Je rentre de faire des courses en ville. Jentends les gémissements de jouissance de ma femme. Je pense qu’elle vient de se masturber: ça lui arrive souvent. La plus part du temps elle m’appelle quand elle se donne du plaisir pour que je la fasse jouir avec un gode, pas avec ma queue: elle me suce après avoir jouit elle-même.
Je monte dans la chambre pour voir la suite de ses plaisirs. J’entends en montant un autre râle de jouissance. Je ne le connais pas encore. La porte de la chambre est ouverte: elle n’est pas seule. Le spectacle que je vois ferait dresser les cheveux de toute une ligue de biens pensants: elle est nue, avec une de ses amies que je connais assez bien. Je ne la savais pas lesbienne.
Elles s’embrassent sur la bouche et je peux voir les langues se livrer une "féroce" bataille. Elles se caressent partout et je vois la main de ma femme s’égarer vers le pubis de son amie qui écarte les jambes. La main va jusqu’au bouton, ne le cherche pas longtemps: elle branle sa copine qui réagit immédiatement en disant " oui, oui, encore, baise-moi bien". Ma femme répond simplement;" je t’enfilerai tout à l’heure avec mon gode".
Je reste sur le pas de la porte, la bite bien dure de voir ces deux femmes s’aimer. C’est bien la première fois que ma femme se livre, au moins devant moi à une autre fille. Je me demande ce que je vais faire. Après tout, si elles aiment ça, pourquoi les déranger.
Je me retire un peu, sors ma queue et me branle en les regardant faire.
En attendant ma femme remplace ses doigts par sa langue. Elle fait encore jouir l’autre fille. Elles n’en ont pas assez: c’est la baisée qui se tourne complètement pour se mettre les jambes écartées sur la bouche de ma femme et poser la sienne sur la con de mon épouse. Je remarque que les deux poitrines sont posées sur le ventre de l’autre. Les langues semblent bien déchainées. Les mains aussi participent à la fête: celles de ma femme semblent plus actives: elle a rentré deux ou trois doigts dans le cul de l’autre qui, elle, la doigte simplement.
J’arrête ma branlette pour me faire jouir plus tard ou alors participer à ces instants de plaisirs lesbiens.
Elles finissent par jouir. Ma femme à ce moment sort son gode et le rentre très lentement dans le con de sa copine. Elle est mise de telle façon que je pourrai l’enculer sans problème.
Je m’approche, ma femme me voit et m’invite à participer à sa baise et me demandant de l’enculer ou si je veux me faire sucer.
Je préfère la sodomie qui me permet de posséder ma femme plus entièrement: elle aime se faire mettre pas là. Je ne m’en prive pas. *
Nous réussissons l’exploit de jouir tous les trois ensemble.