Nous prîmes le périphérique et lorsque nous arrivâmes à la porte dOrléans, Fabrice était à deux doigts dexploser, il me le dit « arrêtes sil te plaît, si tu continus je vais jouir », je stoppais ma caresse à regret et je lui dis « si tu jouis tu vas salir ton pantalon, et Élisabeth ne sera pas contente, de plus, jai envie que tu te vides les couilles dans ma bouche et de sentir ton sperme glisser au fond de ma gorge » quelques minutes plus tard, il se garait sur le parking du premier dépôt, je tapotais son gland en lui disant « aller ranges là quelle se repose un peu » il eu du mal à la remettre dans son pantalon et à fermer sa braguette, quand il sortit de la voiture, on ne voyait que lénorme bosse qui déformait le devant de son pantalon, Fabrice me dit « ça se voit comme le nez au milieu de la figure, tout le monde va remarquer que je bande » je lui répondis « jaime bien moi, et de savoir que je vais lavaler entièrement tout à lheure me plaît encore plus, mais si tu veux pour que ça se voit moins, je peux te sucer ici, tout de suite », Fabrice roula des yeux effarés et dit « mais tu es fou, non pas ici, je préfère essayer de camoufler ça avec ma veste » et il enfila son veston en faisant en sorte quil cache son érection.

La visite du dépôt fut assez rapide, Fabrice était pressé et je reconnais que moi aussi, le patron nous fit visiter et nous présenta à son équipe terminant par sa femme qui était secrétaire, une jolie petite boulotte dont je vis le regard poser sur la bosse que personne navait vu, mais quelle avait immédiatement décelé, puis me regardant elle vit que javais vu et se mit à rougir, je lui fis mon plus beau sourire en lui disant « votre bureau est très bien agencé et décoré, il y a de belles choses à regarder », elle rougit encore plus en me répondit « merci, beaucoup, jaime les choses qui attirent le regard ».

Lorsque nous quittâmes le dépôt, je dis au patron que nous nous reverrions bientôt, il me répondit en grimaçant « mais avec plaisir », je ne compris pas cette réaction, et la rangeais dans un coin de ma mémoire ».

A peine dans la voiture et alors que Fabrice allait démarrer, je lui dis « tu noublies rien ? », il baissa la tête et ouvrant sa braguette sortit lobjet de ma convoitise que je pris immédiatement en main pour la caresser, décidemment, jadorais sa grosseur, mais aussi sa douceur, et cest en continuant de lexciter que nous prîmes lautoroute pour nous rendre au second dépôt qui se trouvait être à seulement quelques kilomètres de chez lui, avec plaisir je voyais se rapprocher le moment ou jallais retrouver Élisabeth, une seule question, son accueil serait-il aussi chaleureux que celui de son époux ? Nous reprîmes le périphérique puis lautoroute qui devait nous conduire au dépôt de Drancy, celui-ci-était en même temps un magasin de second choix, lorsque nous y arrivâmes, Fabrice était dans une forme sensationnelle et je tenais cette forme à pleine main quand nous rentrâmes sur le parking.

La visite fut très rapide, Fabrice était pressé de rentrer tout comme moi dailleurs et alors que je disais au patron que nous reverrions bientôt je remarquais quil faisait la moue tout comme lautre. Nous remontâmes en voiture pour rentrer chez Élisabeth et Fabrice.

Il était à peine 16h et Fabrice fit remarquer que nous arriverions chez lui plus tôt que prévu puisque nous en étions à ½ de route, il venait de dire ça alors que nous avions repris lautoroute et que javais à nouveau sa bite au creux de au creux de ma main. Alors quil terminait sa phrase, je vis un panneau indiquant un relais, je lui dis « arrêtes toi là jai envie de pisser, il me dit « ben ça ne peut pas attendre, on est presque arrivés » je serrais assez fort sa queue, ce qui lui arracha un gémissement et je lui dis « tu fais ce que je te dis et cest tout », quelques kilomètres plus loin il pris la bretelle daccès au relais, pas une seule voiture sur le parking, il est vrai que nous étions en milieu daprès-midi, je lui dis « allez on descend » il me regarda et me répondis « je vais tattendre là, je nai pas envie moi », je le regardais et lui répondis « et alors, tu vas maccompagner quand même » et alors quil prenais sa queue pour la ranger, je lui dis sèchement « non, sors comme ça » il me regarda puis ouvrant sa portière sortit de la voiture, avant quil ne ferme la portière, je lui dis « tu viens mouvrir bien sur »

Fabricel fit le tour de la voiture en passant par devant, sa queue droite comme un I, il ouvrit ma portière et comme il était juste à bonne hauteur, je passais un petit coup de langue sur son gland, il gémit alors que sa bite tressautait de plaisir, je sortis de la voiture et le prenant par la queue, lui dis « viens » nous fîmes une cinquantaine de mètres de cette manière pour atteindre le bloc des toilettes, nous rentrâmes dans celles des hommes et je rentrais dans un cabinet fermé plutôt que de me diriger vers un urinoir, là, je le lâchais, ouvrais ma braguette et sortait mon sexe bien dur et lui dis « pas facile de pisser dans cet état, allez fais moi plaisir, montres moi que tu sais toujours bien sucer » il me regarda et dit « je nai sucé que la tienne, quand nous sommes rentrés il y a deux ans, jai dit à Élisabeth quelle pouvait me demander nimporte quoi sauf de sucer une autre bite ou de me donner à un autre homme »

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