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Les aventures sexuelles débridées de Patrick. – Chapitre 3




LES AVENTURES SEXUELLES DEBRIDEES DE PATRICK.

Murielle y passe. 3

— Ooooooh, espèce de salaud, qu’est ce que tu attends pour me baiser ? Vas-y bordel de merde !

Je tire sur ses bras et le manche rentre dans le trou écartant la fente qui épouse lentement la forme de mon pénis.

Elle ne peut que subir la progression lente mais ininterrompue de mon bélier qui ne s’arrète que quand j’arrive en butée tout au fond de son vagin.

— Il va falloir faire marche arrière, tu es dans un cul de sac mais l’impasse est si serrée pour un tel camion. Tu a une putain de bite, Ouaaaaaaaaah je suis pleine comme une outre, ouiiiiiiiii défonce- moooiii.!!! BAISE-MOI! BAISE-MOI, NON DE DIEU!

— Tes désirs sont des ordres !

N’écoutant plus ses plaintes, tel un marteau-piqueur je burine sa chatte à grands coups de bite croyant qu’elle allait demander grâce mais cette salope en redemande encore et encore

— Ouiiiii, mon étalon, qu’est-ce que tu me mets mais j’adore ça mon salaud! Mais qu’est ce que j’aime! HuummAaaahhhhh, putain de grosse bite qui va encore me faire jouir! Plus fort Plus fort Ooouuuiii !!!

Elle me ceinture de ses jambes pour s’empaler encore plus sur mon rostre, m’étranglant de ses bras autour de mon cou.

Je décide de varier les plaisirs et me relève, toujours avec Murielle empalée pour lui faire l’amour debout.

Fermement calé sur mes pieds, je m’empresse de glisser mes deux mains sous ses fesses afin de la maintenir, Murielle s’accrochant désespérément à moi pour ne pas tomber, s’empalant profondément sur ma verge dressée qui la perfore. – Oh mon Dieu, putain, tu me transperce avec ta bite de cheval, Patrick!

Solidement agrippée à moi, elle agite vivement ses hanches, tout en râlant de plaisir dans mon cou où elle a niché son visage. Oh oui !… C’est terrible, lance-t-elle. Je sens ton gros bout jusqu’au fond de mon ventre, tu perfores mon utérus, je suis complètement dilatée par ton monstrueux chibre!…

 Pour mieux la tenir, je crochète mes doigts dans ses fesses charnues. La position est très fatigante et je la cale contre la porte pour continuer à la faire aller et venir sur mon pénis bandé. Elle hurle, surprise de mes ressources.

Récit de Murielle.

Au fur et à mesure de ses coups de reins, je découvre toute la puissance d’une réelle jouissance lorsque l’énorme gland violacé de Patrick rentre une nouvelle fois dans mon vagin. J’ hurle à n’en plus finir, mon corps tremble, je vibre réellement.

 Patrick me décoche un sourire et continue à me faire l’amour de plus belle.

Le rythme s’accélère, je ne peux tenir, je crie de plus en plus, ses mains accrochent mes fesses, me forçant à accélérer, sa queue me pénètre complètement, je vais de jouissance en jouissance. Je n’avais jamais imaginé qu’une queue pouvait me faire tant jouir.

— Je jouis encore putain Je jouiiiiiisssssssss!

Récit de Patrick.

J’ai toutes les difficultés du monde à la tenir tellement son corps est pris de tremblements désordonnés.

Son corps se détend au bout de quelques secondes, sa respiration se calme, sa tête est posée sur mon épaule mais sa chatte est devenue si sensible que si je bouge à peine, elle reprend aussitôt vie et se contracte immédiatement autour de mon sexe.

— Tu es encore plus chaude que ta sur Murielle, mais je n’en ai pas encore fini avec toi, je vais encore te faire jouir. Je suis sûr que tu peux encore faire mieux!

Fatigué de cet effort physique intense, je reviens vers le lit et la repose toujours en elle.

Sans lui laisser une seconde de plus de récupération, je la force de tenir ses cuisses avec ses mains

Et reprend le pilonnage, elle gémit doucement un sourire béat sur les lèvres en m’avouant.

 – Mon Dieu, Patrick, ne vas pas si loin ou tu vas me déchirer avec ta poutre ! Ma chatte ne pourra plus jamais se passer d’un tel engin

Il ne me faut que quelques minutes avant qu’elle ne défaille à nouveau.

  – Oh ouii! Ouii! Ouiiiii!

 J’accélère encore le rythme essayant de maitriser cette furie.

  – OH OUIIIIIIIII! JE JOUIIIISSSSSSS! Putain, c’est pas une queue que t’as, c’est un piston de forge! AAARRRGGGHHH.

Et sans prévenir elle devient toute molle, je la regarde anxieux, elle a pété un fusible et est tombé dans les pommes

  Je suis inquiet mais elle reprend ses esprits en admettant faiblement,

— Putain, Emilie m’avait prévenu mais je ne l’avais pas crû ! Comment peux-tu baiser si longtemps ?! Oh bordel, Qu’est ce que tu m’as mis! Mais Tu n’as toujours pas jouis, Je ne te fais pas d’effets ?

— Si Mais je voulais déjà te donner du plaisir avant de penser au mien Et depuis ce matin, je me suis vidé plusieurs fois les couilles, ça aide! Mais ne t’inquiète-pas, maintenant je vais aussi penser à moi ! Allez, mets-toi à 4 pattes

On dirait qu’elle aime la levrette car il ne lui faut que quelques secondes pour se mettre en position, je rentre comme dans du beurre et la pistonne consciencieusement. On dirait qu’elle aime ça. Je lui promets :

— Je n’arrêterai que lorsque mon jus brûlant débordera de ta chatte !!!

— Ooooohhhhh. Patrick… Ooouuuiii je veux ton foutre, vide-toi en moi !…

Pardon Emilie mais c’est trop booonnn !!!

Mes couilles me font mal et ne vont plus tarder à se vider dans ma queue, ma main droite travaille son clito pour l’amener à une jouissance commune et immédiatement Murielle redémarre au quart-de-tour :

— Oh mon Dieu, je pars encore! Rejoins-moi, vide-toi dans ma chatte, donne moi ton sperme remplis ta belle-sur! Donne-moi ton jus jusqu’à la derière goutte OUIIIII! Tu me remplis Enfin je sens ta semence remplir ma chatte! Et je jouiiiisssss sur ta lance! OH PUTAIIIINNNNN ce que tu me mets!

Sa jouissance la fait se cabrer. Un long cri inhumain s’échappe de sa gorge pendant que je renchéris.

— Tu voulais mon foutre et bien tu vas l’avoir! Prends-ça et encore ça!

Je suis abouté au fond d’elle, par ses contractions de plaisir son sexe comprime et traie ma verge comme le pis d’une vache jusqu’à ce que j’explose en elle.

 J’envoie une énorme giclée dans son vagin noyant son utérus, puis une deuxième puis une troisième très abondante comme les pulsations d’un geyser puissant et incontrôlable. Sa chatte déborde d’une quantité incroyable de sperme.

 Mais avant que le flot ne se tarisse, je retire vivement mon pieu pour le présenter devant sa bouche. Mon sperme jaillissant en saccades répétitives, asperge copieusement tout son corps avant d’arriver à son visage, envoyant des giclées sans fin sur ses lèvres, son front, ses cheveux. Cela n’en finit plus

 Tout son visage est ruisselant de sperme et il en arrive encore et encore.

Quand mes couilles se sont enfin taries, elle s’extasie en soulignant :

— Oh c’est pas Dieu possible ! Je n’ai jamais eu un amant qui m’est autant baisée et c’est la première fois de ma vie que je jouis autant de fois et avec une telle force Et je n’en reviens pas de la dose de foutre que tu arrives encore à cracher après tes joutes précédentes Mais tu viens de quelle planète ? Et ta verge baisse à peine la tête après de tels exploits ! Tu n’es pas humain pour faire ça !!!

-Je fais ce que je peux mais ne crois-pas que j’en ai terminé avec toi, le « grand vantard » a encore des choses à te prouver

 Et je l’embroche d’un violent coup de reins faisant jaillir sous pression le sperme prisonnier de sa moule, m’immobilisant au plus profond de sa chatte avant à la ramoner à nouveau comme un forcené, communiant ensemble aux dieux de l’amour et du vice.

A suivre

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