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Sacrifice à la déesse – Chapitre 1




Le peuple est rassemblé sur le bord du lac. Le soleil fait briller les peaux bronzées. La prophétesse arrive comme tous les jours. Montée sur son char mené par deux juments noires, elle rassure les fidèles

Ne craignez rien mes sectateurs. L’amour est en nous tous. Je vais sacrifier une jeune vierge à notre déesse.

Les fidèles attentifs se posent silencieusement la question :

Qu’elle est cette vierge à sacrifier ? Comment la sacrifier ?

Flash-back (comme on dit au cinéma) : Ce petit pays est encerclé par de hautes montagnes le rendant inaccessible à tous. Les murs peuvent nous semblaient étrange, pas à eux. Ils vivent sans contrainte, avec une liberté totale, sans frein surtout sexuel. Jouir fait parti de leur façon de vivre, apprises depuis le plus jeune âge.

De là à sacrifier une vierge, jeune en plus : impensable. La colère commence à gronder. La révolte est prête à éclater. La prophétesse calme la foule.

La vierge en question est une émigrante des dernières arrivées. Comme étrangère elle vit encore selon ses coutumes : ne pas être dépucelée avant une union réelle avec une homme.

Son sacrifice est normal pour une étrangère. Elle sera dépucelée sur la place centrale demain soir.

En attendant lheure fatidique, grave du sacrifice, l’étrangère s’inquiète sur son sort. Être dépucelée, passe, mais par qui, comment, des deux endroits ?

Elle reste enchaînée dans une cellule de none. De none de cette religion. Sa nourriture est particulière : des mets enchanteurs, aphrodisiaques qui élèvent l’envie de sexe. Sa geôlière prend un soin particulier à sa toilette. Elle la met nue, la trempe dans un bain parfumé, lui lave avec minutie le sexe et les fesses. Elle fait des application sur les seins d’une lotion fortifiante qui fait dresser les seins les plus rebelles.

La journée est consacrés au début du plaisir de l’étrangère. Une jeune femme est à son service. Elle commence par une palpation particulièrement sensuelle. Aucune femme ne peut résister aux mains de cette masseuse. Les mains passent sur tout le corps, d’abord par le cou. Il est caressé tout autour. Les épaules elles sont soigneusement caressées. Les mains passent un peu sur les seins.

La femme est tournée sur le ventre. Les mains viennent sur les omoplates, Elles passent une lotion huileuse pour accentuer les sensations. Tout le dos est caressé ou massé. Quand les mains viennent sur les fesses, la palpation est érotique. Sous prétexte de masser les fesses, un ou deux doigts s’ égarent dans fente, touchant au début à peine les lèvres du sexe, puis l’anus. Sans tenir compte des réaction de la suppliciée, les mains continuent leurs ravages. Elle vient écarter les cuisses, s’incrustent davantage dans les parties intimes.

Il est rare que la femme ainsi soumise aux caprices de de la supliciante, résiste longtemps. Elle ouvre ses jambes à la recherche de ce qui va lui calmer le feu de son ventre. Elle est enfin calmée quand un doigt, un seul touche une lèvre. Il caresse longuement ce seul endroit, ranimant encore plus de désir d’être totalement soulagée. Le doigt sort pour aller se fixer un court instant sur un anus consentant.

Enfin la main entière vient se poser sur la chatte mouillée. Elle l’enveloppe dans une chape de chaleur, accentuant encore le besoin violent d’une orgasme. La sacrifiée dit attendre le bon vouloir de celle qui la torture : elle attend le début d’après midi.

Sans attendre la géolière se soulage de la tension sexuelle : elle se caresse.

Cette fois elle est enchaînée à l’extérieur, à la vue du public curieux. C’est une autre femme plus âgée qui prend la relève. La nouvelle est nue, très scientifiquement sexuelle. Elle connaît tout du sexe, surtout de celui des filles. Elle sait surtout quand arrêter une caresse pour éviter un orgasme. Ses mains, ses lèvres, ses seins participent à la torture particulière.

Elle embarrasse longuement la vierge sur la bouche, se langue entre à la rencontre de celle de la fille. Quand elle sent que l’autre langue vient à sa rencontre, elle arrête le baiser.

Elle donne ses seins à lécher : la vierge les sucent avidement. Malgré son désir montant elle cesse cette courtoisie. Elle passe ses seins sur la chatte en chaleur. Elle excite encore plus la vierge. Elle la masturbe avec ses tétons.

Même en mettant un doigt sur l’anus, elle s’arrange pour ne pas le laisser trop longtemps. La fille ne doit pas jouir, sauf ce soir devant le peuple.

La pauvre émigrante, malgré son souhait de rester vierge jusqu’à son mariage a des désirs de plus en plus exigeants.

Le soir, à l’heure de l’exécution de la sentence, elle est sur une estrade, bien en vue. Elle peut faire son choix de la queue qui la dépucellera.

Trois hommes de la nation sont exposés, ils sont nus, les queues montrées comme si les gens du peuple pouvaient choisir, ce que ne manquent pas de faire de nombreuses femmes.

Ils faut que ces futurs séducteurs, géniteurs soient montés normalement. Les extrêmes ne sont pas les bien venus. La fille choisit contrainte celui qui lui donnera du plaisir, celui qu’elle attend depuis le matin. L’élu est brun, sombre, presque noir.

Il détache sa proie, la montre au public rugissant. Il se love contre elle. Il a beau ne pas voir bander, elle ne peut s’en empêcher au contact de la peau chaude de la fille. Il voulait la baiser à la hussard : il se ravise : elle est trop belle pour ne pas être prise comme une princesse (de ce pays).

Il la couche tendrement sur le podium. Et là encore, il la considère trop bien, il vient s’allonger entre les jambes ouvertes. Sa bouche embrasse le sexe, sa langue entre dans l’intimité mouillée de la donzelle. Quand il la fait sursauter après lui avoir léché le petit bouton, il sait qu’il a gagné : elle jouira. Il continue le cunnilingus, chose qu’il adore rien que pour le goût de la chatte. La langue lèche sans cesse le même petit endroit, il obtient ce qu’il cherchait : l’orgasme de la fille. Il a pu profiter de l’instant pour apercevoir quelle n’est pas vierge ce qui le soulage.

Il vient sur elle, lui donne la queue qu’elle prend dans la main, qu’elle dirige là où elle le désire. Il est sur elle, sa bite tendue. Il entre doucement presque au fond quand elle l’emprisonne dans ses jambes relevées sur sa taille.

Brusquement il s’arrête, regarde la prophétesse qui d’un signe de tête lui accorde le droit du sacrifice.

Il reprend ses mouvement, sort du vagin tourne la fille. Le public exulte de joie. Il pose sa bite dur l’arrière train de la fille. Il commence à entrer dans le cul, elle gémit, il entre totalement, le gémissements a changer de ton : elle jouit. Elle le cri.

Le sacrifice est consommé.

Il se relève : il bande encore. La prophétesse ordonne à la sacrifiée de lécher, de faire jouir dans sa bouche son amant qui se prête volontiers au jeu.

La sacrifiée ouvre la bouche pour montrer le sperme de son amant.

La foule est heureuse : le sacrifice est bon. Leurs vux de la communauté seront exaucés

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