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Marie et le sculpteur aveugle – Chapitre 8




CHAPITRE 8

AVEC LE PROF DANS LE BUS

Le lendemain j’hésite à retourner chez le Prof.  Après ce qui s’est passé, je ressens une grande honte et je crois que c’est réciproque ; j’aurai du mal à lui faire face.  Alors je reste chez moi à bouquiner lorsque Alain fait irruption.

On se regarde comme deux chiens de faïence. J’ai aussi honte que lui de cette débauche de sexe qui nous a submergée. 

Je lui demande mécaniquement des nouvelles de sa mère qui est au plus mal. 

Il me dit que son état est stationnaire et demande s’il peut prendre la jupe déchirée et le corsage qu’il m’a prêtés pour les laver et les réparer.

Je lui réponds que ce sont ses affaires de toute façon et que je suis désolée pour la jupe.

Malgré les évènements, il a toujours la délicatesse de me déposer une nouvelle rose en partant ce qui me touche toujours autant.

Je passe le reste de la journée à ma prélasser du lit, sur le canapé et sur le gazon de mon jardinet en lisant des bouquins.

Je suis lasse et meurtrie et profite de ce moment d’accalmie pour recharger mes batteries. 

Le Prof reste invisible et ça tombe bien;  je n’ai pas envie de le voir. J’ai envie d’un break.

Le lendemain est à l’identique sauf que j’aperçois le Prof dans son jardin en train de discuter avec Alain qui lui montre des vêtements.

Je me demande comment un muet peut communiquer avec un aveugleJe ne devrais pas évidemment, mais ça me fait rire intérieurement.  J’aperçois alors Robert qui semble faire l’interprète de service.  Je me demande ce qui se trame.  

Depuis ma fenêtre, je ne suis pas sûre mais j’ai l’impression que c’est la jupe et le corsage qu’il a repris chez moi qu’il leur montre.

Bizarre je me dis.

Deux jours s’écoulent sans voir personne. Puis Alain repasse et me rend la jupe et le corsage tous propres que je range négligemment dans un tiroir. Je lui demande ce qu’il faisait l’autre jour chez le Prof avec Robert avec la jupe et le corsage. 

Il feint la surprise et ne semble pas comprendre de quoi je parle.  Je n’insiste pas ; de toute façon, je m’en fiche un peu.

Comme souvent, il me laisse quelques provisions avant de s’éclipser. Et la jolie fleur traditionnelle que je m’empresse de mettre dans mon vase.

C’est lorsque la journée se termine doucement sur un beau soleil couchant que le Prof que je n’avais pas vu depuis plusieurs jours m’interpelle.

« Marie ?  Tu es là ? »

Je me poste à la fenêtre de ma chambre à l’étage et fait l’innocente.  « Oui ? »

« Tu peux descendre s’il te plait ? »

Je m’exécute, contente qu’il ait fait le premier pas ; et de le revoir.

Je franchis la haie et me poste devant lui, affublée de mon Marcel et de mon short en jean et soutiens son regard, enfin ses lunettes noires.

Je me demande comment il va renouer le dialogue après plusieurs jours chacun de notre côté et après cette orgie où il m’a quand même baisé. Pour la première fois

« Je dois acheter de la glaise pour mes sculptures ; est-ce que tu pourrais m’accompagner jusqu’à la boutique ? Tu me serviras de guide en quelque sorte »

Direct je me dis ; même pas une allusion à ce qui s’est passé Je suis déçue mais accepte illico évidemment.

« Quand ? Demain matin ? »

« Non, maintenant »

« Maintenant ? Mais il va faire nuit.  Votre boutique est encore ouverte ? »

« Oui, oui, c’est un copain, il nous attend »

« Ah bon.  Ok mais je n’ai pas grand-chose à me mettre à part »

« A part ? »

« A part une jupe et un corsage »

« Eh bien c’est parfait »

« Mais »

« Mais ? »

« Je n’ai pas de sous-vêtements. »

« Eh bien, à moins que tu aies l’intention de faire des roulades ou des soleils dans le bus, y’aura que moi qui le saurait »

« Dans le bus ? »

« Oui, c’est assez loin et comme tu t’en doutes, je ne conduis pas »

Je rigole comme une gourde à l’idéepuis, je remonte me changer, ce qui ne prend pas beaucoup de temps… mais je constate que le corsage a perdu deux boutons !

  Cette canaille d’Alain a supprimé les deux boutons du haut. 

Du coup ma poitrine opulente s’étale à la vue de tous, même de ceux qui ne voudrait pas y prêter attention. 

J’essaye de resserrer les deux pans tant que je peux, mais rien n’y fait.  

Le premier bouton qui ferme se situe carrément en-dessous du niveau de mes tétons. La rondeur de la chair de mes deux gros globes s’affiche sous une perspective des plus impudique.  Et les deux pans tirent tellement sur ce petit bouton que je crains qu’il saute à tout moment…

Mais quelle mouche a piqué ce satané Alain ! Ce n’est vraiment pas malin.

On sort de la maison en se tenant bras dessus bras dessous et le guide comme une personne âgée.

C’est la première fois que je le vois en dehors de chez lui.  Ça me fait tout drôle. On marche un moment jusqu’à l’arrêt de bus.

Je sens ma poitrine sautiller dans le corsage hyper tendu et prête à s’en extraire au moindre mouvement trop brusque. Je me sers de mon bras qui tient le sien pour me cacher la poitrine.

Le soleil disparait derrière les maisons aux toits tuilés d’un bel orange cuivré.  L’air tiède me caresse mes jambes nues et surtout l’entrejambe.  C’est délicieuxet la pénombre s’installant, je me sens moins exposée.

Je meurs d’envie d’aborder le sujet de la soirée orgiaque de l’autre jour mais ne sais comment m’y prendre. Le bus arrive.  On monte.

Je le tiens d’une main et me couvre innocemment la poitrine de l’autre. Il me demande de le conduire jusqu’au fond.

La plupart des sièges sont occupés et quelques personnes debout encombrent le couloir. 

Je nous fraye un chemin sous les regards des passagers un peu surpris par ce couple insolite.

Une jeune fille habillée limite provoque avec un aveugle d’un certain âge.  Je sens que ça va jaser dans les chaumières

On s’arrête, debout, juste devant le banc du fond occupé.

« Dis-moi ce que tu vois ; combien de personnes et décris-les-moi »

Je suis surprise par sa question.

« Eh bien, sur la banquette au fond du bus, il y a un couple de veilles femmes à gauche et un homme bien habillé à droite, genre homme d’affaire »

« Quel âge ? »

« Je dirais, la quarantaine »

« Et sur les bancs latéraux qui leur font face »

« Sur la gauche en face des vieilles dames, y’a une jeune fille à lunette, une étudiante je dirais ; de l’autre côté, en face de « l’homme d’affaires », y’a un vieux Monsieur et un jeune, un étudiant aussi on dirait »

« Avance et mets-toi face aux sièges de ces 3 hommes et tiens-toi aux poignées au plafond. Je reste derrière toi en te tenant et pour te cacher des autres passagers »

« Mais ?  Quoi ?  Me cacher ? Pourquoi ? »  

« Fais ce que je te dis »

Je mexécute les sourcils froncés en me demandant à quoi tout ça rime.

Je saisis une poignée avec la main droite et garde l’autre pour me couvrir mon corsage largement trop ouvert.

« Qu’est-ce que je t’ai dit ? »  

« De quoi ? » je fais surprise.

« Je t’ai dit de saisir les poignées au plafond, elles sont distantes d’un mètre normalement »

« Avec les deux mains ?  Mais une seule me suffit Prof ; en plus »

« En plus quoi ? »

Je lui souffle dans l’oreille : « En plus, mon corsage ne ferme pas bien. Quelqu’un a coupé les boutons du haut et je vous rappelle que je n’ai pas de soutien-gorge »

« Parfait ! Alors obéis »

Ma parole, le Prof se transforme en maître ! Mais où veut-il en venir ??

Je frémis à l’idée d’exposer mes attributs à des inconnus mais m’exécute mécaniquement en levant les deux bras en l’air et en V pour pouvoir saisir les deux poignées assez distantes.

Mon corsage remonte tellement qu’il sort de ma jupe, découvrant ma peau au niveau des hanches et du ventre jusqu’au nombril.

Quant à ma poitrine, elle valdingue dans tous les sens au gré des soubresauts du bus et manque de se déverser à la vue de tous, à peine retenue par le corsage tendu comme un arc.

Le vieux est absorbé dans son journal et le jeune écoute de la musique les yeux fermés avec un de ces nouveaux appareils qu’on appelle Walkman.  L’homme d’affaires, par contre a levé la tête et ses yeux brillants fixent mes seins emprisonnés sous le tissu hypertendu et qui tressautent devant lui.

Comme un garçon bien élevé, il remonte ses lunettes sur son nez et détourne le regard embarrassé.

Je rougis tandis que soudain, Lucien qui est collé derrière moi passe ses mains sous mon corsage, à même la peau et vient englober mes seins !

Je suis stupéfaite par son audace en public et regarde ses doigts bouger sous le tissu et se mouvoir jusqu’à mes tétons !

Je ne comprends pas comment il a pu passer ses mains avec autant de facilité lorsque, en me penchant sur le côté, je m’aperçois que le corsage est pourvu de fentes sciemment découpées avec soin, le tissu recouvrant les ouvertures pour les cacher.

« Qu’est-ce que tu as ?  Tu es mal à l’aise ? Pourtant j’ai cru comprendre que tu aimais prendre les transports en commun »

Alain !  Quel salopiot ! Non seulement il a saboté mon corsage mais il a tout raconté au Prof !

Cette sortie en bus était convenue entre-deux ma parole ??

Je vais pour lui demander de retirer ses mains lorsqu’il me souffle dans l’oreille

« Marie, je ne l’aurais pas cru possible, mais tu es la première femme depuis mon amour perdu qui me rend fou à ce point. 

Dès le premier jour, j’ai eu une drôle d’impression.  Non seulement ton corps est parfait, mince, cependant tout en rondeurs appétissantes, mais en plus tu pétilles, tu es vive, intelligente, douce, obéissante, patiente, ettu aimes le sexe et tu es ouverte au monde, à la vie comme aucune autre femme à part celle que j’ai aimée et dont tu me rappelles bien des qualités.  L’autre jour, lorsque Manuel, Alain et mon frère profitaient de toi alors que je te sculptais, je n’ai pas pu résister. Pardonne-moi.  Cela faisait plusieurs séances que tu exacerbais mon excitation à un point que tu ne peux même pas imaginer. Lorsque tu as sculpté mon sexe je puis t’assurer que je n’avais pas joui de la sorte depuis la nuit des temps. Voilà.  Maintenant, tu es comme une drogue pour moi, une drogue sexuelle et je ne peux plus cesser de te palper, de te toucher et je voulais vérifier la théorie d’Alain et t’exposer en publicpour voir »

Et sur cette diatribe inattendue, il joint le geste à la parole et me triture les tétons dans tous les sens.

Sa déclaration d’amour est si sincère et forte que j’en suis toute émue et reste quoi.

Je me sens fondre comme un glaçon au soleil et l’excitation m’envahit soudainement alors que sous ses tripotages incessants, mes tétons deviennent tout dur. Je gémis doucement et le vieux lève la tête de son journal.

Il reste bouche bée et laisse tomber sa feuille de chou.

L’homme d’affaires m’observe à nouveau et pique un fard mais ne détourne plus son regard ; il ne loupe rien.

Je m’accroche aux poignées et me tortille sous les caresses insupportables des mains du Prof. 

Ses doigts poussent tellement sur le tissu que je crains le pire au niveau du bouton soumis à une pression énorme.

Le jeune, intrigué par ses voisins qui regardent dans la même direction, fait de même et enlève immédiatement ses écouteurs pour se concentrer sur ce spectacle émoustillant et insolite.

« PProfon nous regarde » je lâche dans un gémissement.

« Tant mieux, dis-moi ce qu’ils font »

« Ilsils nous regardent… ils regardent vos mains qui me pelotent ! »

« On va leur en montrer plus »

 Je vacille « Quoi ??! »

Et sur ce, il pousse tellement fort sur le tissu que le bouton finit par craquerIl saute comme un bouchon et s’envole au loin comme catapulté !

Le corsage s’ouvre en grand et désormais, seules ses mains cachent mes seins !

Sans lâcher les poignées, je regarde affolée ma poitrine nue à peine cachée par ses grosses mains qu’ils pourraient retirer à tout moment

Les trois hommes ont la mâchoire qui descend d’un cran.

Ma jupette accompagne les soubresauts du bus en virevoltant sous leurs yeux.

Le Prof me pousse alors en avant vers les trois hommes. 

Je résiste en me cabrant ce qui fait ressortir encore plus ma poitrine que les mains du prof s’amusent maintenant à découvrir et à cacher selon son humeur.

Mes tétons se retrouvent en pleine vue l’espace d’une fraction de seconde avant que ses mains ne les recouvrent à nouveau. Puis il recommence.

« Alors ? Qu’est-ce qu’ils font ?  Ne t’arrête pas de parler »

« Le l’homme d’affaire s’est levé et se colle contre mon flanc gauchePour se tenir, il agrippe une main sur la mienne qui tient toujours la poignée à gauche au plafond. Lele vieux tend sa main vers mes genoux et les touchent »

« Parfaitlaisse les faire mais je veux que tu me décrives tout, que tu sois mes yeux »

« Je oui ProfLe vieux est toujours assis mais s’est rapproché au bord du siège et me toucheil me caresse les jambes Le jeune a rangé ses écouteurs et se lève à son tourIl se colle à moi sur mon flanc droit et se tient à ma main toujours agrippée à l’autre poignée du plafond »

« Très bien »

Je sens la respiration du prof dans mon cou et son sexe durcir contre mes fesses au travers de son pantalon et de ma jupette toute fine.

Je comprends alors que je vais vivre une nouvelle expérience hors du commun et ma chatte commence à s’humidifier tandis que mon rythme cardiaque s’accélère.

« Le vieux me caresse les cuisses et remonte lentement sa main râpeuse tout du long à la limite de ma jupettel’homme d’affaire se colle tellement que je sens son sexe tout dur se frotter sur ma hanche »

La respiration du prof est profonde ; Il transpire. « Continue »

« Le vieux remonte sa main sous ma jupe ! Prof !  Qu’est-ce que je fais ?! »

« Rien laisse toi faireAlain m’a dit que tu aimes bien ce genre de situationça tombe bienmoi aussi !»

« Quoi ? »  Mais qu’est-ce qu’il a encore été raconter celui-là.

Tout en me pelotant les seins ouvertement, le Prof m’intime de continuer à décrire la scène.

« Ne t’arrête pas et dis-moi ce qui se passe bon sang »

 Je pousse un petit cri lorsque la main calleuse du vieux vient buter contre mon entrejambe

Il s’aperçoit alors que je suis nue

Son visage se fige d’étonnement avant de me regarder soudainement avec un grand sourire fripé, un mélange de surprise et de vice.

L’absence de culotte résonne alors comme une sorte de message silencieux donnant le feu vert pour aller plus loin.

Le contact de sa main sur ma chatte m’électrise.

Lui aussi !

  Il se repositionne encore plus près de moi et rajuste son pantalon qui semble le serrer d’un coup

 La situation me fait peur mais m’excite terriblement et je m’aperçois que je mouille comme une folle.  Je me sens à la fois en danger et vulnérable mais protégée par le Prof qui semble savoir ce qu’il fait.

Je me laisse faire etprofite.

« Alors ?  Qu’est-ce qui se passe ?? »

« Le vieux Monsieur vient de s’apercevoir que je ne porte pas dedeculotte »

Je deviens cramoisie car les deux autres entendent mes commentaires en direct !

« Ilil ressort sa main de sous ma jupe pour la montrer aux autres »

« Pourquoi ? »

« Profs’il vous plait »

« Pourquoi ??! »

« Parce-que sa main est brillante et humide »

« Pourquoi ? »

« Maisparce-que »

« Parce-que quoi ? »

« Parce-que mon vagin s’humidifie je suppose »

Les trois hommes n’en croient pas leurs oreilles et ma confession à haute voix les met dans un état d’excitation incroyable. Le Prof insiste !!

« Et pourquoi ton sexe s’humidie t-il ? »

« Oh Prof »

« Vas-y, dis-le ! »

« Parce-que je suis excitée ! » Je finis par avouer.

« Et bien voilà » Fait-il d’une voix redevenue suave en me donnant un doux baiser dans le cou puis sur l’épaule qu’il dénude en tirant sur mon corsage.

Après mes aveux humiliants, je n’ose plus croiser le regard du vieux et regarde à l’extérieur au travers des vitres du bus alors que le vieux retourne sur ma chatte et ressort à nouveau triomphalement sa main encore plus humide de sous ma jupe pour bien l’exposer à la vue des autres !

« Continue » fait le Prof d’une voix rauque.

« Le vieux Monsieur n’arrête pas de me toucher mon sexe et de montrer sa main aux autres »

C’est une sorte de déclic, de top de départ, de consentement implicite de ma part !

L’homme d’affaire ouvre sa braguette avec frénésie et sort un sexe gonflé et bandé qu’il écrase contre ma hanche.  Il se frotte sur moi.

Le Prof s’énerve de n’avoir plus de commentaires.

« Jeil L’homme d’affaire a sorti son sexe Prof ! »

« Prends-le »

« Quoi ? »

« Prends-le en main »

Je rougis et descends une main sans le regarder, cramponnée de l’autre poignée.  

« Je.. je lui touche son sexe »

« Masturbe-le et décris-moi tout »

A ce stade, je ne me rebelle même plus.

« Je je lui tiens son sexeil bande énormément.  Je fais coulisser ma main autour en avant et en arrière, tout doucement.  Il mouille abondammentIl soulève le côté de ma jupe et frotte son gland sur ma cuisse.  Maintenant, le jeune a aussi ouvert son pantalon et sort son sexe tout aussi bandé.  Il est plus fin mais il est tout humide aussi.  Je le prends avec mon autre main et commence à le branlerLe vieux m’oblige à écarter les jambes et me touche à nouveau ma fente L’homme d’affaire s’est positionné de telle sorte que les deux vieilles femmes derrière nous ne voient rien, mais la jeune étudiante regarde avec les joues en feu »

 « Tu aimes ça, n’est-ce pas ?  Je sais que ça te rend dingue d’excitation de te faire peloter en public par des inconnus »

« Jeoui, j’avoue c’est incontrôlable »

« Vas-y dis-moi ce qu’ils font »

« Le vieux fouille dans ma fente et joue avec mon clitoris c’est c’estoooh »

« C’est quoi ?? »

« C’est trop bon ! »

Je ne peux pas croire qu’un vieux me donne autant de plaisir ! Ses doigts calleux sont rêches mais si experts.  

« Je masturbe les deux hommes en même temps, tandis que le vieux me titille le clitoris de plus en plus viteaaaaahhh »

« Je veux que tu jouisses seulement quand je te le dirai, on est d’accord ? »

« Aaaaah prof mais pourquoi vous faites ça ?? »

Pour toute réponse, je sens la queue nue du Prof se coller sur mes fesses nues !!

Je m’aperçois alors qu’Alain a aménagé une autre fente à l’arrière de la jupe !

Le Prof fait coulisser son sexe tout dur dans la raie de mes fesses. 

Il se masturbe lentement de haut en bas dans ma raie tout en emprisonnant mes deux globes qu’il malaxe continuellement !

« Je branle toujours les deux hommes »

Le Prof libère alors mes seins complètement qui explosent à la vue de tous.  Immédiatement, les mains des deux hommes s’y précipitent.

« Ilsils me tripotent les seins »

Ma poitrine nue valdingue dans mon corsage complètement ouvert à la vue de tous et glisse de mes épaules.

« Ils me triturent les tétons alors que le vieux introduit deux doigts dans ma fente trempée et les active aaaaah !!»

Je déglutie et me contorsionne de plaisir.

« Je sens le plaisir m’envahir Prof, je me sens flageoler sur mes jambes et je suis toute chaude ooooh ! jeje ne vais pas pouvoir me retenir !! »

« C’est bien, laisse-toi faire mais ne t’arrête pas de les masturber. Ils doivent jouir avant toi, tu as compris ?»

  Je me tortille et manque de tomber avec les à-coups du bus, mais je suis sécurisée par ces trois hommes bienveillants qui me tiennent en me pelotant partout. Mon corsage a glissé de mes épaules et est tombé sur mes avant-bras. Je suis pratiquement torse nu

« Je les branle plus vite maintenant.  Le jeune étudiant est rouge et me regarde avec des yeux écarquillés en enfonçant ses doigts dans la chair de mon sein droit qu’il malaxe comme de la pâte à modeler».

 « Il le prend en fait à pleine main et roule mon téton entre ses doigts ».  Je gémis.

Le Prof saisit alors ma jupe et la soulève complètement, exhibant mes fesses et ma chatte à la vue de tous !  D’autres passagers s’en aperçoivent.  Je prends peur mais l’excitation est trop grande.  Je suis au bord de l’orgasme.

« Prof ! Tout le monde nous regarde ! »

Le regard bestial du jeune homme descend sur mon sexe imberbe, luisant et ouvert dans lequel s’agitent furieusement les doigts du vieux avec un bruit spongieux dégoutant qu’on entend très bien malgré le bourdonnement du bus.

« Le vieux Monsieur meme doigte aaahhh et le jeune homme semble hypnotisé par mon sexe qu’il peut voir maintenant ooooh !!»

« Il est agrippé à mon sein et se figeOh ! Il lâche tout sur ma jupe Prof ! »

Le jeune homme pousse un long râle caverneux.  Je continue de le branler. Sa queue tremble de toute part et se déverse sur ma cuisse.

Il regarde apeuré autour de lui si d’autres passagers le voit. 

Il ne peut plus se contrôler et éjacule encore deux autres beaux jets puissants qui s’écrasent sur mon ventre et ma jupe.

« Le jeune homme a joui Prof. Il a jouipartout ! » Je fais en me mordant les lèvres pour me retenir de jouir à mon tour.

A ce moment, l’homme d’affaires qui me pelote le sein gauche et la fesse gauche et découvre à son tour toute ma nudité et la main experte du vieux qui me baise littéralement, se met à son tour à exploser de tout son foutre. 

« L’autre Monsieur aussi !  Son sperme gicle partout ! »

En guise de réponse, le Prof respire lourdement. Il atteint le point de non-retour.

L’homme d’affaire flageole et s’accroche à moi. J’essaye de décrire la scène comme je peux au prof qui a force de frotter son sexe gluant dans ma raie poisseuse, s’agrippe à mes hanches pour jouir à son tour.

Il râle doucement au creux de mon oreille tandis que l’homme d’affaire crache de puissantes giclées de sperme dans ma main, sur ma cuisse et ma jupe.

Les doigts vicieux du vieux pervers au sourire libidineux me baisent sans relâche et ont finalement raison de moi.

Je n’attends pas l’autorisation du prof qui, incapable de parler, décharge de longues salves saccadées de foutre chaud dans la raie de mon cul exposé.

Je me crispe alors honteusement sur ses doigts et succombe

Tout en tenant encore les sexes des deux hommes dont le sperme a englué mes mains, je pars dans un orgasme foudroyant qui m’arrache un hurlement indécent que j’essaye vainement d’étouffer pour ne pas ameuter tout le bus !

Je gémis et m’abandonne. Le plaisir m’emporte.

Je lâche les bites des deux types et me relâche sur les doigts du vieux satyre qui bande visiblement dur dans son froc.

Il n’a pas sorti son engin mais il exulte.  Rayonnant, il me fixe dans les yeux comme un artiste qui contemple son uvre.

Lucien termine de déverser sa semence sur mes fesses en longues trainées épaisses qui me coulent dans la raie.

Le jeune homme ne demande pas son reste et sans même un merci, se rajuste et se fond dans la foule qui encombre le couloir du bus.

L’homme d’affaire en fait autant mais prend le temps de me donner une tape amicale et de me souffler un merci dans l’oreille.

Le vieux continue de me masser la chatte.  Il n’a pas dû en voir une aussi belle depuis longtemps. Surtout imberbe…

On dirait qu’il profite de chaque seconde de ce bonheur inespéré. 

Il la triture encore et encore et je ne peux me soustraire tant c’est bon.  Il renifle ses doigts les suce et y retourne !

Le Prof reprend sa respiration et rentre son engin.  Je sens son sperme couler à l’intérieur de mes cuisses et goutter par terre sous les yeux effarés de la jeune fille à lunette.

Il rabaisse ma jupe et me demande où on est. Comment je le saurais avec tout ça !

Je n’en ai pas la moindre idée.  Je regarde le plan et le nom de la station suivante.

« On est déjà allé trop loin Prof ». Avant de descendre, je caresse les cheveux du vieux avec un sourire amical tant je réalise que je lui ai probablement donné autant de plaisir qu’il m’en a procuré.

Le Prof m’entraine dehors sous les regards choqués de certains passagers plutôt passagères – qui ont visiblement dû se rendre compte de quelque chose  

Le vieux reste assis et me suit du regard, la main en l’air et les doigts luisants.  Il va sans doute les sucer toute la soirée

Je referme comme je peux ma chemise sans bouton et me cache derrière le Prof en le guidant de ma voix. 

Je pue le sperme qui me macule ma jupe, mon ventre, mes fesses, mes cuisses, mes mainssi je n’ai rien oublié

A l’arrêt de bus, désert heureusement, après avoir essayé d’enlever le plus gros en me servant de mon corsage pour nettoyer, on rebrousse chemin dans un bus en sens inverse sous les regards offusqués et réprobateurs des femmes mais brillants de curiosité des hommes et nous arrivons finalement à destination.

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