ANONYME N° 14
Je prenais souvent à bord de ma voiture les gens qui faisaient de lauto-stop, quels quils fussent, filles ou garçons. Ce jour-là, cétait une fille qui levait le pouce au bord de la route. Comme elle allait loin et quil était déjà tard, je lui offris de lhéberger; elle accepta avec reconnaissance, et je la conduisis chez moi, à la campagne, où elle pourrait disposer de tout le confort nécessaire à une étape agréable avant de poursuivre son voyage.
Pendant quelle prenait un bain, je préparais le repas. Comme elle était fatiguée, je lui proposais de se coucher tout de suite et de lui servir son dîner au lit. Cette offre lui plût, et elle se mit au lit. Alors que je la servais, elle me demanda si jallais manger seul. Je lui répondis que cétait ce que jenvisageais, à moins quelle ne minvite à ses côtés. Avec un sourire, elle ouvrit le lit pour que je la rejoigne. Jeus le temps de voir quelle ne portait quun long tee-shirt qui lui arrivait à mi-cuisses ; ses jambes étaient maigres et pâles : elle ne me faisait pas du tout envie.
Je la rejoignis néanmoins ; après le repas (et quelques pétards), et comme je navais pas baisé depuis quelques jours, je me dis que finalement elle nétait pas si moche que ça, et que ça me fournirait loccasion de découvrir une nouvelle chatte. Jétais alors toujours aussi curieux du sexe féminin, tant il offre de diversité : il est rare que jaie rencontré, au cours de ma longue carrière de baiseur, deux vulves semblables. En conséquence, jentrepris de me rapprocher delle ; elle ne refusa pas mes caresses. Lorsque je découvris sa fente, je fus déçu car elle ne correspondait pas du tout à mes goûts (celles qui sont dotées de longues lèvres saillantes). Celle-ci, au contraire, présentait de toutes petites lèvres de quelques millimètres seulement, bien cachées au fond de sa vulve. De même, son clitoris noffrait quune minuscule excroissance, que jeus bien du mal à dénicher.
Jintroduisis quand même ma bite dans son vagin, quelle avait serré et très peu lubrifié ; ce fut pour moi une expérience décevante. Cest pourquoi, après avoir tiré mon coup, je ne remis pas le couvert ; et, le lendemain matin, je fus bien content de men débarrasser en la reconduisant à lendroit où je lavais trouvée, au bord de la route.
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ANONYME N° 15
Lauto-stop est une loterie : autant peut-il apporter des expériences décevantes comme la précédente, autant peut-il être source de rencontres intéressantes, telles que celle-ci. Une femme faisait des signes aux voitures, mais celles qui me précédaient sur la route ne sarrêtèrent pas. Aimant bien rendre service, je pris à mon bord une femme relativement âgée (pour moi qui navais alors quune trentaine dannées). Elle devait avoir la cinquantaine, était bien vêtue quoique maquillée un peu outrageusement à mon goût et ne semblait pas trop décrépite pour son âge.
Nous engageâmes bientôt la conversation ; sa voiture était tombée en panne non loin de lendroit où je lavais prise ; puis elle me parla de sa fille, qui était dans un pensionnat religieux où, selon ses dires, on pratiquait encore les punitions corporelles. En effet (je reprends les paroles quelle a employées), on lui donnait des branlées.
Comme elle avait déjà répété cette phrase à trois ou quatre reprises, je trouvai que cette dame insistait beaucoup sur les branlées. Je lui déclarai que certaines branlées pouvaient être très agréables et, joignant le geste à la parole, jouvris ma braguette et dégageais ma bite que je me mis à branler sous les yeux de la bourgeoise. Elle fit mine dêtre choquée, mais ne cessa pas de regarder ma main qui allait et venait sur ma queue qui prenait de lampleur.
Oh ! Espèce de cochon ! Oh ! Petit salaud !
Ses commentaires ne me perturbaient pas, bien au contraire. Je continuais à mastiquer la bite tout en conduisant, sous le regard intéressé de ma passagère qui fixait ma verge dont le gland semblait prêt à éclater, tellement il était gorgé de sang Je suppose quelle devait être excitée, car son discours changea.
Je sais que je suis plus âgée que toi, mais je suis encore pas mal du tout. Regarde mes seins ; ils sont bien conservés. Est-ce quils te plaisent, mes seins ?
Elle déboutonna son corsage et libéra sa poitrine de son soutien-gorge. En effet, des seins dun bon volume mais un peu affaissés soffrirent à ma vue.
Ils sont encore beaux, nest-ce pas ? Ils te plaisent ?
Oui, Madame ; ils sont très beaux, et ça mexcite de les voir. Regardez comme ils me font bander !
En fait, ce nétait pas ses seins qui mexcitaient (je ne voulais pas la décevoir) mais la situation : une femme bien plus âgée que moi, que je ne connaissais pas encore un quart dheure plus tôt, qui mexhibait ses seins pendant que je me branlais à côté delle Je ne pouvais pas tenir bien longtemps encore, sentant le plaisir monter irrésistiblement dans ma tige, dautant plus que cette vicieuse se pinçait le bout des seins en faisant rouler ses tétons érigés entre ses doigts.
Jattrapai un chiffon sous mon siège et le disposai sur mes genoux pour éviter de tacher mes vêtements. Ma main serra avec force la hampe de ma bite ; mon gland enfla encore plus, devint congestionné tandis que quelques gouttes de liquide transparent apparurent à son extrémité. La vieille bourgeoise vicieuse nen perdait pas le moindre détail ; son regard, fixé sur ma bite, devint halluciné tandis quelle tordait avec violence ses tétons. Dun doigt lubrifié par le liquide qui sécoulait de mon méat, je me caressais délicatement le frein, sous le gland. Ma bite se mit à tressauter dans ma main qui létranglait fermement et, par saccades, mon sperme jaillit avec force. Les premiers jets vinrent sécraser sur la planche de bord et sur le volant, puis le reste se déversa sur le chiffon que javais judicieusement étalé sur mes jambes.
Cest en voyant tout ce sperme jaillir que lhonorable mère de famille, qui triturait le bout de ses seins, partit dans un orgasme qui la fit hurler de plaisir. Peu de temps après, nous arrivions à destination. Je la laissais à lendroit quelle mavait indiqué, lui disant seulement :
Nous sommes arrivés, Madame ; au revoir, et merci pour tout !