En rentrant chez moi ce vendredi soir, je pensais passer un week-end tranquille avec ma fille. En entendant une conversation masculine dans mon salon, je compris quil nen serait rien. Excitée, je me déshabillais entièrement, ne gardant que mon soutien-gorge, ma culotte blanche et mes chaussures à talons. Cela faisait un mois que Bruno, un jeune de 20 ans en classe avec ma fille, sous prétexte dun devoir de maths, était entré chez moi, et en moi. Divorcée depuis 2 ans je navais eu ni aventure ni relation sexuelle, mais depuis la venue de BrunoJentrais à quatre pattes dans le salon éduquée par mon jeune amant où je découvris Bruno et Vincent, un de ses amis, assis sur le divan. Face à eux, dans un fauteuil se tenait Richard, un autre adolescent à lhygiène assez douteuse. Tous les trois tenaient une canette de bière à la main. Sans mattarder, je me dirigeais vers Bruno. Je dégrafais son pantalon et, comme il ne portait jamais de slip, trouvais directement son sexe encore mou. Sans un mot, je pris ses couilles dans ma bouche, docilement, les mains dans le dos. Sucer sa longue queue me faisait toujours mouiller comme une dingue, mais je ny aurais droit quaprès cette entrée en matière.
Du coin de lil, je vis que Vincent était surpris tandis que Richard sécriait :
« Et bien dis donc !
— Et oui, expliqua Bruno, je lui ai appris à dire bonjour ainsi. Elle na pas le droit de parler avant mon accord.
— Jespère quelle me dira bonjour aussi ? sinquiéta Richard
— Pas de problème. Allez léche bien. A propos, ne cherche pas ta fille, elle voulait aller visiter les caves de la cité avec Max ce week-end. Elle est encore plus folle de sexe que toi..Prépare-toi, Vincnt, je te lenvoie. »
Vincent se leva pour enlever son pantalon et son slip puis se rassit.
« Va saluer mon pote, me dit Bruno.
Jobéis et trouvais un sexe un peu tendu sous le nez. Je glissais ma langue vers les couilles non rasées.
« Pendant que ta fille samuse, on a décidé avec mes potes de te trouver une occupation. Comme les parents de Richard lui prêtent un appart. à Courtrai, tu vas participer à un gang-bang. Tu vas te faire ramoner la chatoune pendant 4 heures par tout ce qui se présente. Des jeunes, des vieux, des blancs, des noirs, des beurs. Et pour que tu nen profites pas pour reluquer leur queue, on te mettra un bandeau sur les yeux. Ni vu ni connu. Si ça tombe, tu te feras sauter par un collègue de travail ou par un voisin.
— Tu verras que lappart est grand car tu vas te faire ramoner dans tous les coins.
— Et pour attirer les clients, on passera une annonce sur internet. On est donc venu pour une séance de photos.
— Il faudra en faire de belles, car avec une vieille fanée comme toi, on aura du mal à trouver des volontaires », plaisanta Bruno.
Sous linsulte, je rougis et moffensais mais ne protestais pas. Bien quâgée de 42 ans, ma petite taille ,mes seins et mes jambes mapportaient encore des commentaires flatteurs de la part de mes collègues de travail masculins.
« A mon tour les gars, se lamenta Richard en se levant et en enlevant son jean un peu crasseux. Mes bourses sont pleines depuis 15 jours.
— O.K. dit Bruno en mattrapant par la nuque. Vincent , commence les photos. Toi, tu vas sucer mon pote jusquau bout mais tu navaleras pas et tu garderas tout dans ta bouche pour nous le montrer ensuite et faire une jolie photo.
— Mais vous nallez pas montrer mon visage ainsi sur internet ? maffolais-je. Tout le monde va me reconnaître.
— Mais non , intervient Vincent en sortant un appareil photo numérique. On va le flouter. »
Le regard quil lança à Bruno me fit douter de cette promesse, mais tenue par celui-ci, je subis lintroduction du sexe de Richard dans la bouche. A lodeur quil dégageait, il navait pas du être lavé depuis lui aussi 15 jours. Mattrapant la tête à deux mains, Bruno mimposa son rythme sur le sexe court et gros de son ami devant lobjectif de Vincent. Pour ma chance, la situation ou le manque firent que la fellation ne dura pas longtemps. Surprise, je faillis avaler le sperme jaillissant.
« Et bien mon salaud, tu étais vraiment en manque, remarqua Bruno quand la bouche ouverte je dus devant lobjectif montrer le foutre que ladolescent y avait déposé.
– Avale, cest plein de vitamine pour les suceuses de nud.
— Tu as fait voir que tu as une bonne bouche, maintenant fais voir ce que lon peut te fourrer dans la chatte »
Cest sur la table basse du salon, toute nue désormais et sur le dos quils mobligèrent à écarter mes lèvres intimes, à me doigter. Puis Bruno me mit dans la main sa canette de bière vide.
« Tu mas lair en manque. Enfonce-toi ça dans la chatte, tu croiras que cest un mec de 120 kilos qui te ramone. »
Et sous leurs quolibets, je fis coulisser dans mon sexe le monstre de verre en fermant les yeux. Et ma chatte commença à ruisseler.
« Tu nas pas honte de te branler ainsi devant nous ? se moqua Bruno
– On la rase pour loccasion ? demanda Richard.
— Jaime mieux lui garder son petit ticket de métro , répondit Bruno. Jadore comme elle couine quand on tire sus ses poils.
Il sempressa de tirer sur la toison blonde et courte de mon sexe me faisant pousser des cris de douleur et taper des mains sur la table tandis que ses deux comparses rigolaient aux éclats. Richard alla fouiller dans ses affaires et revient en brandissant un plug avec une base adhésive quil colla à lextrémité de la table basse.
« Regardez ce que jai trouvé au sex-shop.
— Cest vrai que tu y vas une fois par semaine.
— Maintenant tu vas tasseoir sur le cadeau de mon pote et tu vas monter et descendre tant quon ne te dit pas darrêter. Et ne te trompe pas de trou. Cest dans ton cul quil doit aller.
— Mais il est trop gros, protestais-je.
— Tu peux le lécher pour le mouiller un peu, proposa Vincent. Tu vois quon est des gentils garçons.
Je me positionnais à 4 pattes face au plug que je pris en bouche en salivant le plus possible, devant Vincent et lappareil photographique. Richard se mit debout à coté de moi et se mit à tapoter mes seins du bout de sa chaussure.
« Elles barloquent bien ses mamelles.
— Je vais lui faire grossir les tétons, puis les percer, dit Bruno. Jy mettrais alors des clochettes pour quelles sonnent quand on la baise en levrette. Allez, encule-toi en mettant tes mains sur la tête. Et souris en passant ta langue sur tes lèvres.. Oui ! Cest bien, ma chérie. »
Bruno membrassa, sa langue fouillant ma bouche profondément et doucement. Il avait une technique à vous faire chavirer. Et quand sa main vient caresser mon clitoris, je me laissais aller en gémissant.
Les 3 garçons sassirent en face de moi, appareil photo et nouvelles canettes à la main. Bruno scanda alors la cadence avec des « Montez Descendez ». Et en sadique confirmé,
il sut alterner les moments où le plug sortait totalement, mobligeant à me ré-enculer avec les repos de quelques secondes durant les descentes et que trahie par les muscles de mes mollets je descendais plus bas.
Quand ils pensèrent avoir assez de clichés, Vincent et Richard partirent, après mavoir sodomisée. Puis Bruno memmena dans ma chambre où il me baisa longuement. Et je dois avouer que, malgré la honte davoir été leur objet sexuel, jai joui 3 fois