Il y a un an Sylvie me dit :

— Dis donc il est sympa le père Georges F avec ses prix réduits pour la viande, mais quand il amène celle qu’on a commandée, il me regarde d’un drôle d’air. Pourtant je ne fais rien de particulier mais j’ai l’impression qu’il voudrait bien me sauter dessus ! C’est un peu gênant quand même !

— Tu n’as quà l’allumer en t’habillant très légèrement et lui montrer tes seins ou lui laisser voir tes fesses en transparence !

— Bof tu sais il est vraiment vieux et moche et c’est tout juste si je peux lui faire la bise pour dire bonjour !

Il est vrai que ce bonhomme a 60 ans, bedonnant, grande gueule (sûrement pour maintenir les deux gars sous ses ordres !), gouailleur, les traits grossiers et surtout des yeux vicelards.

— Mais enfin il mériterait un remerciement pour ce qu’il nous fournit. Tu pourrais être sympa et lui montrer surtout tes jolis seins. Ce serait bien, il le mérite !

— Ça va pas, dit-elle, je pourrais pas, j’en frissonne déjà !

Le temps passa après cette discussion et un jour je rentrais alors que F livrait Sylvie pour la commande de la semaine. Je passais devant la fenêtre de la cuisine. Ils étaient tous les deux en train de discuter (ils ne m’avaient pas vu !) et je constatais que Sylvie bougeait pas mal à côté de lui et en observant sa tenue je constatais que son corsage était ouvert et qu’elle n’avait pas de soutien-gorge. Elle était seins pratiquement nus devant le père F ! Il ne devait pas en perdre une miette !

J’étais surpris et heureux qu’elle ose faire cela.

Enfin j’entrai dans la maison. Ils sursautèrent tous les deux quand je rentrais dans la cuisine où ils étaient ne m’ayant pas entendu !

— Oh, te voilà, dit-elle tu ……

Elle n’en dit pas plus en restant bouche bée !

Effectivement son corsage ample était ouvert sur ses seins

J’embrassais Sylvie qui était un peu chaude !

— Salut dis-je à F ! Ah bah c’est sympa de nous amener tout cela !

— Euh oui, oui, dit-il en bégayant, j’allais partir.

— Non, dis-je, allez un pastis bien frais avant de partir c’est mieux non ?

— Ah ouais pourquoi pas, dit-il, il fait tellement chaud !

— Je vois ça, dis-je en regardant Sylvie avec un sourire ! On se met à l’aise c’est bien !

Elle était toute rouge essayant de refermer son chemisier en douce pour cacher sa poitrine.

— Non, reste comme ça ma chérie !

Elle abandonna et laissa son corsage tranquille et me regarda avec un sourire. Elle me dit en souriant :

— Tu aimes bien ça, hein ?

— Oh oui et surtout quand un homme sympathique en profite aussi !

Bref nous prîmes le pastis proposé et tout le temps F fixait Sylvie. On apercevait ses seins quand elle bougeait mais il y avait autre chose qui l’intéressait et je compris pourquoi, elle était assise face à nous et sa jupe courte laissait entrevoir une bonne partie de ses cuisses bien qu’elle garde les jambes bien serrées. Je trouvais un prétexte pour attirer ma femme dans une autre pièce et je lui dis :

— C’est super ce que tu fais mais encore mieux, retire ta culotte et montre-lui ta chatte, il va bander comme un fou !

— Mais, dit-elle…

— Allez vite, lui dis-je.

Et sans attendre je remontai sa jupe pour la lui retirer et je m’aperçus qu’elle n’en avait pas !

— Oh ma chérie je ne savais pas

Je la pris dans mes bras en la serrant très fort. Elle me dit :

— J’avais envie de l’allumer ce vieux con !

— Génial, tu fais exactement ce dont je rêvais. Je t’aime. Viens, on va continuer !

Elle n’avait pas dit un seul mot que je l’emmenai dans le salon rejoindre F

Elle se rassit devant lui et moi derrière le fauteuil de F je fis signe à Sylvie d’écarter les cuisses.

Timidement, elle commença à les écarter.

Je lui fis signe avec le pouce que c’était bien mais en fronçant les sourcils que ce n’était pas assez. Elle comprit le message et écarta franchement les jambes, nous révélant toute son intimité.

F s’étrangla et en toussant dit :

— Il est fort le pastis que vous mavez servi !

— Ah bon ? dis-je en me rasseyant. Avec un grand sourire adressé à Sylvie ! Faites attention quand même !

L’apéro continua l’alcool déridant les gens ! Et nous eûmes droit à des plaisanteries salaces de sa part avec son rire gras ! Il ne quittait toujours pas Sylvie des yeux et elle en rajoutait aussi en rigolant facilement, les cuisses toujours entrouvertes ou carrément grandes ouvertes et laissant son corsage s’ouvrir en grand, sa poitrine offerte à nos regards (je me demandais si elle n’avait pas ouvert un autre bouton tellement on les voyait bien, les tétons tendus !)

Enfin il partit. Ce soir-là je la câlinai doucement et la félicitai encore et encore sur son attitude face à F. Elle me dit qu’elle avait aimé le voir gêné au départ et excité à la fin et qu’elle se serait bien mise nue devant lui pour qu’il se branle ! Mais vraiment il la repoussait !

Quelques jours plus tard, elle me dit,

— Ce soir F m’a livré j’étais habillée normalement comme maintenant (effectivement bien sagement jean et tee-shirt avec soutif voyant mais bon !…) oui, il est arrivé tout excité, il sentait le pastis d’ailleurs et tout de suite il me fit la bise presque sur la bouche ! Beuhark !…

Il avait un short large sur ses cannes blanches et en posant le colis par terre, il saccroupit en écartant largement les jambes et j’aperçus sa queue pendante par l’entrebâillement. J’étais surprise de voir ça !

Il me regarda avec un grand sourire et me dit :

— Pas mal aussi hein ?

— Bah, heu… dis-je

Il se redressa ; presque contre moi et me prit dans ses bras. Il essaya de m’embrasser.

Surprise, je me laissai faire et il introduisit sa langue pleine d’anis dans ma bouche !

En même temps, il prit ma main et la posa sur sa bite, qu’il avait sortie je ne sais pas comment !

J’étais tellement surprise que je laissais faire. J’ai pris sa queue molle et j’ai branlé un peu mais sentant cette langue dans ma bouche je l’ai repoussé et j’ai crié :

— Non pas ça !

Je m’écartais de lui, tremblante.

— Fichez le camp, je veux plus vous voir !

— Mais, mais je croyais……. dit-il

— Non, partez !

Et il a fichu le camp.

— Tu te rends compte ? Il m’a pelotée en plus ! Je veux plus le voir !

Je compatis, la prenant dans mes bras pour la rassurer.

— Mais dis donc j’espère qu’il ne va pas nous lâcher avec les prix qu’il peut nous avoir !

— C’est vrai dit-elle, merde, c’est bête, j’avais pas pensé à ça !

— Bon, demain essaye de le voir et t’excuser en lui faisant une bise et puis voilà.

— C’est facile à dire, mais bon, je l’ai engueulé quand même, il va pas être content du tout, tu peux pas nous excuser et lui expliquer……

— Tu sais je le vois pas souvent et puis c’est toi qui l’as repoussé, l’autre fois tu l’avais bien allumé, donc il faut comprendre qu’il a dû se branler comme un dingue sur toi et bon…..

— Dis donc pour te faire pardonner, fait comme tu as fait à Marc l’autre fois, une pipe complète et puis ça passera les choses !

— Oh non, je pourrais pas le sucer lui, il est vraiment moche et j’ai peur de lui en plus !

— Ah bon, pourquoi ?

— Je sais pas mais il me semble brutal, il serait capable d’être vicieux et en plus il doit être sale !

— Non, ça m’étonnerait quand même, fais-lui plaisir pour te racheter !

Elle ne répondit pas et nous en restâmes là, je bandais déjà pour la suite (qui ne m’a pas déçu d’ailleurs !)

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