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Une envie incontrôlable – Chapitre 3




— Frannnnnnck ! Réveille-toi !

J’avais comme une impression de déjà entendu en me réveillant. Sauf que cette fois c’était ma mère, et non Sarah qui me réveillait.

— Alors vous avez tous les deux dormi ici après avoir passé la nuit à jouer à des jeux vidéo ? Vous êtes vraiment irresponsable !

Je déteste me faire réveiller par des réflexions. Mais je n’allais pas mal répondre, sinon mon séjour allait se compliquer. Donc il fallait que je trouve une excuse.

— Eh bien oui, mais on partageais simplement un loisir. Tu devrais te réjouir qu’on s’entende bien tous les deux, et qu’on vous laisse tranquille pendant vos repas de vieux.

— Repas de vieux ? Je suis encore assez jeune pour te mettre mon pieds au cul ! Va vite t’habiller, on part visiter un château aujourd’hui.

Voilà qui donnait le ton de la journée, et effaçait le début de sourire que j’avais. Visiter des monuments ne me passionne pas vraiment, et je me demandais si je ne pouvais pas trouver une excuse pour rester à la maison.

— Euh, tu connais mon engouement pour ce genre de sortie… Je ne peux pas y couper ?

— Bien sûr que non ! On est en famille, et tu dois apprendre que chacun a sa part de sacrifice.

Mes parents adoraient les visites de ce genre, je me demandais donc bien où était le sacrifice. Peut-être de me trimballer avec eux pour faire bonne impression auprès de mon oncle et de ma tante, et leur montrer que je suis un garçon poli, et fasciné par les visites des lieux du genre. En tout cas j’avais bien compris que je n’y couperai pas. Je me dirigeai vers la chambre, en protégeant mon derrière pour éviter un éventuel coup de pieds. Ma mère elle, redescendait pour le petit déjeuner. Je récupérai mes affaires dans la chambre, et plus précisément dans ma valise, que je n’avais pas encore déballé, et je partais vers la salle de bain. Une fois arrivé, en ouvrant la porte, j’ai presque eu un sursaut. Je ne m’étais pas demandé où étais Sarah à cause des discours de ma mère, et j’avais brusquement la réponse, puisqu’elle était dans la salle de bain, en lingerie, en train de se brosser les dents. Elle semblait moins surprise que moi.

— Oups ! Vraiment désolé !

Sarah marmonna quelque chose d’incompréhensible. Forcément, avec une brosse à dent et du dentifrice plein la bouche, ce n’était pas facile, mais ce n’était visiblement pas une incitation à partir. Je restais donc à la porte, de dos par politesse. Une fois sa bouche rincée, Sarah pouvait de nouveau parler.

— Si tu veux utiliser la salle de bain, tu peux. Il y a largement la place pour deux. Il faudra juste que tu attendes que je sorte si tu veux prendre une douche.

— Ok, très bien. Tu es sûre que ça ne te gêne pas ?

— Non, ne t’en fait pas.

Je n’étais moi-même pas très pudique, et le fait que ma cousine ne le soit pas non plus n’était pas plus mal, on ne risquait pas de se créer des histoires si ça se reproduisait au moins. J’entrais dans la salle de bain, et commençait à enlever mes vêtements. J’avais vraiment envie de prendre une douche pour me réveiller un peu mais aussi pour me relaxer. Sarah, qui finissait de se maquiller, regarda dans ma direction, et se mit à sourire.

— Toi non plus ça ne te gêne pas ?

— Non, je ne suis pas très pudique non plus, et puis ça n’a rien de bien différent de quand on est à la plage.

— C’est bien vrai. À part ça, impatient d’aller visiter un château ?

— Je pense que ça va être une très belle journée, répondis-je avec un sourire sarcastique

— Ne t’en fait pas, on rejouera ce soir, j’aimerais bien prendre ma revanche, fit-elle avec un clin dil

— Haha, je ne me laisserai pas faire si facilement

— On verra ça ! Je te laisse te doucher, et je descends prendre le petit déjeuner

J’avais l’impression qu’elle me regardait avec insistance. Mais peu importe, je me demandais davantage pourquoi se maquiller pour une sortie du genre. Je prenais ma douche, et une fois terminée, je m’habillais à mon tour, pour rejoindre les autres au petit déjeuner. Des tartines de confiture m’attendaient, visiblement aux fruits rouges une chose que j’aime beaucoup.

— Je t’ai fait des tartines, j’espère que tu aimes ça ! Me dit ma tante

— J’aime beaucoup ça. Merci !

Mes parents discutaient de la sortie d’aujourd’hui avec mon oncle, Sarah était elle plutôt silencieuse, et se contentait de manger. On sentait que ça ne lui faisait vraiment pas envie. J’avalais rapidement mes tartines pour qu’on puisse partir, mais après deux tartines, je ne me sentais pas très bien. Les autres discutait, mais Sarah l’avait remarqué.

— Ça va Franck ? Demanda-t-elle.

— Euh… Je ne me sens pas très bien…

— Ce sont les tartines qui t’ont fait ça ? Ou tu es malade ? Répondit-elle

J’avais une grosse envie de vomir, et je parti en courant vers les toilettes. Ma mère m’avait suivi, avec ma tante et Sarah.

— Qu’est-ce qui lui arrive ? Demanda Sarah.

— Tu as mis quelque chose de spécial dans les tartines ? Demanda ma mère à ma tante

— Euh… Non, c’est simplement du pain, du beurre d’arachide, et de la confiture de framboise

Je comprenais immédiatement d’où venait le problème, pendant que je recrachais mes tripes. J’étais allergique à l’arachide, qui me provoquait des vomissements. Ma mère était en colère de ne pas avoir vu que c’était du beurre d’arachide qu’utilisait ma tante. Il faut dire que ce n’est pas le beurre qu’on utilise le plus souvent. Ma tante avait aussi des goûts à vomir, c’était le cas de le dire. Sarah s’approcha de moi, une fois que j’avais tout recraché.

— Ça va aller ?

— Oui, mais je me sens démoli maintenant…

— Tu devrais peut-être rester ici et te reposer, suggéra ma tante

Ma mère regarda ma tante avec un regard qui disait "J’ai presque l’impression que c’était fait exprès". La simple idée que je puisse couper à ça ne lui plaisait pas, mais moi, j’appréciais la proposition.

— Je suppose que tu as raison… Il ne protestera pas trop à rester de toute façon… Dit ma mère.

— Sarah, tu restes avec lui ? S’il a une autre réaction allergique, je préfère que tu sois avec lui pour nous prévenir, ajouta ma tante.

C’était visiblement du pain béni pour elle aussi. J’avais bien compris que ça l’enchantait autant que moi d’aller voir un château, et il semblait qu’on allait pouvoir jouer ensemble plus rapidement que prévu.

— Ok, pas de problème ! Je m’occuperai bien de lui.

— Merci Sarah, vous avez de quoi manger pour ce midi dans le frigo. Nous, on va y aller.

Ma tante et ma mère s’éloignaient en discutant de mon allergie. Pour le coup, c’était un coup de chance. L’ignorance de ma tante me sauvait d’une journée ringarde au possible. Et elle sauvait également ma partenaire de jeu, ce qui était parfait car je me serais probablement bien ennuyé aussi sans Sarah.

Une fois les préparatifs terminés, mes parents, mon oncle et ma tante, nous laissaient seuls, Sarah et moi.

— Tu veux te reposer un peu ? J’imagine que ça ne doit pas être agréable de vomir de bon matin, me proposa Sarah

En réalité j’allais plutôt bien. Mais l’idée qu’on s’occupe un peu de moi ne me déplaisait pas, et j’avais pour le coup assez faim, vu que j’avais recraché le peu de choses que j’avais avalé.

— Je veux bien, mais j’aimerais aussi manger un peu, sans arachide par contre, disais-je avec un sourire.

— Monte et installe-toi sur le canapé alors. Je vais t’apporter à manger, et on pourra jouer quand tu seras reposé.

— Ça marche !

Et me voilà traité comme un prince. Si j’avais le droit à ce genre de traitement chaque fois que je vomissais, je mangerais de l’arachide tous les jours. Je montais donc à l’étage et m’installait sur le canapé, en m’allongeant comme un roi. Sarah me rejoint quelques minutes plus tard, viennoiseries et jus de fruits en main.

— Tiens, j’espère que ça suffira.

— C’est parfait !

Je restais allongé et mangeais tranquillement tout ça. Sarah avait beau avoir allumé la TV, je remarquais qu’elle me regardait avec insistance.

— Il y a un problème ? Demandais-je

— Non, aucun. Pourquoi ?

— Eh bien, tu me fixes comme s’il y avait un problème.

— Ah, c’est juste parce que j’aime bien qu’on soit tous les deux. Tu ne trouves pas qu’on a l’air d’un couple ?

Après avoir entendu ça, je me suis arrêté de manger un bref instant. Il faut dire qu’il est vrai qu’on partageait pas mal de choses tous les deux, mais de là à être un couple, il y avait un fossé.

— On a plutôt l’air de deux bons amis, un couple c’est un peu plus de choses que ce qu’on fait.

— Tu crois ?

— Oui, tout à fait.

— Oh… D’accord

Elle semblait un peu déçue. Cela ne me surprenait pas. Ses parents étant très strictes avec elle, le simple fait de partager des choses avec un garçon devait lui donner l’impression du couple. Et elle n’avait probablement jamais essuyé de refus, et je venais en quelque sorte de lui en donner un.

Toutefois, sa question avait changé mon regard sur elle. Je ne l’avais pas regardé de près jusqu’à présent puisque c’était ma cousine, mais il est vrai qu’on s’amusait bien tous les deux, et que je me rappelait maintenant de mon passage dans la salle de bain, et de hier soir, quand elle s’est accroupie et que j’ai pu voir son joli string blanc. Elle avait beau être ma cousine, elle était vraiment mignonne et attractive pour ses 17ans et son 1m70. Ses jolis et longs cheveux noirs, et ce beau corps avec un beau petit cul, avaient de quoi éveiller mon envie. D’autant qu’elle avait une chose que j’aimais énormément, une belle poitrine. Elle devait faire un bonnet C ou D, de quoi me faire fantasmer.

Puis, je repris mes esprits. Mais à quoi pensais-je donc ? Elle a visiblement peu d’expérience, et elle s’enflamme juste un peu pour un peu d’amitié et de moments ensembles. Ce n’est rien, et il faut que je lui montre que ce ne sont pas des choses qui signifie qu’on est un couple, même si cela la déçoit.

— Tu sais, être un couple, ça signifie aussi se faire des calins, se donner de la tendresse, de l’attention, c’est être encore plus rapproché que ce qu’on est.

— Et… Tu n’aimerais pas qu’on se rapproche un peu plus ?

Elle venait de jeter un pavé dans la marre. C’était direct, et elle me proposait littéralement une aventure amoureuse avec elle. Je savais déjà quelle allait être ma réponse…

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