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Vacances dépravées – Chapitre 1




VACANCES DÉPRAVÉES

Je tiens à vous raconter une histoire qui remonte à une quarantaine dannées ; je me prénomme Daniel, et jétais alors âgé de 16 ans. Comme je vivais dans une grande ville et que jétais plutôt pâlichon et fluet, mes parents menvoyaient chaque été pendant un mois à la campagne, chez mon oncle Robert qui avait une ferme en Auvergne, perdue en pleine cambrousse. Ce nétait pas fait pour me réjouir : jaurais préféré rester en ville avec ma bande de copains pour faire les quatre cents coups ; mais cétait bon pour ma santé. Enfin, cest ce que disaient mes parents.

Donc, cette année-là (cétait en 1972), je prends une fois de plus, à contrecur, la direction du Cantal. Depuis Lyon, cela représente environ 300 km ; mais avec les autorails bringuebalants de cette époque qui se traînaient sur les réseaux secondaires en sarrêtant à toutes les petites gares, et compte tenu des correspondances aussi bien à St Etienne quà Clermont-Ferrand et des attentes quelles génèrent, le voyage a duré presque huit heures. Du coup, ce nest quaux alentours de 18h 30 que jarrive en gare de St Flour.

Daniel ! Hé, Daniel !

Cest mon oncle Robert qui vient de minterpeller. Ce jovial gaillard, de haute stature et à la panse rebondie, mattendait dans le hall. Il sapproche de moi en essuyant dun immense mouchoir à carreaux les gouttes de sueur qui perlent sur son front. Des mèches de cheveux grisonnants dépassent de la casquette crasseuse quil porte été comme hiver ; son nez rougeoyant Robert est renommé pour apprécier sans aucune modération le pinard illumine sa trogne qui se fend dun large sourire.

Bonjour, tonton.

Salut, Daniel. Boudiou, comme tu as grandi depuis lété dernier ! Jai failli ne pas te reconnaître. Dis-donc, avec la chaleur quil fait, tu dois avoir soif Ça te dirait quon aille au buffet de la gare pour sen jeter un petit derrière la cravate, vite fait ?

Ça, cest une bonne idée, mon oncle.

Il sempare de ma valise et se dirige à grandes enjambées vers la buvette ; je trottine derrière lui, essoufflé. Heureusement, il ny a que quelques dizaines de mètres à parcourir pour rejoindre la terrasse ombragée où nous prenons place.

Bon, je pense quà ton âge tu ne vas pas prendre un diabolo ou un panaché, comme les années précédentes. Mademoiselle, deux rosés bien frais !

Tout en buvant, nous parlons de choses et dautres : de mes études, de la santé de mes parents et du travail à la ferme.

Hé, tu sais que tu nes pas le seul à avoir grandi ? Tu vas voir, tout à lheure, ta cousine Martine : cest déjà une vraie jeune fille, même si elle na pas encore 15 ans. Crénom, comme le temps passe

Cest vrai que le tonton avait atteint la cinquantaine ; vingt ans auparavant, il avait marié la Germaine, une fille plus âgée que lui, revêche et dénuée du moindre charme, sinon dêtre la fille unique dun gros exploitant agricole. Oncle Robert désespérait davoir un héritier à qui transmettre son bien ; ce nest quaprès plusieurs années de mariage que sa femme avait mis au monde juste avant la ménopause cette gamine. La dernière fois que javais vu ma cousine, elle nétait encore quune gosse filiforme, aux longues jambes grêles et au visage ingrat.

Tu en reprendras bien un autre ? Non, ça ne te dit rien ? Moi, je men envoie un petit dernier pour la route.

Il avale son verre dun trait.

Allez, on y va, maintenant.

Sa vieille Dyane était toujours aussi pourrie : sa peinture dun bleu délavé était cependant égayée par le ruban rose du sparadrap qui retenait un phare déglingué, et par des pièces disparates de toile cirée censées réparer les déchirures de la capote Il dénoue le morceau de ficelle qui remplace la poignée de la portière côté passager pour me faire monter à bord de sa guimbarde (impossible de minstaller à larrière : les sièges avaient depuis longtemps été remplacés par des caisses en bois où il plaçait ses canards et ses oies pour les emporter sur les marchés). Malgré lapparente vétusté du véhicule, son moteur se mit à toussoter timidement lorsque mon oncle actionna pour la troisième fois la tirette qui lançait le démarreur.

Après une demi-heure de roulis et de tangage sur des petites routes sinueuses, nous arrivons enfin à la ferme. Ma tante finissait de disposer les couverts sur la grande table de la cuisine.

Alors, cest à ctheure-là quvous arrivez ? Toi, la grosse outre, noublie pas daller porter les eaux grasses aux cochons ! Et toi, lgamin dla ville, toujours aussi chétif ? Tu vas trefaire une santé, ici !

Germaine navait pas changé : toujours aussi virulente, celle-là Une vraie mégère ! Ses petits yeux sombres profondément enfoncés dans les orbites me lancent des regards peu amènes ; avec son corps anguleux, son teint cireux et ses cheveux gras ramenés en un sévère chignon, elle na vraiment rien de féminin.

Ah, mon cousin est arrivé ! Bonjour, Daniel !

Je nai pas entendu Martine arriver. Elle, par contre, a bien changé en mieux ! Ce nest plus la gamine montée trop vite en graine, aux genoux cagneux et écorchés avec qui je me chamaillais encore lannée dernière. Elle a pris des formes : deux petites protubérances pointent sous son tee-shirt, et sa taille fine sévase sur les courbes de ses hanches qui commencent à se dessiner. Elle se précipite dans mes bras et fait claquer deux baisers sonores sur mes joues. Je la trouve ravissante ! Elle se plante devant moi, me regardant avec espièglerie.

Demain, je temmène faire le tour de la ferme pour te montrer les animaux.

Allez, tout le monde à table ; ça refroidit !

Cest la tante qui nous rappelle à lordre ; nous lui obéissons, car un exquis fumet se dégage des mets disposés sur la table. Si Gertrude na rien dattirant, il faut lui reconnaître ses qualités de cuisinière. Nous nous régalons de ce quelle a préparé : une excellente soupe aux fèves arrosée dhuile de noix, puis une truffade (un délicieux gratin de pommes de terre à la tomme fraîche fondue), enfin un plateau de fromages de la région : Laguiole, Salers, St Nectaire et Bleu dAuvergne. Et, pour terminer, une founiarde comme dessert (gâteau gratiné aux fruits). Robert qui sétait octroyé quelques verres de gros rouge pour accompagner le repas va chercher une fiole de liqueur de gentiane, sen verse une bonne rasade sans tenir compte des regards hargneux que lui lance sa femme, et men propose.

Ça va nous réchauffer, hein, mon garçon : les nuits sont encore fraîches par ici, en altitude

Non, merci, tonton. Je suis déjà bien fatigué du voyage ; dailleurs, je vais me coucher. Bonne nuit !

Je les quitte pour rejoindre la chambre qui mest habituellement dévolue. Après mêtre totalement déshabillé, je me glisse entre les draps frais de grosse toile rugueuse. Bien quétant très fatigué, je ne parviens pas à mendormir ; je revois les formes affriolantes de ma cousine qui révèlent sa féminité naissante et, à cette évocation, je sens mon membre devenir rigide. Quoi, je bande pour cette gamine, qui de plus est ma cousine ? Non : je dois repousser ces idées malsaines ! Pourtant, elle est devenue tellement mignonne

Que faire ? Tout dabord, faire disparaître le désir qui ma envahi. Pour cela, je ne connais quune solution : une bonne branlette, comme celles que je madministre parfois plusieurs fois par jour depuis lâge de 12 ou 13 ans. Je suis assez fier de ma verge ; je nai que 16 ans, mais elle fait déjà 16 centimètres de long. Comme je la mesure régulièrement depuis que je me branle, jai remarqué quelle sallongeait dun centimètre chaque année ; à ce rythme-là, il me tarde dêtre majeur : elle mesurera alors 21 centimètres !

A force de pratiques masturbatoires (car je suis trop timide pour aborder les filles) je suis devenu expert dans la manière de me faire jouir. Eh oui, à 16 ans, je suis encore puceau ! Cest pourquoi je me donne moi-même du plaisir ; jusquà présent, la meilleure technique que jai trouvée pour me caresser, la voici.

Je me décalotte complètement et je serre la base de ma bite jusquà ce quelle devienne toute gonflée ; lorsque mon gland est gorgé de sang et se boursoufle en devenant violacé, je le couvre de salive afin que mes doigts puissent glisser dessus sans rencontrer de résistance. Alors, je me procure de subtiles caresses en alternant les endroits les plus sensibles : le gland par lui-même, la partie de la hampe située juste en arrière de la couronne, et le frein du prépuce. Parfois, jenduis de salive lintérieur de ma main et, layant serrée, jy fais pénétrer mon gland comme dans une chatte bien étroite.

Cest cette méthode que jai choisie ce soir ; mais mes pensées mentraînent irrésistiblement vers ma cousine. Et cest en imaginant que cest entre les lèvres bien serrées de sa petite chatte que mon gland coulisse que je jouis démesurément, remplissant ma main de liqueur gluante.

Soulagé par cette masturbation empreinte de culpabilité, je mendors rapidement.

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Après une nuit de sommeil réparateur, je suis réveillé par les rayons du soleil qui filtrent dans ma chambre ; des bruits provenant du rez-de-chaussée me parviennent. Tiens ! Ils sont déjà debout ? Je descends vite les rejoindre.

En effet, ils sont attablés tous les trois, en train de prendre un copieux petit-déjeuner.

Bonjour, tout le monde !

Bonjour, Daniel !

Alors, mon cousin, es-tu prêt à me suivre pour faire le tour de la ferme ?

Dès que jaurai avalé mon café, Martine.

Ma cousine ne porte pas les mêmes vêtements quhier : elle a troqué sa jupe pour un blue-jeans qui met en valeur son petit cul haut placé, et son tee-shirt pour un débardeur sans manches.

Allez, viens ! Je vais te montrer Hugo, un beau cheval que nous avons depuis peu.

Elle me prend par la main et mentraîne vers lécurie ; les deux chiens (Kitty, une femelle husky à la livrée blanche et grise, et Wolf, un beauceron noir et feu) nous emboîtent le pas en gambadant et en jappant.

Voici Babette, notre mule ; mais tu la connais déjà. Et là, cest Hugo, le percheron que nous avons depuis quelques mois.

Dans la pénombre de la stalle, je distingue un robuste cheval à la robe gris foncé ; les longs crins noirs de sa crinière et de sa queue contrastent magnifiquement avec son pelage luisant. De longs poils sombres masquent presque totalement ses sabots.

Mais il a cinq pattes !

En effet, japerçois un membre supplémentaire pendant entre ses postérieurs jusquà la paille qui recouvre le sol de terre battue. Soudain, à ma grande surprise, ce membre se redresse et vient battre à plusieurs reprises le ventre de létalon. Mon regard est fasciné par son extrémité surmontée dune sorte de champignon en forme de large cône ; puis ce membre impressionnant disparaît en se rétractant dans un fourreau situé entre les cuisses de lanimal.

Mais non Tu es bête ! Je ne sais pas ce quil a, mais Hugo fait toujours ça lorsque je men approche. Cest sa quéquette ; elle est bien plus grosse que la tienne, hein ?

Martine semble bien délurée pour son âge ; elle accompagne ses paroles dun regard mutin qui met mes sens en émoi, dautant plus que, placée comme elle est, la lumière rasante fait ressortir le galbe de son petit cul Sapprochant dHugo, elle lui flatte lencolure, puis elle se baisse pour ramasser une poignée de foin. Au cours de ce mouvement, son débardeur très échancré sous les bras baille et me laisse apercevoir furtivement un petit sein pointu dont le mamelon beige pâle, très développé, occupe une bonne partie de sa poitrine juvénile. Martine ne semble pas sapercevoir du trouble quelle provoque en moi ; mais mon trouble saccroît bien plus lorsquelle saccroupit pour me faire remarquer la longueur des poils qui recouvrent en partie les sabots du cheval : ma cousine est là, devant moi, assise sur ses talons. La toile de son pantalon, plaquée contre ses jambes écartées, lui fait comme une deuxième peau. Cest comme si elle était nue : je distingue parfaitement le V formé par lintersection de ses cuisses ; la couture du blue-jeans souligne la fente de sa vulve.

Cette gamine délurée réalise-t-elle lambiguïté de la situation ? Agit-elle ainsi innocemment, ou par perversité ? Est-elle aussi ingénue que je le pense, ou bien me provoque-t-elle ? Je ne peux résister à la tentation qui me gagne et, sans me faire remarquer, je mets ma main dans une poche de mon pantalon celle dont jai décousu le fond pour pouvoir me toucher la queue à linsu de tous et je commence à me caresser discrètement la bite en faisant coulisser lentement mon prépuce sur mon gland. Jespère que ma cousine ne remarque pas mes mouvements car, plus je sens la jouissance approcher, plus mes mouvements se font désordonnés Jessaie cependant de parler avec Martine comme si de rien nétait ; mais, lorsque mon sperme se répand par saccades dans mon slip, je me crispe pendant quelques secondes.

Ça va, Daniel ? Tu es malade ? Tu es tout rouge, et tu transpires !

Rassure-toi, Martine ; ce nest rien. Peut-être la fatigue du voyage dhier qui se manifeste ?

La laissant là, je me précipite vers ma chambre pour changer de sous-vêtement. Hmmm, il faudra que je lave ce slip moi-même ; il ne faudrait pas que Germaine le trouve dans cet état

Laprès-midi, je profite du départ de mon oncle au marché et de labsence de sa femme et de sa fille parties faire les foins pour retourner à lécurie ; le membre disproportionné du cheval mavait tellement impressionné que je désirais le voir de plus près.

A peine arrivé dans la stalle dHugo, jentends le moteur dune voiture se rapprocher, et sarrêter dans la cour. Pas de doute, il sagit bien de la Dyane poussive. Des bruits de pas qui se rapprochent ; je ne voudrais pas être surpris par mon oncle devant la superbe érection dHugo ! Je nai que le temps de me précipiter derrière des bottes de paille pour my cacher alors que la porte de lécurie souvre dans un grincement de gonds mal huilés. Cest bien Robert qui est là. Je me tasse encore plus dans ma cachette pour ne pas me faire remarquer.

Mon oncle sapproche de Babette ; il lui flatte lencolure, puis je vois sa main se diriger vers la croupe de la mule, qui soulève sa queue. A présent, Robert saffaire derrière lanimal. Me déplaçant sans bruit pour mieux voir ce quil fait, je constate avec stupeur quil caresse un orifice noir et luisant qui frémit sous ses attouchements. Mais que fait-il ? Après avoir craché sur ses doigts, voilà quil en enfile un, puis deux dans la vulve de la mule ; il les fait aller et venir dans le conduit de lanimal qui sélargit tellement quil arrive à y faire pénétrer sa main entière ! Il pousse encore, et je vois son bras disparaître jusquau coude dans le vagin de Babette A plusieurs reprises, son avant bras ressort complètement puis se réintroduit dans les entrailles de la mule qui, loin de protester contre ces intromissions contre nature, fait bouger son arrière-train pour accompagner les mouvements de mon oncle.

Ah, je vois que tu es prête, ma belle

Stupéfait, je vois mon oncle dessangler sa salopette qui tombe à ses pieds ; dessous, il ne porte pas de slip. Une grosse verge noueuse et violacée, bien plus longue et plus épaisse que la mienne, surplombée dun gland énorme, pointe à lhorizontale. Robert se rapproche de larrière-train de la mule et, après avoir fait glisser son gland monstrueux entre les lèvres saillantes de Babette pour bien lhumidifier, lui enfile son mandrin aussi profondément quil peut en poussant un soupir de satisfaction.

Boudiou, comme ça fait du bien, ma belle. Han ! Toi, tu es bien meilleure que ma vieille Germaine Han ! Elle est sèche comme du carton ! Chaque fois quelle me laisse lui grimper dessus et ce nest pas souvent, heureusement cest comme si je frottais ma bite sur du papier de verre Han ! Putain, elle a le vagin recouvert de toile émeri ; ce nest pas comme toi, ma douce Babette, qui mouille comme une salope Han !

Ponctuant ses pénétrations dahanements bruyants, mon oncle se vide les couilles dans la douce gaine vaginale de la mule, puis il sen retire, sessuyant la bite sur sa salopette avant de se réajuster. Il quitte rapidement lécurie après avoir fait une bise sur le museau de Babette. Mon regard ne peut se détacher de la vulve animale palpitante qui souvre et se referme en laissant séchapper de longs filaments blanchâtres et gluants.

Je suis stupéfait Je navais jamais entendu dire que les humains pouvaient baiser des animaux ! Très excité par la scène à laquelle je viens dassister involontairement, jai une idée qui me semble géniale : je pourrais connaître le plaisir denfiler ma pine dans la douceur dun vagin sans avoir à affronter le problème de madresser à une fille ; il me suffirait de faire comme mon oncle !

Ces pensées impures ne me quittent pas jusquau lendemain ; pendant la nuit (au cours de laquelle je dois me soulager plusieurs fois dans ma main) je décide de mettre en uvre mon idée.

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Ce jour-là, par chance, mon oncle et ma tante doivent se rendre à St Flour pour leurs achats hebdomadaires au supermarché. Je serai donc seul à la ferme, seul avec Martine.

Tu viens te baigner à létang avec moi ?

Je ne pense pas, Martine ; jai mal à la tête. Certainement la fatigue du voyage et le changement de climat. Je ty accompagnerai demain si ça va mieux ; cest promis.

Ma cousine enfourche sa bicyclette et disparaît au détour du chemin. Seul ! Je suis seul ! Mon cur bat la chamade à lidée de pouvoir réaliser toutes les turpitudes que mon imagination enfiévrée avait imaginées au cours de la nuit

Jattends quelques minutes pour être sûr que Martine ne rebroussera pas chemin, et je me dirige vers lécurie. Babette est là, semblant mattendre. Je lui caresse lencolure puis, comme je lavais vu faire par mon oncle, je maventure derrière la mule qui semble savoir ce qui lattend car elle soulève immédiatement sa queue, me dévoilant le mystère des organes féminins que, jusquà présent, je navais fait quimaginer. Devant mes yeux, les deux lèvres noires et enflées palpitent, me laissant entrevoir une muqueuse rose qui commence déjà à suinter. Ma bite durcit comme du bois lorsque jinsère un doigt inquisiteur dans louverture nacrée. A lintérieur, cest chaud et tout mouillé, et ça glisse tellement que je nai aucun mal à y enfiler ma main entière. Je sens les contractions de la vulve qui se resserre autour de mon poignet ; comme cela doit être agréable déprouver ces constrictions autour de ma pine Je sens quelle laisse déjà sécouler un peu de fluide dans mon slip ! Mais je comprends avec une immense déception quil ne me sera pas possible de lenfiler dans ce vagin accueillant : en effet, je nai pas la taille de mon oncle, et la croupe de la mule est trop haute pour ma stature.

Ouaf ! Ouaf !

Surpris, je me retourne ; je navais pas entendu arriver Kitty, la femelle husky, qui mobserve de ses yeux que lon dirait maquillés. Sa gueule est ouverte, laissant apparaître une longue langue rose qui pend sur le côté. Je suis tellement excité et frustré de navoir pu réaliser mes fantasmes avec Babette que je suis prêt à tout pour assouvir mon désir de jouissance. « Toi, tu feras laffaire », me dis-je in petto. Jappelle la chienne, qui se précipite sur moi, dressée sur ses pattes arrière ; son museau se presse contre mon short à hauteur de lentrejambe, et elle fouille à cet endroit précis en me léchant, comme si elle voulait débusquer ma bite dont il doit émaner des senteurs qui lexcitent Rapidement, je sors mon membre douloureux à force de bander, et le présente à la chienne.

Tiens, Kitty Tiens, cest pour toi !

Elle semble comprendre, car elle passe sa langue le long de ma verge, me procurant des caresses dune douceur inimaginable. Je suis tellement excité que mon membre tressaille sous les coups de langue de lanimal ; pour faciliter lopération, je prends ma bite en main pour éviter les soubresauts dont elle est lobjet, et pour présenter plus facilement les zones sensibles que je désire faire lécher. Je me décalotte afin que la douce langue atteigne mon gland tuméfié. Cest extraordinairement délicieux Je ne suis pas loin de lui décharger sur la langue lorsque je me remémore la moiteur du vagin de la mule. Kitty est une femelle ; donc elle a un vagin, elle aussi ! Comme elle est plus petite que Babette, je naurai aucun mal à atteindre sa croupe. Et puis, vu sa taille, son vagin sera plus étroit que celui de la mule, et ma queue nen sera que plus enserrée !

Tout en la laissant me lécher la bite, javenture un doigt sous sa queue en panache ; jatteins un renflement qui me signale que je touche au but. Je parcours cette proéminence, à la recherche dune ouverture que je narrive pas à découvrir. Contrairement à la vulve de la mule, celle de la chienne est sèche et serrée. Ny renonçant pas, jenduis mon doigt de salive et je repars à lassaut du sexe canin ; une fois lubrifié, celui-ci sécarte sous une légère poussée. Le bout de mon doigt est à lentrée de la vulve de Kitty ; je fais de doux va-et-vient pour le faire pénétrer plus profondément à chaque poussée. La chienne arrête de me lécher et se retourne vers moi en grognant. Je suis inquiet Va-t-elle me mordre ? Non : elle fléchit son échine pour venir se donner quelques coups de langue sur la vulve, puis elle attend en haletant. Je reprends mes pénétrations digitales ; à présent, mon doigt est complètement à lintérieur du vagin de la chienne. Je le fais aller doucement dans létroit conduit ; plus jen caresse lintérieur, plus il shumidifie et se détend autour de mon doigt, si bien que je peux en introduire un deuxième. Je sens que Kitty est prête à recevoir ma pine.

La maintenant fermement dune main, je dirige mon gland vers louverture de sa vulve ; layant trouvée, je le fais glisser à plusieurs reprises contre létroite entrée et, me positionnant bien dans laxe, jappuie de plus en plus fort. Je sens ses lèvres sécarter pour laisser mon gland pénétrer et, tout à coup, il franchit létroite ouverture qui se resserre derrière lui. Jattends quelques instants pour laisser Kitty shabituer à cette intrusion, puis je pousse doucement jusquà ce que ma bite se trouve entièrement dans le ventre de la chienne, qui se met à gémir. Ça y est : je ne suis plus puceau ! Ma bite est entourée de chaudes et douces parois qui la pressent de toute part ; des ondes de plaisir me parcourent Je commence à aller et venir doucement dans ce délicat fourreau qui me procure des sensations bien au-delà de tout ce que javais éprouvé comme jouissance auparavant.

Mon plaisir est si intense que je ne comprends pas ce qui marrive lorsquune douce caresse vient sajouter à celles que je ressens déjà : maintenant, ce sont mes couilles qui sont lobjet de quelque chose de délicieux. Mais comment Kitty fait-elle pour les atteindre pendant que je lenfile ? Pourtant, cest bien une langue qui les lèche ! Je tourne la tête pour comprendre ce qui se passe Oh, stupeur ! Cest Wolf, le beauceron, qui lape à grands coups de langue la vulve écartelée de Kitty et, du coup, la base de ma verge qui la pénètre ! Mais Wolf se met à grogner, sans doute furieux de me voir maccoupler avec sa femelle. Il montre les dents, et je crains un instant quil mémascule dans un accès de colère. Pourtant, ce nest pas ce quil fait : je sens ses pattes menserrer avec vigueur la taille, tandis quune pointe dure tente de rejoindre ma propre queue dans le vagin de la femelle. Mais la place est déjà occupée, et je ne tiens pas à la lui laisser avant davoir joui dans le vagin de Kitty. Le beauceron persiste, donnant des coups de reins à tort et à travers, cherchant à pénétrer lorifice quil convoite.

Soudain, je ressens une douleur fulgurante, une brûlure insoutenable ! Ce nest pas le vagin de Kitty quil a pénétré, mais mon anus ! Je suis en train de me faire enculer par un chien ! Je tente de me dégager, mais le mâle me maintient fermement entre ses pattes, et son bassin sactive à une vitesse inimaginable, ramonant mes boyaux de sa pine infatigable qui me transperce impitoyablement Je suis pris en sandwich entre deux chiens, et chaque poussée de Wolf dans mon cul me propulse profondément dans le vagin de la chienne.

Au bout dun moment, la brûlure qui enflammait mes entrailles sapaise. Bientôt, la douleur laisse progressivement place au plaisir, bien que la grosse bite du chien soit profondément plantée au fond de mon intestin ; mais je finis par mhabituer à cette présence incongrue : jéprouve même un plaisir de plus en plus puissant, qui ne va pas tarder à menvoyer au septième ciel, si ça continue encore un peu

Mais la porte de lécurie souvre à la volée.

Ah, je le savais bien ! Jen étais sure ! Quel dégueulasse

Ma cousine Martine est là, plantée devant le trio contre nature que je forme avec les deux chiens, incapable de me désaccoupler. Je continue de subir les assauts sodomites de Wolf tout en enfilant profondément ma verge dans le vagin de Kitty. Apparemment fâchée, mais curieuse tout de même, Martine tourne autour de létrange trio en cherchant à comprendre les emboitements successifs. Elle semble même fortement intéressée par cet assemblage hétéroclite Du coin de lil, je laperçois soulever sa robe jusquà la taille et glisser une main dans sa culotte. Les mouvements quelle effectue ne laissent aucun doute : la gamine est en train de se masturber

Martine, je sais ce que tu fais ; si tu ne veux pas que je le répète à tes parents, viens faire ça plus près, là, juste devant moi.

Craignant que je mette ma menace à exécution, ma cousine se place devant Kitty ; je vois sa main bouger dans sa culotte : elle continue de se branler la chatte en profitant du spectacle que je lui offre.

Tu es un immonde salaud Est-ce que tu veux voir ma chatte pendant que je me branle ?

Sans attendre ma réponse, elle fait glisser sa culotte de coton blanc le long de ses jambes et me la tend.

Regarde comme elle est mouillée ; elle est pleine de mon jus de cramouille. Je vais te la mettre dans la bouche et tu vas la sucer pendant que je mastique la fente !

Martine me la fourre dans la bouche et revient devant moi, puis elle place un doigt le long de sa fente et commence à le faire aller et venir, provoquant des clapotis humides lorsque ses lèvres intimes sont agitées par ses caresses.

Tiens, regarde bien ; tu voulais voir une chatte ? Eh bien, regarde comment cest fait. Là, en haut, cette petite bosse, cest mon clitoris ; il me donne beaucoup de plaisir lorsque je le frotte comme ça Jadore me branler le bouton ! Et là, tu vois ces deux trucs qui dépassent de ma chatte et qui se rejoignent en haut : eh bien ce sont mes petites lèvres, qui sont très sensibles, elles aussi. Et regarde bien : quand je les écarte comme ça, tu peux voir lintérieur de ma chatte. Et si je les écarte encore plus, là, tout en bas, cest lentrée de mon vagin.

Avec sa culotte dans la bouche, je ne pouvais rien répondre ; je me contentais davaler les délicieux sucs intimes dont son sous-vêtement était imprégné. Oh, comme cétait jouissif de voir cette gamine délurée me dévoiler avec perversion ses trésors alors que je fourrais le vagin dune chienne et quune grosse queue de chien me défonçait le cul

Et puis, je sais très bien ce que tu faisais, hier, en me regardant : tu te branlais ! Je sais ce que cest, branler un garçon ; je le fais souvent aux fils des voisins Oui, à tous les trois : je sors leurs bites, et je les branle lun après lautre jusquà ce quils jutent entre mes doigts. Oui, jaime les bites, et jadore les branler ; mais celle que je préfère, cest celle dHugo, le cheval, ce gros machin qui lui pend sous le ventre. Quand il jute, jai intérêt à ne pas rester devant, sinon jen serais recouverte ! Dailleurs, cest pour cette raison quil bande dès quil me voit arriver, comme tu as pu ten apercevoir : il sait que je viens pour branler son énorme pieu !

Je suis sidéré par les révélations quelle vient de me faire Quoi, ma mignonne cousine, déjà si perverse à son âge ? Alors, quest ce que ce sera lorsquelle sera adulte ! Mais Martine na pas fini de me surprendre : venant se placer juste devant Kitty, elle écarte les cuisses et ouvre largement sa chatte devant le museau de la chienne qui se met à la lécher avec ardeur, comme si elle avait lhabitude de le faire. La longue langue du husky parcourt délicatement les muqueuses de ma cousine, simmisçant fréquemment à lorée de son vagin, tentant même den forcer lentrée

On va voir si tu lèches mieux quelle.

Enjambant Kitty, Martine se rapproche de moi jusquà ce que sa chatte soit contre mon visage.

Ah oui ; tu ne pourras rien faire avec ça dans la bouche.

Elle retire mon savoureux bâillon et se le place sur le visage, lentrejambe souillé juste à la hauteur de sa bouche. Je vois quelle le suce, avalant sa propre mouille. Ma vicieuse cousine attire alors ma tête contre sa chatte gluante de cyprine mêlée à la bave de la chienne ; mais je suis trop excité pour faire le difficile, et cest avec délectation que je plonge ma langue dans cette fente savoureuse. Jaspire dans ma bouche ses petites lèvres gonflées par lexcitation que provoque la lubricité de la situation, tout en lui tétant le clitoris ; la gamine délurée semble apprécier mes initiatives. Je tente alors de glisser un doigt dans son petit vagin moite, mais il est vite arrêté par une résistance.

Non pas ça, dit-elle en haletant ; je suis encore pucelle, et je veux que ce soit ta queue qui soit la première à me pénétrer.

Motivé par la demande implicite quelle vient de me faire, jinterromps ma pénétration, me contentant de lui caresser lentrée de son petit vagin encore vierge, mais je continue à lui bouffer la chatte jusquà ce quune formidable vague de jouissance memporte, sous les coups de boutoir quinflige à mon cul la grosse pine de Wolf et le délicieux frottement du vagin soyeux de Kitty sur mon gland.

Maintenant que je connais les goûts pervers de Martine, je ne me ferai plus jamais prier pour venir en vacances à la campagne !

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