Note: Cette histoire peut être considérée comme une mise en situation
Nous étions en juillet 2011, je faisais mes études quand je rencontrais Claire, elle était dans la même classe que moi car nous faisions les mêmes études et voulions exercer le même travail. C’était une belle brune, taille parfaite pour son âge, fines jambes qu’elle mettait en valeur en portant des jeans slims. Nous avions quasiment les mêmes notes, tous les deux nous ne nous approchions pas dès le début de l’année, plutôt au fur et à mesure de plus en plus elle me demandait des solutions à des questions mais je ne me plaignais pas car je le faisais moi aussi. Claire était passionné d’automobile à mon plus grand étonnement, j’appris qu’elle venait d’une famille plutôt aisé, elle aimait le Bakara… Nous avions tellement de points communs.
Un jour elle m’interpella :
— On a une interrogation une maquette à faire pour aujourdhui? demanda-t-elle l’air apeurée.
— Oui répondis-je.
— Mince je l’ai oubliée chez moi soupira-telle.
— J’ai une voiture, si tu veux je peux aller te la chercher chez toi si tu veux proposai-je.
— Ah bon? Sétonna-telle. Si ça ne te dérange pas, j’aimerais bien.
— D’accord il y a quelqu’un chez toi pour m’ouvrir la porte?
— Non voici mes clefs, dit-elle.
Elle me donnait ses clefs que je mis dans ma poche, je sortis de l’immeuble me dirigeais vers la parking et je rentrais dans ma voiture. Je mis le contact, passa le point D ( j’ai une boite automatique) et je sortis du parking et me dirigeais vers sa maison…
Je me rangeais juste devant le portail de sa maison, sortit et verrouilla ma voiture. Elle avait une très jolie maison qu’elle partageait pour la dernière année avec ses parents car elle allait devait bien faire 30 kilomètres (et les parents de Claire voulait qu’elle se cherche un appartement pour ses études) pour aller chez elle mais heureusement je pouvais y aller en prenant tout mon temps car nous n’avions pas cours pendant 3 heures puisque nos professeurs faisait grève malgré le fait que nous étions dans un lycée privé… Je m’avançais devant la porte d’entrée ouvris la porte, monta à l’étage, poussa la porte de la chambre. C’était une pièce assez grande avec un lit, un beau bureau de verre avec un ordinateur qui ronronnait. Elle m’avait indiquée que la maquette en question se trouvait dans son armoire, dans un sachet. J’ouvris son armoire, sortit un sachet, l’ouvris et à mon grand étonnement il y avait deux jouets pour femme : un canard et un gode rose. Je refermais le sachet en pensant Claire le soir se donnait du plaisir… Oh la coquine… Je prenais le bon sachet cette fois et je vis la maquette, refermais l’armoire, sortit de sa chambre et de sa maison en prenant bien soin de refermer la porte à clefs, remontais dans ma voiture et prit la direction du lycée.
Je trouvais Claire au foyer, je lui tendis le sachet.
— Merci beaucoup dit-elle.
— De rien répondis-je.
Alors elle s’approcha de moi, glissa un bout de papier plié et m’embrassa sur la joue… Je rougis alors comme une tomate et je sentis ma bite se dresser donc j’allais vers les toilettes en me branlant en repensant à tout ça…
Le lendemain nous avions nos examens finaux que nous réussissions tous les deux haut la main. Je repris en le bout de papier que Claire mavait donné lorsque je lui avais apporté sa maquette. Il y avait marqué son numéro de téléphone dessus, je sortis mon portable et lenregistra en contact. Dans une semaine les vacances arrivaient Claire et moi nous nous parlions de plus en plus, je remarquai aussi que sa tenue se dénudait au fur et à mesure de la fin de la dernière année au lycée : Lundi elle avait un short avec des tongs qui laissaient voir ses jolis pieds, bien soignés et pas de changement pour le haut : juste un t shirt Elle me demanda si je faisais mes études à Paris, je lui répondis que oui et à mon grand étonnement elle me proposa de faire partager un appartement avec elle vu quon sentendait bien Jétais aux anges Je rentrais chez moi en demandant lautorisation à mes parents qui furent daccord Nous avions deux semaines de vacances. Je devais retrouver Claire à Paris, nous habitions à moins de 100 kilomètres mais javais gentiment proposé à Claire de venir la chercher et de la conduire à Paris pour voir lappartement que nous allions occuper tous les deux Je descendis de ma voiture pour ouvrir la portière et la saluer elle et ses parents Nous montions en voiture.
-Tu roules prudemment daccord ? Demanda-t-elle.
— Oui, assurai-je
Je mis le contact passa le levier de vitesse sur le point D et la voiture sébranla et avança.
— Comment vas tu, demandais-je.
— Fort bien, répondit-elle.
— Pourquoi veux-tu faire de la colocation ? Demandais-je.
— Je ne veux pas être seule chez moi répondit-elle, Et toi, demanda-telle.
— Pareil répondis-je.
Le trajet se passa bien je marrêtais pour faire une pause et prendre un café et je demandais si Claire voulait prendre le volant, celle ci était daccord
Nous arrivions vers midi à lappartement que nous allions partager, nous signions le bail et nous allâmes acheter des meubles le plus drôles était que nous ne pouvions que mettre 5 cartons dans ma voiture ce qui fit pouffer Claire :
— Alors le coffre est petit dans ta voiture allemande, pouffa-t-elle.
— Oui comme dans la tienne, répondis-je
Nous dûmes faire plusieurs allers retours entre le magasin
La semaine suivante nous faisions nos valises et nous partîmes de nos maisons respectives pour aller dans lappartement, nous avions chacun prit notre voiture
Linstallation était faite nous partîmes nous promener quand soudain un jeune sapprocha de Claire mais heureusement celle-ci lavait repérer et me demanda de faire semblant que jétais son amoureux. Jacceptais
— Hé madame dis linconnu
Sans prévenir Claire membrassa sur la bouche (sans mettre la langue)
Le soir dans notre appartement que je décorais Claire sexcusa pour ce qui sétait passé plus tôt dans la journée, je lui assurai que ce nétait pas grave.
Un jour je me masturbais en regardant un porno ou deux lesbiennes se doigtaient avec leurs pieds quand soudain Claire entra dans ma chambre :
— Où est-le
Alors elle vit que je me masturbais et ne fut pas surprise :
— Désolé, dis-je.
— Cest plutôt à moi de mexcuser, sourit-elle.
Alors elle sapprocha de lécran de mon ordinateur portable, et regarda lécran.
— Tu es fétichiste des pieds, demanda telle ?
— Euh Euh Oui, répondis-je, un peu gêné.
Elle se dirigea vers la salle de bain, pris le shampoing, ouvrit la porte de ma chambre, se retourna me fit un joli sourire et partit
Le lendemain je remarquais quelle se présenta pieds nus pour le petit déjeuner, alors que dhabitude elle avait des chaussettes, je jetai un regard furtif sur ses jolis pieds : soignés mais pas vernis. Nous partîmes vers la voiture elle mettait ses pantoufles.
— Tu pars en cours juste avec tes pantoufles ? Demandai-je.
— Non je changerais dans la bagnole, dit-elle, un sourire en coin.
Nous descendîmes au garage, jouvris le coffre de ma voiture avec la clé et tendis la main.
— Vos bagages mademoiselle ? Demandais-je, faisant mine dêtre bagagiste.
— Certainement, répondit Claire, en me tendant son sac.
Nous entrâmes dans la voiture, jattendais que Claire monte. Elle enleva ses pantoufles, je nen pouvais plus je regardais avec passion ses pieds, elle dut sen rendre compte car elle demanda :
— Tu aimes mes pieds ?
— Euh Enfin . Euh Ils sont très beaux oui, répondis-je gêné.
— Attend ce soir Me dit-elle, un sourire en coin.
La journée fut interminable, mais heureusement elle menvoya un MMS sur lequel je pouvais voir une bouteille de gel entre ses pieds nus
Je sortis de mon cour, je courrais dans le couloir, je descendis vite les escaliers, montai dans ma voiture et mit le contact. Je me surpris même à faire du 65 en ville
Je rentrais dans lappartement.
— Je suis rentré, annonçais-je
— Viens, dit Claire.
Je la découvrais pieds nus à côté de son lit, aperçu un tube de gel sur le rebord de la fenêtre.
— Allonge-toi, me dit-elle.
Je madossais sur le mur, le corps sur le lit. Claire se couchait sur le dos, cétait un lis deux places mais Claire loccupait seule. Elle enleva son jeans et son T-shirt, prit le lubrifiant.
— Je préfère sans, dis-je, en montrant le lubrifiant.
— Ok, dit-elle un sourire en coin.
Elle mit ses deux pieds sur mon jean et à mon grand étonnement réussi à ouvrir ma braguette.
— Comment tas fait, demandais-je, un peu surpris.
— Je suis très habille des mains, sa doit être pareil pour les pieds.
Elle menlevait aussi mon boxer, je mapprochai delle la retournai sur le dos et je lui léchais les pieds. Quand jarrêtais elle mit ses deux pieds et fit un mouvement de va et vient qui était trop bon.
— HAAAA cest booooonnnnn roucoulais-je.
Je jouis et demandais comment faire plaisir.
— Lèche-moi la chatte si tu veux, dit-elle, tout sourire
Je mavançai vers elle en léchant ses jolis pieds au passage, et je mapprochais de sa vulve en feu, titillai son clitoris et je la masturbai. Tout à coup elle jouit et je me pris tout sa mouille dans sa bouche et je lavalais
Si vous voulez une suite mettez un pouce vert.