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Le chenil – Chapitre 3




Puis, après avoir joui dans sa bouche, j’ouvre l’enclos et la pousse à l’intérieur de quelques bonnes petites claques sur son joli fessier bien rond. Je jette un il en direction de Colette. Je la vois sortir de son enclos, le corps sale, poisseux. Passant près de moi, je lui montre mon guignol. A quatre pattes, elle me suce avec un délicieux et doux « Oui, mon Maître. » J’aime cette femme comme aucune autre ne sera jamais aimée de moi. Dans l’enclos, Corinne subit les assauts répétés de tous les chiens présents. Je ne crois pas qu’elle voudra aller dans un autre enclos après cela. Pendant que ma puce me suce, je fais venir Hunk, il lui faut sa part du gâteau après tout. Il ne se gêne pas pour grimper ma chérie et s’enfoncer dans ses entrailles. J’avoue qu’il nous faudrait beaucoup de caméras pour immortaliser nos ébats. Oui, on pourrait les mettre sur internet après tout. En plus, si on gagnait du fric, c’est tout bénef pour le chenil.

Non, ce n’est pas notre préoccupation première, le fric, c’est pour nos chiens. Corinne se fait vite dépasser par nos chiens, elle commence à fatiguer grave.

Il me faut toute l’autorité de Hunk pour aider Corinne à sortir de son enclos. C’est tout juste si je ne dois pas la traîner dehors. Une fois étendue sur le petit chemin, j’écarte ses cuisses et y plonge ma queue.

C’est mon pourboire, ma jolie salope.

La salope trouve que ce n’est vraiment pas payé cher vu ta belle bite.

On verra ça, ma belle salope.

Tes chiens, c’est juste topissime.

Quand elle explose de bonheur, je lui jouis sur son joli minois. J’aide la belle Corinne à se relever. Son corps pue le chien, il est encore plus poisseux que celui de ma Colette qui se douche et cela m’excite ces odeurs comme la femme qui en est recouverte.

Alors, heureuse ?

Oh que oui, je vais revenir déjà pour vous en acheter un, et puis pour qu’ils me baisent.

N’oublie pas mon petit pourboire au passage.

T’inquiète mon mignon, si c’est comme maintenant, je veux même du rabe.

Colette risque d’être fâchée alors.

Elle ne le sera jamais envers quelqu’un qui aime nos goûts.

Viens, ma chérie, tu es sublime comme ça.

Merci. Corinne, s’il vous faut un chien, je crois en avoir un qui vous plaira. Il manque encore d’entraînement et d’expérience, mais cela viendra.

Si on peut discuter de vos honoraires confortablement, je veux bien payer son prix.

Derrière la maison, sous la tonnelle, Corinne nous revient, fraîchement douchée et pomponnée. Une fois assise, une bière à la main, elle ne tourne pas autour du pot. Ce qu’elle nous dit nous ravit. Nous faisons confiance quant au choix de son futur chien, elle pose plus que nous le voulions sur la table.

Le petit plus, c’est pour ces moments dans cet enclos. Je vais revenir comme je l’ai dit à Alain.

Tu veux ton chien maintenant ?

Je passerais avec Isabelle, le prendre. Je crois que vous n’allez pas être déçu par notre venue. Oh, j’oubliais ceci, c’est de la part d’Isabelle, Karine et moi. Alain, il te faut lâcher tes chantiers, t’as assez à faire dans ce chenil. Les niches à réparer ou à refaire, le toit de la maison. Regarde ta tonnelle comme tu l’as refaite, elle est juste sublime. Alors, vu qu’on vous aime beaucoup, on veut vraiment vous aider à l’avenir.

Mais on ne se connaît que depuis…

Bien plus longtemps que tu ne le penses, mon cher. C’est toi qui m’as fait toutes mes boiseries dans ma villa d’Antibes, tu te souviens ?

Oui, Corinne, mais ça fait quoi, plus de dix ans, j’étais encore…

Tu l’es toujours, beau gosse et bien monté. Colette, tu as devant toi un mec droit comme un i et franc du collier.

Je le sais. En plus, il sait s’y prendre avec nos chiens. Et puis, il me baise si bien.

Ça, tu peux le dire. Mais quand il dit non, c’est non. Ce salaud avait refusé toutes mes avances quand il me faisait mes boiseries.

Et nous voilà embarqués dans nos souvenirs de jeunesse. Maintenant, Colette exige que je lui raconte tout de moi. Oh, je ne lui cache rien de ma vie; même pas mon opération des amygdales et surtout pas de mes amours, même les déçus. Le mot déçu interpelle mes deux donzelles. Alors, comme pour faire amende honorable, j’explique pourquoi, à l’époque d’Antibes, j’avais refusé. La réponse est simple, je croyais encore en l’amour éternel (ben oui), et que je ne voulais pas tromper ma copine qui, elle, faisait exactement le contraire avec tout ce qui se présentait devant son cul. Je crois n’avoir jamais vu Colette autant rire que ce soir-là. Pour ce qui est de se moquer de moi, elles en ont largement profité, ces petites sublimes salopes.

Corinne est restée manger et dormir chez nous. Enfin, question dormir, elle voulait surtout rattraper le temps perdu. Et avec Colette, pour la toute première fois, nous étions trois dans notre lit à baiser jusqu’à ne plus pouvoir lever le petit doigt.

C’est un coup de klaxon qui nous réveille brutalement. Et devinez qui débarque dès l’aube ? Isabelle et Karine. Toutes deux étaient inquiètes de n’avoir pas de nouvelles de Corinne. Devant une Corinne, la tête encore dans le cul, il fut bien inutile de donner la moindre explication. Du reste, ma Colette et moi ne sommes guère mieux. Fucker est aussi là et renifle déjà son frère Hunk. Ces deux brigands, s’ils pouvaient parler, je suis certain qu’ils seraient intarissables.

Derrière la maison, nous prenons nos aises devant un excellent café, celui que me fait ma Colette chaque matin. Les croissants d’Isabelle sont bien appréciés. Karine lorgne déjà Hunk et Fucker qui font les fous avec un vieux ballon, devant nous. Alors que la compagne d’Isabelle se lève, d’un geste impérial, je lui montre les chiens avec ordre de les sucer tous les deux. A voir son visage s’illuminer comme un phare en bord de mer, elle n’attendait que cela. Près des chiens, sous notre regard, Karine les branle, les suces sans jamais les laisser la baiser. Je le lui ai interdit. Puis, je regarde ma Colette.

Si je te donnais le même ordre dans un enclos, pourrais-tu résister à la tentation en sachant que tu n’aurais plus le droit de te faire baiser par tes toutous tout un mois ?

Je ne sais pas, peut-être bien que non.

Tu vois, je commence à très bien te connaître. Il faudrait pourtant que je teste ton obéissance un de ces quatre.

Alain, je suppose que Corinne t’a mis au courant de ce que nous voudrions que tu fasses ?

Retaper la maison, les niches. J’ai déjà commencé, deux niches sont entièrement réparées, j’ai terminé trois nouveaux enclos. Maintenant, si vous me dites qu’il me faut me consacrer uniquement au chenil et à ma belle et amoureuse épouse, je suis d’accord. Reste le problème financier, sans mes chantiers, pas de pécule pour le chenil.

Une aide financière et des bras, ça te conviendrait ?

Tout dépend de qui il s’agit. Il me faut des pros du bois et du bois.

Une amie à nous saura te procurer quelques-uns de ses mignons pour t’aider. Elle ne dresse que des chiens humains. Et, cerise sur le gâteau, elle adore qu’un toutou, du genre de ces deux-là, la lui mette dans l’oignon. C’est la pire salope que je connaisse. Elle se prénomme Margot ou Maîtresse Malvina dans son activité et elle a déjà hâte de vous connaître.

Je vois que nous n’avons plus besoin de faire de la pub.

Surtout qu’elle a une proposition des plus intéressantes à vous faire.

Laisse-moi deviner, héberger ses soumis dans l’un de nos enclos.

Miam, Colette, tu me plais là. Exactement, durant les week-ends, elle déposerait plusieurs de ses soumis, ses rampants, comme elle dit. Vous n’auriez qu’à les traiter comme de vrais chiens, comme pour la bouffe et le reste. Et puis, vous pouvez leur faire nettoyer les enclos et tous les travaux en plus de la rénovation, cela va sans dire.

J’imagine déjà la chose pour tout dire, voir des mecs se faire rougir le cuir. Pour certains que je connais dans mon entourage, cela leur fera le plus grand bien. Mais bon, on peut toujours rêver. Et puis, une nouvelle automobile s’arrête devant la maison. Hunk délaisse Karine pour aller voir. Il revient, comme un grand, nous amenant une femme de l’âge de Corinne dont il tient la jupe dans sa gueule. Nous nous levons, elle se présente comme étant Margot. Woow ! Quelle femme ! Toute de cuir vêtue, elle s’assoit près de Colette. Très vite, elle refuse tout vouvoiement et le courant passe tout aussi vite. J’avoue qu’en tant que seul mec autour de cette table, à part Colette, celle qui attirerait mes faveurs, sans hésiter, ce serait Karine, celle qui suce Fucker, le cul en l’air. Seulement, comme pour moi, elle ne voit pas arriver Hunk qui ne demandait que cela. Là, Margot se lève, prend son téléphone portable pour immortaliser la scène qui se déroule sous nos yeux.

Isabelle veut intervenir, ma main sur sa cuisse dénudée la fait changer d’avis.

Laisse, si elle prend son pied, c’est tout ce qui compte.

T’as raison ! Après tout, nous sommes toutes là pour la même chose, nous faire baiser par vos clebs.

Hé, un peu de respect pour ces chiens. Ce ne sont pas des soumis comme vos larves de mâles.

T’as raison, ma chérie, pardonne-moi.

Sur ce, Colette reçoit les lèvres pulpeuses d’Isabelle. Corinne en profite pour raconter sa journée d’hier et sa nuit avec nous. Elle raconte comment Colette est entrée dans cet enclos, comment elle a su calmer les chiens avant que le dominant ne la baise longuement. Toutes ces femmes, Karine comprise, écoutent Corinne pendant que je lis dans ces visages qui transpirent une furieuse envie de s’enfermer dans l’un de nos enclos. Isabelle ajoute mon anecdote, quand Hunk m’encula en toute beauté pendant que j’allais et venais dans le corps de ma petite femme. Cela dit, elle le fait sans aucune moquerie, rendant grâce à ma personne quand j’acceptais qu’il jouisse dans mon cul.

Puis, la météo clémente de ce mois d’octobre le permettant, les femmes suivent ma douce Colette dans le salon. Pendant que ces dames se mettent à poil, je vais exciter les chiens. Quand elles arrivent, c’est le corps de Margot que je ne perds pas du regard, tout comme Corinne, elle a su conserver son corps de rêve. Devant le premier enclos, d’une bonne claque sur sa croupe, je glisse Karine qui me jette un regard rempli de bonheur. Puis, c’est le tour de Margot et ainsi de suite jusqu’à ce que j’arrive à ma Colette.

Si je t’ordonnais de ne pas te faire baiser, seulement de les sucer.

Je ne pourrais pas résister et tu le sais.

Oh que oui ! Maintenant, laisse-toi faire et n’oublie pas de prendre ton pied, ma chérie.

Merci mon amour. Des mecs comme toi, ils ne courent pas les rues.

Ça, non, le seul est tout près de toi, et le moule est cassé. File, que je ferme le portail de l’entrée.

Ma Colette pénètre et je referme derrière elle, en laissant la clef du cadenas à portée de sa main. Je fais de même dans tous les enclos. Je m’arrête près de celui où se trouve Margot et la regarde se délecter de nos chiens.

Corinne t’a dit que tu me devais un pourboire en sortant de l’enclos ?

Une pipe, c’est ça ?

Non, une sodomie pour toi.

Avant ou après la douche ?

Avant, c’est meilleur, tu verras. Et puis, j’aime quand vous puez le chien mouillé.

Là, tu commences sérieusement à me plaire mon ami. Un mec qui se fait enculer par un chien qui nous encule après, mérite qu’on lui dise : défonce-nous.

Là, à ton tour, tu me plais ! Profite bien, je dois aller terminer une niche.

Je passe te voir quand ils ne pourront plus.

Tu rigoles, c’est toi qui sortiras en rampant devant eux. Ils récupèrent plus vite que toi et moi réunis.

Je l’abandonne pour rejoindre mon atelier. J’ai le temps, tout le temps avant de prendre mon pied dans le cul de Margot. Je compte bien me la faire entièrement. Là, pendant que j’assemble cette niche, je peux entendre ces femmes qui jouirent à tout va. Je reconnais Karine, Colette et Isabelle quand elles poussent leurs hurlements de plaisir. Par contre, il m’est encore difficile de savoir entre Isabelle et Margot. Bah, cela viendra avec le temps.

Je viens à peine de terminer cette niche quand Margot pousse la porte de mon atelier. Visiblement, j’avais raison, elle est sur les rotules. Cependant, je ne lui laisse aucune chance de me fuir. Devant ses amies, je la pose à quatre pattes et l’encule séance tenante. Pas besoin de faire le passage, les chiens l’ont déjà fait pour moi et bien fait. Dans son cul, je ne me lasse pas d’aller et venir. C’est qu’il est vachement bien lubrifié, merci les toutous. Je pense à tous ces mecs qui viennent la trouver pour s’en prendre plein la gueule à coup de pied et autres coups de cravache. Je me permets même de la fesser, et copieusement. Même ma Colette ne me regarde plus comme avant. Je crois qu’elle aimerait se retrouver à la place de Margot.

Alors ma belle, qu’est-ce que ça fait de se retrouver de l’autre côté de la barrière ?

Un bien fou quand c’est une personne qui sait te fesser. Continue mon biquet, je te promets de belles petites chiennes.

Sauf que ma Colette, si l’envie lui prend, pourra user de tes chiens.

Là, Colette use et abuse sans aucune restriction. Putain, ton mari encule comme un pro.

Mais c’est un pro, mon mari. Quant à tes soumis, s’il en est un avec une queue comme celle de mon époux, il va rendre les armes bien avant que j’en finisse avec lui.

Tu peux ma chérie. Continue. Alain, je vais, je… vais… Oooooooooh putain, défonce-moi plus fort.

Mais avec plaisir Maîtresse Malvina !

A suivre…bande de sales petits voyeurs. 😉

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