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Mémoires d'un vieux cochon – Chapitre 16




SOPHIE

Cette entreprise de transports avait bien des avantages ; en plus de me permettre de sillonner les routes au volant dun gros semi-remorque et de rencontrer de mignonnes auto-stoppeuses, elle ma permis de faire la connaissance de Sophie, une belle blonde plantureuse qui exerçait lactivité de commerciale pour lagence. Sophistiquée, elle létait, avec ses vêtements de luxe et sa BMW. Les regards quelle me lançait étaient chargés de promesses Je résolus de planter mon stick dans son corps pulpeux, la rendant ainsi Sophie-stickée !

Un jour, elle minvita chez elle sous prétexte de manger des beignets aux acacias. Bien vite, je la pris dans mes bras pour lembrasser ; elle me rendit mon baiser puis, sagenouillant aussitôt devant moi, ouvrit ma braguette pour en sortir mon sexe quelle engouffra instantanément dans sa bouche. Elle suçait fort bien ; elle eut même la politesse davaler la dose de foutre que je lui envoyai au fond de la gorge, puis elle mamena dans sa chambre où, sur son lit, nous fîmes lamour. Au moment où elle se mit à jouir, je sentis une chaleur humide inonder ma verge et mes cuisses ; Sophie sexcusa, mexpliquant quelle navait pas pu se retenir duriner lorsque le plaisir lavait envahie. Par la suite, elle recommença très souvent ; presque chaque fois quelle jouissait, elle se pissait dessus.

Jeffectuais chaque soir, au volant dun 38 tonnes, une rotation entre deux villes distantes dune centaine de kilomètres. Sophie maccompagnait régulièrement, agrémentant le trajet de subtiles caresses de ses lèvres sur mon gland. Et même, à plusieurs reprises, je lai baisée tout en conduisant : après avoir enlevé sa culotte et relevé sa robe, elle venait sasseoir sur mes genoux et frottait son cul sur ma bite jusquà ce quelle se dresse, puis elle la prenait en main pour se lintroduire dans le vagin. Par chance, je nai jamais eu de contrôle routier pendant que nous pratiquions ces activités licencieuses ; quelle surprise les gendarmes auraient eue !

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MARIE-FRANÇOISE

Cétait une petite blonde dune vingtaine dannées qui venait danser dans un night-club où jétais DJ. Et lorsque je dis petite, elle létait vraiment : moins de 1m 40 ; elle ressemblait à Vanessa Paradis (du moins, à ses débuts, à lépoque de Joe le Taxi).

Comme elle se plaçait toujours devant moi pour danser en me souriant, un soir, après avoir programmé une série de slows, je suis allé linviter. Elle se collait contre mon corps en dansant et, bien vite, nous nous sommes embrassés. A la fin de la soirée, elle mattendait ; je lai amenée jusquà ma CX et je lai baisée là, sur le parking. Du fait de sa petite taille et de son faible poids, je pouvais la faire bouger sans le moindre effort. Mais, sous ses apparences de petite fille, elle avait cependant une chatte bien développée dans laquelle ma queue coulissait facilement.

Au cours des soirées, il lui arrivait de me rejoindre à la régie son ; là, dissimulée sous les platines, elle me suçait pendant que je calais mes disques et peaufinais mes enchaînements. Ah, si les clients avaient su ce qui se passait presque sous leurs yeux !

Une fois, je lavais emmenée à la campagne. Je lui avais demandé de faire comme si elle était seule, de sallonger dans lherbe et de se masturber ; puis je me suis éloigné. Je revins ensuite sans faire de bruit, en me dissimulant derrière les buissons, et je lai observée. Cétait excitant dépier cette femme en modèle réduit se donner du plaisir ; une de ses jambes était allongée tandis que lautre était repliée. Elle avait ouvert ses cuisses en grand. Pendant que lune de ses mains sactivait sur son clitoris, lautre écarta largement les lèvres de sa vulve ; elle fit glisser un doigt le long de sa fente, puis elle se lintroduisit dans le vagin. Un autre le rejoignit bientôt ; caché derrière un buisson, je pouvais voir cette gamine qui se branlait frénétiquement la chatte à quelques mètres de moi. Ny tenant plus, je sortis ma queue pour la caresser, mapprochai de Marie-Françoise et là, devant elle, je me branlai ostensiblement et langoureusement jusquà ce mon sperme éclabousse son corps dénudé.

Une autre fois, alors que nous nous baignions, nus, dans un étang, je la pris dans mes bras et la plantai sur ma bite. Comme elle était très petite et que leau diminuait notablement son poids, je pus la maintenir soulevée ses pieds ne touchant plus le fond uniquement à laide de ma verge. Puis je la pris par les hanches et la fis coulisser le long de mon sexe en quasi apesanteur !

Nous aimions baiser dans les endroits les plus insolites. Lors dun de mes fréquents voyages à Paris, elle décida au dernier moment de maccompagner. Marie-Françoise navait pas de billet alors que moi javais, comme dhabitude, réservé une couchette. Elle se glissa dans le compartiment (qui comportait six couchettes) et me rejoignit sous la couverture ; les cinq autres couchettes étaient déjà occupées. Bien que nous ayons baisé pendant deux ou trois heures, les autres voyageurs nont pas protesté : même sils nont pas beaucoup dormi, nous avons certainement animé leur trajet et éveillé leur libido

Le lieu le plus insolite où nous avons fait des galipettes, cest dans la devanture dune boutique. Marie-Françoise venait de temps en temps y faire un peu de ménage, et je ly avais accompagnée un soir. Aux environs de 22 heures, nous nous sommes installés derrière la vitrine toutes lumières éteintes, bien entendu et je lai prise en levrette. Parfois, des gens passaient juste devant la boutique, mais aucun neut lidée de regarder ce qui sy passait !

Quelques souvenirs, en vrac : la première fois que je lai enculée, javais dû la défoncer avec trop de vigueur car elle na pas pu contrôler son sphincter : elle a chié dans son lit lorsque jai retiré ma bite de son cul. Et puis, je conserve une cassette vidéo sur laquelle on la voit se branler, puis me sucer. Cet enregistrement se termine sur une scène assez érotique : dune main, je tiens Marie-Françoise par sa queue de cheval afin que sa tête soit inclinée en arrière ; de lautre main, je me branle devant son visage pendant quelle ouvre la bouche et tire la langue pour recueillir des giclées de sperme quelle avale.

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