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Ma tante de 45 ans est sublime – Chapitre 10




Lundi et mardi passèrent à une vitesse folle.

Ma tante s’affaira à tout mettre en uvre pour la venue de son fils. Non pas que je fus délaissé, ma tante gardant toute sa tendresse envers moi le soir, mais il fut facile de comprendre pour elle, tout ce que représentait la venue de son fils et de sa petite amie mercredi soir.

Je fus convié à cette soirée familiale et Andrew vint se joindre à nous pour se faire raccompagner par son infirmière, une fois la soirée terminée.

A 19 heures, ma tante folle d’impatience, se précipita dans le couloir lorsque la sonnette retentit. 

Quelle joie pour ma tante de voir son fils, je la vis soulagée sur l’instant et Mike lui présenta Amanda. Une belle australienne, grande, brune, bref la jeune femme qui vous détourne de vos préoccupations assez rapidement. Je discutai avec elle, sous le regard de ma tante. Je la fis beaucoup rire avec la conduite à gauche, similitude avec les Anglais. 

Andrew fut effacé durant cette soirée mais sans oublier de jeter un coup d’il sur sa montre. J’écoutai Mike, en prenant soin de ne pas échanger un regard complice avec sa mère en face de moi. Une ou deux fois, nous échangeâmes par inadvertance un regard vide. 

Je sentis ma tante sur ses gardes. Aucun geste déplacé de ma part n’aurait été toléré, aucune familiarité avec elle encore moins. L’ombre d’un soupçon plana sur nos crânes durant cette soirée, tout comme les jours qui allaient suivre.

A 23 heures, je décidai de les quitter dans une ambiance conviviale. En toute humilité, Amanda m’avait dévoré durant tout le repas. Mike n’étant pas un top model et affichant des kilos sur la balance, je me suis dit qu’avec mon allure sportive et mon côté frenchie, j’avais dû lui plaire. Toujours agréable de se sentir désiré (!).

Le lendemain matin, j’aperçus ma tante rejoignant son bureau. Peu avant midi, je rentrai pour la voir. Un stylo à la bouche et en train de téléphoner, je trouvai ma tante toujours autant désirable. 

— Alors, on dirait qu’elle te plaît cette Amanda ? me dit ma tante, visiblement exaspérée.

— Tu parles, je m’en moque éperdument !

— Oui mais elle m’a posé des questions sur toi.

— On serait jalouse Tatie ?

— Tu dis des bêtises ; ton oncle ne sera pas là ce soir, veux-tu te joindre à nous pour dîner ?

— A une seule condition.

— Je t’écoute Jean.

— Tu ne mets pas de culotte.

— Je l’ai fait plusieurs fois au bureau mais pas avec mon fils et j’aurais l’air de quoi ?

— Personne ne le saura, fais-le…

– Tu n’auras qu’à aller voir !

J’eus le temps d’attraper les lèvres bien apprivoisées de ma tante pour l’embrasser délicatement. Bien entendu, cela ne dura qu’une ou deux minutes, le temps de disparaître. Nous déjeunâmes et eûmes encore une conversation. Chantal se montra carrément jalouse d’Amanda. Elle la trouva prétentieuse, sans éducation. De mon côté, je me gardai de tous commentaires ce qui agaça ma tante.

Pour 19 heures, j’amenai pour le diner une bouteille de vin. Chantal vint m’ouvrir, elle s’était changée. Elle portait une robe assez courte qui forcément la mettait en avantage. Avec sa silhouette de guêpe, j’aperçus ses hanches honorables et son petit cul qui chante comme on dit dans le sud de notre beau pays. 

— Tu es toute seule ?

— Oui, ils vont arriver dans une heure, Mike a emmené Amanda voir des copains.

— Une heure, c’est long Chantal.

Ma tante ne réagit pas. Elle me proposa un apéro en attendant. Nous nous installâmes sur la terrasse. Elle s’installa en face moi et croisa ses jambes délicieuses et en profita pour se déchausser. 

— Alors cette culotte ?

— Il faut mieux regarder mon neveu !

Elle déplia ses jambes pour les écarter. L’expression de mon visage me trahissant, Chantal me rappela qu’il ne fallait pas faire de bêtises. Evidemment, voir le sexe de ma tante visiblement prêt à en découdre avec l’animal qui se réveillait entre mes jambes ne me fut pas insensible. Elle fut en train de jouer à un petit jeu pour m’exciter.

Ma tante devint durant cet instant une véritable allumeuse. 

J’avoue fuir ce genre de femmes. Cette fois ce fut différent, je m’approchai d’elle, je lui caressai l’entrecuisse tout en remontant, là où la femelle peut se faire prendre à son propre jeu. Aidé par la salive déposée sur mes doigts, je me mis à lui faire des caresses sur son sexe en effleurant le pourtour de son clitoris. Ma tante pencha sa tête en arrière, se cambra pour recevoir un de mes doigts, écarta ses jambes au mieux. Je répondis à son attente en introduisant mon doigt dans sa chatte totalement trempée. Chantal se mit à gémir.

— Oui c’est bon mon chéri, ne t’arrête pas.

— Oh mais je vais continuer.

Sans relâche, ce furent deux puis trois doigts qui prirent possession du corps de ma tante. Elle se tortilla de plaisir. Des mouvements linéaires, circulaires eurent leurs effets. Chantal n’en pouvait plus. Je sentis que Chantal était partie dans son monde, elle n’avait qu’une envie, se faire prendre par son neveu sur la terrasse. Sans aucune retenue, elle prit l’initiative de déboucler ma ceinture, puis descendre le pantalon pour finir par le caleçon. Mon sexe bien rigide fit face au visage de ma tante. 

— Dis donc, c’est foutrement appétissant tout cela !

— Tu peux la goûter si tu veux.

— Je la goûte et je la mets en moi mon neveu !

Chantal me saisit mon sexe et fit connaissance avec lui. Ma tante savait que j’adorais ça. Elle promena le bout de sa langue sur le méat de mon sexe, sans le décalotter. Elle savait y faire. Ensuite, Chantal amena ses lèvres parfaites pour commencer à introduire mon membre dans sa bouche; cette vision me restera toute ma vie. 

Me souvenir de ma tante me suçant avec autant de sérieux, d’habileté et d’amour ainsi que ses lèvres glissant sur mon sexe me procure encore quelques battements de cur à ce jour. Je ne sais si ce fut cette chaleur invisible en ce fin de mois d’août, mais j’eus cette délicate impression que ma tante se désaltérait en me suçant. Impression se concrétisant lorsque ma tante m’interpella.

— Jean, nous n’avons plus le temps pour faire l’amour, donne-moi ton jus !

De tels propos venant d’une femme de la classe de Chantal me surprirent, mais bon, le gentleman que je suis se dut d’honorer sa tante. Je regardai ma montre et connaissant l’exactitude de Mike, il nous restait environ 10 minutes de bonheur et de stress. 

Avouons que sur le moment, l’idée du bonheur l’emportait largement sur le second. A sa grande stupéfaction, je décollai les lèvres de Chantal du bas de mon ventre pour l’emmener dans le salon. Je la déposai sur la table en prenant soin de soulever sa robe.

Et là, je vis son intimité plantée entre ses cuisses.

Tout ne fut que douceur.

Sa belle intimité, dont je fis éloquence par le passé, m’apparut comme une oasis perdue sur la peau fine de ses immenses jambes, ses jambes qui ressemblèrent à un océan de dunes. Tel un voyageur assoiffé qui ne voulut croire au mirage, il me fallut avancer d’un pas lourd s’enfonçant dans le sable fin. J’approchai mon visage le long de ses cuisses éblouissantes, je vis mon oasis rayonnante. Je l’ai déjà vue briller aux temps crépusculaires, elle est pour moi un hâve de paix, un jardin nocturne. Je me présente à elle, je veux goûter à sa source d’eaux vives et limpides, la chérir pour assouvir ma soif. Elle se veut capricieuse et joueuse, je connais ses failles. Le visage de mon oasis est une invitation à la baignade, dans son eau pure et diaprée. 

Chantal me regarda.

— Alors ? me dit-elle, les jambes en l’air.

— Je viens en toi ma chérie.

Il me fallut faire vite et oublier mon oasis. Je donnai un coup de langue sur la chatte familière de ma tante, elle en frissonna. Mon sexe la pénétra avec la lenteur que nous aimions, pour atteindre l’extase dans des va et vient interminables. J’attrapai au passage l’un de ses pieds somptueux pour en sucer les élégants orteils. Chantal en frémit un court instant. Je repris la cadence infernale pour le plus grand bonheur de ma tante.

Sa jouissance fut fulgurante, peu avant la mienne. Nous fûmes étourdis de ce plaisir nouveau pour nous deux. Nous avions fait l’amour à la va vite. Mais bien fait. Je regardai Chantal, soulagée, apaisée. Ce fut bon de la voir ainsi. Je me retirai de mon oasis dont je connaissais les moindres recoins. 

— Alors ma Tatie, ça va ?

— Merveilleusement mon amour de neveu.

Chantal se leva et vint m’embrasser amoureusement. Elle prit la direction des escaliers pour faire un brin de toilette. 

Mike arriva accompagné d’Amanda. Ils furent fatigués et nous passâmes directement à table. Ma tante nous rejoignit. L’ambiance fut joviale et les regards d’Amanda finirent par me mettre à l’aise. Chantal me jeta un regard noir. Elle en était malade de voir cette fille me dévisageait au nez et à la barbe de son fils, ou d’elle tout simplement. Mais comment Amanda pouvait-elle s’imaginer que nous fûmes amants ? La question ne se posa point.

— Jean, tu te plais ici ? me demanda Mike.

— J’aime cette ville mais pour la nourriture !

— Maman t’a déjà invité ?

— Oui et ça me change de la cantine !

Chantal fur légèrement angoissée durant notre conversation. Je ne la regardai pas mais je devinai son malaise.

— Et vous deux, c’est du sérieux ? m’adressant à Mike.

— Il faut demander à Amanda !

— Alors Amanda, qu’en penses-tu ?

— La vie est faite de rencontres… me répondit Amanda en souriant.

— Amusez-vous ! dit-Chantal en se mêlant à la conversation.

Mike suggéra pour samedi après-midi de nous inviter chez des amis à lui. Il ne parla pas de son père, dont les relations avaient toujours été tendues. Il indiqua l’adresse à sa mère en prévenant d’emmener un maillot de bain ! Ses amis possédaient une piscine chauffée. Ma tante fut réticente.

— Allez maman ! insista Mike.

— Je vous laisse entre jeunes.

— Pas question et Jean tu nous l’amène !

— Oui mais on ne fait pas les fous. répondit Chantal.

Nous décidâmes d’y aller pour 15 heures. Mike et son amie y seraient déjà pour le déjeuner. 

Je pliai bagages, laissant ma tante avec son fils et cette fameuse Amanda.

Samedi arriva et le soleil fut au rendez-vous.

Je passai chercher ma tante. Elle avait mis un short avec de simples espadrilles. Nous nous fîmes un petit baiser et Chantal me mît en garde.

— Tu sais, les amis de Mike boivent beaucoup, alors fais attention !

— Je ferai attention. lui répondis-je, sûr de moi.

Nous arrivâmes et ma tante partagea son étonnement avec moi. Nous vîmes un véritable manoir. Quelques bolides rangés dans le parc agrémentèrent notre sentiment.

— Mais où sommes-nous ? s’interrogea ma tante.

— Chez des amis qui ont apparemment du fric !

Mike nous présenta. Ils étaient une dizaine. Les garçons étaient dans la piscine, les filles bronzaient. Amanda arriva, ravissante et nous indiqua le 1er étage pour aller se changer. Je trouvai l’ambiance bon enfant avec des fous rires intempestifs. Nous montâmes nous changer.

Je fus plus rapide que ma tante, aussi je la retrouvai dans sa chambre. Elle termina de s’habiller pour me faire part de ses inquiétudes.

— Jean, je crois qu’ils sont bourrés !

— Oui j’ai vu, on fait trempette et on part.

— D’accord, je dirai qu’il faut que j’aille au bureau.

Le temps que Chantal finisse sa phrase, je l’attrapai par la taille et la collai contre moi. En explorant sa bouche, je réalisai qu’il me fallut arrêter immédiatement. Ma tante me fit remarquer qu’avec une bosse dans le maillot, la tâche s’annoncerait difficile pour les rejoindre !

Sur ce, nous descendîmes.

En effet, le gin, le whisky ou la bière coulaient à flot. N’écoutant pas les recommandations de ma tante, je pris un gin et direction la piscine. Ma tante préférant s’allonger. 

Chantal resta sur son transat durant l’après-midi et l’envie de lui mettre de la crème me passa par la tête. Son corps étalé m’interpella, je n’avais d’yeux que pour elle.

Vers 18 heures, il ne resta plus que l’ami de Mike et leurs copines. Il nous expliqua que le père de son ami était dans la haute finance, le reste devint incompréhensible…

Sans complexe, il sortit une cigarette faite maison. Nous fûmes au bord de la piscine, allongés sur des transats. L’endroit idéal pour rêvasser avec un parc à l’anglaise comme ultime décor. 

La cigarette passa de main en main. Je ne sus si Chantal avait pris un verre dans l’après-midi mais, pour rester dans le coup, elle prit une bouffée. Puis une seconde cigarette fit le tour, un autre verre me tendit les bras. Je l’acceptai pour le vider discrètement sur le sol en pierre. 

Tout le monde rigola de mes plaisanteries à propos de la gastronomie anglaise. Les amis de Mike nous invitèrent à diner. Ma tante en oublia son prétexte pour quitter les lieux. Je la vis rieuse, insouciante, libérée. 

Nous nous installâmes puis durant le dîner, l’ami de Mike nous trouva un grand millésime en mon honneur. Un grand Bordeaux qui, sans être un fin connaisseur vous inonde de bonheur (!). Chantal ria pour un rien, Amanda engagea la conversation sur le réchauffement climatique. Durant ce temps, les cigarettes n’en finirent plus. Je stoppai cette consommation excessive à mon goût. 

A 21 heures, Mike et ses amis nous proposèrent un bain de minuit. Refus catégorique de ma tante ! Cette fois, elle prétexta que ce n’était plus de son âge. Mike se résigna conscient qu’il demandait à sa mère l’impossible.

De toute façon, Mike et ses amis ne tenaient plus debout. Ils firent leur bain de minuit, Amanda me réclamant de les rejoindre. Je répondis par un refus poli. Mike, sortant de la piscine, bredouilla approximativement s’il me fut possible de raccompagner sa mère chez elle, lui restant dormir sur place. Chantal, énervée, se leva.

— Bon, ton cousin va me ramener et toi, ne prends pas le volant ! dit-elle à son fils.

— Non maman, on reste ce soir avec Amanda…

Je ne compris pas le reste. Chantal partit se changer. Je fis de même et j’arrivai à l’étage, je vis ma tante, elle avait ôté le haut. J’entendis les bruits de la piscine, ils s’amusaient bien et cela me laissa un instant de tranquillité. 

— Tu ne prends pas de douche Chantal ?

— Non, ramène-moi.

J’approchai de ma tante et lui caressai son sein. Elle ne fit rien, juste un soupir. Passablement vexée par l’attitude de son fils, surtout vis à vis de moi, ma tante fut d’une humeur massacrante. Elle se reprit rapidement. Je lui tétai le sein comme elle aime.

— Heureusement que tu es là.

— Je sais Chantal.

— Ca me fait du bien ce que tu fais.

Je mordillai son téton, je l’aspirai tout en lui caressant son autre sein qui ne demandait qu’à se faire prendre à son tour. Chantal me caressa la nuque, signe qu’elle approuvait cette succion inédite, interdite avec son fils juste en bas. Elle approcha son buste, désireuse que je continue.

Je lui enlevai le bas sans difficultés et la fit s’allonger sur le lit de cette chambre d’amis. Je regardai son corps en pensant aux autres filles étendues sur les transats. Ma tante n’avait rien à leurs envier. 

Chantal, toute docile écarta ses jambes.

Décidément, ma tante était en manque de sexe depuis un sacré moment. Une fois encore, il fallut composer avec le temps. Elle était excitée, les cigarettes et l’alcool ne faisant pas bon ménage, ma tante en avait abusés sans excès. Mais j’avais pu remarquer que cela l’emmenait vers un désir envers son neveu exacerbé. Ce ne fut pas pour me déplaire. Dans ce genre de situation, je pouvais faire ce qui bon me semble de ma tante.

— Chantal, retourne-toi.

— Tu veux me prendre par derrière mon chéri ?

— Qu’en penses tu…

— J’adore avec toi, surtout depuis que tu m’as fait découvrir ça en mieux. 

Elle se retourna et m’offrit sa croupe. Je me mis à lui lécher son cul féerique tel un affamé. Chantal en raffola. Je lui dilatai son orifice précieux à grands coups de salive. Je vis que ma tante était en confiance avec moi, elle n’opposa aucune résistance quand je lui glissai un puis deux doigts, qui se régalèrent de se promener dans les profondeurs intimes de ma charmante partenaire. Elle se montra impatiente de se faire prendre.

Certes j’allai le faire mais il me fallait contempler encore une fois ma tante. 

Il n’y avait plus d’histoire de charme ou de beauté. J’avais la grâce d’une femme sous mes yeux. Féline et sensuelle au diable, pures caractéristiques de la femme mûre et surtout bien foutue à 45 ans. Une certaine fierté m’envahit. Faire jouir ma tante en la prenant là où peu de femmes sont consentantes me galvanisa; rien qu’à l’idée de lui rentrer mon sexe dans son orifice alléchant.

— Jean viens en moi.

— Oui ma si belle Tatie !

Mon sexe se mît en approche pour pénétrer avec précaution le cul formidable de ma tante. Je ne fus qu’à la moitié et déjà, Chantal gémit de plaisir. Plus j’entrai en elle, plus mon cur battît la chamade. Tout en la pénétrant, je caressai ses fesses, son dos, disons ma tante toute entière (!).  

Je m’aperçus que désormais, je sodomisai ma tante à la perfection. J’entrai ou je sortis en changeant de cadence. Cela provoqua chez Chantal des poussées de plaisir, que je ressentis dans ses contractions anales. Purement génial de faire jouir sa tante de cette manière. Ma tante me fit partager cette joie.

— Ouii Jean, j’adore !!

— Je sais ma Chantal à moi.

Je continuai si j’ose dire, mon labeur. Je fus dans l’intime de l’intimité de ma tante. 

Dans cette zone étroite et sombre, je vis la lumière. Chantal le ressentit et je devins immobile tandis qu’elle donna elle-même le tempo. Instant où je me crus en lévitation. A genoux derrière ma tante, je fus spectateur des prouesses de ma tante.

Pourtant, elle n’était pas adepte de ce genre de pénétration, mais elle apprenait vite. Je subissais le déferlement des mouvements habiles de Chantal, elle dirigeait ses petites fesses fermes d’une manière linéaire pour y substituer des mouvements circulaires. C’était la première fois que Chantal prenait l’initiative dans ce genre de position. Force est de reconnaitre qu’elle se débrouillait plus que bien, même très bien.

— Chantal, c’est fabuleux ce que tu fais mais je ne vais pas tenir longtemps.

— Alors viens profondément en moi, que je te sente encore plus fort mon amour.

Quand ma tante m’appelait mon amour, cela me faisait toujours un peu drôle. Cela devint jouissif dans la chambre de cette vaste demeure si sombre. Jouissif au point que la lumière se fit jour.

Mon sexe ne m’appartenait plus, Chantal décidait elle-même s’il se devait de rentrer en elle, d’y rester dans la chaleur diffuse de son cul à la beauté effrayante. Elle jouait à se donner du plaisir, toujours à la limite de la jouissance qu’elle savait repousser mais…

La lumière fit des étincelles qui provoquèrent des décharges électriques immédiates. Lentement je vis la foudre s’abattre sur mon corps, mon sexe en fut la première victime. Chantal, imperturbable continua uniquement des mouvements linéaires pour finalement se stabiliser et subir mes assauts répétés.

On décrit souvent des scènes de guerre, scènes mémorables.

Il me vint à l’esprit, en pleine action, l’attaque de Pearl Harbor. Chantal hurla sa jouissance quand elle ressentit mes premières bombes. Mon escadrille porta des attaques sans limites sur la belle flotte de ma tante. Mon sexe et moi, nous nous savions prêt pour une destruction massive de l’ennemi. La mitrailleuse battit son plein, mes bourses peuvent en témoigner. La flotte chantalienne en subit les conséquences, elle devint inerte, anéantie. 

Transcendé par cette victoire majestueuse, j’en oubliai que les munitions se firent rare. Aussi, pour mieux savourer mon succès, je décidai d’occuper massivement l’ennemi avec pour seule arme, ma présence en elle. Nous criâmes notre victoire sur cette flotte prestigieuse. Vu du ciel, nous ne vîmes que fumées. Nous fûmes loin d’imaginer ce que l’ennemi nous préparait en guise de représailles.

Chantal reconnut sa défaite et me fit comprendre qu’il me fallut me retirer.

Elle se retourna et vint me faire un long baiser langoureux, je plongeai ma langue dans les recoins de sa bouche, mes lèvres collées aux siennes.

— Jean, c’est fabuleux ce que tu fais avec moi.

— Oui Chantal et tu apprends vite.

— Tu me fais faire de ces trucs ! mais j’aime tellement avec toi.

Il fut temps de se rhabiller et de saluer Mike, sorti de la piscine avec ses amis. Comme convenu, je lui expliquai que je ramenai sa mère chez elle. Je ne sus s’il comprit mes propos. Ma tante s’en exaspéra et lui dit à demain.

Nous rentrâmes de ce pas. Arrivés sur place, je décidai de partir chez moi.

— Non Jean, tu ne vas pas laisser ta tante dormir toute seule ?

— Ah ah on aime son neveu ?

— Un peu je crois. dit-elle embarrassée par sa réponse.

— Alors je reste !

— Eh bien… Tu ne seras pas déçu.

Ma tante se déshabilla et se mit au lit, toute nue.

Je crus ma tante inépuisable mais elle s’endormit dans mes bras…

Dimanche – jour de départ de Mike

L’odeur du café me mit en alerte. Ma tante était déjà en bas.

Elle n’avait pas pris soin de se maquiller ni de se coiffer. Elle avait enfilé son pyjama et ses mules. 

— Bonjour mon neveu.

— Bonjour Tatie, on se fait la bise ?

Ma tante éclata de rire. Elle me proposa une tasse de café. Je fus en face d’elle. J’observai ses lèvres sur le bord de la tasse quand elle prit une gorgée. Oh la vache (!), elle était vraiment bandante cette nana le matin, sans rien, naturelle. A mon regard, Chantal me fit un petit clin d’il.

— Dis donc Jean, c’était plutôt pas mal hier soir ?

— La routine ma tante !

Chantal pouffa de rire à nouveau, j’avais envie de la faire rire. Je lui demandai si elle avait des nouvelles de Mike. Elle me répondit qu’il passerait vers 15 heures nous dire au revoir et qu’après, il irait voir son père. Je ne m’étendis pas sur un sujet relativement brûlant.

Ma tante finit son café et mit la tasse dans l’évier. La ceinture de sa robe de chambre s’entrouvrit au moment où elle se retourna vers moi. Sans aucune pudeur, elle afficha sa nudité face à moi. Ma tante restait toujours l’objet de mes fantasmes, même si nous avions fait l’amour plusieurs fois. Je trouvai son corps proche de la perfection. C’était la perfection (!).

— Alors, qu’en dis-tu ? ta tante te plaît toujours autant ? dit-elle avec les mains sur les hanches.

— Je te laisse deviner si tu t’approches…

Ma tante fit un pas vers moi, j’avais son ventre sous mon nez. Je saisis le bas de ses fesses pour l’attirer vers moi, elle se laissa faire mollement. Je couvris de baisers son bas ventre tandis qu’elle me passa les mains dans les cheveux.

Il fut clair que ma tante réclamait un coït de la part de son neveu. Puis, elle se mit sur mes genoux et je l’enlaçai à la taille. Elle baissa la tête en quête d’un baiser. Nos lèvres rentrèrent immédiatement en contact tout comme nos langues. Elles se rencontrèrent pour partir à la découverte de l’une puis de l’autre. Elles jouèrent avec ferveur pour faire une courte pause. Chantal me jeta un regard rempli d’amour. Je l’embrassai à nouveau. Chantal quitta mes genoux et prit ma main pour l’accompagner à l’étage supérieur.

Il fut clair que ma tante prenait les affaires en main. Je la suivis dans l’escalier puis, arrivée dans la chambre ma tante laissa glisser sa robe. Je ne fis que la regarder, entièrement nue devant moi. Elle baissa mon caleçon, admirative devant mon sexe.

— Je vois que je ne te laisse pas indifférent !

— Alors profites-en…

— Jean, j’aimerais recommencer ce que tu m’as fait hier, tu es d’accord ?

— Mais c’est qu’on y prend goût ma tante !

— Bah oui, j’adore.

— Comme tu es une bonne élève, je vais voir ça ! lui dis-je comme un maître.

Chantal aimait être dominée, elle s’agenouilla et porta ses lèvres vers mon sexe en pleine érection matinale. Je restai debout et Chantal commença à couvrir de baisers ma verge puis, elle appliqua sa bouche contre mon gland et l’introduit à l’intérieur. Elle tourna avec sa langue douce autour de mon prépuce. Elle ressortit pour me laper les bourses. Ce geste fut significatif de sa part, une véritable preuve de l’amour qu’elle me portait. Elle aspira mes testicules pour à nouveau introduire mon sexe dans sa bouche divine. Ses lèvres épousèrent à merveille mon membre lors de ses entrées et sorties.

Vais-je me répéter ? les lèvres de ma tante étaient parfaitement dessinées, les voir se promener le long de mon sexe me rappelèrent qu’elle restait ma tante, une femme de 45 ans, belle à en crever, en train de me sucer du haut de mes 19 ans et qui venait de me demander de la sodomiser (!). J’hallucinai.

Il fallut que je stoppe ma tante.

— Maintenant, il faudrait que tu t’allonges. lui dis-je.

— Ah bon ?

Chantal n’avait qu’une seule envie, se faire prendre par derrière. Elle ne comprit pas, enfin pas pour l’instant. Je l’installai à l’extrémité du lit. A genoux, Chantal ouvra ses longues jambes pour me présenter son sexe, qui manifestement présentait un vif contentement à l’idée de se faire câliner par mes soins, au regard de ses lèvres épanouies. Elle leva les jambes à ma demande. Spectacle toujours autant fascinant à voir, quand ma tante s’offrait ainsi.

— Tu sais que tu es belle.

— Ne dis pas n’importe quoi à mon âge.

— Tu es merveilleusement belle ma tante.

— Oui enfin c’est gentil et je fais quoi maintenant ?

— Rien, tu me laisses faire.

— Tu vas me faire monter au 7ème ciel mon cher neveu ?

— Tu vas voir…

Ma tante attendit la suite. 

Je ne me fis pas prier. Je commençai par des caresses amples à l’intérieur de ses cuisses, là où se trouve une zone érogène pour la faire mouiller. Je voulus par cet effet qu’elle devienne demandeuse, désireuse que je la bouffe. Je lui caressai également le ventre pour remonter vers sa poitrine, dont les tétons affichés un désir manifeste de se faire mordiller. 

Mes doigts se mirent à glisser délicatement vers le pourtour de son intimité. Chantal émit de longs soupirs.

Elle écarta un peu plus ses jambes flamboyantes, histoire de me montrer qu’elle mourrait d’envie que je pratique ce cunnilingus tant désiré. Avec mon index, je dessinai ses lèvres intimes. Chantal mouilla à la folie. 

— Lèche-moi ma chatte mon chéri.

Rare de la part de ma tante d’entendre ce genre de vocabulaire. Je ne m’en offusquai pas et de par ce mot, Chantal se livrait entièrement. Elle avait perdu toute sorte de pudeur avec moi.

— Alors allons-y ma douce.

— Ah ouiii ! s’exclama Chantal.

Je me mis à lécher le sexe de ma tante comme un damné. Elle se cambra, se tortilla. Ma langue s’installa dans sa belle fente. Elle explora ses parois roses, ruisselantes. 

Chantal sentait si bon qu’il fut évident, que ma langue habile descendit plus bas. Je lui embrassai ses fesses voluptueuses et lui donnai quelques coups de langues sur sa rose si pure. J’inondai de salive cette extrémité aux terminaisons nerveuses nombreuses. Chantal en raffola.

Ce fut le moment d’approfondir cette partie de l’anatomie de ma tante. Délicatesse et prudence furent de mise dans ce doigté anal. Chantal se décontracta progressivement. Elle avait son si joli petit cul bien dilaté pour me recevoir.

Elle replia ses jambes contre sa poitrine. J’eus une vue infernale de ma tante, prête à se faire pénétrer.

— Oh oui Jean, viens je suis prête.

— Tu aimes maintenant !

— Je te l’ai dit, j’adore avec toi ! Allez viens !!

Sa chatte ruisselante fut trop belle pour que je résiste. Contre toute attente, je m’introduis en elle pour le plaisir de sentir sa chaleur. Tandis que mon sexe se montra bestial dans son vagin, j’attrapai les lèvres de ma chère tante. Notre coït fut intense, Chantal totalement lâchée comme dit auparavant me cria des mots obscènes. Signe du plaisir brut que je lui donnai. Je ne restai pas longtemps, un autre nid douillet m’attendait…

Nul besoin de lubrifier une autre oasis bien plus secrète pour y accéder; ma verge recouverte de la suprême liqueur de ma tante allait faire l’affaire. Je vis les yeux réjouis de ma tante, lorsque j’approchai mon sexe vers son anus brillant.

J’avoue que ma tante avait un cul d’enfer, l’idée de la pénétrer à cet endroit était somme toute symbolique. Non seulement je baisai une femme plus âgée que moi mais en plus, je me payais le luxe de la sodomiser en beauté ! Et quelle femme…

Cette fois-là, j’en oubliai qu’elle fut ma tante, la petite sur de ma mère. Notre relation neveu-tante fut un vague souvenir.

— Alors Chantal, prête à te faire baiser le cul ?

Ma tante fut surprise par ma phrase. Mais elle ne se laissa pas démonter. 

— Oui chéri, prête à recevoir ton beau sexe au fond de mon joli cul !

— Tu sais que tu es vachement bandante ?

— Ah tu n’as pas besoin de le dire, regarde-toi !

— T’es quand même une belle salope, se faire baiser par un jeune !

— Que veux tu ! Je lui plais à mort et il me dit que je suis super bien foutue…

— C’est vrai, t’es vraiment bien foutue !

Tandis que nous parlions, j’avais mon sexe en main et avec le bout de mon gland, je glissai autour de son anus pour m’y coller contre. Je vis que cette situation plaisait à Chantal. 

J’introduis mon sexe dans son entrée. Bien que dilaté, son orifice n’en demeura pas moins méfiant de cette intrusion. La progression fut lente sous le regard attendri de Chantal, qui apprécia cette pénétration toute en puissance dans son corps. 

J’aimais la sodomie avec elle, je savais que je bousculais ses préjugés avec cette pratique déjà taboue pour certains couples alors avec ma tante, nous frôlions les trois étoiles du guide Michelin de l’inceste !

Mes petits va et vient commencèrent à voir le jour. La grande cavité fut proche. Une fois arrivé, j’appréciai ce canal étroit dans lequel mon sexe se trouvait. Je sentis ses contractures s’effacer, face au plaisir devenant omniprésent dû aux mouvements de mon sexe.

Cette position inédite séduisit ma tante. Elle commença à nouveau à pousser de légers soupires en fermant les yeux.

— C’est bon, tu aimes te faire prendre comme ça !

— Oh oui, j’aime te sentir dans mon cul.

Face à cette peau si douce, une force bestiale s’empara de moi. J’allais faire jouir ma tante et l’entendre gueuler. Oui le terme est rude.

— Chantal, quand tu vas commencer à jouir, je veux que tu me le dises, d’accord ?

— Oui mon chéri.

Je caressai ses mollets et Chantal porta ses pieds raffinés à ma bouche. Il n’en fallut pas plus. Mes coups de reins dans le cul brulant de ma complice s’accélèrent. Mon sexe se promenant désormais dans cet orifice si étroit au début.

Les soupirs de Chantal s’estompèrent, pour prendre place à de larges gémissements sans retenue de sa part. Je sentis ma tante se relâcher, son sphincter se détendre. Ce canal me donna des sensations vertigineuses. Plus délicat à dominer, ma position sur Chantal me donnait un avantage certain. De par cette position, j’entrai plus profondément en elle avec plus d’aisance. Chantal était aux anges. 

Je commençai à ne plus à être maitre de mes émotions. Chantal me saisit les bras et me les serra avec force. 

Je sentis que son orgasme était imminent, aussi je conservai ma cadence.

— Jean, je n’en peux plus.

— Dis-moi quand tu es prête. lui dis-je avec un rythme devenu féroce.

— Encore mon Jean ! me dit-Chantal en fermant les yeux.

Je fus en nage, ma belle conquête aussi. Notre accouplement fut digne d’un porno (!). Je sodomisai ma tante sans douceur, je rentrai en elle par des coups brusques et précis. Elle en raffola en clamant sa jouissance.

— Jean ! je viens mon amour !

— Viens ma douce.

— Oui je jouis en toi, c’est merveilleux de te le dire.

— Continue de jouir ma douce Chantal.

Ces mots me sublimèrent, mes mains enveloppèrent les fesses de ma tante, comme si elle fut à moi. Je la possédai toute entière et mon sexe s’empara de la jouissance de Chantal. Je fus dans les astres. Telle une constellation, le corps de ma tante devint mon équateur céleste. Je parsemai d’étoiles son corps venu d’ailleurs. Ma jouissance me porta à un point que Chantal s’agrippa à moi, en collant ses lèvres aux miennes dans un baiser dépassant le raisonnable.

Qu’importe si nos mots dépassèrent nos pensées…

— Je t’aime Jean, j’aurais voulu un enfant avec toi.

— Chantal, j’oublie qui tu es; tu es la femme que j’aime.

— C’est fou comme je suis bien avec toi.

— Et moi, j’adore te faire jouir, te voir jouir, t’entendre jouir.

— Oh jean, toi tu sais me donner du plaisir, tu me connais par cur !

Je n’aime guère employer ce type de vocabulaire. Mais cette fois, il faut bien reconnaitre que ma tante et moi avions baisé comme des bêtes. Nous nous étions lâchés mutuellement. Nos sentiments étaient forts l’un envers l’autre. Il fallut mettre un terme à notre étreinte. Chantal alla prendre une douche. Je la rejoignis dans la foulée.

Une fois dans le salon et nos émotions passées, nous nous installâmes sur la terrasse pour reprendre un café.

Chantal posa ses pieds délicieux sur mes cuisses. Je m’empressai de les câliner. Nous entamâmes une conversation sur notre avenir…

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