire sur moi ce que je fais sur toi »

Elle me caresse l’épaule en me fixant dans les yeux. Ma main se lève et reproduit son geste.

J’ai l’impression d’être une apprentie face à son maître.

Sa main glisse sur mon sein tandis que la mienne hésite à descendre.

De son autre main, elle me tient le poignet et me force à descendre. Je sens le galbe ferme et l’effleure comme elle me le fait. Nos respirations s’accélèrent et l’impudente fait maintenant rouler mon téton entre le pouce et l’index. Je me lance et fais de même. Nous alternons d’un téton à l’autre et ses pincées sont de plus en plus fortes sans que j’en éprouve une douleur insoutenable. Nos soupirs mutuels ne sont pas feints. L’expérience est des plus intéressante.

Pour le moment, je ne pense pas à ça. J’éprouve trop d’excitation à la voir se chavirer et grimacer quand je la pince un peu trop fort.

D’un geste, elle pose sa main entre mes jambes et m’effleure le clitoris, elle attend que je fasse de même mais je coince un peu. Maudite morale !

Elle me lance un regard mêlé de supplication et d’encouragement. Elle me fait même une petite moue exprimant Aller, fais le !’

Le contact de mon doigt sur son bouton la fait sursauter et je m’applique à faire de petits cercles qui la font gémir. J’en suis au même point !

Et soudain, son doigt est en moi et s’active. Je suis obligée de me tenir à elle pour ne pas basculer sous la pression de sa main qui écrase mon clitoris. C’est trop bon !

Je prends conscience que je dois faire de même et qu’elle m’attend en faisant juste tourner son doigt au bord de mon vagin. Ma phalange glisse vers son antre et reste au bord. D’un mouvement de bassin en avant elle oblige mon doigt à s’enfoncer. Ma gêne me quitte et je reproduis fidèlement ses gestes.

Elle quitte ma chatte, se pourlèche les doigts enduits de ma cyprine. Et, m’attends !

Je relève son défi en la regardant dans yeux comme si j’attendais une récompense.

Elle est fière de moi et m’attire pour m’embrasser.

Elle me fait m’allonge et me chevauche tête bêche en soixante neuf. Je crains le pire, ou le meilleur !

Très naturellement, elle plonge sa tête et sa langue fureteuse est déjà en action.

Elle est d’une habileté remarquable !

Mais moi, j’ai son abricot près de mes lèvres et n’ose pas m’engager à faire de même.

Elle s’écrase alors le pubis sur le visage et son odeur de petite fille en chaleur m’émoustille un peu.

Le goût de sa liqueur est plutôt agréable. Je la lèche tout d’abord, puis m’emploie à exécuter les consignes qu’elle applique sur moi.

Et puis, je me sens chavirer dans le plaisir total  de la combler. Je lui enlace la taille pour la serrer contre moi et me délecte maintenant de la manger.

C’est elle qui jouit en premier et pas en silence. Son orgasme est communicateur car le mien suit presque immédiatement.

Quand mon visage trempé est libéré de ses cuisses. Je remarque que la porte de la chambre est ouverte et que David nous observe. Depuis quand, je ne sais pas, mais ce qu’il tient en main est bien gonflé.

J’ai le sentiment d’être prise en flagrant délit d’adultère et redoute la réaction de ma partenaire. Au lieu de ça, elle lui fait signe de s’approcher, puis me dit :

« David semble avoir envie de te baiser »

Je ne relève pas sa grossièreté car son frère se positionne entre mes jambes ouvertes et me pénètre d’un seul coup de reins. Il est en appui sur ses bras tendus et coulisse en moi adorablement. Je relève les jambes pour mieux le sentir. C’est bon comme la première fois !

Sa sur joue avec mes tétons et l’action conjuguée de ces deux coquins m’emmène au septième ciel.

David est toujours en moi et me pistonne sans relâche. Je n’arrive pas à reprendre mon souffle ! Christelle s’en aperçoit, se redresse et glisse sa main entre les fesses de son frère. Il grimace et dit :

« Chris, qu’est-ce-ce que tu fais ? »

« Tu adores ça d’habitude ! »

Il se tortille sous l’action du doigt pénétrateur qui s’active en lui et il met peu de temps à se vider en moi, dans un râle quasi animal.

« Bon, aller frangin, va te coucher maintenant !»

Cette fois c’est uniquement pour nettoyer la semence de son frère que sa langue s’affaire entre mes cuisses.

Ces deux diables sont pleins de fougue, mais moi, je me sens totalement vidée !

Le lendemain, ma fille Virginie, la mère de Christelle et David, m’appelle pour s’enquérir de la cohabitation avec ses enfants.

« Ca va maman ? Ils ne t’embêtent pas trop ? »

« Oh non ! Ils sont adorables ! »

J’ai mis le haut parleur pour qu’ils entendent la conversation. Tous deux s’approchent et saluent leur mère. Christelle m’enlace la taille et dit :

« Mamie est géniale, tu sais ! »

David ajoute, en me guidant la main sur son sexe :

« Mamie est vraiment très gentille avec nous ! »

Je sens, outre la bosse de mon petit fils, la main de sa sur caresser mes seins.

Je deviens un objet de plaisir, mais ce n’est pas le moment !

Virginie déclare :

« Dites, les enfants, papa est parti quinze jours pour son travail. Ca vous dit de revenir à la maison pour quelques jours ? »

Et eux, en chur :

« On verra, on verra »

Pour faire diversion, je dis à l’adresse de Virginie :

« Si tu es seule, viens manger avec nous ce midi »

« Oui d’accord, je me prépare et j’arrive »

Les enfants semblent déçus, mais moi j’échafaude un plan avec une certaine perversité.

Quand j’expose la chose à mes petits enfants, David en est extrêmement surpris et gêné :

« Tu es sûr Mamie ? »

« Seulement si vous le voulez ! Après tout, ça ne vous gêne pas avec moi ! »

Et Christelle d’ajouter :

« Moi, je suis d’accord ! »

J’accueille ma fille, la débarrasse de ses affaires et la complimente pour sa robe, ce qui la détend un peu. Nous entrons par la cuisine et ses enfants se jettent à son cou pour la biser avec ferveur. Elle n’en revient pas d’une telle affection.

« Nous sommes tous contents de te voir Virginie ! Tu veux boire quelque chose ? »

Je nous sers un verre alors que la petite famille va s’installer dans le canapé. Christelle et David, assis de part et d’autre de ma fille.

J’ai volontairement encombré les fauteuils de linge à repasser afin de ne pas pouvoir m’asseoir.

Ma fille dit à David :

« Soit galant, laisse une place à Mamie ! »

Je réplique :

« Ne t’inquiètes pas, je vais m’asseoir sur ses genoux »

Je joins le geste à la parole devant l’air médusé de Virginie.

 

David met sa main sur mon genou et le caresse plus qu’affectueusement, puis en fouillant  l’intérieur de mes cuisses.

« Mais enfin, David ! Qu’est ce que tu fais !!!»

« Laisse ma chérie, moi aussi j’aime ça ! » Et c’est vrai que la situation me chauffe.

Elle est totalement subjuguée par mon attitude. Son fils reproduit avec moi ce que son père faisait avec elle. J’écarte un peu plus les jambes, tout en sirotant mon verre, et mon amant remonte ses doigts sur ma cuisse.

Virginie est paralysée, a le souffle coupé, alors que Christelle lui caresse délicatement le bras  en y déposant de tendres petites bises.

Je me relève, lui prends les mains pour la faire se redresser et la guide vers la place que j’occupais. C’est-à-dire, sur la cuisse de son fils. Elle se laisse faire comme une marionnette, totalement subjuguée par mon comportement. Quant à moi, je prends sa place sur le canapé.

« Mais Maman » M’implore-t-elle .

« Laisse toi faire ma chérie, ton fils est très doux, tu vas voir »

David lui tient la taille et l’attire un peu plus contre lui. Telle qu’elle est positionnée, elle doit sentir la raideur qui lui enfonce la fesse.

Elle ne proteste pas, mais serre très fort les genoux quand David lui caresse le mollet.

Je laisse Christelle déboutonner mon chemisier et fouiller dans mon soutien gorge devant les yeux ébahis de sa mère. Elle tombe de haut et ne s’attendait absolument pas à cela.

Elle cherche à se relever en protestant, mais David la maintient fermement. Il accentue même la pression de leurs corps.

« Mais enfin David ! Qu’est ce que tu fais ? »

Il a réussi à écarter un peu les genoux de sa mère pour glisser sa main à l’intérieur des cuisses.

Christelle se lève et s’approche de Virginie. Sans mot dire, sa main glisse dans le décolleté de ma fille et, avec toute la magie dont elle est capable, s’occupe de ses tétons.

Les protestations de leur mère deviennent de plus en plus faibles au profit de ses soupirs.

David la repositionne pour l’asseoir directement entre ses jambes, sur son sexe !

Elle ne rechigne pas, au contraire. Elle fait aller son bassin d’avant en arrière pour se frotter contre le membre de son fils. Ses soupirs se font de plus en plus rapides.

Elle abandonne désormais son corps à ses enfants.

Elle s’abandonne également à sa mère quand je lui fait quitter sa culotte et relève sa robe.

David, prestement baisse pantalon et slip. Il l’attire à lui, de nouveau, et elle cherche d’elle-même la pénétration incestueuse. Elle s’est assise sur le gourdin et aux rictus de son visage, je constate qu’elle ne s’attendait pas à recevoir un tel membre en elle.

Christelle revient près de moi et me tape sur l’épaule pour attirer mon attention. Elle m’indique d’ouvrir les jambes et s’agenouille entre elles .J’approche mes fesses au bord de l’assise et attrape la main de Virginie pour la tenir alors que ses enfants s’occupent de nous.  

David a emprisonné les seins de sa mère et lui donne des coups de reins alors qu’elle-même, monte et descend sur la colonne de chair. Elle finit par s’allonger sur David le dos contre son torse.

Christelle est vraiment habile avec sa langue et c’est moi qui jouis en premier. La situation est par trop excitante.

Libérée, Virginie se déchaîne et hurle sa jouissance dans le salon.

Se sentant venir, David repousse délicatement sa mère et Christelle s’empare du chibre de son frère pour le sucer énergiquement.

Virginie est venue se blottir dans mes bras, toute honteuse. Je remarque toutefois la fascination qu’elle porte au sexe de son fils. Pendant que Christelle suçait son frère, j’ai pris la main de ma fille pour la poser sur mon sein gauche. D’abord réticente à ce contact, progressivement sa main s’est enhardie à me presser le galbe, et ce, jusqu’à la jouissance de David dans la bouche de sa sur.

« Je suis désolée maman, totalement désolée de m’être laissée aller ! »

« Pourquoi être désolée ma chérie ? Tes enfants sont extrêmement doués et je compte bien en profiter au maximum ! J’ai découvert tant de plaisir avec eux. A chaque fois, c’est la jouissance assurée. Maintenant, je suis sûre que tu aimeras ça aussi !»

« Maman ! Je ne te reconnais plus ! »

« C’est normal ! Moi non plus ! »

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