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Liaisons Interdites – Chapitre 6




Une nouvelle semaine commence. En ce lundi matin, Mélissa et Tristan parviennent à faire comme si rien ne s’était passé mais, au boulot, Tristan repense sans arrêt à ce moment jouissif avec sa fille. D’un côté, ce qu’ils ont fait lui renvoie à des images qui le font rêver, mais d’un autre côté, alimenter une telle relation avec sa fille lui donne la crainte de courir à la catastrophe. Au milieu de tout le monde, il se rend compte qu’il n’est pas tellement à l’aise et puis quand Eric lui demande comment va sa fille et s’il a passé un bon week-end, il manque de s’étouffer avec son café :

— T’es sûre que ça va l’ami ?

Tristan se rattrape en insistant sur le fait que ça va et en prétextant qu’il n’est pas encore bien réveillé. Eric, pour une fois, n’a pas l’air de vouloir creuser.

Tristan n’a envie de voir personne. Même le midi, il préfèrera inventer un prétexte pour manger seul.

En fin de journée, par la fenêtre, il voit des pères de famille accompagnés de leur fille sortant des cours. Il imagine chacun d’entre eux coucher avec leur fille. Cette image le répugne et l’attriste. Même si tous les deux avaient les mêmes motivations, il réalise qu’il peut maintenant se ranger dans cette case répugnante des pères qui abusent de leur fille.

Seul dans son bureau, il tombe la tête dans ses bras « Qu’est-ce qui t’a pris putain. Qu’est-ce qui t’a pris… ». Une pensée compatissante envers sa fille fait surface aussi. Après l’acte, elle était souriante et soulagée de savoir qu’il avait aimé ça, mais peut-être qu’elle se rend compte, aussi, qu’elle a fait une énorme connerie. Si Mélissa est bourrée de qualités, il y a bien un défaut qui est parfois agaçant : elle culpabilise souvent pour un rien, se remet en cause en se créant un véritable mal-être. Mais si elle se met à culpabiliser pour leur passage à l’acte, qui pour le coup, n’est pas rien, Tristan a bien peur de devoir la ramasser à la petite cuillère pendant une durée indéterminée.

Enfin libéré de cette épuisante journée, il pense que la meilleure solution sera d’avoir une discussion avec sa fille lorsqu’elle rentrera de son cours de musique. Ce ne sera pas une mince affaire mais il le faut.

Vers 20H30 elle rentre, toute contente d’avoir enfin repris les cours de sa passion et de retrouver son père . Tristan attend qu’elle se pose un peu avant de lui parler :

— Mélissa, il faut qu’on parle.

Adoptant un air grave, elle s’appuie contre le mur du salon :

— Oui papa ?

— Ce qu’on a fait hier, je suis désolé de te dire ça mais je ne crois pas que ce soit quelque chose à refaire…

Mélissa, toujours grave, ne lui répond pas. Il poursuit :

— Je ne dis pas ça parce que je ne t’aime pas ou parce que ce n’était pas bon, bien au contraire, mais si on continue à faire ce genre de chose, j’ai peur qu’un jour ou l’autre cela nous retombe dessus. Et je ne te parle même si quelqu’un d’autre que nous se doute de quelque chose…

La gorge serrée :

— J’en étais sûre. J’étais certaine que tu me dirais ça. Je comprends que ce ne soit pas « normal » mais. Si on garde le secret, je ne vois pas comment les gens viendraient juger notre vie…

— Je ne pense pas forcément aux gens mais à nous. Je crains qu’on se laisse emporter par cette nouvelle sensation et que dans un futur proche on le regrette.

— Ouais…

— Vraiment chérie, ne crois pas que je dis ça pour te rejeter ou quoi que ce soit. Je t’aime plus que tout et si j’ai réfléchi à cette décision, c’est pour notre sécurité et surtout pour ton avenir.

— Désolée de te dire ça papa mais, même si plus rien ne se passe entre nous, ce qu’on a fait hier soir restera à jamais gravé dans ma mémoire. Que ce soit en bien ou en mal…

— Je sais bien. Et dans la mienne aussi. Mais il n’est pas trop tard pour limiter les dégâts.

— « Limiter les dégâts ». D’accord, je vois…

Mélissa est au comble de la déception :

— De toute façon, peu importe ce que je dise tu resteras campé sur ta position, c’est ça ?

^J’en suis navré Mélissa mais, oui. Je ne changerai pas d’avis.

— OK…

Silencieusement elle se décolle du mur :

— Tu m’excuseras mais j’ai un peu envie d’être seule.

Tristan la laisser filer dans sa chambre.

Il se sent dur avec elle. Elle fera sûrement la gueule pendant quelques jours, mais il le faut. « Plus tard elle me remerciera. » se rassure-t-il.

Les jours suivants, pour que tout rentre dans l’ordre, Tristan se dit qu’il vaudrait mieux ne plus se mêler de l’intimité de sa fille. Il renoncera aux recherches de la clé pour le moment. Il se dit qu’il est plus sage de mettre toute cette histoire de côté afin de retrouver un équilibre. Forcément, toute sortie de route laisse des traces, mais avec le temps elles s’estomperont. Les premiers jours sont difficiles. Mélissa, malgré sa déception, tente de jouer le jeu mais elle ne peut pas cacher la froideur qu’elle éprouve désormais envers son père.

Tristan brave ce climat sibérien à sa façon, en conservant l’esprit décisionnaire qu’il a adopté depuis lundi soir. Cette force, il ne se sentait pas capable de la retrouver un jour. Il se l’était développé lorsqu’il devait faire face à la crise d’adolescence de Mélissa et aux multiples crises que la mort de sa femme avait engendrées. En tant que manager d’équipe, il est parfois soumis à prendre des décisions qui vont à l’encontre de son mode de fonctionnement, pour le bien de l’entreprise. Des décisions qui, au fond, lui font chier. Au boulot, elles viennent principalement de la hiérarchie. Mais là, avec Mélissa, la hiérarchie c’est lui et il faut redresser les choses pendant qu’il en est encore temps.

En fin de semaine, ça va un peu mieux. Malgré sa force décisionnaire, Tristan repense parfois à la puissance du moment complice qu’ils ont passé. Il chasse toutefois ces pensées aussitôt qu’elles apparaissent. Bien décidé à conserver ce regain d’énergie, il décide d’appliquer les conseils d’Eric et de sa fille, à l’exception d’un détail : il arpente les sites de recherches de groupes, dépose des annonces, contacte des musiciens potentiellement intéressants et… à force de surfer sur le web, réactive le compte du site de rencontre sur lequel il était inscrit. En faisant cela, Tristan voit parfaitement Eric essayer de lui faire changer d’avis mais tant pis. Même s’il est clair que ce site ne lui a jamais rien apporté de concret, il se dit que c’est une manière comme une autre de remettre le pied à l’étrier et puis une rencontre peut en apporter une autre.

De jour en jour tout redevient normal. Ou presque. De moins en moins d’attirance pour sa fille même lorsqu’elle met en valeur son décolleté ou lorsqu’elle essaie de le taquiner. Il parvient à ne pas tomber dans les quelques pièges qu’elle lui tend. Dans la salle de bain, il veille à bien tirer le rideau et à ne pas y aller lorsqu’elle prend sa douche.

Au bout d’une semaine de réinscription, il a déjà sympathisé avec deux femmes sur le site. Une d’environ son âge et une autre un peu plus jeune mais qui a l’air de ne pas dévoiler son véritable tour de hanches. Margarethe, celle avec qui il avait terminé en début d’année, est toujours sur le site et est revenu à la charge. Tristan, même s’il a la dalle, ne veut pas faire les mêmes erreurs du passé. Il ne se rabattra pas sur la première venue afin de ne pas se sentir frustré. Gentiment, il lui fera comprendre qu’elle n’espère plus rien de lui. Au fil des jours d’autres s’ouvrent à la discussion dont une brunette fort bien sympathique ; pas une bombe sexuelle, mais une avec qui le courant passe bien, qui a du charme et avec qui il a pas mal de points communs.

Les numéros de téléphone s’échangent. Quelques jours plus tard ils se rencontrent, boivent un verre, puis deux, puis trois puis. Comme Mélissa passe la nuit chez Sabrina, Tristan invite Sandra, la charmante petite brune, chez lui. Ils couchent ensemble, la délivrance pour Tristan :

Cette Sandra aussi affamée que lui, mais avec cinq ans de moins, lui suce la queue comme une vraie cochonne. Elle lui laisse filer ses mains dans les moindres recoins, même son petit cul est en demande. Rapidement, leurs vêtements tombent au sol. Tristan l’incite à se positionner au-dessus de lui pour lui lécher la chatte en 69. En y glissant deux doigts il se rend compte qu’il est urgent de lui glisser autre chose. Quelques savoureuses minutes plus tard, Tristan se positionne derrière elle pour la prendre en levrette. Elle est tellement dilatée et mouillée qu’il entre sans aucune retenue. Tous les deux sont à un degré d’excitation élevé. Deux ou trois va-et-vient suffiront à enclencher une baise sauvage et endiablée. Sur la même longueur d’onde, nul besoin d’y aller par quatre chemins.

Sandra n’est pas très épaisse mais elle encaisse sans problème les percussions énergiques de Tristan. Son petit cul rebondit contre lui en attrapant ses petits seins ou en encrant ses doigts autour de ses hanches. Son corps frêle face à son puissant gabarit lui donne un sentiment de puissance. Un sentiment qu’il n’avait pas ressenti depuis Marilyn. Sandra aime ça, gémit à gorge déployée. Ils changent de position. Avant cela, Tristan lui présente sa queue pour qu’elle le suce, chose qu’elle exécute sans avoir besoin de le lui demander.

Ensuite, elle s’empale sur lui. A peine installée que Tristan prend le contrôle en saisissant ses fesses à pleine main et en venant progressivement vers des percussions énergiques. Sandra l’encourage, lui dit qu’elle aime ça. Tristan se demande comment il fait pour tenir si longtemps alors qu’avec Mélissa, s’il ne s’était pas retenu, il serait venu en moins de cinq minutes. « C’est long mais c’est bon ! » Se dit Tristan, « ça rattrape la frustration des mois passés ! ».

Sandra se redresse sur lui pour prendre en main cette chevauchée. Entièrement empalée sur lui, les mouvements de son bassin enclenchent chez Tristan une fulgurante escalade vers la délivrance ultime ! Il essaie de se retenir mais impossible, ce qu’elle fait est trop bon ! Elle continue, continue encore, Tristan ne peut pas faire demi-tour, oui, il accepte ! Accepte cette montée au ciel :

En elle, Tristan expulse une vague de jouissance tellement puissante qu’il se demande si le préservatif va tenir le coup ! Sandra se rend compte qu’il jouit mais elle ne s’arrête pas, elle aussi s’apprête à toucher les nuages. En bougeant comme elle le fait, sa chatte frotte contre lui, stimule son clito en même temps que la queue gonflée à bloc de Tristan la remplit. Encouragée par ses mains et sa voix, elle grimpe à son tour :

Sandra jouit en cramponnant le matelas tout en continuant son mouvement autant qu’elle le peut. Tristan l’aide en la maintenant enfoncée sur lui en versant ses dernières gouttes en elle. Contrairement aux gémissements libérés tout le long de leur ébat, sa bouche ne laisse pas échapper beaucoup de son si ce n’est qu’un grognement félin derrière sa mâchoire crispée.

Tous les deux laissent cette fougue redescendre, laissent leur corps s’imprégner d’une plénitude aussi puissante que leur jouissance. Leur corps et leur esprit se détendent. Tristan se sent littéralement libéré.

Un petit rafraichissement, une rapide mise au propre et Sandra rentre chez elle.

Tristan se sent bien, même si cette fille ne correspond pas totalement aux critères physiques qui le font rêver, elle est plutôt mignonne et il a passé un très bon moment. Elle aussi visiblement.

Suite à cela, ils se revoient quelques fois sans pour autant entamer une relation sentimentale. Ils s’entendent bien, passent de bons moments intimes mais. C’est tout. Naturellement, ils se mettent d’accord et continuent ainsi leur relation. Plusieurs fois par semaine, ils se retrouvent autour d’un verre ou s’invitent dans leur appartement respectif. Tristan choisira tout de même de l’inviter lorsque Mélissa n’est pas là. Les réactions de sa fille ne sont pas toujours les bienvenues lorsqu’une nouvelle femme entre dans la vie de son père.

La seule qui avait été acceptée était Marilyn ; une femme que Tristan avait rencontrée grâce à un accrochage sur un parking de supermarché. La pauvre venait d’acquérir une nouvelle voiture, Tristan sortait d’une place sans regarder car il était impatient de rentrer chez lui et bim ! Une collision, un coup de cur.

Elle était belle, gentille, bienveillante, équilibrée et très avenante envers Mélissa. C’était la personne qui lui fallait. Ne pouvant pas avoir d’enfant, son désir d’être mère apportait un équilibre maternel à Mélissa. C’est notamment grâce à sa présence que Mélissa est redevenue une fille adorable.

Au lit, elle était aussi très coquine. Son péché mignon était les pieds. Elle aimait que Tristan les lui masse ; progressivement ces massages se transformaient en jeux coquins. Dès qu’elle en avait l’occasion, elle aimait stimuler son homme en caressant sa queue avec son pied. Sentir son sexe grossir lui donnait des frissons dans tout le corps. Elle lui offrait ensuite de somptueuses branlettes dont elle seule avait le secret. Huilés, habillés de collants, de bas sexy ou sans artifices, ses « massages » étaient toujours réussis. Marilyn, en tant que naturopathe, aimait exalter ses sens. Cette partie du corps était, pour elle, le point de départ vers les meilleures sensations ; alors quand elle branlait Tristan jusqu’à ce qu’il gicle sur ses pieds, elle était aux anges. Son seul regret était de ne pas pouvoir obtenir d’orgasme avec ses pieds. Connaissant ce triste regret, Tristan lui faisait plaisir en retour en caressant sa chatte avec son pied, qu’elle soit habillée ou non, c’était l’orgasme garanti. Combien de fois Tristan s’est amusé à la faire venir lorsqu’ils étaient au restaurant ! Oui, faire ce genre de jeux à l’extérieur était aussi un de leurs passe-temps.

Malheureusement, ce bonheur toucha sa fin au bout de trois ans. Tristan adorait cette femme mais, il y avait un mais. Les sentiments n’étaient pas là. Ils étaient pourtant présents la première année. Au début Tristan pensait que la flamme s’essoufflait, qu’une lassitude s’installait ; alors il a continué, continué, s’est remis en question. Il pensait qu’il ne s’investissait pas assez dans leur couple ou, à l’inverse, qu’ils se voyaient trop… à force ça en est arrivé au point d’être mal à l’aise en sa présence. Tristan réussit à comprendre que l’amour qu’il pensait être n’était en réalité que de l’affection. Il avait plus l’impression d’être avec une amie qu’autre chose. Eric lui disait de ne pas tarder à y mettre un terme ou, au moins, de lui en parler. Plus il attendrait, plus ça allait être douloureux. Pas seulement pour eux, mais aussi pour Mélissa. Sa fille s’y était beaucoup attachée. Tristan avait beau s’armer de courage mais, comme il n’avait rien à lui reprocher, il n’y arrivait pas. Au cours du mois de mai 2017, la décision déchirante a vu le jour.

Elle ne s’y attendait pas ; pour elle, ils vivaient le parfait amour. Ne supportant pas de la voir aussi abattue, Tristan avait fait un dernier effort en continuant leur histoire. Son sentiment ne changeait malheureusement pas . Marilyn le sentait et c’est, malgré tout, en bon terme qu’ils se sont quittés. Même si elle regrettait cette séparation, elle comprenait son ressenti en préférant que ce soit ainsi plutôt que de vivre un faux amour.

Mélissa était forcément triste aussi mais, au grand soulagement de Tristan, cette séparation ne lui a pas provoqué de crise ni de dépression. Elle comprenait le point de vue de son père et celui de sa belle-mère.

En y repensant, Tristan se rend compte que depuis cette date, lui et sa fille sont devenus encore plus proches qu’ils ne l’étaient auparavant. C’est peut-être à partir de là qu’elle a commencé à vouloir être plus que sa fille, se dit-il. Tristan pense à cela en rentrant d’un rendez-vous avec Sandra.

En allant se coucher vers 22h30, en se faisant discret pensant que Mélissa dort, Tristan croit entendre des gémissements lointains. Il tend l’oreille. Son ouïe ne l’a pas trompé. Le plus étonnant c’est qu’ils semblent venir de la chambre de Mélissa. A pas de velours il s’y dirige. Sa porte n’est pas tout à fait fermée, il tend l’oreille. Il l’entend bouger sous ses draps, son lit craque un peu puis viennent des inspirations plus ou moins fortes.

Comme son lit est quasiment dans le champ de vision de l’entrebâillement de la porte, sa curiosité le conduit à agrandir discrètement cet espace. Dans l’obscurité, il concentre son il, parvient à l’apercevoir grâce à la petite lueur de son écran de téléphone posé à terre à côté du lit. Il la voit, dans la pénombre, allongée de biais en train de sucer doucement un gode posé droit sur le matelas et caresser son minou sous les draps, chemise de nuit remontée jusqu’en dessous des seins…

Tristan s’attendait à peut-être la voir se caresser, mais certainement pas en train de sucer le gode qu’il a découvert l’autre jour. Bouche bée, il continue d’observer.

Cette vision dont Tristan n’arrive pas à se défaire est accompagnée du subtil clapotis de sa chatte mouillée et de ses grognements enfermés au fond de sa gorge par ce qu’elle a en bouche. Se mêlent à cela le son de doux baisers déposés de temps à autre sur le gland en silicone.

Petit à petit le plaisir monte, elle devient de plus en plus chaude, de plus en plus sauvage et. De moins en moins couverte. Elle pousse la couette au niveau de ses jambes. La vision de Tristan s’accommode à l’obscurité ce qui lui permet de distinguer clairement le mouvement de sa main mais pas tellement ce qu’elle caresse.

Tristan est hypnotisé par ce spectacle inattendu, il commence réellement à sentir une chaleur l’envahir, un désir montant du plus profond de lui. Va-t-elle enlever sa chemise de nuit ? Ou du moins lui permettre de voir ce dont il arrivait à oublier ?

Le positionnement de Mélissa et l’inclinaison de son autre bras indiquent qu’elle insère un ou plusieurs doigts en elle. A présent elle suce avec plus d’énergie et de passion. Sa respiration suit elle aussi la cadence et se fait un peu plus entendre. Suite à ces délicieuses et longues minutes, sa main refait surface en montant, montant encore jusqu’à sa poitrine. A travers sa chemise de nuit, elle touche, presse ses seins tour à tour avant de pénétrer dans l’ouverture du décolleté.

Sous le regard attentif de Tristan, elle enlève une de ses bretelles pour libérer un de ses seins ! Sa main en vient aussitôt à le prendre, à le masser et à titiller son téton.

Tristan en reste sans voix. Les yeux écarquillés, sa queue déjà à moitié gonflée devient dure comme de la pierre. Mais ce n’est pas fini. Elle se libère de la seconde bretelle et dévoile sa poitrine tout entière avant de reprendre cette fausse fellation.

Dans l’ obscurité, Tristan n’en croit pas ses yeux. Il voit les esquisses de ses deux gros seins, naturellement lourds et fermes. Sa main ne peut d’ailleurs pas en prendre un entièrement. Cela rend les choses encore plus excitantes. Chacun d’eux a droit à de multiples caresses et massages ; à des tiraillements qui, visiblement, accentuent son excitation.

D’ailleurs elle semble bien se régaler à sucer son jouet. "La connaissant, elle ne fait pas cela en ne pensant à rien", se dit Tristan.

A quoi pense-t-elle ? A qui ? Tristan est quasiment certain qu’elle pense à lui. Cela aurait pu changer, vu le temps qui est passé mais son intuition le pousse à penser cela. Tout cela lui rappelle le jour où ils ont franchi le pas, où elle l’a sucé jusqu’à ce qu’il explose dans sa bouche, sur son visage et dans ses cheveux, où il lui a donné deux orgasmes rien qu’en la masturbant ! Ce qu’il pensait être de l’histoire ancienne lui revient en premier plan comme un bus qu’il se serait pris en pleine face, sans comprendre d’où il vient.

Au bout d’un moment, elle arrête de sucer sa friandise pour la diriger vers son minou. Craignant d’être vu, Tristan se replie un peu dans l’encadrement de la porte sans la quitter du regard.

Il la voit alors se pénétrer lentement. Malheureusement pour Tristan l’ essentiel est masqué par l’épaisseur de la couette pliée sur elle même.

Cette entrée allègrement lubrifiée par sa mouille et sa salive lui provoque les sensations visiblement recherchées. Elle regarde son jouet avancer en elle puis penche sa tête en arrière lorsqu’il est suffisamment profond. De lents va-et-vient commencent à s’effectuer mais sa position ne semble pas la convenir.

Elle se redresse. Tristan se replie à nouveau. A genoux sur son lit, il ne loupe pas sa poitrine défiant un peu les lois de la pesanteur grâce à leur fermeté. Puis elle se tourne en gardant levée sa chemise de nuit, Tristan redécouvre, à présent, son joli cul de blondinette. De son point de vue, lui aussi n’est pas mal du tout. Dommage qu’il n’y ait pas plus de lumière pour voir davantage, se dit Tristan.

Tristan se surprend d’avoir été déçu à deux reprises de ne pas en voir suffisamment. Mais cette réflexion n’interrompt pas son envie d’observer sa fille en plein ébat intime.

Mélissa positionne son gode debout sur le matelas afin de se mettre au-dessus et de s’y empaler.

Encore une fois, l’entrée de son jouet a l’air de lui provoquer de délicieuses sensations. Bien en place, elle se met à le chevaucher. Tout d’abord doucement en maintenant sa chemise de nuit levée puis en accélérant la cadence en perdant parfois son tissu des mains. A force qu’elle maintient son rythme, ses gémissements ont bien du mal à rester en elle.

Tristan est hypnotisé par cette baise solitaire, par sa voix entrant dans ses oreilles de cette façon, par son corps si bien proportionné. De plus, elle a l’air de se donner beaucoup de plaisir ; la façon dont elle bouge ou respire ne peut pas dire le contraire. Sans s’en rendre compte il réalise qu’il caresse sa queue à travers son caleçon. Plus il la regarde, plus il devient difficile de ne pas libérer sa queue. Tristan augmente la pression qu’il y exerce.

Le premier "oh oui" de Mélissa fait vibrer son tympan, il craque. Dans l’ouverture de son caleçon il fait traverser sa bite, la prend en main et la masturbe doucement en appuyant son front contre l’encadrement de la porte.

Mélissa continue sa chevauchée hypnotique. Elle a même placé ses coussins devant elle pour y prendre appui et rendre la position plus confortable.

Tristan passe une étape supérieure : il assimile le rythme de sa chevauchée à celui de sa main et transpose son sexe à la place du gode. Cette transposition double son plaisir !

Mélissa, elle aussi, traverse une étape supérieure. Elle laisse tomber sa chemise de nuit pour pouvoir stimuler son clito en même temps qu’elle glisse activement sur son sex-toy.

Tristan ne voit plus son cul monter et descendre sur son jouet, troisième déception ; mais il se régale de la voir se donner encore plus de plaisir. Il entend même le son caractéristique d’un minou abondamment mouillé. Ça l’excite encore plus. Sa main accélère.

Mélissa marmonne des "oui, oui, encore, ouii…" ! Son plaisir augmente encore, encore, encore, Tristan comprend qu’elle est en train de monter vers l’orgasme ! Elle recommence à dire à voix basse "encore" ou bien "plus fort" comme si elle s’adressait à quelqu’un d’autre, à l’homme qu’elle imagine. Puis, soudain, Tristan semble entendre quelque chose qui l’interpelle. Entre un "oui" et un "plus fort" il eut l’impression d’entendre « papa chéri".

Il n’en est pas sûr alors il concentre son ouïe en continuant sa masturbation secrète ! Mélissa exprime son orgasme d’une voix aiguë en mettant une main sur sa bouche :

— Haaaaan ouiiiiiiii, je viiiiieeeens, viens en moi ouiiiiii haaaan ouuiiiiiii viiiiieeennns hummmmmmm"

Elle obtient son orgasme en donnant de grands coups de fessiers sur son lit puis en restant profondément empalée et en faisant tourbillonner ses doigts à toute vitesse ! Son orgasme a l’air intense ! Enfin, sa voix disparaît petit à petit, sa main ralentit, elle s’écroule en avant sur les coussins empilés.

Tristan n’aura pas peu confirmé son doute, mais aura eu la satisfaction de la voir obtenir un si bel orgasme et de, lui aussi, obtenir satisfaction en contrôlant son éjaculation pour ne pas en mettre de partout.

Il s’apprête à partir pour éviter que tout se répande au sol mais il interrompt son pas pour la touche finale. Mélissa retire son gode en restant ainsi les jambes repliées. Elle le positionne devant elle comme si c’était une vraie bite puis le met en bouche laissant échapper un délicieux "hummm". Ensuite, elle enfonce des doigts dans sa chatte et les suce à leur tour.

Mélissa se délecte de sa mouille en prenant le temps de lécher, de sucer chacun de ses doigts. En voulant encore, ses doigts replongent. Cette fois ils restent plus longtemps. Les mouvements internes qu’elle y fait font retentir le son caractéristique d’un vagin abondamment mouillé. Un peu comme si elle appuyait sur une bouteille de gel douche presque vide. Ce son retentit dans les oreilles de Tristan.

Ces quelques doigtages provoquent à Mélissa des choses semblables à la venue du second orgasme que son père adoré lui avait donné, mais elle ne semble pas vouloir repartir sur une nouvelle séance de plaisir. Alors elle porte ses doigts à la bouche, avec autant de plaisir, pour déguster le liquide qui s’y trouve. Ensuite, elle se remet à sucer son gode en prononçant la phrase suivante entre souhait et déception :

— Hummmm. Pourquoi ce n’est pas une vraie…

Elle le replonge en bouche.

Tristan hallucine d’entendre ça. Si en plus elle l’a bien appelé pendant son orgasme. Avant qu’elle ne se rende compte de sa présence, il décide de retourner dans sa chambre aussi discrètement qu’il est venu.

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