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surpris en string par ma belle-fille – Chapitre 2




Depuis notre première fois, ma belle-fille et moi, notre vie a un peu changé. Lorsque ma femme est au travail, je me promène très souvent en string dans la maison, pour le plus grand bonheur de Anne, ma belle-fille. Lorsquelle ne travaille pas et que ma femme est au travail, nous en profitons pour faire lamour, cest très excitant !

Ce matin, jétais dans la salle de bain lorsquelle fait irruption avec un paquet assez long, elle me fait alors découvrir un double gode de 50 cm de long, elle me dit en souriant que lon va bien samuser.

-« comme tu es bisexuel, je suppose que la sodomie ne te fait pas peur ! »

Je lui réponds queffectivement jadore ça et que je le pratique souvent avec des mecs. Puisque cest un double gode, je présume que nous allons lessayer à deux et je lui propose de faire un petit lavement préalablement, car cest indispensable pour faciliter la sodomie.

Anne me précise quelle na jamais été sodomisée. Mais en observant la taille du gode, assez impressionnante, je la préviens que, pour une première fois, ce sera sans doute un peu difficile. Elle me répond quelle en a envie depuis toujours et quil ne coûte rien dessayer !

Après nos ablutions matinales et le lavement, nous nous retrouvons au lit avec le bel engin damour. Pour commencer, Anne commence par une fellation afin de me mettre en forme. Elle prodigue cet amuse queue de façon magistrale !

Cest à ce moment précis que, ce qui devait inévitablement arriver un jour ou lautre se produisit : ma femme nous regardait à travers la porte de la chambre. Situation pour le moins embarrassante et qui me fit débander séance tenante. Ma belle-fille nen menait pas large non plus !

Je bafouille quelques mots dexcuse en disant que cétait la première fois et que cela ne se reproduirait plus. Mais ma femme marrête dun geste en mexpliquant que, dune part elle nous avait déjà surpris et quen plus, cela ne la gênait nullement. Très étonnant mon regard lincitait à sexpliquer.

Elle me répond quil était normal pour le moral de sa fille davoir une vie sexuelle épanouie, et quelle préférait de loin que je lui fasse lamour plutôt que de la voir courir les aventures éphémères. Il serait temps dabandonner nos relations lorsque Anne rencontrerait le nouvel homme de sa vie. Quant à moi, elle me savait en grands besoins sexuel et préférait également me voir dans les bras de sa fille, plutôt que dans ceux dune maîtresse qui pourrait minciter à la quitter.

Le plus étonnant cest quelle nous a avoué quelle prenait plaisir à mater nos ébats !

Puisque nous en sommes là, je lui propose si elle le souhaite de nous rejoindre, tout en observant les réactions de sa fille. Mais Anne nous précise que cela ne la dérange pas, sa mère est fort belle encore et ma belle fille nous confie être bisexuelle, décidément toute la famille serait donc bi !

Claudine, ma femme se déshabille sans gène, de toute façon elle ne sest jamais gênée pour se déshabiller devant sa fille. Après un court passage dans la salle de bain, elle nous rejoint et, bien entendu commence à me caresser le sexe tout en sadressant à sa fille :

— « en tout cas ma fille tu es vraiment douée pour sucer un mec !

Anne lui répond en rigolant :

— Ce doit être héréditaire maman, non ?

Claudine saperçoit que nous avion un double gode à portée de main :

-bel engin, je suppose que mon chéri va bien en profiter

Je lui confirme que je me réjouis de lessayer.

Claudine prend dans ma table de nuit le lubrifiant que nous utilisons parfois et commence à menduire la rondelle. Jadore ses préliminaires. Très rapidement, elle me met le pouce dans le derrière, puis deux doigts directement. Ouf, au début cela fait toujours un peu mal, mais ensuite ça passe.

Elle me propose de mettre un coussin sous mes fesses, car ce sera plus facile pour lintromission. Elle finit de me préparer avec trois doigts, et je lui propose alors, bien détendu, mais très excité, de me goder. Cest vrai que le gode est relativement gros, très gros même, par conséquent, Claudine y va en douceur. Au début cela me fait très mal, je lui demande de le retirer pour souffler un peu. On recommence et en même temps quelle introduit lengin, je pousse comme si jallais déféquer, cela agrandit le sphincter, tous les sodomisés utilisent cette technique dans les moments difficiles. Cette fois le gros gland passe dans lampoule rectale, Claudine continue de me lenfoncer, cela rentre bien et jéprouve du plaisir à lui offrir mon cul, elle sen rend compte et me traite de sacrée lopette ! Me voici donc avec 20 cm de gode dans le derrière.

À présent, Claudine commence à soccuper de sa fille, sans aucune pudeur, elle lui applique du gel lubrifiant sur lanus et introduit son pouce dans lanus. En rigolant, elle nous dit quelle avait souvent mis de la pommade sur les petites fesses de Anne petite, et quelle naurait jamais imaginé lui appliquer un lubrifiant une fois adulte !

Anne aime bien cette sensation et lui demande de continuer. Ma femme enfonce ensuite son index puis essaye dintroduire également le majeur, mais là sa fille sursaute et commence à avoir mal. Très doucement, Claudine continue pourtant son intromission, sinon la sodo ne pourra se réaliser. Anne supporte la douleur, on en vient ensuite à trois doigts, cela devient vraiment difficile.

Ma femme arrête et on fait une pause enfin pas moi qui ait déjà un bon morceau dans mon derrière, cela ne me déplait pas !

Claudine remet le couvert et recommence, il semble que cette fois Anne est moins tendue et plus réceptive. Ma femme en profite pour la préparer avec du gel et présente le bout du gode à sa rondelle, après lui avoir mis un oreiller sous les fesses. Je dois me rapprocher de ma belle-fille puisque je suis déjà empalé sur le bâton damour. Claudine tente denfoncer lengin mais le gland est trop gros et Anne crie de douleur et nous demande de stopper. On recommence plusieurs fois, mais en vain, le sex-toy est trop gros pour une première fois. Anne est désespérée. Claudine propose alors que je lencule, en effet mon sexe est de taille fort moyenne et bien en deçà des dimensions du gode.

Je me débarrasse donc de lengin que ma femme reporte dans la salle de bain pour lessuyer et le laver.

Je propose à ma belle-fille de se mettre en levrette, ce qui est une bonne position pour la sodomie, elle sexécute et pendant ce temps Claudine me suce un peu pour me donner de la vigueur, elle soccupe de tout, menduit la queue du lubrifiant et présente mon sexe au petit trou de sa fille. Je pénètre très doucement, Anne se laisse faire et me dit que cela ne fait pas trop mal. Jattends un peu sans forcer, puis je lui demande de pousser comme pour déféquer, jen profite pour pénétrer davantage et à un moment donné je sens que son sphincter est plus souple et ma queue commence à la pénétrer plus facilement. Anne gémit à présent, mais plus de douleur, plutôt de la satisfaction de se laisser enculer, cest souvent très cérébral la sodo. Maintenant elle mencourage à la pénétrer plus à fond, mais dans un premier temps, je me retire carrément au grand dam de ma partenaire ! Cest pourtant une bonne technique, car lors de la deuxième pénétration la douleur est remplacée par le plaisir. Je recommence donc à la pénétrer et, comme prévu, ma belle fille se sent prise et remplie au comble du bonheur, elle me remercie et me supplie de la défoncer, et là effectivement je ne men prive plus.

Pendant ce temps, ma femme sest allongée sous nous et commence à me lécher les couilles, elle demande à sa fille de lui caresser la chatte, car elle aussi a envie davoir du plaisir, Anne la caresse et très rapidement laisse sa langue remplacer ses doigts, Claudine gémit de bonheur. Je continue à défoncer ma partenaire et ma femme soccupe à présent du clito de sa fille, nous sommes tous les trois au bord de la jouissance. Anne est la première à jouir dans un profond orgasme que je ne lui avais jamais connu encore, je ny tiens plus, mais je résiste encore un peu. Ma femme se met également à jouir avec des petits soubresauts. Ma belle fille me supplie alors de me décharger dans son cul et surtout de rester le plus longtemps possible pour quelle ne perde pas une goutte de mon sperme, je ne me retiens plus et jéjacule violemment dans son derrière, vu mon excitation, il y avait pas mal de foutre à libérer. Nous restons un bon moment comme cela, un peu comme deux chiens après la saillie. Anne me remercie pour ce moment de plaisir intense, je me libère enfin et ma femme se saisit alors de mon sexe pour lessuyer avec sa bouche et sa langue, elle demande ensuite à sa fille de se relever un peu et de libérer dans sa bouche le précieux liquide, cest une image remarquable de voir ma belle-fille accroupie sur le visage de sa mère et libérant sur elle et dans sa bouche mon sperme encore chaud.

La séance se termine sur ce grand moment de folie.

Tout le monde retourne dans la salle de bain pour un brin de toilette et bien entendu, notre vie à trois va beaucoup changer sur le plan sexuel !

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