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La patronne de ma mère est une cougar – Chapitre 10




Salut, c’est votre folle de lycra.

Muriel était en train de me faire une très agréable turlutte, pendant que ma mère était en train de lui brouter son minou. La cougar était cachée sous ma robe, je ne voyais juste que sa main en train de caresser les cheveux de sa collaboratrice. Bien que n’ayant pas le nez collé dessus, je profitais pleinement des effluves de cyprine qui se dégageaient de l’entrejambe de Muriel. Je n’ose imaginer ce que devait ressentir ma mère qui était au tout premier plan, je vais vous avouer que j’étais un peu jaloux. La patronne est sortie de sous ma robe, pour aller se mettre à caresser les petites fesses de ma mère, dont elle avait soulevé l’arrière de la robe. Elle ne s’accordait pas une minute de pause, pour ce qui est de la débauche sexuelle, puis elle m’a fait bouger la table basse et ensuite agenouiller derrière ma mère.

Fais écarter les jambes de Christiane et j’aimerais bien que tu lui manges son petit et sa petite moule.

La demande était claire, il n’y avait pas d’ambiguïté, c’est ainsi que je me suis retrouvé derrière ma mère, que j’ai commencé à lui manger son petit cul, chose qu’elle a rapidement appréciée.

Quand j’ai entendu maman gémir assez fortement, il n’y avait aucun doute, c’est moi qui lui faisais de l’effet avec ma feuille de rose. En même temps, j’étais assez honteux, moi, le fils, j’étais en train de faire du bien à ma mère au niveau de son petit trou, alors que j’étais totalement travesti et le pire, c’est que maintenant, je prenais l’initiative de lui glisser un doigt et même deux dans son vagin. Disons que j’étais en train de déconcentrer ma mère qui était en train de se désaltérer à la fontaine de plaisir de Muriel, et moi, je m’activais en lui chatouillant le moule à bébé. Disons qu’à quelques détails près, nous étions en train de faire la même chose. Heureusement que Muriel ne voyait pas dans quel état cela me mettait, que de faire du bien à ma mère ; je bandais comme un salaud. J’en arrivais à mourir d’envie de baiser maman sous les yeux de sa patronne, mais je suis persuadé que cette dernière n’attendait que ça.

Par moments, c’était plus fort que moi, plutôt que de lui brouter son minou et son petit oignon, je venais me coller contre les fesses de ma mère, mon sexe érigé au possible.

Vas-y, baise la Christiane, je suis sûre que tu n’attends que ça. Je suis sûre que même elle, elle ne rêve que de ça, se faire prendre par son fils devant sa patronne.>>

J’adorais faire l’amour à Muriel, mais je détestais la façon dont elle nous parlait, elle était autoritaire et dominatrice, que ce soit pour ma mère ou moi. En même temps, elle avait raison, ce n’était pas pour rien que je venais caresser mon sexe dans la raie des fesses de maman même s’il y avait une douce robe entre mon sexe et elle, je mourais d’envie d’aller plus loin. Pendant que Muriel était en train de parler, elle avait saisi la tête de ma mère pour l’enfoncer entre ses jambes, j’imaginais parfaitement le visage de ma mère recouvert de la cyprine de sa patronne. Une chose était sûre, elle n’aurait plus les mêmes relations au boulot, j’imaginais parfaitement Muriel caressant les fesses de ma mère à la moindre occasion. Muriel était restée penchée, mais elle ne s’occupait plus les fesses de maman, elle s’occupait de lui pincer les tétons.

J’avais peur qu’elle fasse mal à ma mère, mais en fin de compte, cette dernière avait l’air de beaucoup apprécier le traitement que lui infligeait sa patronne.

Bien qu’il me soit très dur de résister, j’avais repris ma position pour m’occuper de l’entre fesses et de l’entrejambe de ma mère. Ce qui était plaisant, c’est qu’au moindre coup de langue, elle sursautait ; ce n’est pas bien de dire ça, mais j’étais fier de donner du plaisir à ma mère. Histoire de casser le rythme, Muriel avait relevé Christiane, et m’a invité à venir descendre à sa cave, il n’y a pas à dire, cela avait l’air de l’exciter que de voir le fils de sa subordonnée totalement travesti et surtout en train de lui bouffer la friandise. La patronne a ordonné à ma mère de soulever l’arrière de ma robe, pour venir me bouffer la rondelle à mon tour. J’étais un peu gêné que ma mère soit obligée de faire ça, mais elle ne s’est pas fait prier, elle avait l’air très curieuse et surtout impatiente de découvrir plein de choses.

C’est ainsi qu’une fois les fesses à l’air, ma mère s’est mise à me les caresser, me les claquer, me les écarter, puis j’ai senti son souffle chaud s’approcher de mon petit trou, avant de déceler sa langue qui se déposait dessus. J’étais en train de ressentir les mêmes sensations que celles que j’avais eues la fois où Claude était venu chez Muriel.

Autrement dit, j’avais envie de me faire prendre par-derrière, finalement, ma mère s’y prenait très très bien. Moi qui voilà peu de temps étais encore puceau, j’étais en train de prendre du plaisir avec deux femmes, qui avaient plus de vingt-cinq ans de plus que moi et dont l’une était ma mère. J’étais en train de tortiller des fesses comme une véritable femme, ce n’était pas très flatteur pour moi, mais je me laissais aller au plaisir. Rendez-vous compte que maintenant, c’était ma mère qui était en train de me coller sa langue dans mon anneau secret, on avait vraiment l’impression qu’elle avait de l’expérience pour la chose. Je ne pouvais pas trop soupirer de plaisir, car j’avais la tête enfouie dans la toison pubienne de sa patronne et cette dernière me tenait actuellement fermement la tête. Pendant que maman était en train de me faire un anulingus, elle en profitait pour me caresser les jambes toutes douces, ainsi que le corps lui aussi très doux ; toujours grâce au lycra.

De temps à autre, maman se relevait pour embrasser sa chef au-dessus de moi, je ne voyais rien, j’entendais juste leurs bouches s’unir et se désunir.

Je ne vous raconte pas dans quel état cela me mettait, quand elle me caressait les hanches et les flancs, je pense que c’était la partie de mon anatomie la plus sensible aux caresses. Avoir de telles caresses alors que j’étais totalement travesti en train de bouffer le minou d’une femme, et que l’on se fait bouffer la rondelle, on se sent vraiment femme à ce moment-là. Quand elle insistait un peu trop à un endroit, c’était limite insoutenable tellement c’était bon, par contre elle ne touchait que très rarement mon sexe ; à mon grand désespoir. Ma mère était douce avec mon corps, tout comme celui de sa patronne, comme elle l’était dans la vie ; j’avais vraiment beaucoup de respect pour elle.

Tu sais ma petite pédale, tu as vraiment beaucoup de chance que deux femmes soient en train de s’occuper de toi, et en plus, dans cette tenue.

Muriel avait raison, en plus, quand elle me racontait ça en parlant de moi au féminin, cela m’excitait encore plus.

Tu as un côté soumis et docile qui me plaît depuis le début, je pense que ta mère devrait rapidement y prendre goût.

C’est vrai que le côté autoritaire de Muriel ne me laissait pas de marbre, de l’autre côté, j’étais prêt à faire tous les plaisirs du monde à ma maman. Pendant que Muriel était en train de parler, elle m’avait fait stopper mon broutage de minou, ceci dans le but que ma mère vienne reprendre sa place d’origine entre ses jambes. Christiane avait l’air de beaucoup apprécier son rôle, car elle ne s’est pas fait prier pour se retrouver à quatre pattes en train de manger la friandise de sa patronne. De mon côté, je me retrouvais à nouveau avec une vue imprenable sur le petit cul de ma mère, maintenant, Muriel se penchait pour m’embrasser, comme elle le faisait avec ma mère voilà quelques instants. Mon sexe n’avait pas perdu un centimètre de sa longueur, j’avais toujours une énorme envie d’aller le dissimuler dans un minou. Finalement, c’était pas désagréable que de faire semblant de pénétrer sa partenaire, en gardant son sexe dissimulé dans la douce robe de mariée.

J’étais conscient que cette dernière allait rapidement sentir le minou et même aussi le sperme. C’était une véritable superbe sensation que de bloquer mon sexe dans la raie des fesses de maman, je donnais des coups de reins dans le vide, mais c’était très bon.

Un moment, Muriel s’est penchée et j’ai cru qu’elle voulait encore m’embrasser, mais en fin de compte, elle a soulevé l’avant de ma robe, ce qui a fait que mon sexe était en contact direct avec les fesses de sa collègue. J’étais maintenant conscient que j’allais pénétrer ma maman, j’avais un peu la tête ailleurs pendant que Muriel avait saisi mon sexe sur lequel elle avait déposé de la salive comme elle en avait déposé dans la raie des fesses de ma génitrice. Une fois les deux endroits sensibles bien lubrifiés, la maîtresse de maison s’est mise à jouer avec mon sexe entre les deux fesses de Christiane. Je savais que dans peu de temps, j’allais pénétrer ma mère, mais je ne savais pas par quelle issue j’allais passer. C’est Muriel qui dirigeait les opérations et je peux vous garantir qu’elle tenait mon sexe on ne peut plus fermement.

Elle s’en servait comme d’un godemiché, et elle s’amusait maintenant à ne rentrer que mon prépuce un coup dans le petit trou, un coup dans le vagin de ma mère. Vu la quantité de salive qu’elle déposait en haut des fesses de maman, il était évident qu’elle était en train de préparer son petit cul.

Je ne savais pas si cela serait une première pour ma mère, mais pour moi, ce serait le cas, de vous à vous moi, je vais vous avouer que ce n’était pas une priorité pour moi, que de sodomiser une femme.

Je suis en train de préparer ta maman, car j’aimerais bien que tu la prennes par-derrière, j’essaie de faire durer les préliminaires le plus possible, pour que cela ne soit pas douloureux ni pour l’un, ni pour l’autre.

Décidément, Muriel était une sacrée maîtresse de maison, car elle dirigeait tout, que ce soit la cuisine, le planning, mais surtout, des parties de jambes en l’air. J’avais posé mes mains sur les hanches de ma mère, en même temps, je l’entendais pousser des petits cris de plaisir, en sachant qu’elle avait la bouche enfouie dans la toison pubienne de sa patronne. J’aimais vraiment énormément la façon dont Muriel me tenait le sexe, rien que ça, cela entretenait mon incroyable érection.

Sois patiente ma belle, tu vas réussir à la baiser, ta mère, je suis sûre que tu ne penses qu’à ça depuis que tu es arrivé.

Alors que je donnais des coups de reins instinctifs ou nerveux, je ne sais pas vraiment, Muriel a positionné mon sexe contre la rondelle de ma mère et je me suis retrouvé à commencer à pénétrer maman. Alors que je n’étais pas encore complètement rentré, j’ai immédiatement senti la différence de diamètre par rapport à un vagin, c’était étroit, mais j’avais aussi l’impression qu’il y faisait plus chaud. Pour l’instant, ce n’était pas moi qui rentrais en maman, mais plutôt Muriel qui me tirait à elle. Quand j’ai réalisé que je ne pouvais pas aller plus loin, j’ai instinctivement commencé à ressortir partiellement. J’étais en train d’aller et venir en maman dans sa cavité la plus étroite, et Muriel se remettait à m’embrasser. Au début, j’ai pu entendre un petit cri de surprise de la part de ma mère, mais maintenant, c’était du plaisir qu’elle essayait de faire partager par ses gémissements.

En plus de m’embrasser, Geneviève s’était mise à me pincer les tétons à travers ma robe, elle faisait attention à ne pas me faire mal, mais elle flirtait quand même avec la limite douleur, plaisir.

Alors qu’est-ce que ça te fait comme sensation que de sodomiser ta maman, et qui plus est, faire ça devant sa patronne.

Actuellement, je n’étais pas concentré à répondre à Muriel, j’avais plus la tête à commencer à prendre du plaisir et surtout en donner à ma maman des fois que j’y arrive. Pendant que Muriel me parlait, elle continuait à mettre de la salive sur mon sexe, à chaque fois qu’il sortait de la cavité secrète. Maintenant, à chaque fois que je rentrais mon sexe, j’entendais maman soupirer de plaisir, j’avais vraiment l’impression qu’à ce rythme-là, elle allait se mettre à crier dans peu de temps. À ma grande surprise, Muriel s’est mise à donner des claques magistrales sur les fesses de ma mère, là, je peux vous garantir que ma mère ne s’est pas retenue de crier, mais ce n’était pas de plaisir. Je pense qu’elle a surtout été surprise, et moi, de mon côté, j’avais mal pour elle.

Alors Christiane, est est-ce que tu aimes te faire défoncer la rondelle, est-ce que tu es heureuse que ce soit son fils qui s’en occupe, tu te rends compte que tu viens d’offrir une première à ton fils.

Il n’y avait pas de doute, les deux femmes le savaient, que pour moi c’était une première, d’autant que toutes les deux savaient pertinemment que je n’étais pas vraiment expérimenté au niveau sexuel. J’étais en train de prendre confiance en moi, car je constatais que je donnais du plaisir à ma mère, du cou,p je commençais à envoyer des coups de reins qui étaient pour ainsi dire, des coups de boutoir. Ma mère s’était légèrement éloignée de l’entrejambe de sa patronne pour pouvoir pousser des cris sourds et rauques tellement elle appréciait ma façon de faire. À chaque fois que je rentrais violemment en elle, je voyais tout son corps onduler sous l’impact de mon corps, finissant sa trajectoire sur le sien. Désormais, Muriel avait trouvé une autre activité, plutôt que de m’embrasser ou de se faire brouter la foufoune par ma mère, elle n’avait pas bougé de place, mais elle s’était penchée pour pincer la poitrine de ma mère.

Quand je repensais au traitement qu’elle avait infligé à mes tétons, je me disais que maman devait souffrir à se les faire triturer ainsi.

J’avais un peu honte, car j’étais en train de constater que c’était l’animal qui était en moi qui avait pris le dessus, je me défoulais bestialement dans les petites fesses de maman. De temps à autre, Muriel pensait à venir déposer un peu de lubrifiant, mais je crois que je n’avais jamais ressenti un tel plaisir à faire l’amour à une femme. Je ne sais pas si c’est parce que c’était la première fois que je sodomisais une femme, ou le fait de faire l’amour à maman devant sa patronne, mais mon excitation était en train de monter. J’étais conscient qu’à ce rythme-là, je n’allais pas tenir longtemps, et que j’allais finir par balancer la purée dans le boyau de ma mère. Heureusement que Muriel était en train de s’occuper aussi de maman, car finalement, elle a fini par se mettre à pousser de grands cris, ma maman était en train de jouir sous les yeux de Muriel.

Je ne sais pas si c’est mon acte de sodomie, les caresses insistantes de Muriel ou la combinaison des deux qui l’ont fait accéder ma mère au plaisir. Toujours est-il que quelques instants après, je rejoignais ma mère au septième ciel, par contre, à ma grande honte, j’étais en train de lui déposer une énorme quantité de semence.

Maman avait l’air très heureuse que moi aussi j’aie pris mon pied, je la tenais fermement par les hanches, mais j’avais peur de lui faire mal, tellement je serrais fort. Muriel a fait redresser ma mère sur ses genoux pour pouvoir l’embrasser ; tout comme moi, maman ne faisait que subir. Maintenant que ma génitrice s’était redressée, j’avais saisi ses seins pour plaquer son corps contre moi, elle se cambrait de plaisir, cela lui permettait de mettre son superbe corps en valeur. De mon côté, mon sexe était toujours profondément planté en elle et je ne voulais plus bouger de peur de ne plus pouvoir rentrer. Nous étions tous les trois en train de savourer ce moment, ma partenaire se faisait embrasser par sa patronne et moi je savourais ses contractions annales, qu’elle était en train de m’offrir. Bien que la position ne soit pas favorable pour le faire, je continuais à donner des petits coups de reins, je ne sais pas si maman les ressentait, mais moi, cela me faisait un bien monstre.

Alors, est-ce que tu as aimé te faire enculer par ton fils ?

Pendant que maman était en train de répondre par l’affirmative, moi, j’étais un peu choqué par ces propos un peu crus de Muriel. En même temps, d’après ce que me disait maman, cette femme se métamorphosait complètement quand il s’agissait de s’envoyer en l’air. À la regarder maintenant, je n’arrivais pas à imaginer Muriel, une femme directrice des ressources humaines très respectée et admirée par ses collaborateurs. Finalement, mon sexe a fini par fatiguer quelque peu et perdre du volume, c’est ainsi que je me suis retiré de maman sans pour autant cesser de lui caresser la poitrine et le corps. Je ne savais pas si c’était ça que l’on appelait est prise en sandwich, mais il est vrai que maman avait le droit à double ration au niveau caresses et affection ce soir. J’étais vraiment content que tout se soit bien passé, vu le comportement de maman, je n’étais pas convaincu que cela soit une première lesbienne pour elle.

Manifestement, maman avait eu une vie avant de commencer à pleinement me consacrer cette dernière. Maintenant que maman avait joui, j’avais l’impression que la tension sexuelle était en train de retomber, que tout le monde était en train de se calmer.

Maintenant que j’étais dégagé de maman, à un moment, je me suis mis à regarder mon sexe, Muriel m’a balancé que je n’avais pas à m’inquiéter, il n’y aurait pas de grumeaux dessus. Vraiment tout dans la poésie, il n’y a pas à dire, cette femme était vraiment méconnaissable quand il s’agissait de parler de sexe. Finalement, je me suis relevé pour pouvoir marcher un peu autour des deux femmes, histoire de savourer le frottement de la robe sur mon corps, c’était vraiment divin. Je regardais les deux femmes s’embrasser et je constatai avec émerveillement que ma mère ne faisait pas que subir, les baisers étaient vraiment partagés et passionnés. Ce n’est pas bien de penser ça, mais maintenant que j’avais donné du plaisir à maman et à sa patronne, j’étais déjà en train de penser à me changer pour rentrer à la maison et travailler ; c’est vous dire combien je suis studieux. Quand mon regard est tombé sur une horloge, j’ai été horrifié, il était presque vingt et une heures.

Bon, ma belle, il va être temps de rentrer à la maison, tu vas repartir tout seul et ta mère va dormir avec moi, ici, nous avons plein de choses à nous raconter et surtout plein de choses à faire pour nous découvrir encore.

C’est ainsi que je suis parti me changer, à mon retour, les deux femmes ne s’étaient toujours pas quittées, toujours en train de se bécoter.

En espérant que ce chapitre numéro dix vous ait plu, gros bisous à vous.

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