A présent elle masturbait deux hommes dans un salon en milieu d’après-midi. Et les deux messieurs bandaient puissamment.
L’un lui disait : "tu es jolie" en soufflant et commençait à caresser la jeune femme tout au bas du ventre.
Elle regardait alternativement les deux membres. Ils étaient d’une même physionomie. Elle avait hâte de les sentir tous deux en elle mais elle voulait prendre son temps, goûter l’incongru de la situation. Ce n’est pas tous les jours qu’on branle deux messieurs !
Et puis elle a pris en bouche celui qui était à sa gauche, sans lâcher la queue de l’autre homme qui était décidé à la branler à son tour.
La jeune femme lui a ouvert ses cuisses. Elle était occupée à happer le membre de l’homme qui appuyait sur sa tête, qui désirait ardemment qu’elle absorbe cette queue jusqu’au fond de la gorge. Ainsi sont les hommes.
On lui retirait son string à présent. On allait la foutre et elle ne cesserait sa fellation pour rien au monde. On pouvait bien la foutre au cul, hein ?
Mais non. L’homme qui l’a manoeuvrait s’enfonçait en son con, tout au fond de son con.
Cela ne durerait cependant pas. En la foutant, il verrait ce cul joliment provocateur et il lui vviendrait l’idée de le branler tout d’abord ce cul. Il le lubrifierait au doigt. Il verrait tressaillir la jeune femme que la sodomie n’effraie pas.
Les deux hommes grognaient et elle gémissait la bouche pleine. Elle se donnait en spectacle pour les deux messieurs qui la foutaient l’un par la bouche, l’autre par le con, alors qu’on l’avait invitée à prendre le thé.
Mais la servante revenait. Elle allait interrompre momentanément cette scène orgiaque sans s’étonner de l’obscénité ambiante.
Au contraire, la jeune femme vêtue comme la plus perverse des soubrettes s’est approchée du trio comme admirative et envieuse.
Assez rapidement elle a glissé ses mains entre ses jambes, de façon significative et aguicheuse.
Elle a indiqué que le thé était servi et a gentiment caressé les corps des deux hommes qui avaient toujours leur invitée sous leur emprise. Et les deux hommes ont repris leur activité.
La servante a regardé la jeune femme foutue, qui sentait se poser sur elle un nouveau regard.
L’invitée a eu envie de se montrer aussi indécente que possible devant la servante. Elle savait que le membre qu’elle avait en bouche pouvait exploser d’un moment à l’autre. Elle voulait que le foutre inonde son visage.
L’homme qui la foutait au con accélérerait furieusement aussi de son côté. Lui aussi allait l’arroser de sa semence.
Mais il ne le ferait pas sans avoir foutu cette jeune femme au cul, sous le regard de la servante qui regarderait attentivement les expressions terribles du visage de celle qui se rend compte qu’une queue se glisse dans son anus.
Et la servante regarderait stoïquement ces messieurs déverser leur foutre sur leur invitée tandis que le thé refroidit. L’invitée profère de longs râles quand l’homme en elle joue avec sa queue au fond de son cul. Mais il jouit. En elle, puis hors d’elle, quand il se retire, lentement et sous le regard attentif de la servante.
Les messieurs se lèvent et se rhabillent presque symétriquement. Ils laissent seule sur le canapé la jeune femme pleine de sperme, gémissante.
C’est la servante qui la rejoint pour lui lécher le visage qu’elle a criblé de sperme. Ce faisant, la jolie servante caresse le corps bouillonnant de cette invitée qui ne parvient pas à songer au thé qui est sur la table, là.
Les messieurs boivent le thé, d’ailleurs.
Ils regardent silencieusement la servante jouer avec le corps abandonné de la jeune femme.