Jour 4et 5
Le lendemain matin, le réveil fut difficile pour tous le monde. Inutile de décrire le désordre et la décrépitude qui règne dans la maison de campagne. Tante Claudine a appelé mon père et lui a dit que tout allait bien et que l’emménagement se passait bien. Il fallait que je me rende à l’évidence : Ma tante aimait cette situation. Dire que mon père, resté jusque la fin de semaine à la pharmacie, devait se dire que tout allait pour le mieux. Comment pouvait il se douter que sa femme, sa fille, son fils, sa soeur et sa nièce était aux mains de bon gros salauds. Elle baillât et s’étira devant les hommes qui se réveillaient installés n’importe comment dans la maison. Certains dormaient dehors et d’autres dans leur voiture. Ma cousine Michèle était dans les bras du métis ainsi que ma soeur lysa. Après qu’elles se soient gouinées, il les avait baisé toute les deux. Je regarde ma tante Claudine qui se ballade à poil sans avoir de honte. Elle était vraiment maigre. Elle devait peser vers les 55 kilo pour environ 1M70. Yeux noirs aux cheveux marrons coiffés courts. Sa peau cuivrée car elle s’est exagérément bronzée lui donné une drôle de forme. Elle n’avait quasiment pas de sein, juste des tétons qui montrait que c’était une femme. Sa fille, Michèle était le portrait craché de sa mère mais avait heureusement un peu plus de poids. Tata Claudine alla chercher sa robe d’été orange sans mettre de sous vêtement. Elle se lava et se maquilla tranquillement comme si cette soirée était une partouze volontaire alors que toute la famille avait été kidnappée. On me disait plus rien car j’avais été sucé par ma tante et ils me considéraient désormais comme complice. De toute façon, jamais je n’oserais dire ce qui s’est passé ici. J’espérais juste qu’ils partent et nous fichent la paix. Mais ce serait trop beau. Ma mère avait terminé à la chambre où elle avait été emmené et baisée à plusieurs reprise. Elle dormait sur le lit conjugal complètement nue. Elle était méconnaissable tant elle avait été souillée. Ses orifices étaient rouges tant elle avait été baisée. Ses cheveux emmêlés et collés de sperme, sa bouche où le rouge à lèvre avait disparu dilué dans le foutre. Elle avait de légers bleus sur les bras, les seins, les cuisses et ses grosses fesses. Cela vient du fait qu’elle avait été souvent manipulées et que les mains agrippées sauvagement ses hanches et son cul. Voilà ce qu’il reste de la bourgeoise pharmacienne de 46 ans. La mère de famille idéale, femme fidèle et aimante. La voilà transformée en vulgaire femelle ayant pour seul but : être le jouet sexuel de ces ignobles pervers sans foi ni loi. Lysa se réveille à son tour. Elle a eut droit aussi à sa baise mais hélas, elle était moins consentante que tata Claudine et Michèle. Lysa, ma soeur mesure 1m70 et elle est svelte. Elle a moins d’attribut que ma mère mais est plus mince avec une jolie paire de fesses. Sa poitrine n’est pas grosse mais elle a de joli petits seins ronds. Elle a les cheveux longs et c’est une fille qui vit pleinement sa vie d’étudiante qui à la vingtaine. La matinée fut dure a cause de la veille. Déjà, la moitié des gars retournaient sur Marseille vaquer à leurs affaires mais peut être reviendraient ils ? Michèle et tata Claudine déambulent dans la maison, sans manifester aucun dégoût, aucun traumatisme. Lysa se faisait toute petite. Ma mère fut traînée hors du lit. De tous , c’est elle qui avait reçu le plus, qui avait été la plus souillée et humiliée. Elle a même était donnée à deux paysans alcoolique hier. On lui interdit de s’habiller et donc quand elle marche, sa grosse poitrine ondule. Malgré moi, j’ai une érection à cette vue. Des fois, à force de la voir traitée en objet sexuel, j’en arrive à ne plus la considérer comme ma mère mais comme un objet de plaisir. Dire qu’il y ?a à peine une semaine, elle était entrain de conseiller et de vendre des produits de pharmacie. Si elle avait su qu’elle terminerait comme ça. Maintenant, elle ne sert qu’à assouvir des besoins sexuels. A 46 ans, Isabelle est bien conservée avec un joli visage. Elle mesure 1m62 et possède une grosse poitrine. C’est ce qui a sans doute motivé tous ces hommes à la baiser plus sauvagement que les autres. Peut- être aussi son coté bourgeoise aussi car elle avait été insultée et surtout humiliée. Le gitan a en vu le programme de la journée. Il veut faire une balade au village et prés du lac aussi. Par contre il explique bien qu’il veut que les femmes soient le plus excitantes possibles. Il veut montrer à ces paysans les putes qu’ils sont capables de se taper.
-Je veux que vous soyez le plus bandante possible, que l’on ait pas honte de se promener avec vous !
Pour lysa et Michèle qui ont la vingtaine , ça le fait. Elles ont de belles formes et ont pour elle la jeunesse. Tante Claudine, elle compense par sa complicité et sa provocation. Il faut dire que sous sa robe d’été orange, elle est nue. Par contre une fois de plus, c’est Isabelle qui est le plus humiliée.
-Toi, tu mettras ton bikini noir, tu n’as besoin de rien d’autre.
Son fameux bikinis trop petit pour elle.
La chaleur est lourde et on se répartit en trois voiture dont l’espace. Ma mère et moi sommes dans le véhicule de tête avec le gitan et deux autres de ces potes. Sur la route ma mère souffrait horriblement de la chaleur car elle était coincée entre deux gars qui semblait des porcs en rut. Ils la faisait boire ou plutôt , la forçait a boire un fond de bouteille de gin. Ils lui massaient sa poitrine en passant leur main en dessous le haut de bikini, ils la doigtaient aussi bien qu’elle faisait tout pour fermer les cuisses. L’alcool, la soirée d’hier commençait à lui peser. Sa peau , était ruisselante. Elle ne sentait même plus les mains qui farfouillait ses orifices. Heureusement que l’on arriva prés de l’étang car elle commençait à ne pas se sentir bien. Il y’avait pas beaucoup de gens. Et devinait quoi, prés du petit cabanon qui faisait office de boutique et de bar, se tenait les deux paysans. Ils invitèrent le gitan à boire. Ma mère, épuisée par la chaleur, était a demi portée par l’un deux et moi même. Nous m’amenons prés des deux paysans. Les autres allèrent s’installer prés de l’étang comme des touristes. Le vendeur avait remarqué ma soeur et ma cousine ainsi qu’il devinait la nudité de tata Claudine sous sa robe. Mais maintenant, c’était ma mère qui l’intéressait et surtout sa paire de seins à peine masqué par le bikini trop court. Les paysans rigolaient !
-Eh ben, elle est sacrément fournie cette gonzesse !
Le gitan rigola :
-C’est elle que vous avez baisé hier bande d’ivrognes !
-C’était une pute que tu nous avais dit !?
-C’est pareil
Le serveur-vendeur dit alors :
-Mais si c’est une pute, je peux me la taper ?
-Si tu veux mais attend qu’elle reprenne un peu. La chaleur l’a un peu fatigué.
-Je vais lui préparer un bon remontant.
Le serveur donne un cocktail que ma mère avale.
-En tous cas, elle a vraiment de gros seins !
-tu peux le dire, regarde !
le gitan enlève le haut de bikini d’Isabelle et devant moi.
Les seins tombent sur la table et sont vraiment impressionnant. Ma mère se laisse faire et dénuder devant ces gens qui la pensent putain. Le gitan empoigne les nichons et les montrent aux vieux pervers de paysans. Il s’adresse au vendeur.
-Tu peux toucher !
-super, merci !
Et le vendeur se met à malaxer la grosse poitrine de cette femme. Il ignore que c’est ma mère et qu’en plus, elle est kidnappée. Je regarde prés de l’étang. Michèle et Lysa se sont mis en maillot de bain et se font ploter comme des truies. Tata claude discute avec le métis qui a mis sa main entre ses cuisses. Les paysans regardent avec envie cette citadine soumise. Les gens voient ça et la plupart s’en vont un peu gêné mais certains sont curieux. En aucun cas, ils ne soupçonnent pas que nous sommes séquestrés.
-Bon ce soir , on fait la fête à la maison vous venez et toi aussi le vendeur.
Tous sont d’accords bien sur.
-Et profitez en car demain, je l’envoie sur Marseille jusque Vendredi !
-Quoi, mais que vas tu faire avec maman sur Marseilles ?
-C’est pas tes oignons et ferme ta gueule sinon ça va mal se passer !
Les vieux et le serveur me regardent !
-C’est ta mère ?
-oui dis-je timidement !
-C’est bizarre et malsain ça !
le gitan rit
-Il est là pour surveiller sa maman car c’est une vraie salope et quand elle y va , on peut plus l’arrêter.
Cette fois, c’est moi qui suis humilié. Ma mère n’a pas bronché à l’idée de partir à Marseille. Soudain on entend un bruit d’éclaboussure. C’est Lysa et Michèle qui sont jetée à poil dans l’étang. Tata Claude y’a droit aussi.
-On peut la jeter elle aussi
-oui
Les deux vieux la prennent après que le vendeur lui ai ôté son bikini et elle est jeté à son tour dans l ?eau. Ca semble la réveiller et lui faire du bien. Tous rient et les mecs les rejoignent à poil eux aussi. Lysa et Michèle sont baisées dans l’eau. Tante Claudine et un peu frustrée car personne ne s’occupe d’elle. Ma mère est plotée et baisée dans l’eau. La journée faussement festive, se passe rapidement et vint le soir. De retour à la maison, les femmes doivent se maquiller et se faire sexy malgré un après midi à se faire limer. Le vendeur arrive avec beaucoup d’alcool et les vieux arrivent un peu plus tard avec quelques trucs. Les femmes ont fini leur toilette. On dirait toute des putes sans exception et ces putes sont les femmes de ma famille. Dire que ma cousine, ma tante, ma soeur et ma propre mère sont devenues semblables à des prostituées. Et encore, les prostituées, on les paie. Avec une légère moue, tante Claudine s’offre aux hommes suivie de Michèle et de Lysa. On les fait boire. Ma mère suit les autres malgré ses réticences persistantes. Rapidement, elle est mise à poil et baisée avec sauvagerie. Les paysans éméchés par l’alcool ont discuté avec le gitan dont le regard s’éclaire comme s’il avait décroché le gros lot.
-Vient voir , toi ! dit il à tante Claudine
Tante Claudine interrompit sa pipe et essuya sa bouche pleine de sperme. Elle s’avança nue devant le gitan.
-Ces deux paysans voudraient faire de toi leur pute et ils aimeraient te faire baiser par leur âne !
Tante Claudine eu une expression d’horreur
-On va l’emmener dans le vieux hangar où on stocke le foin.
Je suis un peu content de voir ma tante humiliée après le sale coup qu’elle nous a fait. Des cris attirent mon attention. C’est ma mère qui se fait violemment enculer. A Quatre pattes, nue, elle est animée de soubresaut suite au coup de rein de ses agresseur dans son anus. Son cri est étouffé par une grosse bite en pleine bouche qu’elle suce à pleine bouche. Je reste en admiration par ses deux grosses paires de seins qui ballottent pendant l ?acte.
-regardez, héhé, on devrait la mettre avec les vaches et les truies, elle ! dit un paysan en ricannant.
Michèle se fait sauter sur la petite table de la véranda. Elle a gardé son haut mais sa mini jupe a été enlevée. Sa chatte est à l’air ou plutôt en contact avec la langue du métis. Ses cris ne laissent pas planer le doute en ce qui concerne son plaisir. Mais elle est comme sa mère, tante Claudine, une vraie salope. Lysa suce un mec assis sur le canapé. Elle le fait bien et n’a plus aucune réticence à le faire. Aucune ne réagit au fait que Tante Claudine se fasse baiser par un âne. Se faire baiser par des mecs, d’accord, mais par un âne, Tante Claudine n’est pas très engagée. Mais malgré ses réticences, elle ne peut s’y soustraire. Elle regarde sa fille, sa nièce et sa belle soeur qui sont semblables à des putes donner du plaisir à des gars qui n’en valent pas la peine. Elle me regarde avec mépris, le fils qui laisse faire tout ça. Sa tante , sa cousine, sa soeur et sa mère être ainsi traitée.
-Bon, ceux qui veulent voir cette pute se faire baiser par un âne viennent avec nous, les autres n’ont qu’à rester se faire vider les couilles par les femelles qui restent.
Hélas pour le gitan, tous les mecs voulaient voir le spectacle.
-On fait quoi avec les trois autres putes ?
Les paysans répondirent en coeur :
-On les emmènent elles aussi !
Jour 4et 5
Le lendemain matin, le réveil fut difficile pour tous le monde. Inutile de décrire le désordre et la décrépitude qui règne dans la maison de campagne. Tante Claudine a appelé mon père et lui a dit que tout allait bien et que l’emménagement se passait bien. Il fallait que je me rende à l’évidence : Ma tante aimait cette situation. Dire que mon père, resté jusque la fin de semaine à la pharmacie, devait se dire que tout allait pour le mieux. Comment pouvait il se douter que sa femme, sa fille, son fils, sa soeur et sa nièce était aux mains de bon gros salauds. Elle baillât et s’étira devant les hommes qui se réveillaient installés n’importe comment dans la maison. Certains dormaient dehors et d’autres dans leur voiture. Ma cousine Michèle était dans les bras du métis ainsi que ma soeur lysa. Après qu’elles se soient gouinées, il les avait baisé toute les deux. Je regarde ma tante Claudine qui se ballade à poil sans avoir de honte. Elle était vraiment maigre. Elle devait peser vers les 55 kilo pour environ 1M70. Yeux noirs aux cheveux marrons coiffés courts. Sa peau cuivrée car elle s’est exagérément bronzée lui donné une drôle de forme. Elle n’avait quasiment pas de sein, juste des tétons qui montrait que c’était une femme. Sa fille, Michèle était le portrait craché de sa mère mais avait heureusement un peu plus de poids. Tata Claudine alla chercher sa robe d’été orange sans mettre de sous vêtement. Elle se lava et se maquilla tranquillement comme si cette soirée était une partouze volontaire alors que toute la famille avait été kidnappée. On me disait plus rien car j’avais été sucé par ma tante et ils me considéraient désormais comme complice. De toute façon, jamais je n’oserais dire ce qui s’est passé ici. J’espérais juste qu’ils partent et nous fichent la paix. Mais ce serait trop beau. Ma mère avait terminé à la chambre où elle avait été emmené et baisée à plusieurs reprise. Elle dormait sur le lit conjugal complètement nue. Elle était méconnaissable tant elle avait été souillée. Ses orifices étaient rouges tant elle avait été baisée. Ses cheveux emmêlés et collés de sperme, sa bouche où le rouge à lèvre avait disparu dilué dans le foutre. Elle avait de légers bleus sur les bras, les seins, les cuisses et ses grosses fesses. Cela vient du fait qu’elle avait été souvent manipulées et que les mains agrippées sauvagement ses hanches et son cul. Voilà ce qu’il reste de la bourgeoise pharmacienne de 46 ans. La mère de famille idéale, femme fidèle et aimante. La voilà transformée en vulgaire femelle ayant pour seul but : être le jouet sexuel de ces ignobles pervers sans foi ni loi. Lysa se réveille à son tour. Elle a eut droit aussi à sa baise mais hélas, elle était moins consentante que tata Claudine et Michèle. Lysa, ma soeur mesure 1m70 et elle est svelte. Elle a moins d’attribut que ma mère mais est plus mince avec une jolie paire de fesses. Sa poitrine n’est pas grosse mais elle a de joli petits seins ronds. Elle a les cheveux longs et c’est une fille qui vit pleinement sa vie d’étudiante qui à la vingtaine. La matinée fut dure a cause de la veille. Déjà, la moitié des gars retournaient sur Marseille vaquer à leurs affaires mais peut être reviendraient ils ? Michèle et tata Claudine déambulent dans la maison, sans manifester aucun dégoût, aucun traumatisme. Lysa se faisait toute petite. Ma mère fut traînée hors du lit. De tous , c’est elle qui avait reçu le plus, qui avait été la plus souillée et humiliée. Elle a même était donnée à deux paysans alcoolique hier. On lui interdit de s’habiller et donc quand elle marche, sa grosse poitrine ondule. Malgré moi, j’ai une érection à cette vue. Des fois, à force de la voir traitée en objet sexuel, j’en arrive à ne plus la considérer comme ma mère mais comme un objet de plaisir. Dire qu’il y ’a à peine une semaine, elle était entrain de conseiller et de vendre des produits de pharmacie. Si elle avait su qu’elle terminerait comme ça. Maintenant, elle ne sert qu’à assouvir des besoins sexuels. A 46 ans, Isabelle est bien conservée avec un joli visage. Elle mesure 1m62 et possède une grosse poitrine. C’est ce qui a sans doute motivé tous ces hommes à la baiser plus sauvagement que les autres. Peut- être aussi son coté bourgeoise aussi car elle avait été insultée et surtout humiliée. Le gitan a en vu le programme de la journée. Il veut faire une balade au village et prés du lac aussi. Par contre il explique bien qu’il veut que les femmes soient le plus excitantes possibles. Il veut montrer à ces paysans les putes qu’ils sont capables de se taper.
-Je veux que vous soyez le plus bandante possible, que l’on ait pas honte de se promener avec vous !
Pour lysa et Michèle qui ont la vingtaine , ça le fait. Elles ont de belles formes et ont pour elle la jeunesse. Tante Claudine, elle compense par sa complicité et sa provocation. Il faut dire que sous sa robe d’été orange, elle est nue. Par contre une fois de plus, c’est Isabelle qui est le plus humiliée.
-Toi, tu mettras ton bikini noir, tu n’as besoin de rien d’autre.
Son fameux bikinis trop petit pour elle.
La chaleur est lourde et on se répartit en trois voiture dont l’espace. Ma mère et moi sommes dans le véhicule de tête avec le gitan et deux autres de ces potes. Sur la route ma mère souffrait horriblement de la chaleur car elle était coincée entre deux gars qui semblait des porcs en rut. Ils la faisait boire ou plutôt , la forçait a boire un fond de bouteille de gin. Ils lui massaient sa poitrine en passant leur main en dessous le haut de bikini, ils la doigtaient aussi bien qu’elle faisait tout pour fermer les cuisses. L’alcool, la soirée d’hier commençait à lui peser. Sa peau , était ruisselante. Elle ne sentait même plus les mains qui farfouillait ses orifices. Heureusement que l’on arriva prés de l’étang car elle commençait à ne pas se sentir bien. Il y’avait pas beaucoup de gens. Et devinait quoi, prés du petit cabanon qui faisait office de boutique et de bar, se tenait les deux paysans. Ils invitèrent le gitan à boire. Ma mère, épuisée par la chaleur, était a demi portée par l’un deux et moi même. Nous m’amenons prés des deux paysans. Les autres allèrent s’installer prés de l’étang comme des touristes. Le vendeur avait remarqué ma soeur et ma cousine ainsi qu’il devinait la nudité de tata Claudine sous sa robe. Mais maintenant, c’était ma mère qui l’intéressait et surtout sa paire de seins à peine masqué par le bikini trop court. Les paysans rigolaient !
-Eh ben, elle est sacrément fournie cette gonzesse !
Le gitan rigola :
-C’est elle que vous avez baisé hier bande d’ivrognes !
-C’était une pute que tu nous avais dit !?
-C’est pareil
Le serveur-vendeur dit alors :
-Mais si c’est une pute, je peux me la taper ?
-Si tu veux mais attend qu’elle reprenne un peu. La chaleur l’a un peu fatigué.
-Je vais lui préparer un bon remontant.
Le serveur donne un cocktail que ma mère avale.
-En tous cas, elle a vraiment de gros seins !
-tu peux le dire, regarde !
le gitan enlève le haut de bikini d’Isabelle et devant moi.
Les seins tombent sur la table et sont vraiment impressionnant. Ma mère se laisse faire et dénuder devant ces gens qui la pensent putain. Le gitan empoigne les nichons et les montrent aux vieux pervers de paysans. Il s’adresse au vendeur.
-Tu peux toucher !
-super, merci !
Et le vendeur se met à malaxer la grosse poitrine de cette femme. Il ignore que c’est ma mère et qu’en plus, elle est kidnappée. Je regarde prés de l’étang. Michèle et Lysa se sont mis en maillot de bain et se font ploter comme des truies. Tata claude discute avec le métis qui a mis sa main entre ses cuisses. Les paysans regardent avec envie cette citadine soumise. Les gens voient ça et la plupart s’en vont un peu gêné mais certains sont curieux. En aucun cas, ils ne soupçonnent pas que nous sommes séquestrés.
-Bon ce soir , on fait la fête à la maison vous venez et toi aussi le vendeur.
Tous sont d’accords bien sur.
-Et profitez en car demain, je l’envoie sur Marseille jusque Vendredi !
-Quoi, mais que vas tu faire avec maman sur Marseilles ?
-C’est pas tes oignons et ferme ta gueule sinon ça va mal se passer !
Les vieux et le serveur me regardent !
-C’est ta mère ?
-oui dis-je timidement !
-C’est bizarre et malsain ça !
le gitan rit
-Il est là pour surveiller sa maman car c’est une vraie salope et quand elle y va , on peut plus l’arrêter.
Cette fois, c’est moi qui suis humilié. Ma mère n’a pas bronché à l’idée de partir à Marseille. Soudain on entend un bruit d’éclaboussure. C’est Lysa et Michèle qui sont jetée à poil dans l’étang. Tata Claude y’a droit aussi.
-On peut la jeter elle aussi
-oui
Les deux vieux la prennent après que le vendeur lui ai ôté son bikini et elle est jeté à son tour dans l ’eau. Ca semble la réveiller et lui faire du bien. Tous rient et les mecs les rejoignent à poil eux aussi. Lysa et Michèle sont baisées dans l’eau. Tante Claudine et un peu frustrée car personne ne s’occupe d’elle. Ma mère est plotée et baisée dans l’eau. La journée faussement festive, se passe rapidement et vint le soir. De retour à la maison, les femmes doivent se maquiller et se faire sexy malgré un après midi à se faire limer. Le vendeur arrive avec beaucoup d’alcool et les vieux arrivent un peu plus tard avec quelques trucs. Les femmes ont fini leur toilette. On dirait toute des putes sans exception et ces putes sont les femmes de ma famille. Dire que ma cousine, ma tante, ma soeur et ma propre mère sont devenues semblables à des prostituées. Et encore, les prostituées, on les paie. Avec une légère moue, tante Claudine s’offre aux hommes suivie de Michèle et de Lysa. On les fait boire. Ma mère suit les autres malgré ses réticences persistantes. Rapidement, elle est mise à poil et baisée avec sauvagerie. Les paysans éméchés par l’alcool ont discuté avec le gitan dont le regard s’éclaire comme s’il avait décroché le gros lot.
-Vient voir , toi ! dit il à tante Claudine
Tante Claudine interrompit sa pipe et essuya sa bouche pleine de sperme. Elle s’avança nue devant le gitan.
-Ces deux paysans voudraient faire de toi leur pute et ils aimeraient te faire baiser par leur âne !
Tante Claudine eu une expression d’horreur
-On va l’emmener dans le vieux hangar où on stocke le foin.
Je suis un peu content de voir ma tante humiliée après le sale coup qu’elle nous a fait. Des cris attirent mon attention. C’est ma mère qui se fait violemment enculer. A Quatre pattes, nue, elle est animée de soubresaut suite au coup de rein de ses agresseur dans son anus. Son cri est étouffé par une grosse bite en pleine bouche qu’elle suce à pleine bouche. Je reste en admiration par ses deux grosses paires de seins qui ballottent pendant l ’acte.
-regardez, héhé, on devrait la mettre avec les vaches et les truies, elle ! dit un paysan en ricannant.
Michèle se fait sauter sur la petite table de la véranda. Elle a gardé son haut mais sa mini jupe a été enlevée. Sa chatte est à l’air ou plutôt en contact avec la langue du métis. Ses cris ne laissent pas planer le doute en ce qui concerne son plaisir. Mais elle est comme sa mère, tante Claudine, une vraie salope. Lysa suce un mec assis sur le canapé. Elle le fait bien et n’a plus aucune réticence à le faire. Aucune ne réagit au fait que Tante Claudine se fasse baiser par un âne. Se faire baiser par des mecs, d’accord, mais par un âne, Tante Claudine n’est pas très engagée. Mais malgré ses réticences, elle ne peut s’y soustraire. Elle regarde sa fille, sa nièce et sa belle soeur qui sont semblables à des putes donner du plaisir à des gars qui n’en valent pas la peine. Elle me regarde avec mépris, le fils qui laisse faire tout ça. Sa tante , sa cousine, sa soeur et sa mère être ainsi traitée.
-Bon, ceux qui veulent voir cette pute se faire baiser par un âne viennent avec nous, les autres n’ont qu’à rester se faire vider les couilles par les femelles qui restent.
Hélas pour le gitan, tous les mecs voulaient voir le spectacle.
-On fait quoi avec les trois autres putes ?
Les paysans répondirent en coeur :
-On les emmènent elles aussi !