Mathilde

Chapitre 2

Cela faisait un an et demi que nous étions ensemble Mathilde et moi. Tout se passait pour le mieux. J’avais quitté mon travail pour créer ma propre entreprise d’expertise informatique. Nous avions acheté une maison et j’avais transformé les dépendances en bureau où nous travaillions avec 4 collaborateurs.

Mathilde continuait de travailler à la boulangerie et peignait toujours.

Elle avait très vite emménagé avec moi. Et j’avais enfin compris l’intérêt de la baignoire. Celle de mon appartement avait assisté à plusieurs reprises à bon nombre de nos ébats amoureux. C’était tout naturellement que nous avions fait installé en plus de la douche à l’italienne, une belle et grande baignoire d’angle.

Il faut dire que Mathilde, comparativement à mes ex, était beaucoup plus demandeuse. Et je n’étais pas en reste. Toutes les raisons étaient bonnes pour que nous fassions l’amour ou que nous baisions.

L’un de mes meilleurs souvenirs fut la fois où en pleine pendaison de crémaillère, nous nous étions éclipsés à la cave pour faire notre petite affaire. Le risque de se faire surprendre et le fait que nous ne portions pas de sous-vêtements tous les deux, avaient accentué notre envie. Car oui depuis plus d’un an, je ne portais plus de sous-vêtements voir parfois pas de vêtements du tout. Mathilde m’avait convaincu de la détente que cela procurait après une harassante journée de travail, de se délester du carcan de la normalité que nous imposait la société. Et puis lors de nos balades en forêt ou même dans les magasins, il était toujours plaisant de ne rien porter en dessous de nos vêtements afin de se faire un petit quicky.

Nos vies amoureuses et sexuelles étaient géniales.

Jusqu’à ce dimanche de mai

En me réveillant je ne trouvai pas ma compagne dans le lit. Cela ne m’étonnait pas, il lui arrivait d’avoir des insomnies et de s’enfermer à la cave pour peindre. Je descendis les escaliers et constatai que les volets n’étaient pas ouverts malgré l’heure déjà fort avancée de la matinée. Je passai la tête dans la descente d’escalier pour m’apercevoir de l’absence de lumière. Perplexe j’ouvris tous les volets et me rendis dans la cuisine. Sur la cafetière, une feuille avec trois mots que toute personne redoute lorsqu’elle est en couple : Je te quitte.

J’attrapai mon téléphone et essayai de la joindre. Je tombai irrémédiablement sur la messagerie. Je laissai plusieurs messages, tous plus inquiets les uns que les autres. Au moins une cinquantaine de SMS furent envoyés, mais restèrent sans réponse. Je ne comprenais pas ce qui venait d’arriver. Qu’avais-je fait pour qu’elle me quitte ? La journée précédente avait été merveilleuse une fois de plus. Nous nous étions promenés sur la plage pas loin de la maison. Nous avions déjeuné au restaurant et pris notre dessert préféré à la maison. Maintenant quand j’y repense, c’était pour elle son cadeau de départ.

Elle avait emporté la majorité de ses affaires, dont son nécessaire à peinture. J’avais bien essayé de joindre ses parents, mais eux non plus, selon leurs dires, n’avaient pas de nouvelles. Un jour son meilleur ami vint sonner à ma porte s’inquiétant de ne pas avoir de réponses à ses messages. Ce jour-là, nous restâmes entre hommes à boire et à nous lamenter sur nos sorts. Lui sur ses copains qui ne restaient jamais et moi sur mon nouveau célibat.

Plusieurs semaines et enfin trois mois passèrent depuis son départ. J’eus enfin des nouvelles par l’intermédiaire de sa sur aînée Lucille. Je l’avais rencontrée au détour d’un rayon du supermarché du coin. Elle comprit à ma mine que j’avais beaucoup de mal à faire le deuil de ma relation et m’invita le soir même à venir manger avec son mari, Arnaud et elle.

Je ne me fis pas prier. J’avais passé de bons moments avec eux lors des fêtes de famille et des soirées organisées dans nos logis respectifs.

Je me présentai chez eux vers 19h, sans avoir oublié de ramener une bonne bouteille. Mon ex-beau-frère m’accueillit avec une étreinte virile et m’invita à le suivre sur la terrasse. Nous avions entamé l’apéro quand sa femme nous rejoignit. Elle s’était changée depuis que je l’avais vu au magasin. Elle avait troqué son jean et son tee-shirt par un mini short blanc et un top noir qui la mettait très en valeur. Pour quarante ans, Lucille était très bien foutue. Sportive avec un bon maintien, elle arborait une magnifique poitrine et un fessier bien rond et bien musclé. J’eus du mal à résister de ne pas la reluquer plus que d’habitude. Je sentis une érection naissante, déformer légèrement mon bermuda.

— On dirait que ça te plait, ce que tu vois, s’amusa Arnaud.

— EuhOuiDésolé. Excuse-moi, Lucille, c’est que ça fait longtemps, bredouillai-je.

— Pas de ça entre nous. Nous sommes des adultes, me rassura-t-elle.

— Ça fait combien de temps que t’as pas tiré un coup, me demanda Arnaud.

— La veille du départ de Mathilde, répondis-je.

— Ah oui ça fait un moment, quand même, s’étonna Lucille et tu n’en ressens pas le besoin ?

— Lucille, enfin, s’exclama Arnaud, bien sûr que oui, il en ressent le besoin. Faut dire qu’avec une nana comme Mathilde, tu ne devais pas t’ennuyer.

— C’est vrai. Vous vous souvenez de la crémaillère quand vous nous cherchiez depuis 30 minutes. On était à la cave pour baiser.

— Tu vois, je te l’avais dit, rétorqua Lucille en donnant un coup dans l’épaule de son mari. S’il te faut tirer un coup, je peux m’en charger, si Arnaud est d’accord.

— Pas d’objection de ma part, répondit Arnaud.

— EuhMerci, répondis-je avec de grands yeux étonnés.

— Tu ne savais pas que nous étions libertins, me demanda Arnaud.

— Non pas du tout.

— Lucille montre-lui tes atouts, s’il te plait.

La maîtresse de maison se leva et vint s’installer à ma droite. Elle descendit les bretelles de son top et sortit ses seins, l’un après l’autre. Elle avait de magnifiques seins en forme de poire, aux aréoles brunes et aux tétons ne demandant qu’à être sucés. Elle déboutonna son mini short et le fit glisser en bas de ses fesses, me dévoilant son minou imberbe. Épilation au laser, me confia-t-elle. Mon sexe me faisait un mal de chien dans son carcan de vêtements. Je déboutonnai mon short présentant à l’air libre ma queue. Je vis au sourire de Lucille que la bête lui plaisait. Elle se pencha vers moi et l’engloutit presque aussitôt. Il y avait longtemps que je ne m’étais pas fait sucer. Je comptais en profiter un maximum. Mon amante savait y faire. Elle léchait d’abord la base pour ensuite remonter et planter mon gland au fond de sa bouche.

— Elle sait y faire, me fit remarquer Arnaud.

— Totalement. Tu comptes juste regarder ou tu vas m’aider à la baiser, lui demandais-je.

Il se leva de sa chaise et vint entre les jambes de sa femme. Il lui retira totalement son mini short et lui dégusta l’abricot. Je restais passif, prenant mon plaisir comme je ne l’avais ressenti depuis plusieurs mois.

Je passai ma main dans le dos de ma suceuse et descendis jusqu’à ses fesses. Mon majeur droit caressa délicatement le sillon de ses fesses jusqu’à sa rondelle. Je la titillai en la caressant puis j’y plantai mon doigt. D’abord une phalange puis une autre. Elle était habituée à avoir des doigts ou une bite dans cet endroit. Lucille s’acharna d’autant plus sur ma queue. Je me crispai et appuyai sur sa tête pour qu’elle me garde en bouche. Un premier jet de sperme puis un second vinrent lui remplir la bouche. Elle se releva et je la vis déglutir.

— Si on allait dans le salon, dit-elle. Jaimerais bien me faire remplir la chatte.

— Avec plaisir, dis-je en me levant.

Arnaud se leva à son tour et finit de déshabiller sa femme. Il se désapa à son tour et je restai en admiration malgré moi devant la longueur de sa queue. Elle devait au moins faire 4 cm de plus que la mienne qui pourtant n’avait pas à rougir.

Lucille attrapa dans chaque main une queue et nous emmena au salon. Elle s’installa entre nous deux et se mit à nous branler. Mon chibre reprit rapidement une belle taille. Nous n’étions pas en reste avec Arnaud. Nous caressions, sucions et tétions les seins de notre amante. Mes doigts allèrent à la rencontre du mont de Vénus de Lucille, que je me mis à doigter en cadence. Son vagin faisait de merveilleux bruits humides et obscènes. Elle gémissait autant sous mes doigts que sous ceux de son mari qui lui doigtait le cul. Elle gémissait et haletait avec force, quand elle atteint finalement l’orgasme vaginal et anal.

— Viens sur moi, lui dis-je. Je vais te prendre la chatte pendant qu’Arnaud te prendra le cul. Qu’est-ce que tu en penses ?

— Avec plaisir, me répondit-elle. Mais ensuite vous échangez.

Je m’allongeai sur le sol. Elle vint se présenter chatte en avant et s’empala sur mon chibre avec un soupir de contentement puis elle se pencha en avant m’offrant sa bouche et sa langue pour un long baiser. Arnaud profita de ce moment pour se placer derrière sa femme et lui introduisit sa queue dans le cul. Je sentis au travers de la paroi vaginale, cette pénétration qui me comprima la queue. Nous baisions à trois en rythme. Quand je m’enfonçai, Arnaud se retirait et quand je me retirai, il s’enfonçait. Lucille beuglait de plaisir sous nos coups de butoir. Au bout de dix minutes de ce traitement, elle demanda à ce que nous échangions nos places et ce fut avec plaisir que je pris le cul de cette déesse du sexe. Malgré le passage d’Arnaud, son cul restait étroit et dix minutes de limage en règle eurent raison de mon plaisir. Je sortis de son cul avec un bruit de succion et déchargeai de grosses quantités de sperme dans son dos, jusqu’à la base de sa nuque. Arnaud se finit dans le con de sa femme, qui jouit également.

Après ça nous sommes tous les trois passés à la douche. Arnaud a allumé le barbecue et nous avons dîné en parlant de tout et de rien. Je les quittai sur les coups de 23h, tout en serrant chaleureusement la main d’Arnaud, et embrassant à pleine bouche Lucille.

En arrivant chez moi, je consultai mon mobile, chose que je n’avais pas faite de toute la soirée, pour y voir un SMS de Lucille.

« Je ne t’ai pas dit, mais Mathilde a repris contact avec moi. Elle sera chez nous la semaine prochaine, si tu veux être là. Appelle-moi demain si tu le souhaites. »

Je partis me coucher en me demandant si cela valait le coup de remuer le couteau dans la plaie. Mais d’un autre côté, cela me permettrait enfin de connaître les raisons de son départ. Ce fut la tête pleine des images de la soirée et troublée par le SMS de Lucille que je m’endormis.

Le lendemain, samedi, je me levai tôt pour profiter de la douceur matinale. Je tondis la pelouse, rangeai la maison et le bureau, puis je partis me promener à la plage. N’étant pas en période estivale, c’était toujours un bonheur de pouvoir profiter d’une grande et belle plage sans manger du sable ou entendre des parents essayant de calmer leurs braillards de gamins. Je prenais le soleil les yeux clos lorsque je remarquai un changement dans la lumière. J’ouvris les yeux et remis mes lunettes de soleil pour apercevoir une forme féminine en bikini blanc juste devant moi. Mon cur faillit s’arrêter. C’était Mathilde. Elle avait perdu du poids. Son ventre était maintenant plat et musclé et ses formes toujours aussi appétissantes.

— Je savais que c’était toi, me dit-elle en préambule. Comment vas-tu ?

— Euhça va. Mieux qu’il y a trois mois. Que fais-tu ici ?

— Je fais comme toi, je profite du soleil et de la plage. Tu es seul ?

— Oui, répondis-je froidement. Que veux-tu ?

— Rien de particulier. Juste savoir si je peux m’installer avec toi.

— Écoute Mathilde, si tu viens là à côté de moi, c’est à tes risques et périls. Tu m’as brisé le cur du jour au lendemain alors que nous avions tout pour être heureux. Maintenant on est dans un pays libre, tu peux t’installer où tu veux.

Je me rallongeai tout en refermant les yeux. Je sentis une présence à côté de moi faire pareil. Il dut se passer une heure quand je sentis une main se poser sur ma cuisse. Cette main cherchait doucement, mais surement à remonter vers mon bas ventre. Malgré moi et malgré la peine que j’avais eue, je me mis à bander. La main trouva ça à son goût et défit petit à petit les boutons de mon bermuda, libérant assez de place pour explorer la zone en dessous du vêtement. Elle se saisit de mon membre gonflé de désir et imprima un mouvement de bas vers le haut, tout en délicatesse. Je me laissai faire. Quel mec normalement constitué ne le ferait pas.

Puis tout s’arrêta. Je relevai la tête pour m’apercevoir que j’étais à nouveau seul. Mon bermuda était fermé. Je bandais certes, mais aucune présence féminine à mes côtés. Je regardai mon téléphone quand je vis l’heure. Dix-sept heures. Cela faisait trois heures que j’étais sur cette plage. J’avais dû m’endormir et rêver de la situation. Je repartis à pied jusque chez moi et au passage, je téléphonai à Lucille.

— J’attendais ton appel, commença-t-elle. Alors que décides-tu ?

— Je viendrai, ne serait-ce que pour enfin faire mon deuil et passer à autre chose.

— En parlant d’autre chose, j’ai peut-être une copine à te présenter, enchaîna Lucille.

— Ah ! Et comment s’appelle-t-elle ?

— Sarah. Et tu verras, elle est aussi chaude que moi, ria mon interlocutrice.

— Ça, j’en doute. D’ailleurs merci pour hier. Même si je ne m’y attendais pas.

— De rien. D’ailleurs je ne suis pas loin de chez toi, donc on pourrait remettre ça.

— D’accord. Je serai là dans une demi-heure, le temps de rentrer.

En fait il ne me fallut que cinq minutes pour rentrer. Je profitai du reste du temps pour prendre une douche, me raser la barbe et le sexe. J’attendis mon amante dans le salon, dans le plus simple appareil. Elle sonna à la porte et je l’invitai à entrer. Elle fut surprise de me voir nu, mais son sourire en dit long. Elle s’installa dans l’un des canapés et je me mis face à elle, le sexe au garde à vous. Lucille entama une longue et belle fellation. J’en profitai pour déboutonner son chemisier et libérer ses fabuleux seins. Je les pressai avec chaque main tout en pinçant les tétons. Puis je me mis à genoux devant elle et lui retirai son mini short. Une fois de plus son abricot m’attira, tant par son odeur que par sa douceur. Je déposai des baisers à l’intérieur de ses cuisses, puis je me mis à lécher ses grandes lèvres tout en introduisant mon index dans son vagin et mon majeur dans son anus. Cette double pénétration la fit sursauter. Mais à ses feulements, je savais qu’elle prenait son pied. N’y tenant plus, je lui écartai un peu plus les jambes et lui enfilai ma queue dans sa chatte suintante de désir. Je la limai ainsi depuis quinze minutes, quand je la retournai pour la prendre en levrette, les genoux au sol et le buste sur l’assise du canapé. Je chevauchai cette belle coquine tout en lui susurrant des mots obscènes et en lui claquant les fesses à plusieurs reprises. Nous baisions depuis près d’une heure quand je sentis la sève montée. Je me retirai et me mis debout face son visage. Je m’astiquai rapidement le manche et lui envoyai plusieurs traits sur le visage, dans la bouche et les cheveux. Elle me remercia pour cette baise sauvage tout en récupérant mon sperme de ses doigts délicats pour l’avaler avec avidité. Elle passa rapidement à la douche et vint me rejoindre sur la terrasse où je l’attendais avec deux verres de rosé bien frais. Étant tous deux fumeurs, nous allumions une cigarette tout en discutant.

— Merci pour aujourd’hui, je n’avais pas eu ma dose de foutre. Arnaud est parti voir un couple pour une prochaine soirée d’échangisme. Et comme je n’ai pas de ses nouvelles, ça doit bien se passer.

— Ça ne lui fait rien que tu baises avec d’autres mecs que lui ?

— Non, pourquoi ? On s’aime toujours autant. C’est juste que pour le sexe parfois on a besoin de voir d’autre personne. Il savait que je viendrais chez toi aujourd’hui. Mince quelle conne, je devais prendre des photos.

— Ça peut toujours s’arranger, lui répondis-je sentant un nouveau début d’érection. Mais moi de ta copine Sarah, d’abord.

— Je vois qu’elle t’intéresse. Alors Sarah est une grande rousse aux cheveux longs. Elle a des seins plus gros que les miens et elle a trente-cinq ans. Que veux-tu savoir de plus ?

— Tu me disais qu’elle était aussi chaude que toi ?

— Oui, si elle le pouvait, elle sucerait des queues toute la journée. Et dans la boite où on est, elle est un peu en manque de beau mec comme toi, me dit-elle en faisant un clin d’il.

— Tu as des photos ?

— Non, mais je peux lui demander de m’en envoyer une. Mais ce sera du donnant donnant. Elle voudra te voir aussi.

— Tu m’as mis l’eau à la bouche, demande-lui sa photo.

Lucille s’exécuta tout en buvant son rosé. Elle profitait pour me caresser la queue à travers mon short avec son pied. Forcément je me mis à bander comme un âne et je l’aidai dans sa tâche en sortant mon engin de sa prison de tissu. Elle finit sa cigarette et vint à genoux devant moi pour se mettre à me sucer une fois de plus. J’en profitai pour activer la fonction photo sur mon téléphone et pris quelques images que j’envoyai par MMS à Arnaud. Celui-ci me répondit avec des emojis de pouces levés. Le téléphone de Lucille sonna plusieurs fois. Elle s’arrêta dans sa tâche, regarda les messages avec un sourire, puis se releva tout en baissant son mini short et se pencha sur la table de jardin, m’offrant son cul et sa chatte. Elle me tendit son téléphone. Je consultai les messages reçus et je faillis m’étrangler. Les photos étaient très osées. Je vis pour la première fois le visage de Sarah, mais aussi ses magnifiques seins et un gros plan sur sa chatte parfaitement lisse. Le dernier message demandait des photos en retour. Je me pris en selfie puis je pris une photo de ma queue et j’envoyai le tout avec mon numéro de téléphone.

Je saillis une fois de plus Lucille puis la sodomisai comme hier soir. Elle repartit peu de temps après vingt heures, heureuse et comblée comme elle me le précisa. Moi de mon côté, j’étais vidé au sens propre comme au figuré. J’échangeai des textos et des sextos une partie de la soirée avec Sarah, Lucille et Arnaud, puis je partis me coucher.

Le lendemain, au réveil, mon téléphone était plein de SMS ou de MMS de mes amis Lucille et Arnaud, mais aussi de Sarah. Commencer la journée comme ça ne pouvait que me faire du bien. Et dans le lot il y avait un message d’un numéro qui m’était inconnu.

« Dommage que tu te sois endormi, j’aurais bien voulu continuer à jouer avec toi sur la plage. Mais au moins tu t’es rattrapé avec ma sur. »

Mon cur s’accéléra. Donc je n’avais pas rêvé. Mathilde était bien présente sur la plage hier. J’essayai d’appeler le numéro, mais à chaque fois je tombai sur le répondeur. Au bout de la troisième fois je laissai un message lui demandant de me rappeler.

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