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Emma : libérée, déchirée – Chapitre 2




Je laisse passer une dizaine de jours avant d’appeler Emma. Elle dit qu’elle attendait mon coup de fil. J’avais le ok de Paul :

— Tu peux la sauter autant que tu veux, mais tu ne sors pas avec elle.

Nous mangeons ensemble un mardi à midi. Dans une jolie robe bleue à larges bretelles, Emma n’est pas chaude, elle est incandescente. Elle me raconte tout en détail, ses envies, sa libido à son zénith, ses masturbations plusieurs fois par jour. Je suis à deux doigts d’aller la sauter dans les toilettes du restaurant, mais il y a du monde et puis, j’ai envie de la frustrer un peu. Elle me dit que son string est trempé et me fait vérifier en glissant vivement ma main entre ses jambes, alors que nous sommes garés en double file devant l’entrée de l’université où je la dépose. En fin de journée, je reviens la chercher et nous allons baiser chez elle. Trois fois. Le retour de sa mère durant le troisième acte ne lui pose aucun problème, quand bien même je suis en train de la sodomiser. La faire jouir ainsi est délicieux.

Allongé ensuite dans le lit à côté d’elle, je lui demande :

— Alors, toujours partante pour un week-end 100% anal ?

— Hmmm 100% ? Ça me semble un peu beaucoup 50% seraient déjà pas mal.

— Le taux n’est pas négociable.

Elle réfléchit.

— Je ne sais pas. Ma curiosité et mes sens disent oui. Parce que ça m’intrigue d’essayer, ça m’excite et je sais que je vais prendre un pied incroyable, vu l’intensité de mes orgasmes de ce côté-là.

Elle marque une pause :

— Mais l’idée de ne faire que ça me stresse un peu. La sodo, je ne pratique pas souvent. On l’a eut fait deux fois durant quelques week-ends mais pas plus. Alors plusieurs fois par jour, ça m’inquiète, même si je sais que tu prépares super bien.

Je la caresse et descends la main dans son minou humide.

— Tu m’as dit que tu aimais les challenges alors le week-end, c’est oui. Dans une autre ville, loin. Je vais te dire quoi prendre, quoi mettre et quand. Je te sodomiserai uniquement. Je te promets le week-end le plus excitant de ta vie.

Je la masturbe de plus en plus vite. Elle gémit et ondule des hanches :

— Ooooh ! J’ai tellement envie de toi ! De faire l’amour avec toi !

— Dans ton cul ?

— Oui ! Aussi dans mon cul, mais pas que là ! Je ne pourrais pas

Elle rougit, halète, commence à suer avant d’exploser. Orgasme violent. Je l’embrasse.

— Réfléchis et appelle-moi ce week-end.

Dimanche en fin de journée, Emma appelle. C’est oui et en plus, il faut partir le plus vite possible. Je trouve une destination en last minute. Départ le vendredi 7 mai 1999, à la mi-journée. Elle est d’accord. Le lendemain, je lui transmets par mail une liste des vêtements et dessous à prendre sans faute. Sa tenue de départ est également indiquée.

Vendredi, 11h30. Emma arrive en taxi à l’aéroport. Sublime. Comme demandé, elle porte bien une jupe droite, des bas noirs et des talons aiguilles. Sa généreuse poitrine est mise en valeur par un décolleté affolant. Baiser long, intense, profond. Elle rit en disant qu’elle ne s’était jamais habillée ainsi et espère ne pas croiser des connaissances. Elle se tourne, son cul est moulé dans le tissu stretch de la jupe et un il averti verra sans difficulté la marque des jarretelles à travers l’étoffe. Elle me fait fantasmer. Emma est sous le charme de mon costume noir. Elle ne connait pas la destination et semble s’en ficher éperdument. Contrôles, douane Emma est l’attraction du jour et elle semble y prendre goût. Je lui mets la main au cul toutes les deux minutes.

Durant le vol d’une heure, Emma me montre ses seins dans son décolleté et je la pelote à plusieurs reprises. Elle meurt d’envie de me sucer. Je la teste :

— D’ici dimanche, tu penses qu’on le fera combien de fois ?

— J’y ai réfléchi ce matin. Je pense que six fois, ça serait déjà pas mal. Sept ou huit fois, ça serait vraiment exceptionnel. Neuf ou dix fois, je n’y crois pas une seconde.

— Et plus ?

— Plus que dix fois ?!? Arrête, c’est débile, c’est juste pas possible. Si on le fait plus de dix fois, je t’offre un permis de sodomie à vie !

Nous éclatons de rire.

A 15h, un taxi nous emmène à l’hôtel et dans la chambre, je sodomise Emma en cuillères après une intense fellation. Emma a un orgasme magnifique. La regarder se rhabiller ensuite, la voir rattacher son porte-jarretelles à ses bas, est presque plus hot que de la déshabiller.

L’hôtel est en bord de mer et nous nous baladons main dans la main sur les rives. Nous buvons un verre à la terrasse d’un bar avant de revenir à l’hôtel. Emma me suce divinement, encore une fois. C’est en levrette que je la sodomise et éjacule pour la seconde fois dans son cul. Elle ne jouit pas cette fois-ci. Elle me dit ensuite qu’elle l’avait déjà fait deux fois dans la même journée, mais le matin au réveil et le soir. Jamais si rapproché.

Elle va se doucher et se rhabille pour le souper. Elle garde la jupe, le soutien-gorge, le porte-jarretelles, les bas et les talons, mais elle passe un chemisier plus moulant. Pendant le repas, je lui demande si elle est déjà sortie sans culotte. Elle répond par l’affirmative et me parle notamment d’un après-midi chez Paul où elle était en jupe et elle était certaine que j’avais vu son minou. Je me souviens de l’après-midi en question mais je n’avais pas vu sous sa jupe.

En remontant dans la chambre, Emma est à califourchon sur moi et sautille allègrement sur ma queue. Elle jouit. Je lui dis de changer. Emma se prépare seule puis me fait doucement pénétrer derrière. Je la laisse entièrement faire. Elle s’y prend très bien et glisse sur mon chibre. Emma prend son rythme et jouit après quelques minutes. Puis, lentement mais sûrement, elle m’emmène à l’orgasme et crie au moment où j’explose en elle. Son "record" est déjà battu.

Au réveil le samedi matin, nous remettons ça immédiatement. A nouveau en cuillères. Emma est surprise de ne pas avoir mal au derrière, mais elle avoue être très détendue et bien préparée lors de chaque rapport.

Après le petit-déjeuner, nous partons en ville. Nous flânons. Emma porte une petite robe noir évasée sur le bas. Peu avant midi, dans une boutique d’un centre commercial, nous prenons des habits et passons en cabine d’essayage. Alors qu’elle est en dessous, je dis à Emma combien j’ai envie d’elle et d’une fellation. Elle n’ose pas. Je l’embrasse, la chauffe et elle s’agenouille. Quand elle se relève, je lui dis que je vais la sodomiser. Elle rougit, me dit que ça n’est pas possible. Finalement, elle se tourne et je la prépare rapidement avant de glisser en elle. C’est court, rapide et intense. Elle n’est pas bien dilatée mais ne dit pas non. Elle étouffe autant que possible ses gémissements mais lâche tout de même un petit cri lorsqu’elle jouit. Peu après, à mon tour, j’explose. Elle se rhabille en vitesse et nous sortons. Cinquième sodomie du week-end, la plus difficile aussi.

Nous prenons une pause déjeuner puis nous baladons tranquillement en ville, en amoureux. Je lui dis que Paul m’a interdit de sortir avec elle. Elle dit :

— Je refuse que ça s’applique à un territoire inconnu.

Nous rions. De retour à l’hôtel, il faut une longue préparation pour que je puisse la prendre une nouvelle fois par le cul. Elle est complètement dilatée cette fois-ci et je glisse aisément entre ses fesses. Elle est couchée sur le lit, sur le dos. La meilleure position selon elle et son orgasme est le plus intense depuis notre arrivée. Nous faisons une courte sieste ensuite.

Après la douche, Emma s’habille pour le soir : une minirobe au décolleté profond et sans dessous. Nous nous embrassons, elle est très excitée et c’est elle qui propose de le faire avant de descendre souper. Sublime levrette et longue sodomie. Nous hésitons à descendre tellement nous sommes bien après l’avoir fait. Finalement, il est 20h30 lorsque nous nous présentons au restaurant. Repas délicieux et coquin quand Emma me raconte quelques anecdotes à caractère sexuel sur sa relation avec Paul, notamment lorsqu’elle l’a sucé sur un télésiège ou quand ils ont fait l’amour lors du mariage d’une cousine de Paul. Nous allons ensuite boire un verre dans le bar de l’hôtel.

Vers minuit, nous prenons l’ascenseur, un peu saouls et excités. Les portes se ferment et je fais lécher mon majeur à Emma pour lui mettre dans le cul. Elle gémit. L’ascenseur s’arrête au 1er. Deux couples de retraités entrent. Je pousse mon doigt plus loin dans le cul d’Emma qui se retient. Les vieux sortent au 3e. Emma dit à quel point la situation l’a excitée. Nous sortons au 4e. Un dizaine de mètres devant moi, dans le couloir, Emma lève sa robe et écarte ses fesses.

Elle entre dans la chambre et elle est déjà à quatre pattes sur le lit, robe relevée quand j’y pénètre à mon tour. Elle me tend le gel et se détend très vite. Je fais durer le plaisir et comme avant de descendre, je la sodomise longtemps. Elle jouit dès la première position puis nous en changeons deux fois et à chaque fois, je la pénètre très facilement. Elle est couchée sur le lit et nous nous embrassons à pleine bouche quand je jouis en elle. Magnifique. Nous dormons peu après.

Dimanche, jour de notre départ, nous le faisons deux fois : au réveil puis vers 11h, juste avant de partir. Emma a un orgasme lors du premier rapport.

Nous prenons l’avion en début d’après-midi. Bilan du week-end :

— Alors Emma, on l’a fait combien de fois ?

— Dix fois, j’aurais jamais pensé. Cinq fois rien qu’hier !

Je souris. Elle justifie :

— En fait, tu prépares tellement bien que c’est aussi facile qu’un rapport vaginal.

— Sauf dans la cabine d’essayage.

— Là, oui, j’ai eu un peu mal. Mais c’était tellement excitant !

Nous atterrissons dans notre ville à 15h30. Je la ramène. Devant chez elle, nous nous embrassons. Elle me propose de monter. Je lui réponds qu’effectivement, le week-end n’est pas fini. Elle rit. Dans sa chambre, nous nous déshabillons mutuellement et faisons l’amour tendrement, mais notre ébat se termine encore une fois dans son petit trou. A sa demande, faut-il le préciser…

Douche, lessive puis canapé. Nous grignotons. Après le repas, nous nous embrassons dans le canapé. Murmure :

— J’ai envie de la sodomie ultime, ton Graal.

Elle rit :

— Tu entends quoi par là ?

— Une sodomie intense et longue où tu jouirais plusieurs fois, une sodomie complète avec plusieurs positions, une sodomie sans fin tellement tu prendrais ton pied.

— Mmmh On y va ?

Emma m’entraine dans la chambre. Je la prépare pendant plus de vingt minutes, utilisant notamment son gode. Emma est à l’aise et complètement dilatée. Elle vient d’abord à califourchon sur moi, de face (habituel) puis de dos (première fois). Je la prends ensuite en levrette avant qu’elle ne se couche sur le dos. Elle atteint un orgasme intense dans cette position. Elle revient à califourchon sur moi et atteint très vite un second orgasme.

Je m’allonge ensuite derrière elle en cuillère. Nous nous embrassons à pleine bouche, je caresse ses seins. Je lui demande comment on termine. Elle répond :

— En levrette, c’est vraiment trop bon !

Elle se met à quatre pattes mais je ne m’agenouille pas derrière elle. Je reste debout, jambes pliées, et je la pénètre ainsi. Profondément, de haut en bas. Je vais et viens lentement. Elle me dit d’accélérer. Un peu plus vite mais surtout de plus en plus profond. Les gémissements d’Emma sont des cris et j’avoue que c’est l’une des plus belles sodomies de ma vie. Je continue à gagner en profondeur. Emma me prend entièrement dans son cul. Elle est en quasi transe. Je l’astique d’amples mouvement de hanches, aussi rapides que possible. A chaque passage, mon sexe disparait complètement entre ses fesses.

Au moment où j’explose violemment dans son arrière train, le corps d’Emma est parcouru d’un impressionnant frisson et elle hurle littéralement de plaisir.

Je reste encore quelques secondes en elle avant de me retirer lentement. Son anus doit faire 6 ou 7 cm de diamètre. Je m’amuse à glisser mon index et mon majeur dans son cul sans toucher les bords. Elle s’allonge, en sueur, incapable d’articuler un mot. Il lui faut cinq bonnes minutes pour reprendre ses esprits. Je l’embrasse tendrement. Elle répond à mon baiser. Elle dit qu’elle n’est pas prête d’oublier ce week-end et notamment ce dernier orgasme. Pour plaisanter, je lui dis :

— Et mon permis alors ? Tu le délivres ?

Elle rit puis assure :

— A part ça, c’est sérieux.

— Quoi donc ?

— Le permis.

— Tu rigoles ou quoi ?

— Non. Je vais y mettre des clauses, mais c’est sérieux.

— Des clauses ? Quelles clauses ?

— Et bien, par exemple, que le permis n’est pas valable quand je suis en couple.

— Arrête. Non mais t’imagines ? Tu te maries, t’as des gamins et à 45 ans, tu te sépares de ton mari. Alors que ça fait peut-être 15 ou 20 ans qu’on ne s’est pas vu, j’arrive alors avec mon permis : bonjour, bonjour, je suis là pour te péter le cul !

A ma grande surprise, elle ne rit pas du tout :

— Exactement. Tout le long de ma vie, je veux qu’il existe la possibilité réelle que tu me sodomises.

— Mais bien sûr ! A 80 ans, quelques pilules bleues et je t’encule à la maison de retraite.

Cette fois, elle explose de rire :

— Je ne tiens pluuuus !

Elle a réussi à garder son sérieux la première fois, pas la seconde.

— J’ai adoré te faire marcher.

— Je n’y ai jamais cru.

— Peut-être. Mais je suis sûre que ça t’aurait plu.

Baiser rieur. Je me rhabille et m’apprête à partir. Dans l’entrée, nous nous embrassons une dernière fois. Elle va dire quelque chose puis se ravise. Sans promesse, c’est mieux ainsi. Je m’en vais.

Finalement, je ne pourrais jamais utiliser mon permis.

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