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Black Angel, justicière et soumise – Chapitre 4




Le lendemain soir, j’attendais chez moi. Depuis la veille, j’avais mené ma petite enquête de me renseigner auprès des contacts d’Alexa pour savoir à qui elle aurait pu envoyer la copie de la vidéo ; mais pour le moment, rien. J’avais reçu dans la journée un SMS de sa part me disant de me tenir prête pour 21 h. Mais prête à quoi au juste ?

La sonnette se fit entendre à 21 h très précises. Lorsque j’ouvris, j’eus la surprise de tomber non pas sur Alexa, mais sur un chauffeur. Un homme assez grand, ayant la cinquantaine à peu près, cheveux poivre et sel, avec l’accoutrement classique de sa profession.

Bonsoir, Mademoiselle. Excusez-moi de vous importuner à une heure si tardive, mais je cherche Mademoiselle Océane F.

Bonsoir ; c’est bien moi. Qu’est-ce que je peux faire pour vous ?

Mademoiselle Alexa vous attend. Si vous voulez bien me suivre

Pour toute réponse, je pris mes clés, fermai rapidement la porte et suivis le chauffeur en bas de l’immeuble. J’eus la surprise d’y découvrir une limousine de couleur blanche. Il ouvrit la portière et m’invita poliment à entrer, ce que je fis. J’embarquai dans ce véhicule peu commun et j’y vis Alexa habillée avec un ensemble tailleur des plus chics, et des escarpins aux pieds. Je trouvai que ça la vieillissait pas mal. Je ne pouvais pas m’empêcher de me sentir mal à l’aise, entourée de tout ce luxe. À côté d’elle trônait un petit sac plastique rempli qui nous séparait. Je remarquai aussi qu’elle n’avait plus ses lunettes.

Bonsoir.

Bonsoir, Dame Alexa. Jolie voiture. Et vous n’avez plus de lunettes ?

Lentilles de contact ! Pour le véhicule, j’ai emprunté celui qu’utilisent père et mère pour leurs sorties mondaines, déclara-t-elle, hautaine, mais avec fierté en ouvrant la vitre teintée qui nous séparait du conducteur. Allons-y !

Où va-t-on, Mademoiselle Alexa ? l’interrogea son chauffeur.

À l’endroit que je t’ai indiqué tout à l’heure, pauvre abruti ! soupira-t-elle.

La voiture démarra et commença à rouler tandis qu’Alexa refermait la vitre.

Le petit personnel… lança-t-elle en levant les yeux au ciel, dépitée. Vous êtes du même acabit, lui et toi. Enfin, bref ! Si je t’ai fait venir ce soir, c’est parce que j’ai une bonne nouvelle pour toi : tu es invitée chez moi à une petite fête très spéciale organisée en l’honneur d’une personne que j’aime beaucoup. Les invités ont été triés sur le volet ; nous serons à peu près une douzaine.

Merci, Dame Alexa. Quand se déroulera-t-elle ?

Demain soir. Ça commencera à 20 heures ; alors je te déconseille d’être en retard. Parmi les invités, il y en aura une assez particulière que j’ai eu toutes les peines du monde à convaincre. Mais bon, j’y suis arrivée : je suis si géniale, si charismatique qu’on ne me résiste pas !

De qui s’agit-il ?

Tu le sauras un peu plus tard dans la soirée. La seule chose que tu as à savoir, c’est que la soirée est organisée en l’honneur de Black Angel ! m’informa-t-elle avec un sourire carnassier.

Je compris pourquoi elle m’avait invitée. Enfin, dans ce cas-là, ce n’est pas le mot que j’emploierais : j’appellerais cela plutôt une convocation.

Et donc, c’est ainsi que je devrai me rendre à la fête, n’est ce pas ?

Mais dis donc, on t’a greffé une cervelle cette nuit, ou quoi ? s’étonna-t-elle. Bravo !

Si vous voulez, Dame Alexa, votre appartement est au second étage ; je peux y parvenir en un seul saut : ainsi je ferai une entrée remarquée.

Oui, j’allais le dire : mon idée de te faire entrer par la fenêtre est géniale, je sais !

Je ne cherchai même pas à la contredire, mais j’en pensais tout le contraire. Nous avons roulé pendant une petite demi-heure et nous avons pénétré dans un parking souterrain plongé dans le noir, sûrement parce qu’il a été laissé à l’abandon. Peu à peu mes yeux s’accoutumèrent, bien qu’il n’y eût pas grand chose à voir, si ce n’est que l’endroit était désert. La voiture s’arrêta ; Alexa en descendit sitôt après que son chauffeur lui a ouvert la porte.

Tiens, change-toi ! Enfile-moi ça, et que ça saute ! me dit-elle sur un ton directif en me donnant le sac.

Oui, Dame Alexa.

Elle referma la portière. Je sortis du sac plastique un top très court au décolleté plongeant, manches longues rouge, un mini-short de la même couleur mais brillant, et une paire de bottes noires. Je savais que j’aurais l’air d’une pute, là-dedans, n’ayons pas peur des mots ; mais les ordres étaient les ordres. Je me changeai rapidement, et une fois prête je sortis de la voiture. L’air était frais, compte tenu de l’endroit, ce qui n’était guère étonnant. En me voyant dans le reflet d’une vitre pour m’arranger un peu, je me rendis compte que le top s’arrêtait à la naissance de mes seins, et que mes tétons commençaient déjà à pointer.

Bon, t’as fini de t’admirer, connasse ? Je te signale que ton client t’attend !

Mais je ne vois personne, Dame Alexa… chuchotai-je en scrutant autour de moi.

C’est mon chauffeur qui t’attend, espèce de débile profonde finie à la pisse ! répondit-elle avec une gifle cinglante. Il na pas eu de rapports depuis un moment ; alors, au boulot, on n’a pas toute la nuit !

Oui, Dame Alexa.

Allez, mais active-toi !

Je montai à l’avant du véhicule ; j’avais à peine refermé la portière qu’il avait déjà sorti son sexe bandé, dune taille assez imposante. Sans hésiter un seul instant, je me mis à le caresser puis rapidement à le goûter. Il ne tarda pas à soupirer de plaisir et à tenter d’enfoncer son membre le plus profondément possible dans la bouche. Malgré ma bonne volonté, ça s’est hélas révélé impossible. En plus, il n’y avait pas qu’à lui que cette pipe faisait de l’effet, puisque je commençais à mouiller.

Allez, sors de là et fous tes mains sur le capot, ma petite ! dit-il.

Tout de suite.

Je sortis du véhicule, me postai devant, mis les mains sur le capot, et attendis. Du coin de l’oeil, je vis qu’Alexa qui, les bras croisés, me regardait avec son sourire dédaigneux et arrogant, comme toujours. Malgré la situation, le froid et la honte de me faire rabaisser ainsi, je mouillais beaucoup. L’esprit peut mentir, mais pas le corps. J’aimais cette situation. Il sortit à son tour, se plaça derrière moi, me plaqua fermement contre la carrosserie froide et m’arracha presque le mini-short, exposant ainsi toute mon intimité à l’air libre.

Attends ! Avant que tu ne tronches cette petite pétasse, dis-moi dans quel état elle est ! ordonna Alexa.

Je sentis un doigt examiner rapidement la surface de mon intimité ; de moi-même j’écartai les cuisses, me cambrai, m’offrant ainsi comme la dernière des salopes. Il me pénétra rapidement dun doigt, fit quelques va-et-vient, ce qui me procura un agréable frisson, puis il le retira doucement.

Elle est toute mouillée, Mademoiselle Alexa.

J’en étais sûre; ça ne m’étonne pas d’elle ! dit-elle en éclatant de rire. Allez, baise cette putain et tu lui gicleras sur la gueule, comme convenu ! Quant à toi, invite-le à te baiser. Comporte-toi comme tu as toujours été, c’est à dire une petite pute en chaleur ! m’ordonna-t-elle.

Oui, Dame Alexa.

Je me redressai sur les coudes, ondulai du bassin tout en regardant le chauffeur d’un air lubrique et en me pourlèchant de manière obscène, puis je fis un "viens ici" avec mon index. Il n’a pas attendu longtemps avant de prendre sa queue et de me la planter entièrement dans la chatte d’un seul coup de reins. Il saisit mes hanches, fit de doux va-et-vient au départ, mais qui s’accélèrèrent rapidement pour devenir brutaux et violents.

Moi non plus, je n’ai pas mis longtemps à réagir parce que je prenais un pied extraordinaire. Je n’avais pas eu de copains depuis quelques semaines, et à mon âge, ça paraît une éternité. Il saisit mes cheveux pour les tirer en arrière, me prit les seins qu’il malaxait sans la moindre douceur, m’insultait, me fessait… Enfin, en un mot comme en cent, j’étais traitée comme une pute; je fus surprise de me rendre compte que j’adorais vraiment ça. Je me sentais fondre sous les violents assauts de mon amant quinquagénaire.

Je faisais tout pour me retenir de jouir, mais il savait trop bien s’y prendre. J’ai joui de manière très bruyante pas moins de deux fois consécutives. Il se retira de mon intimité béante et huileuse et me saisit par les cheveux, me faisant quitter la froideur métallique de la voiture pour me faire agenouiller face à lui. Je pris de moi-même son membre qui palpitait et je le branlai frénétiquement tout en malaxant ses bourses bien pleines. Son gland n’était qu’à quelques centimètres de mon visage, et je le regardais dans les yeux en lui offrant un de mes plus beaux sourires. Je le vis trembler; ses yeux roulèrent et son visage se déforma sous leffet du plaisir.

Il était arrivé au point de non-retour. Tout en conservant mes cheveux fermement empoignés, dans un râle il lâcha de généreuses quantités de sperme bien épais qui s’écrasèrent sur mon visage, mes seins, le top et mon avant-bras. Une fois vidé, il me libéra et je restai pendant quelques secondes agenouillée, couverte de son sperme chaud, le cul et les seins à l’air libre ; le top était presque complètement remonté. Emportée par mon élan, je nettoyai sa queue avec ma bouche de manière langoureuse. Ensuite le chauffeur regagna sa place dans le véhicule après sêtre rajusté, et Alexa se posta devant moi en gloussant niaisement.

Une pute qui se fait baiser par un chauffeur minable dans un parking abandonné, c’est si classique… Et en plus, ça t’a fait jouir !

Oui, Dame Alexa.

Allez, en voiture, je te ramène !

Merci, Dame Alexa.

Je remontai dans la voiture. Durant le trajet, j’ai fait un cunnilingus à Alexa qui n’a pas été longue à jouir. J’ai tout de suite senti que le fait de nous mater l’avait beaucoup excitée. J’ai également dû lui faire une feuille de rose en bonne et due forme, heureusement qu’elle était assez propre à ce moment là et ensuite j’ai eu l’autorisation de me changer. Elle m’a laissé les fringues portées tout à l’heure, avec pour consigne de les laver, car elle m’a assurée qu’à l’avenir j’en aurais encore besoin.

Lorsque je suis rentrée chez moi, j’ai reçu un SMS de sa part. J’avais complètement oublié de lui demander qui était cette invitée si difficile à convaincre et qui sera présente à cette fête. Le SMS précisait :

"Cette soirée sera sous le signe du sexe, et l’invitée présente qui a été si difficile à convaincre n’est autre que… Bénédicte."

Je crus défaillir à la lecture de son prénom. Mes yeux s’écarquillèrent et mon cur s’est mis à battre à tout rompre. Béné fantasme beaucoup sur Black Angel : je comprenais désormais pourquoi elle avait accepté de venir. Il ne faudra surtout pas que mon loup soit retiré, sinon…

Une suite ?

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