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Sexe dressé – Chapitre 2




Deux autres petites histoires vraies…

Cette fois, elles se passent dans un centre naturiste en Gironde où, toujours avec ma femme et nos enfants, nous avons séjourné deux semaines. Nous étions en camping sur un terrain en pente et une caravane était en amont de nous (son emplacement se trouvait en bordure de chemin). Nos toiles (trois places pour ma femme et moi et une pour chacun des deux enfants) étaient sur des petits emplacements en ’terrasse". La nôtre était la plus près de la caravane et, un matin, en sortant de la toile à moitié endormi à cause du mauvais temps durant la nuit écoulée, j’étais en érection. J’ai pensé à regarder sur le chemin en contre bas mais pas au-dessus. En me retournant, je me suis rendu compte que la voisine de la caravane était debout en buvant une boisson chaude et me regardait. Voyant ma gêne d’avoir le sexe dressé, elle m’a adressé un magnifique sourire en écarquillant les yeux et en hochant un peu la tête. Je suis resté ainsi quelques secondes comme pétrifié puis son homme l’a appelée et elle est rentrée dans la caravane.

Hélas, elle est partie dans la journée. La deuxième histoire s’est passée de la façon suivante: notre fille avait sympathisé avec une autre jeune fille du centre et il nous arrivait occasionnellement de discuter entre parents. Un jour, nous sommes allés à la douche en revenant de la plage. Ma femme étant sortie en premier est tombée sur la mère de la copine et elles se sont mises à discuter. Lorsque je suis sorti à mon tour du sanitaire, je me suis mêlé à la conversation. Bien évidemment j’étais mouillé et j’ai continué à m’essuyer. On discutait de chose et d’autre et j’essuyais avec grand soin mon sexe. Je n’étais pas en érection mais je tenais mon sexe d’une main en l’essuyant avec l’autre, puis changeais de main. Je voyais que la "mère" de la copine regardait fixement mon sexe tout en parlant. Comme je l’ai dit dans ma première histoire, le fait de découvrir mon gland est pour moi la façon de faire découvrir totalement mon intimité. J’ai donc entrepris de décalotter mon sexe pour montrer mon gland rose, ce qui tranche avec le bronzage du reste.

Puis, je l’ai méticuleusement essuyé pendant de longues secondes jusqu’à avoir un début d’érection, en tirant bien la peau pour bien dégager le bout, toujours en regardant cette femme du coin de l’il, pour faire plus naturel. En voyant la "mère" me fixer avec instance le bas du ventre, et, certainement en voyant ses tétons dressés, ma femme m’a regardé à son tour mais n’a rien fait de particulier.

J’ai fait comme si j’avais terminé mon essuyage en jetant ma serviette sur mes épaules après avoir recouvert mon gland. Après avoir quitté la "mère", ma femme m’a demandé avec un petit sourire si j’étais bien sec. Les jours qui ont suivi, j’ai eu l’occasion de rencontrer la "mère" à plusieurs reprises. Elle s’arrangeait pour venir à notre emplacement lorsqu’elle savait que ma femme était absente. Comme je l’ai dit plus haut, nous avions une petite toile de tente et donc pas question d’y entrer et comme elle m’avait demandé de revoir mon gland. Nous nous sommes assis chacun dans un fauteuil, face à face. Donc les voisins ne pouvaient rien voir de particulier. J’écartais bien les cuisses pour lui montrer mon sexe en totalité, en le soulevant de temps à autre pour lui montrer mes bourses. Ensuite, j’ai décalotté mon gland et est tiré sur la peau pour bien lui exposer. Elle nétait qu’à quelques dizaines de centimètres et me disait qu’elle aurait bien touché… Elle a écarté aussi les cuisses pour me montrer son sexe que j’ai dévoré des yeux et visiblement elle était excitée.

Un jour elle m’a fait part du départ de son mari pour l’après-midi et sachant que ma femme aurait été à la plage pendant ces heures-là car je crains le soleil trop fort, elle m’a proposé d’aller dans sa caravane, ce que j’ai bien évidemment accepté. L’après-midi je suis allé la voir et nous nous sommes installés dans l’auvent car pas question d’entrer dans la caravane, il faut toujours surveiller l’arrivée des enfants. Dans l’auvent, on peut plus facilement faire quelque chose tout en jetant un il à l’extérieur… A mon arrivée, nous nous sommes installés à l’extérieur et avons discuté de tout et de rien afin de ne pas attirer l’attention des voisins. Puis elle a prétexté vouloir me montrer un appareil en panne pour entrer dans l’auvent. De l’intérieur nous pouvions bien voir l’extérieur et après quelques instants, elle s’est agenouillée pour jouer avec mon sexe. Elle le soulevait, tâtait les bourses puis s’est mise à le décalotter et à faire comme moi, tirer la peau au maximum. Elle me disait que je l’avais excitée la fois où nous discutions avec ma femme et qu’elle n’avait pas oublié la vision, qu’elle aimait mon gland tout rose et que ça le faisait ressortir encore plus.

Puis j’ai eu droit à de longs baisers sur tout le sexe avant d’avoir une fellation. Je lui ai dit que moi aussi j’avais aimé la voir me fixer le sexe et que j’avais apprécié la fois où elle était venue me montrer ses lèvres. Je me suis agenouillé à mon tour et pendant qu’elle surveillait l’extérieur, elle a levé une jambe pour la poser sur un fauteuil et écarter au maximum ses cuisses. Je lui ai tripoté les lèvres, l’anus puis après avoir bien admiré ce magnifique sexe, je me suis mis à le lécher, le mordiller gentiment, l’aspirer. En levant les yeux, j’ai pu remarquer que ses tétons étaient durs et d’une main, je les ai caressés. J’ai dû m’arrêter car ses gémissements devenaient de plus en plus importants et c’est avec regret que j’ai retiré ma bouche de son sexe, ma main qui caressait son anus et l’autre ses seins. Elle s’est ensuite agenouillée de nouveau puis a continué la fellation commencée et lorsque je lui ai demandé si je pouvais me lâcher dans sa bouche, elle a hoché de la tête pour me dire oui et a sucé plus fort.

Je n’ai pas pu tenir plus longtemps et elle m’a aspiré tout le foutre. Je lui ai dit que j’aurais moi aussi aimé la faire jouir mais elle m’a répondu que, comme j’avais pu le constater avant, elle était expansive et que vu l’endroit… Nous n’avons pas eu l’occasion de nous revoir de cette façon mais dès que cela était possible, elle venait ou j’allais la voir et nous nous asseyions face à face, sur une rabane ou sur un fauteuil et nous nous exhibions nos sexes discrètement.

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