C’était un jour comme les autres, ou presque
Homme la vingtaine, fin, et assez solitaire avec un penchant pour la lingerie féminine.
J’étais en train de me balader en ville après un entretient d’embauche, je passais devant des vitrines, m’attardais discrètement sur celles de lingerie féminine, pour fantasmer sur celles que j’aimerais porter.
La lumière du jour commençait à diminuer, je prenais alors le chemin pour rentrer chez moi, et c’est en traversant la route que l’aventure commença
J’entendis une voiture klaxonner puis ce fut le noir complet.
Je me réveillais avec un grand mal de crâne dans un endroit qui m’était inconnu. J regarde autour de moi, cela ne ressemble pas à une chambre d’hôpital, c’est même une chambre plutôt bien décorée, avec un gros coté fille. Je m’assoie sur le bord du lit, et découvre que je porte un pyjama qui me parait être de fille.
La porte s’ouvre, et c’est une femme qui rentre dans la chambre, elle est habillée d’une blouse blanche et porte un carnet de note dans les mains.
— Ah ! Vous êtes réveillé, comment vous sentez vous ? Me demanda t’elle d’un voie douce.
— Bon Bonjour, j’ai un peu mal à la tête mais à part ça, ça va.
— Bien, suivez moi, vous allez manger un peu, et on parlera de ce qu’il s’est passé
— D’a D’accord, je la suis donc, elle m’emmène dans la cuisine.
Le repas est déjà prêt, je présume donc qu’il est l’heure du déjeuné. Je mange, cela me fait du bien, et prend un comprimé pour le mal de tête.
— Bon, je tiens à m’excuser pour hier, je ne vous avais pas vu, me dit elle.
— Je ne comprend pas, que s’est t’il passé ?
— Je vous ai percuté avec ma voiture, ça n’a pas tapé très fort, mais le choc vous a fait perdre connaissance, et comme je suis médecin, je vous ai emmené à mon cabinet, chez moi, pour vous examiner, et comme vous n’aviez rien de grave, je vous ai couché.
— J’ai dormis combien de temps ?
— Depuis hier vers 18h je dirais, et il est 13h maintenant.
— D’accord, merci alors pour votre hospitalité, je ne vais pas en abuser plus,
— Oh non ! Je vais vous demander de vous reposer encore, retournez dans la chambre de ma fille et allez vous recoucher, ne vous inquiétez, pas elle est chez son père en ce moment elle ne risque pas de vous surprendre dans son lit.
— Oh, d’accord, c’est vous le doc, doc. Je retourne alors me recoucher en m’endort assez vite.
Quand je me réveille, il n’y a aucun bruit, elle doit être en train de travailler.
Je suis là, dans la chambre d’une fille, qui doit avoir mon age à peu prêt, c’est-à-dire la vingtaine, ce qui fait que je ne peux m’empêcher d’aller regarder dans les tiroirs, à la recherche de la lingerie. Je trouve rapidement et découvre une belle collection de dessous tres sexy, cela me provoque immédiatement une érection et l’envie d’en essayer tout de suite. Je quitte le pyjama, et attrape un tanga blanc, des bas résilles et un porte jarretelles assorti. Je passe le tanga, m’assoie sur le lit pour délicatement monter les bas sur jusqu’au haut de mes cuisses, puis fixe les jarretelles. J’ai de la chance, car la fille de ma doc fait le même tour de taille que moi. Je vais devant le miroir, me regarde, et je trouve mon corps imberbe vachement sexy dans cet ensemble. Je me tourne, me cambre et passe doucement me mains sur mon corps de manière très sensuelle. Puis je remarque une autre silhouette dans le miroir, je me tourne donc et découvre ma doc qui m’observe avec un regard lubrique
Je me met à bégayer des excuses, puis elle me coupe :
— Je me doutais bien que vous ne pourriez pas résister, me dit elle.
— QuQue voulez vous dire ?
— Quand je vous ai déshabillé pour vous coucher, j’ai découvert que vous portiez une culotte, m’annonce t’elle avec un petit sourire en coin.
Merde ! J’avais complètement oublié ça ! Je suis piégé et elle le sait, que va-t-elle faire de moi maintenant Elle voit mes inquiétudes sur mon visage et commence à me rassurer, me disant qu’elle ne pourra pas en parler à personne vu qu’on ne se connaît pas.
— Ce n’est pas pour autant que je vais vous laisser partir comme ça
Elle m’attrape par le bras et me tire vers une autre chambre qui doit être la sienne, elle m’assoie sur le lit, puis sort plusieurs tenues de sa garde robe. Elle finit par choisir une robe a froufrou rose foncé qui descend jusqu’au genoux, et me dis de l’enfiler par-dessus la lingerie blanche que je porte déjà. Je la met et me regarde dans le miroir, je me trouve très jolie, avec mes cheveux longs, on dirait une vraie fille.
Apres un petit tour dans la salle de bain pour me maquiller, c’est déjà le soir, on s’installe dans le salon avec un petit verre, et on commence a discuter de notre vie. Je lui explique donc que j’ai toujours été attiré par la lingerie, que j’aime beaucoup la voir sur des belles femmes ; mais que j’aime plus encore la porter. Elle me dit qu’elle aime beaucoup me voir comme cela, que j’ai l’air naturelle, que je suis tout aussi attirante que d’autres femmes.
Il se fait tard, mais je me sens bien avec elle et vêtue comme j’en ai beaucoup rêvée, je n’ai pas envie de partir, mais la fatigue est là, et je vais bien devoir rentrer chez moi un moment ou un autre.
Comme si elle lisait en moi, elle me propose de rester dormir encore cette nuit, je ne refuse pas et nous allons nous coucher, elle me prête, une nuisette pour la nuit, que je m’empresse d’enfiler après m’être déshabillé.
Au milieu de la nuit je suis réveillé par des mouvements conte moi, c’est elle, elle est venue dormir dans le même lit que moi sans que je m’en rende compte, elle a l’air de dormir, je me tourne et la découvre nue, je l’observe avec la faible lumière, et la trouve plutôt bien conservée, très sexy, pour une femme qui doit avoir entre 40 et 45 ans. Je me retourne, me colle contre elle et me rendors assez vite.
Je me réveille, c’est le matin, elle est encore là, en train de dormir. Je me lève doucement, sans faire de bruit, sors de la chambre et va dans la salle de bain, je regarde dans le miroir le reflet de cette fille mignonne dans sa nuisette, fais le point sur hier, et en ai une conclusion satisfaisante.
Je prépare le café et voit rentrer ma doc dans la cuisine, je lui verse une tasse, m’en sert un et m’installe en face.
— Merci ma belle, me dit-elle.
— Mais merci à vous, elle me regarde, curieuse. Oui, pour votre accueil et pour votre gentillesse, cet accident aura été une bonne chose au final, je crois que je me suis enfin trouvé.
— Mais de rien, c’est mon job en tant que docteur, je suis à l’écoute de mes patients, je les aide, et puis vous avez piqué ma curiosité, me dit-elle avec le même regard qu’hier soir, lubrique et chargé d’envie
Je rougis et me cache dans ma tasse de café. On fini le café en silence puis doc me demande ce que je vais faire maintenant.
— Je pense rentrer chez moi, réfléchir mieux à tout cela et adapter ma vie, essayer de sortir en femme.
— Bien, j’espérais bien ça, je pense que vous serez mieux en accord avec vous-même, venez, je vais vous donner des tenues que je ne porte pas, ça sera déjà un début.
Je la suis donc dans la chambre, elle fouille dans son placard, et empile sur le lit, différents dessous, robes, jupes etc. Je suis assis sur le lit, la regarde faire, aimant tout ce qu’elle empile.
Une fois fini, elle me regarde, de haut en bas, puis a ma grande surprise, vient m’embrasser, un long baiser très sensuel.
Elle m’allonge sur le lit, commence a me caresser, les jambes, mes tétons, cela me fait très vite effet et me fait former une bosse sous la nuisette. Elle se met a cheval sur moi, puis commence à frotter son bassin contre ma verge tout en m’embrassant. Elle se lève, retire sa chemise de nuit, m’enlève la mienne, je me laisse faire, fasciné par les mouvements de cette femme. Elle se remet sur moi, puis approche son minou de mon bâton, je la sens toute mouillé, elle recommence à bouger contre moi, puis vient s’empaler tout en douceur.
Ce matin là, fut pour moi un moment inoubliable. Je rentre chez moi, habillé en femme, avec mes affaires d’homme dans un sac qu’elle m’a donné.
Je revis doc de très nombreuses fois, en amis, patient, amante. Et elle m’accompagna tout au long de ma transition et pour le reste de ma nouvelle vie.
FIN