Thomas, jeune étudiant de 18 ans, était en train de zapper devant sa télé depuis maintenant plus dune demi-heure lorsquil entendit sonner chez lui. Cela le sortit brusquement de létat de zombie dans lequel il se retrouvait à chaque fois quil regardait la télé. Il se dirigea vers la porte tout en se demandant qui pouvait bien être devant chez lui en plein après-midi.
Il ouvrit la porte et le froid glacial de ce mois de Janvier (bien plus froid que la normale daprès la météo) lui donna la chaire de poule, sur le seuil, sa tante Deborah ne paraissait guère gênée par le froid. Il faut dire quelle portait lun de ses nombreux manteaux de fourrure dans lequel elle semmitouflé tout de même. Comme à chaque fois quil la voyait portait une fourrure, Thomas contempla sa tante pendant quelques secondes Cela avait commencé pour la première fois, lors de ses douze ans, quand sa tante était arrivée pour le gâteau avec un cadeau et en portant une veste de renard. Elle lui avait fait un gros bisou tout en lui faisant un câlin dont elle seule avait le secret. Thomas avait alors senti avec beaucoup de plaisir la fourrure des manches lui caresser le cou et il en avait gardé un souvenir inoubliable. Le soir, dans son lit, il sétait caressé en repensant à ce moment de la journée. Il avait alors commencé à fantasmer sur sa tante avant dêtre pris dun violent dégoût envers lui-même : comment pouvait-il avoir des pensées si obscènes sur un membre de sa famille ? Mais petit à petit le plaisir devint plus fort que ce sentiment dinterdiction et il recommença de nombreuses nuits au fil des années. Depuis, à chaque fois quil voyait sa tante, il en profitait toujours pour la contempler à la dérobée.
Une bourrasque de vent le ramena soudainement à la réalité, il fît donc entrer sa tante dans la maison de ses parents.
« Bonjour tante Deb, dit-il en refermant la porte, comment vas-tu ?
-Ah ! Mon neveu préféré! Je suis bien contente de te voir, fît elle avant de lui faire la bise, ça fait bien longtemps que je ne tai pas vu !
-Eh oui ! A la fac, on a quand même un peu de travail entre nos soirées, répondit-il avec une esquisse de sourire sur les lèvres »
Sa tante sourit puis demanda : « Ta mère nest pas là ? Je devais lui rendre le livre quelle ma prêté il y a quelques mois, tu sais, le dernier livre de Dan Brown, « Inferno ».
-Ah oui ! Jai bien aimé ce livre, lui dit-il, mais je préfère quand même « Le Symbole perdu » Et Maman est au travail, elle ne rentre pas avant 20h00 aujourdhui.
-Ah mince! Ce nest pas grave, ça maurait fait plaisir de la voir mais il ny a pas urgence. »
Thomas qui aimait bien sa tante sentit quelle nallait pas tarder à partir, il voulait prolonger ce moment avec elle et lui proposa alors :
-Tu ne vas pas repartir tout de suite quand même? Tu veux boire quelque chose?
-Maintenant que tu le propose, un thé me ferait le plus grand bien Malgré ce manteau de fourrure, il fait plutôt froid dehors!
-Eh bien, donne le moi, je vais le ranger pendant que tu vas dans la cuisine si tu veux. »
Thomas était content de lui, il venait de trouver un moyen de faire rester sa tante un peu plus longtemps et il pouvait toucher la fourrure pendant quelques instants ! Il prit donc le manteau de fourrure et se dirigea lentement vers la buanderie, pendant ce temps, il caressait avec beaucoup de plaisir le col imposant du manteau. Derrière lui, Deborah le regarda et un sourire, que Thomas ne vit pas, apparut sur son visage
Pendant que sa tante buvait son thé, Thomas répondait aux questions quelle lui avait posé : il parla de ces études, de sa vie détudiant en dehors des cours, des profs plus ou moins ennuyants Deborah quant à elle parla de son travail décrivain, qui loccupait pendant de longues périodes mais qui lui laissé également de nombreuses libertés, des compétions de natation qui ne reprenaient pas avant quelques mois et des voyages quelle avait prévu de faire pour « trouver de limagination pour ces futurs romans » disait-elle.
Puis ils abordèrent petit à petit des sujets plus personnels : en effet, Thomas avait toujours était plus proche de Deborah que de ces autres tantes. Cela provenait certainement de leur toute petite différence dâge : Deborah navait que 34 ans, un corps de rêve « à faire retourner plus dun mec dans la rue » comme disait ses amies, agréablement sculpté grâce aux nombreux entraînements de natation, des cheveux châtains lisses arrivant au milieu de son dos malgré tout cela, elle finit par dire quelle navait toujours pas trouver lhomme parfait. Thomas lui, avoua quil nétait plus avec sa copine depuis plusieurs mois maintenant et quil navait pas retrouvé la fille qui lui donnait des étoiles dans les yeux Ils continuèrent leur discussion pendant que Deborah finissait son thé brûlant. Puis ils se levèrent et Deborah dit :
-Je ne vais pas tarder à y aller, je ne vais pas te déranger plus longtemps
-Mais tu ne me déranges pas du tout ! coupa Thomas, cest toujours un plaisir de te recevoir !!
-Merci, répondit sa tante, tu es trop mignon ! Tu veux bien me passer mon manteau sil te plaît ? demanda-t-elle avec un sourire charmeur.
Thomas parti chercher le manteau et fît mine de ne pas réussir à décrocher le manteau du cintre, afin de pouvoir caresser la fourrure quelques secondes de plus Il finit par se résoudre à donner son manteau à sa tante, qui le regarda alors dun air indigné :
« Voyons mon cher neveu ! Ma sur ne ta pas appris que lon aide toujours une dame à enfiler son manteau ? Allez, dépêche-toi !! » fît-elle en plaisantant.
Thomas, dabord surpris, ne mis pas longtemps à réagir : il prit le manteau de ces deux mains, en plongeant avec délice ses doigts dans le col, et présenta une première manche à sa tante. Elle lenfila avec grâce et attendit que son neveu lui présente la seconde manche. Cela ne tarda pas et elle se blottit alors dans son généreux col :
« Tu vois, dit-elle avec une pointe de nostalgie, cest ce genre de détails qui se perdent de nos jours, cest bien triste Allez, je ne vais pas tarderViens faire un câlin à ta tante préférée ! »
Thomas nen revenait pas, sa tante lui proposé de lui refaire un câlin comme le jour de son anniversaire ! Il dut se contrôler pour ne pas se jeter dans ses bras tellement il était content. Sa tante referma son étreinte fourrée autour de son cou, la fourrure lui caressa la peau nue à cet endroit. Cétait encore mieux que dans ses souvenirs ! Ses mains, quant à elles, étaient posées sur chaque hanches de Deborah, plongées elles aussi dans la douceur de la fourrure. Il demanda alors :
« Cest très doux comme fourrure quelle est-elle ?
-Cest du renard argenté, lui répondit sa tante, je suis daccord avec toi elle est toute douce ! »
Leur câlin se prolongea encore quelques instant puis soudain, Deborah sourit intérieurement : ce quelle supposait depuis lhiver dernier savérer vrai ! Elle venait de sentir une bosse au niveau de lentrejambe de son neveu. Cela ne voulait que deux choses : soit Thomas fantasmait sur les manteaux de fourrure, soit sur sa tante ou bien les deux en même temps ! Dans tous les cas, cela enchanté sa tante, elle décida alors de jouer avec son neveu Elle sécarta doucement, baissa son regard et pris un air horrifié en disant:
« Mais !! Tu bandes ! Tu nas pas honte Thomas ?!! Je suis ta tante ! »
Thomas recula alors paniqué en cachant la bosse qui le trahissait au niveau de son entre-jambe. Tout honteux, il supplia alors :
« Je suis désolé !!Sil te plaît, Deborah, ne le dit à personne, je ferrais tout ce que tu voudras !
-Vraiment tout ce que je voudrais ? demanda Deborah qui savait quelle avait gagné, mais un peu trop facilement à son goût.
-Oui !! Absolument tout ! Mais ne le dis à personne, je ten conjure !
-Très bien ! Déshabille-toi ! ordonna sa tante.
-QuQuoi ?! répondit Thomas complètement abasourdi.
-Tu veux que je le répète à ta mère ? Non ! Cest bien ce que je pensais ! Alors déshabille-toi ! »
Devant ce chantage, Thomas ne pût quobéir. Il commença par retirer son T-shirt et se retrouva torse nu, puis, il retira ses chaussures et ses chaussettes. Enfin, il défit sa ceinture et son pantalon rejoignit le reste de ses affaires au sol Il ne restait plus que le mince rempart de tissu de son caleçon violemment déformé par son érection. Il regarda sa tante et devant ses yeux noirs abaissa rapidement le dernier morceau de tissus. Ça y est, il se retrouvait nu devant sa tante, il avait imaginé de nombreuses fois cette scène mais navait jamais pensé à ce quelle se déroule comme ça ni jamais pensé à ce quelle se déroule tout simplement.
Deborah resserra les pans de son manteau, elle fit lentement le tour de son neveu fière de sa victoire. Ce quelle voyait ne lui déplaisait pas, bien au contraire : son neveu état devenu un vrai homme, bien musclé, avec très peu de poils et quelque chose de plus que satisfaisant dans le pantalon.
« Écartes les bras ! dit-elle »
Thomas le fit sans poser de questions, son sexe toujours en érection devenait de plus en plus dur. Sa tante ne fit rien pour arranger cela : elle vint de coller contre lui de sorte à ce que son sexe touche la fourrure, posa une main sur ses fesses et lui prit la bouche de lautre. Elle demanda alors :
« Alors Thomas ! Mon manteau de renard te fait bander ? Ou bien, cest ta jolie tante qui texcite comme ça ? Ou alors, vicieux comme tu es, cest quand je memmitoufle dans mon manteau que tout texcite ? »
Thomas ne savait pas quoi répondre, il était complètement perdu, ses bras commençaient à le travailler mais ce dont il était certain, cest quil voulait que cette situation continue. Il prit alors le risque de parler :
« Oui Deborah, à chaque fois que je te vois porter un manteau de fourrure, je me mets à bander : tu es tellement belle et gracieuse naturellement et lorsque tu portes nimporte quel objet en fourrure, cela te rend encore plus désirable, ça créer une sorte de charme qui mattire vers toi et je ne peux détacher mon regard de ton corps !
-Eh bien ! Mon cher Thomas ! Cest une véritable déclaration que tu viens de me faire ! Je suis très contente de toi ! Tu mérites une récompense, dit-elle en faisant un clin dil Assis toi sur le canapé ! »
Thomas obéi sans poser de question, toujours nu, il sassit sur le canapé et attendit. Sa tante se plaça alors entre ses jambes et frôla ses bourses avec sa manche. Cela arracha un gémissement de bonheur à Thomas.
« Je vois que tu aimes ça mon chéri ! » Elle continua alors ses caresses avec la manche en renard.
« Eh ça, tu aimes ? dit-elle avant de poser ses lèvres sur le gland de son neveu ah ! Ça a lair de te plaire ! Je continue ? Demanda-elle en le regardant dans les yeux.
Les gémissements de Thomas lui confirmèrent de ne pas sarrêter. Elle reprit alors ses caresses en alternant, un massage avec la fourrure, des bisous sur la verge, des allers-retours avec sa main ainsi que des léchages tous différents ! Thomas était au septième ciel, sa copine lui avait déjà fait des fellations mais elle navait jamais atteint un tel niveau, cétait lextase totale pour lui : sa tante, en manteau de fourrure, lui faisait une fellation comme il nen avait jamais connu ! Cen fût trop pour lui, il voulu prévenir sa tante mais celle-ci redoubla ses efforts. Il explosa alors dans la bouche de Deborah, il navait jamais autant joui et sa tante avala toute sa semence !
Elle se releva, et essuya une goutte de sperme qui perlait au coin de sa bouche :
« Je pense que ça tas plu ! Si tu en veux plus, pas un mot à quiconque ! Et tu ne sors avec aucune fille ! Tu es à moi !! »
Thomas regarda sa tante et accepta en hochant simplement la tête. Puis sa tante lembrassa en forçant le passage de ses lèvres, puis parti sans se retourner en laissant Thomas nu sur son canapé, avec un sourire sur le visage.