Chapitre 4
Ce matin, nous partons tous les trois vers laéroport attendre le retour de Mélissa, la sur jumelle de maman.
Il y a bien cinq années quelle était partie vivre en Thaïlande. Les deux surs sont jumelles, mais pas identiques.
Physiquement, elles se ressemblent en toust points et quiconque ne les connaît pas bien les confond aisément, mais comme caractère, elles sont vraiment très différentes.
Mélissa est une artiste. Cest une personnalité excentrique et extravertie, je lapprécie beaucoup.
Elle possède ici, un joli chalet sur le bord dun lac.
Jy ai passé plusieurs étés de ma jeunesse, jusquà mes 15 ans.
Puis elle a décidé de partir vivre à lautre bout du monde.
Mélissa et maman sont surs, mais ne se sont jamais vraiment bien entendues, elles ont toujours eu des relations tendues à mon sens.
Maman semble reprocher plein de choses à sa sur, mais je ne connais pas le fond de lhistoire.
Je dois reconnaître que Mélissa a toute une personnalité et quelle na aucune retenue.
Elle dit tout haut ce quelle pense, sans égard pour la personne devant elle.
Discrète et respectueuse, maman ne ma jamais parlé en mal delle, mais jai cru comprendre, en surprenant des bribes de conversations discrètes entre maman et papa, quelle la trouve, entre autre, un peu volage.
Sortant des grandes portes avec sa valise, je la vois apparaître avec un grand sourire, nous cherchant quelques instants du regard, puis dun coup dil rapide, reconnaît maman.
On voit à son habillement, son côté excentrique.
Vêtue dune jupe assez courte, dun t-shirt non pas serré, mais beaucoup trop court, laissant bien voir son nombril, sous lequel on peut facilement distinguer sa poitrine nue. Ce sont surtout ses nombreux bijoux qui me frappent et le fait quelle marche pieds nus, tenant ses petites sandales dans sa main.
Pressant le pas, elle saute dans les bras de maman en lembrassant, puis fait un modeste signe de la tête en regardant à peine papa.
Se tournant vers moi, les bras à moitié ouvert, elle me détaille en disant :
« Je nen reviens pas ! Nicolas ? »
Puis elle me serre fortement dans ses bras en tentant de me brasser comme une poupée de chiffon.
« Je nen reviens pas ! Il est rendu grand et beau comme un Apollon ! Dit-elle, en regardant sa sur.
.. Allez ! Soulève-moi pour me montrer ta force ! » Me dit-elle, sans jamais relâcher son étreinte.
Je la soulève et la fait pivoter, frappant presque les gens qui nous entourent des ses pieds.
« Wooohoooooo ! Crie-t-elle, en tournant sur elle-même.
Bon ! Assez Nicolas ! Dit maman.
.. Il y a des gens autour ! » Rajoute-elle.
Reposant Mélissa au sol, nous allons vers la voiture.
Mélissa, tend la valise à papa sans ne vraiment rien lui demander, puis marchant à mes côtés, toujours pieds nus, me tient la main.
La foule nombreuse et bruyante que nous croisons, me fait réaliser que beaucoup de gens nous regardent, elle et moi ensemble.
Mélissa me passe même la remarque.
« Héhé ! Regarde, ils sont jaloux de te voir avec une cougar ! »
Joignant lacte à la parole, elle me prend par la taille, me serrant contre elle, en forçant mon bras au-dessus de son épaule.
Maman, tournant constamment la tête, tente visiblement découter, sans succès, ce que me dit Mélissa, agacée du regard, de nous voir ainsi enlacés.
Mélissa lui lance un grand sourire qui ne semble en rien faire plaisir à ma mère.
Nous partons ensuite vers la maison.
Assis derrière avec elle, papa nous conduit.
« Je vois, Patou, que tu es toujours avec ton » (Parlant à maman, sans utiliser de qualificatif pour parler de papa).
Définitivement, elles reprennent là où elles ont laissé, il y à cinq ans !
Maman laisse passer, mais je lentends soupirer.
Ce que je ne savais pas, cest que Mélissa depuis leur tendre enfance, sest toujours amusée à se taper les copains de maman, un après lautre, les séduisant en les volant à sa sur.
Elle a tenté de faire pareil avec papa, mais avec sa libido de bas niveau, il a résisté à ses charmes.
Ce qui est évident, cest que papa naime pas Mélissa !
Elle, elle a lair de sen foutre royalement et aussi loin que je me souvienne, na jamais eu dégards pour lui.
Assis tout près delle, je suis de nouveau stupéfait de leur ressemblance.
Pas seulement au niveau du visage, mais des formes de leurs corps.
Sa jupe courte, bien relevée sur le haut de ses cuisses par sa position assise, me permet de bien voir et dapprécier la beauté de ses jambes quelle ne cache aucunement.
Pieds nus dans la voiture, les jambes un peu de mon coté, je détaille ses chevilles et ses mollets.
Nayant rien dautre de mieux à faire, je scrute son corps en entier en fixant ses seins que je peux deviner sous le mince tissu de son t-shirt.
Me retournant vers lavant, japerçois maman tête tournée vers nous qui me regarde.
Gêné de mêtre fait prendre aussi facilement, je fais semblant de regarder le décor par la fenêtre.
Elle ne dit cependant rien, écoutant Mélissa raconter des anecdotes de son périple.
Jai quand-même une érection intense dans mon pantalon, si bien quau bout dun moment, mieux caché par ma position, je recommence à lorgner les cuisses de Mélissa.
Bien éclairé par le soleil pénétrant sa fenêtre, jen devine la douceur, ny voyant aucune trace de fin duvet, quune peau presque parfaite demandant à être touchée.
Je fais le rapprochement avec les cuisses de maman qui doivent être identiques.
Toutes ces pensées dans ma tête, ne font quamplifier mon état dexcitation, nécoutant même pas ma tante raconter ses aventures.
Vu la circulation intense, je sais bien quil nous en reste pour au moins une heure avant darriver à la maison.
Regardant sa jambe près de la mienne, je me dis quil serait bien dy toucher subtilement. Juste un peu.
Je dépose mes mains sur mes cuisses, en laissant pendouiller mes doigts sur la face extérieure, puis lentement, je pousse mon genou contre le sien, emprisonnant mes doigts entre nos jambes.
Mélissa continuant à parler, je bouge doucement mes doigts en touchant la peau de sa cuisse du revers de mes doigts.
Sa peau est dune extrême douceur, augmentant la chaleur dans mon corps.
Feignant un mouvement innocent, je retire mes doigts et glisse ma main à moitié sur ma cuisse et la sienne en me dirigeant vers mon genou.
Lintérieur de mes doigts ayant glissé sur sa peau, je ferme les yeux, savourant la caresse.
Ne pouvant résister à la toucher encore, je refais le chemin inverse, puis reviens poser ma main sur mon genou.
Mélissa ne parle plus, semblant regarder le derrière de lappui-tête de papa devant elle.
Dans létat où je suis, jai tellement envie de toucher sa cuisse.
Feignant une toux, je dépose ma main sur son genou en la ramenant aussitôt sur le mien.
Tremblant, je regarde devant moi scrutant lhabitacle.
Mélissa bouge soudainement, poussant sa jambe fortement contre moi.
Prenant une grande inspiration, je dépose de nouveau ma main sur son genou et remonte en laissant glisser mes doigts à lintérieur de son entrecuisse, puis retourne sur son genou avant de retirer ma main.
Jentends au loin, la voix de maman qui raconte des trucs. Mélissa ne proteste pas.
En fait elle ne fait rien. Regardant son visage, elle fixe devant elle sans réagir.
Évaluant la situation, je dépose de nouveau ma main sur son genou et je le serre entre mes doigts, avant damorcer de nouveau une caresse entre ses cuisses que je serre maintenant, en explorant la douceur de sa peau.
Médusé par sa beauté, je regarde mes doigts fouiner la région de ses cuisses que ma position me permet partiellement datteindre.
Me tournant vers le devant de la voiture, jentrevois le début dun triangle relationnel aussi incroyable quimprobable.
Maman, tournée vers nous, avait bien vu la caresse entre les cuisses de sa sur.
Découvert, je retirai instantanément ma main.
Silencieuse, avec un regard de fauve, maman fixait Mélissa qui, elle, la regardait avec un bizarre de sourire.
Mélissa bougeant sur elle-même, appuya le haut de son corps sur la portière, collant son visage à la vitre près delle, en croisant sa jambe et en déplaçant son cul vers moi quelle mexposait presque sans entrave.
Javais vraiment le cul de sa sur collé contre moi, pouvant bien voir le derrière de ses cuisses par sa position presque semi-couché de côté.
« Arrête ici ! Commanda-t-elle à papa, en pointant une entrée de stationnement.
.. Une crème glacée ça vous dit ? » Demanda-t-elle, en me surprenant littéralement.
Je ne comprenais rien, mais absolument rien à la situation.
Je me serais attendu à une engueulade, une chicane ou une réprimande pour mon geste, je ne sais pas, quelque chose du genre !
Elle ne mavait même pas regardé, fixant Mélissa sans relâche.
Mais là ! Une crème glacée ?
Ce nétait pas normal !
Sortant de la voiture, je ne fis pas deux pas que maman me prit le haut du bras en le serrant contre elle pendant que nous marchions vers le bar laitier.
Mélissa derrière nous, trainait la patte sans conviction.
Prenant tous un cornet que papa nous apporta à table, je ne manquai pas de remarquer Mélissa assise devant moi, glissant le cône de crème glacée de façon presquindécente dans sa bouche, en me regardant.
Maman, assise à coté de moi, tira fortement sur ma taille de sa main en me collant contre elle et en me parlant, me forçant à tourner mon attention vers elle.
La situation que je ne comprenais pas était irréelle.
Terminant notre cornet, nous sommes retournés à lauto, maman toujours collé contre moi, elle dit :
« Je vais masseoir à larrière avec Nicolas !
.. Mel ! Va devant ! »
Massoyant de nouveau à larrière, je mattendais à une attitude de reproche de maman.
Loin de là, elle me regarda en me faisant son plus beau sourire et en me prenant la main, croisant ses doigts entre les miens et en les déposant dans cette pose sur sa robe.
Loin, mais très loin de comprendre, jétais juste content de voir que maman ne semblait pas men vouloir.
Le reste de la route sest déroulé sans événement, maman frottant ma main de la sienne de temps à autre, quant à papa, il ne semblait sêtre rendu compte de rien.
En fin daprès midi, papa prétexta un quelconque souper avec des amis et partit, préférant très surement ne pas être en présence de Mélissa et de supporter ses railleries à son égard.
Au souper, jai vu les différentes pièces de cet étrange et compliqué puzzle sétaler sur la table sans en comprendre le tableau final avant la toute fin.
Mélissa parlant avec moi devant maman, me demanda :
« Ça te plairait de venir passer le weekend avec moi au chalet, Nicolas ? » (Sur un ton qui ne me laissait pas de doute sur ses intentions).
Avant même que jaie pu répondre quoi que ce soit, maman prit la parole à ma place :
« Je ne crois pas quil pourra, Mel !
.. Il est très occupé ces temps-ci ! Lui dit-elle, sans même me consulter.
Bien ! Pas vraim Nayant pas le temps de finir ma phrase quand maman me coupa en parlant par dessus moi.
Surtout ce week-end ! »
Je savais clairement les intentions de Mélissa envers moi, mais je ne comprenais pas tout à fait, les réactions de ma mère.
Ce qui était clair cependant, cest quelle ne voulait clairement pas que jaille au chalet, sachant très bien que je finirais dans le lit de sa sur.
« Je suis certaine quil peut prendre cette décision seul à son âge ! Nest-ce-pas ? » Lança Mélissa, en regardant maman en prenant une bouchée.
Abdiquant à cette affirmation, maman répondit :
« Oui, cest certain quil est assez vieux pour ça ! » (Sur un ton résigné, mais qui laissait planer plein de sous-entendus, retournant à son assiette).
Et assez jeune, en fait ! » Rajouta Mélissa.
Mélissa se tourna vers moi en attendant une quelconque réponse :
« Ben, je sais pas vraiment ! »
Gêné de répondre devant maman, que jaimerais peut-être bien "sauter" sa sur.
Maman savait que je savais les intentions de Mel :
« Ça dépend ! Rajoutai-je, en évitant le regard de ma mère, assise à coté de moi.
.. Cest vrai que ce serait bien de passer du temps avec elle, ça fait bien longtemps que je lai vue ! » Rajoutant cet inutile commentaire en parlant à maman, pour couvrir maladroitement mes intentions.
Un étrange silence se forma pendant que maman et Mélissa se regardaient.
On aurait dit un acte où je navais pas de réplique mappartenant, ou linstant dun court moment où je nexistais plus.
Retournant toutes deux dans le passé leur appartenant.
« Tu nas peut-être rien remarqué surette, mais il est devenu un jeune homme ! »
Je sentais nettement lattitude dominante de Mélissa envers maman.
« Ce nest pas un de mes petits copains, Mel ! Cest mon garçon ! » Dit maman sur un ton implorant, voir blessé.
Un sourire que seule une femme peut faire, apparut sur les lèvres de Mélissa.
« Ce ne sera que meilleur, surette ! » (Montrant bien à maman quelle avait presque à toute fin, gagné sur toute la ligne.
Revenant dans mon monde, Mélissa se tourna vers moi pour entendre ma réponse finale, celle qui planterait définitivement le clou du cercueil de maman.
Je sentis alors, contre toute attente, le genou de maman, se coller délicatement contre le mien sous la nappe.
Sans en être certain, jhésitai au dernier moment avant de répondre.
Ma main, déjà sur moi, bougea doucement et nerveusement vers le genou couvert par sa robe, que je commençai à caresser avec hésitation, loin dêtre certain quelle ne me rejetterait pas.
Sentant sa jambe toujours près de moi qui ne bougeait pas, jai décidé de voir si je me trompais carrément, en tirant sur la robe pour découvrir la moitié de sa cuisse.
À ma très grande surprise, elle ne dit rien.
Je glissai alors, ma main sur sa peau en caressant lintérieur de sa cuisse.
Pour me convaincre pleinement de ce qui se passait entre elle et moi, je remontai sa robe au maximum en glissant ma main entre ses cuisses près de son corps.
Elle était chaude et douce, enivrante et invitante.
Mélissa devant moi, ignorante de ce que ce tramait sous la nappe, me regardait.
« Je ne suis pas obligé de choisir, maintenant, dis-je, on a tout le souper et la soirée pour ça ! »
Trop excité de sentir maman laisser ma main bien blottie entre ses cuisses pendant quelle mangeait, je décidai de la maintenir en place pendant que je palpais lintérieur de son entrecuisse.
Mélissa me dit alors :
« Tu sais, on aurait beaucoup, beaucoup de plaisir ! Dit-elle, voulant continuer à menvoûter et à sassurer de ma complicité.
Oui je nen doute aucunement ! » Dis-je nerveusement, trop excité davoir toujours la main entre les cuisses de ma mère.
Saisissant le rebord de sa robe en la remontant sur le coté, jusquà atteindre sa petite culotte de mes doigts, je la saisis en tentant de la tirer vers les bas.
Maman très nerveuse, bougea sa main en repoussant mon assaut et mon poignet, tentant de faire le tout sans que ça ne paraisse.
Je fis un joli sourire à Mel :
« Tu minvites vraiment chez toi ? » Demandai-je sur un ton, on ne peut plus intéressé, lui arrachant un sourire presque dément.
Délaissant mon poignet quelle tenait sous la table, jai vu maman relever la tête, se tournant vers moi en me regardant étrangement, puis fermer ses yeux.
Jai alors senti les doigts de maman commencer à caresser les miens.
Prenant son geste comme un incitatif, jai repris le rebord de la petite culotte, cette fois, elle ne me repoussa pas, allant même jusquà lever sa fesse pour faciliter son retrait.
Maman se tortilla sur sa chaise en retirant lautre coté de sa culotte quelle laissa retomber sur ses chevilles.
Elle la retira complètement de ses jambes en la poussant vers moi.
Ce petit jeu, totalement inattendu avec ma mère, me rendit complètement dingue.
Bien que Mélissa soit à table devant nous, je pris le risque de glisser ma main sous le derrière de sa robe, en longeant ma main sur le haut de ses fesses libérant complètement à mon regard le côté de sa cuisse dénudée.
Maman tremblait de tout son corps, tentant de se maîtriser et davoir lair normal, incapable de prononcer le moindre mot.
Remettant mes mains sur la table pour pouvoir manger, et agir innocemment, maman déplaça sa chaise en se repositionnant un peu plus près de moi.
Surpris, je sentis sa jambe se coller fortement contre moi, bougeant sans cesse, me caressant.
Ayant peine à manger pendant que tout ceci se passait entre elle et moi, je regardais Mélissa me faire de complices sourires.
« Tu as déjà fais lamour avec une femme dexpérience ? Me demande-t-elle à haute voix
Pas lamour, mais jen ai vu jouir une plus dune fois devant moi ! » Lui répondis-je sans hésitation, fier que ce soit vraiment arrivé.
Disant ça, jappuyai mon bras sur le dos de la chaise de maman, mes doigts descendant sa robe dété, tentant de dégrafer son soutien-gorge.
Maman toussotant dans sa serviette de table en sexcusant et en se levant pour aller aux toilettes.
Seul dans la salle à manger avec Mélissa, elle me regardait avec un sourire espiègle :
« Viens avec moi ce weekend ! Je vais te faire connaître des plaisirs que tu ne soupçonnes même pas lexistence ! »
Je senti son pied nu sinsinuer entre mes cuisses, sappuyant fermement contre mon pénis en le frottant de ses orteils.
Tout dans ma tête se chamboulait à ce moment.
« Tu crois vraiment que je ne vois pas ce que vous faites, ta mère et toi ? »
Surpris davoir été découvert.
« Je sais ressentir les vibrations du désir et une adversaire, lorsquelle se trouve près de moi ! »
Bougeant son pied en me caressant, son regard ne me quittant pas.
Ne comprenant pas vraiment ce quelle voulait dire, je la regardais en lécoutant :
« Cest elle que tu as vu jouir, nest-ce-pas ?
.. Tu nas pas besoin de répondre ! Je le sens ! Incroyable ! Rajouta-t-elle.
.. Elle ta fait des spectacles ou tu lépiais ? »
Pris au piège par ses questions, je ne répondais pas, cependant jétais mauvais acteur et je sentais quelle pouvait presque lire dans mes pensées.
« Elle a fait plus la surette ! Finalement ! »
Je la regardais me dire ça avec un sourire presque machiavélique, pendant quelle me caressait sensuellement.
« Hum ! Je sais toujours faire parler un homme, Nicolas ! »
Ouvrant la bouche en se léchant les lèvres comme une chatte, bougeant son pied de façon experte.
« La Sainte tigresse, la parfaite, a finalement craqué sous ton joli petit charme ! »
.. Je naurais jamais cru que ça arriverait un jour ! » Dit-elle, visiblement contente.
Moi, de mon coté, je ne comprenais absolument rien au sens de ses dires.
Maman revint finalement à table.
Mélissa la regarda en souriant, gardant le silence.
Il était clairement évident que maman navait pas de soutien-gorge.
Ses mamelons, vraiment excités dêtre ainsi libres devant moi et, fort probablement devant nous, transperçaient le fin tissu de la robe décolletée sur sa poitrine.
Je tentais de respirer et de rester calme pendant que jobservais maman ainsi dévêtue et pendant que Mélissa bougeait son pied.
Maman retourna à son assiette, pendant que Mélissa me faisait des signes, me montrant sur son t-shirt, de tirer contre la robe de sa sur.
Jétais tellement excité.
Je ne savais plus vraiment ce que je faisais.
Mélissa bien que complice, ne maidait pas par son attitude provocante !
Incapable de manger dans la circonstance, je tendis de nouveau le bras sur le dossier de la chaise de maman.
Mélissa poussait sur moi de son pied, signifiant « Vas-y ».
Descendant ma main dans son dos, je le dénudai autant quil était raisonnable de le faire, sa petite robe dété nayant ni manches ni bretelles.
Mélissa mindiqua discrètement le devant, de sa main.
Maman regardant toujours son assiette, compris ce que jétais en train de faire, lorsquelle sentit mes doigts pincer le tissu sur son ventre en le tirant doucement vers le bas.
Elle saisit sa serviette de table en la déployant devant elle, yeux fermés en se laissant faire, sessuyant lentement la bouche pendant que je baissais sa robe jusquà apercevoir un bout de laréole, juste au-dessus de la dentelle.
Déposant sa serviette, on pouvait clairement voir une grande partie de ses seins, bien ressortir de sa robe.
Portant son index à sa bouche fermement, je compris que maman était vraiment excitée dêtre ainsi exposée.
Nattendant pas la suite, elle colla de nouveau sa jambe contre moi en se frottant.
Je déposai à nouveau ma main sous la nappe, entre ses cuisses, pour découvrir que maman avait les jambes écartées.
Caressant maman directement sur son sexe entre ses cuisses, je la sentais peu à peu déraper en perdant conscience du lieu et du moment.
Enfin, cest que je pensais !
Mais au fond, je ne comprenais pas ce qui se passait.
En temps normal, maman maurait giflé, engueulé ou remis à lordre.
Mais là, même pas dans lintimité, elle écartait de plus en plus les cuisses pour me laisser accès à son entrejambe, sa respiration devenant de plus en plus intense et commençais à bouger son bassin contre ma main.
Elle ouvrit même les yeux, bien consciente du spectacle quelle nous offrait.
Mélissa brisa le silence en lui parlant :
« Tu en auras mis des siècles à sortir du placard, Sainte tigresse ! Dit Mélissa.
.. Mais lui aussi, je suis en train de te le prendre ! » Dit-elle sur un ton victorieux, montrant à maman son pied entre mes cuisses.
Le monde explosa autour de moi ! Totalement !
Maman saisit sa fourchette à pleine main, près des dents et dun geste dune rapidité et dune précision chirurgicale, la planta entre mes cuisses dun violent coup.
Mélissa lâcha un cri de mort, la fourchette pénétrant profondément le dessus de son pied.
Stupéfait et apeuré par son geste, je regardai maman.
Elle avait un regard foudroyant, fustigeant Mélissa sans même se soucier de sa main toujours entre mes cuisses.
« Tu veux un combat de couguars, et bien SOIT ! » Dit maman en linvectivant.
Les bras relevés comme si jétais en joue devant un fusil, je nosais aucunement bouger, ne comprenant fichtrement rien à ce moment de totale folie.
Mélissa tenta de retirer son pied dentre mes jambes, mais maman retenait fermement la fourchette bien plantée là où elle était.
« Tu ne bouges pas ! Dit-elle, sur un ton sec.
.. Pas avant que jen ai décidé ! Compris ? » Rajouta maman.
Mélissa terrifiée, souffrante, acquiesça :
« Regarde-moi bien ! Regarde la Tigresse dans les yeux ! Dit maman à Mélissa.
.. Si tu touches, ne fut ce quà un seul cheveu, à ce qui mappartient de droit »
Maman marqua une courte pause en se levant à moitié de sa chaise vers Mélissa, puis continuant :
« Je te jure, petite couguar, que je tarrache le cur et je le mange en entier ! (Tournant dun coup sec la fourchette dans son pied pour appuyer ses dires).
AYYYYYYYYYYY ! Cria de nouveau Mélissa.
Est-ce, que, je, me, fais, bien, comprendre, petite couguar ? Appuyant chaque mot.
Oui, Tigresse ! Répondit-elle, en parlant avec difficulté.
Maintenant, tu vas dire à mon fils que tout est normal et tu vas lui raconter la vérité ! »
Mélissa, bien que blessée, ne tentait aucunement de retirer son pied.
Elle prit une grande respiration et commença :
« Ta mère et moi sommes des femmes couguars, Nicolas ! Tu sais ce que cest ? Me demanda-t-elle
Ouais, dis-je hésitant, des femmes qui courent les jeunes hommes !
Exactement, la différence entre elle et moi, cest quelle, nest restée quaux fantasmes, sans jamais traverser la clôture, contrairement à moi !
.. Jai toujours tenté de la faire tomber, pour quelle soit comme moi !
.. Mais crois-moi ! Elle fantasme intense rare sur les jeunes !
.. Partageant avec moi ses rêves les plus débridés, repoussant en elle les limites de linterdit.
.. Cest pour ça que je lappelle la Tigresse ! La couguar dentre les couguars !
.. Aussi, pour que tu comprennes son geste daujourdhui, toute notre jeunesse et même plus, je lui ai soutiré ses copains sans vergogne, lun après lautre, tirant un intense plaisir à lui voler ses amoureux, brisant son cur à maintes reprises par mes actes ! »
« Je suis sincèrement désolée, Tigresse !
Désolée de quoi ? Demanda maman, sévèrement.
Davoir encore essayé de te prendre ton bien !
Le plus Précieux celui-là ! » Dit maman, en montant la voix.
Mélissa pleurait, non pas de douleur, mais de peine.
« Cest de ma faute ce qui arrive, Nicolas ! Ne ten fais pas, je vais men remettre !
.. Cest bien peu à côté de ce que jai fait à ta mère ! »
Maman déposa alors son autre main sur le pied de Mélissa et arracha dun coup la fourchette de son pied, déposant la serviette de table avant que Mel ne retire son pied meurtri.
Shabillant péniblement pour partir, elle croisa papa dans lentrée.
« Mais quest-ce qui sest passé ? Demanda-t-il, voyant la serviette souillée de sang autour de son pied.
Je me suis blessée ! Ce nest rien !
Je peux la reconduire à lhôpital, sil le faut !
Bonne idée, chéri et reste avec elle, tu la reconduiras ensuite ! » Dit-elle, visiblement contente de se débarrasser de lui pour un bout.
Maman regarda sa sur dans les yeux.
« Tinquiète pas, Tigresse ! Répondit Mélissa, référant toutes deux au silence.
Tigresse ? » Dit papa.
Laisse tomber ! » Lui dit maman.