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mes oncles, mon père… – Chapitre 4




Ma douce Léa elle dormait paisiblement sur le canapé quand je suis rentrée toute nue, couverte d’un plaid, elle semblait exténuée. La table était mise. Une jolie table dressée pour nous deux, les verres en cristal et les jolis couverts…et une rose dans un vase à mon attention..mon amour ! Je suis agenouillée auprès d’elle et je regarde ses traits si finselle m’ a manquée, ma princesse. Je caresse sa joue et elle s’éveille elle ouvre des yeux immenses en m’apercevant puis elle me saute dessus, on bascule en riant, elle m’embrasse passionnément, elle me serre avec un bonheur fou. Les minutes suivantes, elle me bouffe la chatte tout en me doigtant en profondeur. Je jouis et elle rit, contente d’elle. On se pose un peu, on boit du mousseux pour fêter mon retour d’Afrique. Je lui raconte comme j’ai fait la pute à blacks. Elle me dit à quel point elle n’ a pas été en reste. Des centaines de types l’ont baisée à la chaîne pendant trois jours non-stop. Rachid lui laissait faire des petites siestes. Elle m’avoue avoir adoré. On est heureuses. Elle me paraît toutefois fatiguée. Je me dis qu’il va falloir calmer le jeu. Sa chatte est encore bien rouge. Son trou du cul est plus ouvert qu’à l’habitude. Elle me raconte combien les mecs adoraient l’enculer à fond et gicler dans son cul à la suite, parfois jusqu’à vingt bites sans qu’elle ne sois autorisée à laisser couler le jus ensuite, on la laisser se vider sur le sol et elle devait tout laper tandis qu’on la remplissait à nouveau.

Oui, je pense qu’il lui faut un peu de calme. Un peu de douceur. Un peu de mon papa, de ma maman…et aussi son papa. Je lui en ai parlé un jour elle a rougi, elle a dit que non, jamais, que son père la tuerait si elle parlait juste de sexe avec lui. Alors lui proposer de prendre sa fille chérie ! Mais je sais qu’elle a aussi mouillé quand j’ai évoqué la chose en la doigtant. À la jouissance, elle a murmuré que oui, elle aimerait puis elle a eu honte ensuite.

Ce qu’elle ne sait pas, c’est que son papa, j’ai très envie de sucer sa bite.

On fait l’amour toute la nuit. Je ne me lasse pas de suçoter les lèvres de ma putain, d’aspirer sa mouille odorante. De son côté, elle renifle mon cul, comme si elle cherchait à sentir les odeurs des queues noires qui m’ont sévèrement écartelée des heures entières là-bas. Elle adore glisser sa langue habile dans mon petit trou pour de nourrir de ce jus si particulier c’est son péché-mignon, mon jus de cul. Je crois parfois qu’elle va demander à ce que je défèque dans sa bouche pas cette nuit. On se mange et on s’aime comme deux folles. Alors quand elle s’endort, je lui murmure à l’oreille la prochaine étape "je veux voir ton papa te pénétrer"…puis je feins de m’endormir. Je la laisse extasiée, décontenancée puis je comprends que ses doigts glissent vers sa chatte elle se doigte, elle souffle fort, elle jouit en silence. C’est gagné. On va tenter

On ne s’est vus qu’une fois avec ses parents. Officiellement, Léa et moi, on est juste amies. Sa mère est une sacrée pétasse qui ne supporterait pas de savoir que sa fille baise avec une autre fille. Alors tout le reste, vous imaginez ! Son père paraît bien plus cool pour ça, c’est dire ! Pourtant je ne l’imagine pas toucher sa fille autrement que par des bisous de tendresse. Un vrai bon papa. Maintenant, si sa fille est demandeuse…

Tu es partante pour sucer ton père ?

Elle manque de s’étouffer. Toute rouge, ma Léa. Je lui tapote le dos, désolée.

Mon père est un vrai bloc de glace ! Je ne vois pas comment

Mais toi…toi, tu en as envie ?

Je

Elle minaude ma petite pute-chérie ! J’adore ! Elle en a sucé des bites, mais celle de son père, ça serait le top du top ! Le but ultime, un peu comme moi avec maman Maman…mais oui ! Elle pourrait nous renseigner sur la façon d’amadouer ce vieux salaud !

On va demander conseil à maman !

Les yeux de Léa s’illuminent. Elle aime autant que moi bouffer la chatte de ma mère . Je sens que j’ai ferré alors je fais encore une promesse comme j’en ai le secret – pour que Léa bascule dans l’inceste :

Si on y parvient, je t’offre à maman pour une nuit. Elle te pissera dans la bouche, elle te fistera, petite pute, tout ce qu’elle voudra, elle te le fera

Léa explose de joie. Être l’esclave sexuelle de ma mère, un de ses plus ardents désirs je refusais pour l’instant par pure jalousie mais je me dis qu’elle peuvent bien se retrouver une fois de temps en temps entre belle-mère et belle-fille j’en profiterai pour aller me faire enculer par papa et mes oncles. Ça fait si longtemps

Maman nous accueille en talons aiguilles. Rien d’autre. Je glisse un doigt dans sa moule tout en l’embrassant sur la joue. Elle mouille bien. Je tend ensuite mon doigt tout humide à ma Léa qui le suce avec plaisir.

On prend un café en discutant de sa soirée passée. Elle a fait sa pute sur un parking routier. Remplie de foutre de minuit à deux heures du matin. Léa a les yeux brillent quand elle nous détaille les queues qui ont giclé dans ses trous. Maman adore Léa et elle lui prend la main tandis qu’on discute. Elle la plaque sur sa chatte ouverte et Léa la doigte alors timidement. Je ne tiens plus et je retire mon pantalon puis ma culotte et je me branle le clito en les matant. Maman fixe mon minou et elle se passe sa langue sur ses lèvres. Je n’en peux plus et je m’approche. Léa recule et elle me laisse poser mon intimité contre celle de ma merveilleuse maman. Nos lèvres intimes se collent, les frottements sont divins, ça glisse, ça coulisse tant on mouille…On ondule rapidement. Elle m’embrasse goulûment. Je devine Léa qui s’impatiente dans mon dos. Je murmure alors à l’oreille de maman notre projet. Maman s’extasie. Elle adore l’idée. Et quand je lui dis que pour la récompenser, Léa sera son esclave sexuelle toute une nuit, elle jubile.

Léa On va faire en sorte que ton père te baise comme une chienne mais en attendant, bouffe nous la chatte petite catin

Léa se jette sur nos minous bien ouverts désormais. Côte à côte, on reçoit les coups de langues de Léa. Je regarde maman qui adore se faire lécher ainsi. Elle me sourit puis elle se redresse sur moi. Elle m’enjambe et son visage au dessus du mien, elle m’embrasse tendrement. Elle ouvre la bouche, je l’imite et elle crache sa salive dans la mienne puis elle y engouffre à nouveau sa langue et elle crache encore sa salive exquise. Je devine Léa qui lui bouffe le cul tout en me doigtant.

J’aime tellement alors maman a un regard fier, presque arrogant. Elle se redresse davantage puis elle positionne son minou au dessus de Léa et elle urine sur son visage. Alors ma petite nana ouvre la bouche en grand et elle réceptionne sa pisse salée. Elle avale tout et quand maman a fini, elle léchouille sa moule toute mouillée comme une grosse dépravée qu’elle est. Maman jouit en criant. Elle traite ma Léa de pute adorable. Elle lui promet une nuit infernale, merveilleuse quand elle sera son esclave mais pour l’instant, il va falloir réfléchir à la façon dont son petit papa va tomber amoureux de sa fille chérie.

On va faire dans le simple. Et le simple est bien. Maman connaît un peu le père de Léa. Elle sait qu’il est un de ces homme qui aime le cul. Elle renifle bien ces mecs-là. Elle demande à Léa d’envoyer son père sur les quais ce soir. Normalement, cela ne pose pas de problème puisque sa mère sera au boulot, elle bosse de nuit dans une usine. Juste lui dire d’aller sur les quais à tel endroit et à telle heure. Maman se charge du reste. Pour l’instant. Ensuite, tout dépendra de Léa

Léa obéit sagement, elle rencontre son papa dans l’après-midi et elle lui demande de suivre cette étrange demande.

Son père a semblé surpris, mais il a accepté. Léa est revenue de chez ses parents très nerveuse. Le dispositif était enclenché elle ne pouvait plus reculer.

C’est maman qui nous a raconté la suite au téléphone à son retour des quais.

Elle se faisait déjà enculer et remplir de jus depuis une heure au moins quand elle a aperçu le père de Léa. Elle a fait semblant de ne pas le remarquer. Il est resté assez loin de la scène du moment, quand cinq hommes se relayaient dans les trous de ma salope de mère. Elle a eu peur qu’il ne s’en aille alors alors elle lui a fait signe de venir. Il est venu. Timidement. Il alors reconnu ma mère. "Mais vous êtes la maman de" . Maman a rigolé et elle lui a demandé de sortir sa queue. Il s’est exécuté. Elle lui a pompé la bite puis elle s’est empalée d’office dessus. Il a grogné de plaisir puis il lui a défoncé la chatte. Il n’ a pas été long à gicler en elle alors maman s’est bercé à son cou, elle l’a embrassé en lui mordillant l’oreille et elle lui a dit : "Je suis sûre que tu penses à ta fille quand tu baises" il s’est offusqué, paraît-il ce à quoi maman a rétorqué, salope : "Cela reste en nous ta fille est merveilleuse tu ne bandes pas en imaginant sa chatte bien ouverte ? "

Alors il a cédé. Il a avoué qu’il adorerait la voir toute nue

à la suite de ces révélations, Léa a fait cent fois le tour de la table du salon en se tenant la tête, estomaquée, outrée, grisée, choquée, tremblante d’effroi, d’envie "Ouille ouille ouille !"

je l’ai bloquée contre moi puis je lui ai murmuré à quel point elle allait adorer

Oui mais…c’est mon papa ! Il ne sait toujours pas que ça va se faire ! Il pense à moi, c’est tout !

Et c’est énorme ! c’était le doute à dissiper afin de ne pas se vautrer et que tu sois répudiée par ton père, ta famille ! Demain soir, on l’invite à l’apéro. TU l’invites ! Tout dépend de toi, maintenant, ma puce.

C’est horrible ! Je ne pourrais pas, jamais, non ! Je suis désolée mais non !

On s’est regardées, moi amoureuse et elle désespérée.

Le lendemain à huit heures, Léa s’invitait au téléphone chez son père pour l’apéro du soir. Elle lui demandait alors si ça le dérangeait que je vienne. La minute suivante, elle vomissait aux toilettes. La tentation est si grande la peur tout autant.

On arrive chez ses parents à 19 heures. La mère de Léa travaille encore de nuit. Elle nous foutra dnc la paix. d’ailleurs, je suis sûre que son père ne lui en a pas parlé, de notre venue. Comme pour éloigner davantage ces idées "immondes" de la vie sage et rangée qui est la leur habituellement

quand la porte s’ouvre, je sens Léa se crisper terriblement. Elle sourit pourtant en apercevant son père qui paraît tout autant tendu qu’elle. Moi, je souris, heureuse

Il embrasse tendrement sa fille et on se fait un bisou sur la joue. Il nous fait entrer directement au salon. L’apéritif est prêt. Le grand jeu va commencer. Léa tremble sans parvenir à se contrôler et il me faut des caresses appuyées dans son dos pour la calmer. On commence à discuter de banalités. Le papa nous sert à chacune un whisky. On a demandé du "fort" tout de suite. Surtout Léa qui se mordille les lèvres. Elle sait ce qu’elle doit faire dans quelques minutes. Cela lui paraît insupportable. Je pense à cet instant que tout va tomber à l’eau. Cela ne sera pas grave. Je ne veux pas lui mettre plus de pression, je l’aime trop pour cela et elle doit rester maîtresse de son destin.

Elle est magnifique dans sa toute petite jupe bleue. Son petit chemisier blanc lui donne un petit air d’ange. Je lui ai imposé ces vêtements. Pour des raisons simples qu’elle va comprendre ensuite. Si il y a une suite. Pas de culotte, bien sûr. Je me demande alors si elle mouille ou bien si c’est terre aride et sans vie.

On a fini nos verres et on remet ça. On se détend d’un coup. Tout va bien. Léa commence à desserrer les cuisses. J’avance un pion :

Maman m’a dit qu’elle vous a rencontré hier soir

Je crois le perdre dans la seconde. Il rougit puis il balbutie, perdu :

Ta…maman ? Oui ! Heu dans quelles circonstance, qu’elle a dit ?

Vous faisiez la queue, je crois la caisse était pleine, noire de monde et la fille peinaient à satisfaire tout le monde alors vous avez discuté…en attendant.

En attendant, oui, c’est ça !

Et vous avez parlé de Léa, aussi ?

La phrase-clé. Je crois alors que je vais les perdre tous les deux tant ils s’enfoncent dans les fauteuils. Je ris. Je ne peux plus reculer. On est restée loin l’une de l’autre. Comme des simples amies. Alors je me penche sur ma chérie. Elle me regarde, tétanisée et je l’embrasse à pleine bouche elle cède aussitôt, elle ouvre la bouche et on se roule un patin d’enfer quand je me rassois sagement, son papa est tout rouge il boit le reste de son verre et il s’en sert aussitôt un double. Léa me regarde elle sourit elle le fait : Elle défait un à un les boutons de son chemisier, de haut en bas. Elle ne le retire pas, elle laisse les mouvements dévoiler ses seins naturellement. Elle n’ a pas de soutien-gorge. Elle retire ses chaussures et elle pose ses pieds sur le bord de on fauteuil, face à on père. Elle tire sa jupe…elle écarte les cuisses…elle dévoile alors sa chatte luisante pour la première fois à son père

Alors j’interviens :

Tu veux que ton papa regarde tes adorables nénés, hein ? qu’il les touche ? Tu veux qu’il regarde ton petit minou ? Ça fait des années qu’il ne l’ a pas vu un papa, au bout de quelques années, il n’a plus le droit de regarder, c’est normal mais maintenant, tu veux lui montrer ta jolie chatte toute rasée de salope, hein ? Tu es une grande fille et ton papa, il a le droit si tu en as envie

Il se lève, en transe. Puis il rugit :

Sale petite pute de merde ! Tu n’es qu’une traînée ! Je vais je

alors il défait d’un coup son pantalon qu’il envoie valser sur le lustre, il baisse son caleçon et apparaît alors une bite poilue énorme et dressée il se jette sur sa fille, il lui serre les seins, il la doigte un instant puis sans hésiter, il lui prend la chatte d’un coup en bavant, ivre de plaisir !

Il la besogne comme un dingue et Léa le regarde dans les yeux, stupéfaite, émerveillée par ce papa-chéri qu’elle n’imaginait pas un jour sentir au fond d’elle elle lui caresse le visage comme pour bien s’assurer que c’est bien son père qui ramone sa chatte…Son père ! Elle, sa gamine, sa fillette il y a encore si peu de temps ! Il entre et il sort de son intimité comme si c’était une pute elle adore, elle commence par suffoquer de plaisir, ses yeux s’embuent, elle attire à lui ses lèvres et ils s’embrassent violemment son père la caresse partout, il tape au fond de son trou en râlant.

Je reste spectatrice. Époustouflée. Il la traite de pute. Elle répond alors qu’elle veut qu’il l’encule il rit. Il se retire et Léa se retourne, elle cambre merveilleusement son cul, il secoue la tête, éberlué par les courbes absolument somptueuses qui s’offrent à lui et ce sont les courbes de sa petite

Encule-moi sans douceur fais de moi ton vide-couilles, papa !

Il exulte. Il la perfore sans effort. Il ramone son conduit brûlant en soupirant. Il est au fond, il en ressort entièrement puis il la reprend. Il ressort et j’arrête son geste. Je me penche et je suce sa queue merdeuse. Je crois qu’il va gicler dans ma bouche tant son plaisir est à son comble à cet instant je le dirige alors bien vite dans le trou béant de ma femme, sa fille et il l’encule alors sans modération. Il lui détruit le cul. Je me fous à poil et je me doigte. Je glisse ma chatte sous le visage de Léa qui lape mon jus qui s’écoule à torrent son père me regarde dans les yeux. Il a compris qui on est. Notre relation. Nos jeux de putes dépravées. Il se tend il hurle de bonheur, il remplit de sa sauce onctueuse le fondement de sa fille.

Je jouis et Léa aussi

Putain, je jouis du cul, je jouiiiiiiiis !

On met de longues minutes à se défaire l’un de l’autre. Le jus dégueule par terre quand son père sort d’elle dans un "plop" amusant.

On rit. On lui dit qu’on est ensemble depuis quelque temps. qu’on aime aussi la bite. Quand Léa lui dit qu’elle a été la pute de centaines d’hommes pendant près d’une semaine, il bande à nouveau alors elle se penche et elle nettoie le jus sur le sol avec la langue. Il rit, heureux.

Ma fille est la pire des salopes, merveilleux !

Il me regarde avec envie maintenant. j’écarte un peu les cuisses et sans me demander, comme si j’étais sa femme, il enfonce son dard dans mon minou. Il me ramone gentiment. Léa s’assoit sur mon ventre, le cul tendu vers lui. Elle m’embrasse et beau-papa alterne alors les entrées dans nos quatre trous offerts. Il n’hésite pas à gicler dans la chatte de sa fille qui jouit alors de cette sensation d’être fécondée par son papa

Il nous baise encore deux heures. Quand on le laisse, Léa lui promet de lui vider les couilles régulièrement. On rentre heureuses. Léa se blottit contre moi. On est plus amoureuses que jamais.

Tout a marché comme prévu. Je vais pouvoir l’offrir à maman bientôt.

On rentre, on prend une douche et on se couche, le cur léger. La vie est belle.

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