Il y a des jours comme ceux-là, on donnerait tout pour qu’ils se reproduisent plus souvent. Ce jour-là, Dame plaisir avait décidé de m’étreindre dans ses bras voluptueux.
C’était il y a un an, au mois d’août. Un jour comme il y en a rarement en Belgique, il fait un soleil de plomb et le mercure caresse joyeusement la barre des 32 degrés. La journée s’annonçait très ’chaude’ mais vraiment pas dans le sens météorologique du terme.
Je suis technicien en électronique et mon boulot consiste pour une part à dépanner chez les clients notre système de contrôle d’accès. Vers 14h00, la secrétaire m’appelle pour me signaler un dépannage à effectuer dans un hôpital de nos client.
Lorsque je me présente là-bas, on m’indique l’endroit de la panne, il s’agit de la porte des vestiaires réservés au stagiaires médecins femmes. Eh oui, pour prévenir des vols dans les vestiaires, l’hôpital avait décidé quelques mois plus tôt d’équiper toutes les portes des vestiaires d’un système d’ouverture avec cartes magnétiques.
Très concentré sur mon boulot, je ne pensais pas vraiment à autre chose à ce moment-là. Mais pour dépanner la porte, il me fallait accéder au contrôleur qui se trouvait à l’intérieur du vestiaires.
Avant d’entrer, je frappai quelques coup sur la porte pour m’assurer de ne pas déranger une des ces stagiaires peut-être en train de prendre sa douche. Pas de réponse. Normal, à l’heure qu’il était, il ne devait en principe y avoir personne. Je rentre et commence mon travail sur le contrôleur, face au mur et donc, dos au casiers du personnel et dos à l’autre porte qui, elle, mène aux douches.
Cela devait faire dix minutes que j’étais occupé lorsque la porte s’ouvrit pour laisser entrer deux jeunes filles en tablier blanc, le stéthoscope autour du coup. Leur badge d’identification accroché sur le haut du tablier ne laissait aucun doute, une épaisse ligne verte horizontale et les caractères majuscules noir ’Stagiaire Médecin’.
La première des stagiaires était brune, les cheveux mi-court, lisses et un peu décoiffé du fait d’une journée sans doute bien remplie. Elle n’était pas très grande, mais assez mince et sa généreuse poitrine gonflait son tablier de manière très harmonieuse. La seconde était blonde, plus grande mais je pointai tout de suite ses yeux verts qui me transpercèrent littéralement…
– ’Oh, vous êtes occupés avec la porte?’ me lança la première un peu surprise de voir un homme dans la pièce.
– ’Euh…oui…je n’en ai pas pour longtemps !’ répondis-je timidement.
Je ne suis pas en effet un de ses rouleur de mécaniques. D’un naturel plutôt timide, je ne suis pas non plus un de ces mecs au corps sculpté de muscles saillant. Mais, je ne suis pas mal quand même et on me prend souvent pour un nounours très gentil et généreux.
– ’Bon, vous restez bien tourné vers le mur alors !’ me dis la seconde.
– ’ Oui, oui, ne vous inquiétez pas.’
Elles eurent toutes les deux un petit sourire qui eut le don de me faire rougir sensiblement. Je les entendis s’éloigner un peu, quelques mètres, et chuchoter entre elles, elle riaient discrètement, et j’étais sur que je devais être au centre de leur discussion. Je commençais à avoir chaud, très chaud ! Et bien sur, j’avais beaucoup de mal à garder mon attention sur l’électronique en panne. Irrésistiblement, je tournai les yeux sur ma gauche par-dessus mon épaule.
La première stagiaire, j’appris plus tard qu’elle s’appelait Isabelle me tournait le dos, elle avait visiblement déjà déboutonner son tablier, car elle s’apprêtait à le laisser glisser le long de ses épaules. La légère étoffe de coton blanc descendit lentement laissant découvrir des épaules bien dessinées et une peau légèrement bronzée. Le tablier descendit encore, elle ne portait pas de vêtement sous le tablier, si ce n’est son soutien-gorge. Un de ces soutien sans bretelle, noir, légèrement dentelé. Elle récupéra son tablier et l’accrocha à l’intérieur de son casier. Elle portait un jupe légère et assez courte d’un rouge électrique. Ses pieds nus dans ses baskets blanche lui donnait un air de petite coquine. Elle fit le mouvement de se retourner et je tournai d’un geste brusque la tête vers mon électronique. Une goutte de sueur perla sur ma tempe et le long de ma joue. Je sentis aussi un gonflement caractéristique dans mon jeans. J’étais en train d’attraper une érection de tout les diables. J’avais eu le temps d’apercevoir aussi Gwenaëlle, l’autre stagiaire.
Elle ne portait rien non plus sous son tablier. Elle ne portait quant à elle aucun soutien-gorge de sorte que j’avais pu découvrir sa poitrine. Ses seins étaient en forme de poire, très fermes et ses tétons pointait fièrement vers le haut. Une poitrine comme je les aime. Elle portait un jeans et aussi des baskets.
Je ne pu résister qu’une trentaine de seconde tourné vers le mur. Lorsque mon regard se posa à nouveau sur les deux jeunes filles se déshabillant. Isabelle retira sa jupe et laissa découvrir un String assorti à son soutien. Ses fesses étaient rondes et généreuses comme sa poitrine. Ensuite, je la vis s’approcher de sa copine et lui chuchoter quelque chose à l’oreille.
Gwenaëlle acquiesça et la main d’Isabelle descendit alors lentement pour recouvrir doucement, le sein gauche de la blonde. Gwenaëlle rejeta sa tête en arrière et offrit ainsi son cou aux baisers tendres et mouillé de son amie. Isabelle l’embrassait lentement en descendant le long des épaules de Gwenaëlle, sa bouche ne se décollait pas de la peau blanche, ses lèvres descendaient encore. Lorsqu’elle touchèrent le sommet de son sein gauche, Gwenaëlle ne pu retenir un léger gémissement. Ce qui me fit aussitôt me retourner.
Nom d’un chien, j’étais là, obligé de regarder le mur, alors que deux superbes créatures commençaient à se donner du plaisir dans mon dos. Je ne sais pas comment ma braguette n’explosait pas, j’étais dur comme un chêne et les gouttes de sueurs commencèrent à venir de plus en plus sur mon front. Je m’étais appuyé, les deux mains contre le mur et j’essayait de régulariser ma respiration. Lorsque je sentis une main venant de derrière se poser sur mon entrejambe, une autre se posant sur ma poitrine, une troisième sur mes fesses et un dernière sur ma cuisse droite. Un souffle chaud caressa en même temps mon oreille….
– ’ on te fait envie mon beau ?’
Les mains me caressaient doucement, celle sur mon entrejambe entreprit d’ouvrir ma braguette. Une langue me lécha le lobe de l’oreille et des lèvres se posèrent dans mon cou. J’avais toujours les mains sur le mur, les yeux fermé, je me laissait entièrement manipulé.
– ’Mmmh….’ laissais-je échapper.
– ’On va te dorloter mon petit’ chuchota Gwenaëlle.
– ’Garde les yeux fermés’ dit Isabelle.
J’avais très difficile à me contrôler. Deux mains étaient maintenant occupées sur l’ouverture de mon Jeans. Une fois déboutonné, les deux mains entreprirent de le descendre ainsi que mon slip sur mes chevilles. Je sentais mon sexe pointer droit vers l’avant et mes testicules gonflées à bloc.
La fille sur ma gauche me caressait le dos, la poitrine, le ventre et s’attarda ensuite sur mes fesses, où sa bouche vint rejoindre ses mains. L’autre, s’était faufilée entre le mur et moi, accroupie, la tête à hauteur de ma verge dans laquelle je sentais mon coeur battre à tout rompre. Une de ses mains agrippa gentiment mes testicules et je sentis ses lèvres chaudes et humides se posé sur mon gland. Elle les fit glisser lentement le long de mon membre englobant petit à petit tout mon gland. J’avais toujours les yeux fermés. Je sentais sa langue entamé un tour du gland et je ne pu retenir mon sperme. Je lâchai trois grande saccades dans sa bouche qu’elle ne retira pas de mon pieu. Elle avala le tout.
Waouw, je n’avais encore jamais jouis comme cela. J’en avais la tête qui tournait et j’avais du mal à rester debout.
La fille continuait de sucer ma hampe et, à ma grande surprise (ben, oui, je m?appelle pas Rocco), je restais dur comme du bois ! A ce moment, j?ouvris les yeux. C?est Isabelle qui me suçait et Gwenaëlle était accroupie derrière moi, les mains sur mes fesses, elle approchait sa bouche et sa langue de mon anus. C?était divin.
Doucement, chacune d?elle libérèrent une de leur mains pour se caresser mutuellement leur mont de Vénus à travers la fine toile de leur string. Je les voulais, les désirait toutes les deux et c?était réciproque. Je pris Isabelle par les épaules et l?invitai à s?asseoir sur une chaise près du mur. Elle s?exécuta. Je la rejoignit accompagné bien sur de Gwenaëlle. A mon tour, je m?accroupis. Elle écarta les jambes et ses mains vinrent écarter ses grandes lèvres comme pour m?inviter encore plus. J?approchai ma bouche et je sentais déjà son odeur. Gwen s?allongea sous moi et me pris dans sa bouche. Ma langue effleura le clitoris de la belle brune complètement épilée. Elle tressaillis. Je descendis tout le long de sa fente et remontai pour lubrifier de plus belle le bouton du plaisir. Elle gémissait doucement et elle mouillait de plus en plus. Gwen s?arrêtait de temps en temps de me sucer pour me lécher les testicules et me branler avec sa main. J?étais excité comme un fou.
? Mets-toi sur moi ? dis-je à Isabelle
Je m?allongeai sur le sol, saisit Gwen par les hanches et la fit s?asseoir sur ma bouche en position de semi 69. J?entamai une minette dont j?ai le secret. Isa s?accroupit face à Gwen, saisit mon sexe de sa main droite et s?empala dessus d?un coup. Mon membre glissa sans difficulté dans son antre lubrifié par ma salive et ses sécrétion. Elle me chevaucha ainsi, alternant les rythmes, en râlant et gémissant. Elle savait y faire. Moi, je me concentrais sur la minette que je faisais à Gwen pour ne pas exploser.
Les deux filles se caressaient les seins et s?embrassait mutuellement puisqu?elles se faisaient face. Isa gémissait de plus en plus fort et Gwen soufflait aussi de plus en fort. D?un coup les deux corps se raidirent et ensemble, elles jouirent en se tenant l?une à l?autre pour ne pas tomber. Elles ne mirent pas longtemps pour reprendre leurs esprits. Je ne voulais pas en rester là. Je demandai à Isa de s?allonger à son tour sur le dos et Gwen vint se mettre en position de 69 sur elle.
Elles se mirent sans attendre à se lécher leurs sexe encore mouillé de leur jouissance précédente. Je pouvais voir la belle croupe et les fesses rebondies de Gwen aller d?avant en arrière sur la langue de sa copine. Je m?accroupis derrière elle et présentai mon gland aux portes de son sexe. Je ne l?avais pas encore possédée. C?était son tour. Je m?introduisis lentement en la tenant par la taille. Elle était étroite, je sentais ma verge écarter ses chairs doucement. Lorsque je fus enfoncé jusqu?à la garde, elle se cambra plus fort et laissa échapper un petit râle de plaisir.
-? Mmmmh….c?est bon, prends-moi ! ? dit-elle
-? Oui, doucement ? lui répondis-je
J?étais bien en elle, je ne bougeais plus pour la laisser me désirer encore plus. Isa plaça sa langue sur mes testicules. J?entamai alors, un lent va-et-vient dans ce sexe humide et chaud. Avec mes mains, je lui caressais la taille, le dos et les fesses. Je les écartaient un peu pour faciliter mon travail et la pénétrer plus profondément. Avec mon pouce, j?en profitai pour lui titiller l?anus. Je dessinai de petits cercle sur le pourtour de son auréole sans oublier de le lubrifier de ma salive.
Cette partie la plus intime de son anatomie se dilata doucement sous l?invite de mon doigt. Je me dégageai de son sexe et l?introduis dans la bouche d?Isa toujours couchée dessous. Gwen n?arrêtait de lécher sa copine que pour de temps en temps pousser un gémissement de plaisir. Je changeai d?orifice ainsi quelques fois. Du sexe gonflé de plaisir de Gwen à la bouche chaude et douce d?Isa. Après quelques minutes ainsi, mon pouce pouvait s?enfoncer sans trop de difficulté dans le cul de Gwenaëlle. Gwenaëlle gémissait de plus en plus fort sous le coup de cette double pénétration. Je ne voulais plus qu?une chose et elle me le demanda :
-? Encule-moi…je veux essayer, savoir ce que cela fait ?
Je me levai, m?accroupis sur mes pieds, plaçai une main entre ses omoplates pour la plaquer plus en avant vers le sol afin que sa croupe se présente de la meilleure manière. De l?autre main, je guidai mon sexe à son anus et je m?y introduisis doucement mais sans m?arrêter d?un seul coup ! Waouw, c?était génial. Une fois bien en elle, je la sodomisai sans retenue.
-? Oui, c?est bon.. Mmmmh….continue, plus fort, encore… ?
Elle prenait son pied et moi aussi. Isabelle avait introduit deux doigts à son tour dans le vagin de Gwen et la branlait énergiquement avec le pouce. Gwen jouit dans la minute qui suivit, je ne m?arrêtai pas et elle jouit une seconde fois immédiatement. Je ne pouvais me retenir plus longtemps. Je me dégageai et me relevai. Gwen se redressa aussi tourna la tête vers moi et j?enfournai ma bite dans sa bouche où je me déchargea en grandes saccades. Elle dû avaler et recracher une partie pour ne pas s?étouffer.
J?étais au comble du bonheur, je me rhabillai, elles aussi. Elles quittèrent le vestiaire et je terminai mon dépannage.
Qu?il est chouette ce boulot !
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