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Mes chaudes soirées en déplacement – Chapitre 3




Je passe ma première journée au boulot, en déplacement, mais j’ai la tête ailleurs.

Je repense à ma folle soirée de la veille, à toutes ces belles queues qui m’ont rempli de bonheur. Je pense aussi à mon annonce et espère enfin une réponse.

Midi, je vais déjeuner seul, comme un sauvage. J’ai hâte de consulter ma messagerie, dans l’attente d’un message. J’en ai un, de ma transsexuelle, et je l’ouvre fébrilement, de peur qu’elle m’envoie me faire voir. Rien de cela, bien au contraire. Elle est intéressée par mon annonce et me donne son numéro de portable pour la contacter. Je le compose aussitôt, sans succès. Dix minutes plus tard mon téléphone sonne, c’est elle.

Elle me propose de se voir le soir même, mais j’ai donné rendez-vous à mon ami du sex-shop et ne veux pas le trahir. Je lui expose la situation, elle est compréhensive et me propose un plan pour le lendemain, en compagnie de mon pote s’il est intéressé.

Le soir même je repars dans ce lieu de débauche pour retrouver ma salope, sa grosse queue, sa bouche et son cul. On se fait une baise d’enfer et on recrute des partenaires pour plus de plaisir. On s’offre à eux sans limite, comme de vulgaires trainées soumises. Je passe des heures de jouissance intense, mon pote aussi, et comme la veille on termine à mon hôtel tous les deux pour s’aimer comme de grosses putes que l’on est.

Je passe ma deuxième journée de boulot, et j’attends avec impatience la soirée.

Adrien, mon pote du sex-shop, me rejoint à la chambre peu avant dix-huit heures. On s’embrasse fiévreusement, tout excité de ce qui nous attend, puis on descend sur le parking pour attendre notre invitée. Dix-huit heures pile, la voiture qu’elle m’a décrite se gare et on s’approche du véhicule. Une superbe femme en descend: grande, brune, cheveux longs, forte poitrine, la trentaine, vêtue d’un tailleur  à jupe courte, chemisier décolleté, bas et chaussures à talons hauts. On s’approche d’elle:

— Bonsoir, vous êtes Roxane?

— Oui, et toi tu es Eric?

— Oui. Quand je t’ai vue j’ai eu peur que ce ne soit pas toi. Tu es vraiment trop jolie.

— Merci, mais tu n’es pas mal, et ton copain non plus. On y va?

— Bien sûr, suis nous.

Deux minutes plus tard on est dans ma chambre.

On se déshabille rapidement avec Adrien, alors que Roxane a tout juste enlevé sa veste et commencé à dégrafé son chemisier. On bande et elle regarde nos sexes avec un petit sourire:

-Eh, vous m’avez l’air bien chaud. C’est moi qui vous met dans cet état?

— Oui, je te l’ai dit, tu es trop jolie. Déshabille toi ma chérie.

Elle continue à se dévêtir lentement, et on se branle en attendant qu’elle ait fini.

Il ne lui reste plus que sa petite culotte et je la supplie de me laisser la lui ôter. Je suis à genoux devant elle, et m’empare fébrilement de son dessous. J’ai du mal à croire que le sous vêtement d’une aussi belle femme puisse cacher un sexe d’homme, le sexe dont je raffole. Je descend lentement son dernier rempart et reste bouche bée d’admiration devant son intimité. Elle a une longue et grosse queue qui pendouille, aussi belle au repos que beaucoup de mâles ne l’ont pas en activité. Je saisis sa  bite molle à pleines mains, la caresse, l’embrasse, la suce. Elle grossit et durcit rapidement dans ma bouche et je m’efforce de la gober toute entière, en gorge profonde.

Adrien me regarde jalousement et s’accroupit pour profiter lui aussi de ce beau morceau si appétissant. Je le lui laisse, sachant que je l’aurais à nouveau, et je me relève pour avoir la bouche de notre femelle. Elle m’a dit au téléphone qu’elle embrassait, chose inespérée, et la pelle que l’on se roule me le confirme. Nos lèvres se soudent, nos langues s’enroulent, nos salives se mélangent. Adrien ne perd pas son temps et me suce moi aussi, alternant nos sexes dans sa bouche.

Roxane se baisse et vient partager ma queue avec lui. Il se redresse, m’embrasse, tandis qu’elle nous pompe tous les deux.

On alterne les positions, chacun suce les deux autres, chacun se fait sucer par les deux autres. On passe une bonne heure à se turlutter goulûment, puis on décide de terminer pour aller diner. C’est moi qui  suis debout, mes deux partenaires à mes pieds, et je me branle sauvagement pour éjaculer sur leurs visages et dans leurs bouches ouvertes. C’est ensuite au tour d’Adrien de nous asperger de sa semence, et enfin le tour de Roxane. Elle gicle en abondance, des jets puissants et fournis qui finissent de nous recouvrir la face.

On est tous les trois debout, on contemple nos gueules maculées de sperme, et on se lèche, on s’embrasse, on avale, jusqu’à la dernière trace, en guise d’apéritif.

Un petit tour à la salle de bain, on se nettoie, on se rhabille, on va bouffer.

On est tous les trois attablés, et Roxane remarque un client qui n’a cessé de la mâter tout le long du repas. Elle se lève pour aller au buffet de dessert, et le mec la rejoint pour engager la conversation. Elle lui a proposé de nous rejoindre à table pour le café, et nous voilà à quatre.

Il est beau, la cinquantaine, viril, aime les hommes, mais n’est qu’actif. Ca ne nous convient pas, on veut quelqu’un comme nous, actif et passif, et on ne fait pas affaire. Il nous quitte en nous laissant le numéro de sa chambre pour le cas où on changerait d’avis.

On quitte le restaurant et on regagne ma piaule pour une chaude soirée.

On s’est fait une séance pipe tout à l’heure, et on va maintenant passer à autre chose, on va s’enculer, de toutes nos forces. On est rapidement à poil, et on s’installe sur le lit, en triangle, pour un 69 à trois. On se bouffe et on se branle les queues pour les faire bien durcir, on se bouffe et on se fouille les culs pour bien les ouvrir.

On est prêt, et la séance sodomie va pouvoir commencer. Chacun s’offre au deux autres qui le prennent en même temps, un par la bouche, l’autre par le fion. J’ai apprécié les bites que j’ai reçues les deux jours précédents, mais aucune ne m’a donné autant de plaisir que celle de Roxane. Elle a un calibre énorme, qui semble me déchirer tellement elle me dilate. Je voudrais hurler de douleur, surtout de bonheur, mais la bite d’Adrien dans ma bouche m’en empêche, pour ne pas alerter le voisinage. Quand c’est à son tour de se faire mettre par notre femelle de rêve, c’est moi qui le prend en gorge profonde pour le faire taire.

Roxane semble apprécier aussi nos pénétrations, même si j’ai dans l’idée qu’elle doit être habituée à de plus gros calibres.

On s’enfile, on se montent comme des chiens, on se fait des brochettes à trois, durant deux heures de temps. On fatigue et on décide de conclure. Je jouis dans le cul d’Adrien, il jouit ensuite dans celui de Roxane, et elle termine en inondant mes reins. On se refait un 69 triangulaire pour se nettoyer la bite et le cul, dévorer du foutre autre que le notre.

Il est vingt-trois heures, et mes deux partenaires s’en vont. On ne reverra plus Roxane, elle est malheureusement prise les jours suivants, mais on prévoit de se revoir au sex-shop dès le lendemain avec Adrien.

J’ai passé un moment merveilleux, et je reprends doucement mes esprits en caressant ma bite molle, et en doigtant mon trou encore affamé. J’ai envie d’une queue, j’ai retenu le numéro de chambre du mec du restaurant, et je l’appelle:

— Bonsoir, on s’est rencontré tout à l’heure, j’étais à côté de toi pour le café. Ca te dit toujours de baiser?

— Ah, vous avez changé d’avis!

— Pour tout de dire, je suis tout seul, mes copains sont partis.

— Et il n’ont pas réussi à te satisfaire?

— Non, j’ai encore envie, je veux un mâle dominant.

— Salope, dès que je t’ai vu j’ai su que tu étais une cochonne. Tu aimes les grosses queues?

— Oui, et aussi les grosses couilles bien pleines.

— Tu me fais bander sale pute; tu viens où je te rejoins?

— Non, c’est toi qui viens, je suis toute nue, le cul ouvert, je t’attends.

— Ok, tu es à quelle chambre?

— La 317, la porte sera ouverte.

— Prépare toi, j’arrive.

Moins de cinq minutes, et il est là. Je suis à quatre pattes sur le lit, j’écarte mes fesses, je l’attends, je l’espère. Deux minutes de silence, et je reçois une énorme baffe sur le cul:

— Tourne toi salope, et suce moi.

J’obéis docilement, et me trouve face à lui. Il est à poil, son sexe dressé, un phallus magistral qui me fait saliver. Je le prends en bouche, et m’applique à le pomper de tout mon savoir faire. Il semble apprécier mes services, me traite de tous les noms, avant de m’annoncer qu’il va jouir. Je ma recule:

— Oh non, pas déjà, tu ne m’as même pas baisé.

— Ferme ta gueule, salope, et suce. Je vais éjaculer, mais ne t’inquiète pas, je ne vais pas débander. Je vais t’enculer ma cochonne, je vais te défoncer le cul.

Je n’ai pas le temps de répondre, qu’il m’a saisit par les cheveux et a enfoui son sceptre jusque dans ma gorge. Il me baise la gueule, se sert de ma bouche comme il se servirait d’un cul ou d’une choune, me lime profond, décharge abondamment.

Il se retire, m’ordonne de me retourner.

Je suis en place, offert, et je serre les dents pour ne pas crier lorsque son manche s’enfonce entre mes miches. Le salaud, il n’a pas menti, il ne débande pas, je crois même qu’il est de plus en plus raide. Il me ramone pendant une heure, sans interruption, infatigable, et se retire enfin pour finir dans ma bouche. J’avale son offrande pour la deuxième fois, et soupire, épuisé et ravi de cette finition. Je m’imagine que notre aventure est finie, mais il ne l’entend pas ainsi.

Il bande toujours, et veux encore mon cul. Je suis crevé, j’aimerais arrêter, au moins faire une pause, mais il n’en a rien à faire. Il me reprend de force, et je ne fais rien pour l’en empêcher. Il a compris à qui il avait à faire:

— Grosse pute, tu fais ta mijaurée, mais c’est çà que tu aimes, te faire monter comme une chienne. Dis moi que tu es une salope soumise, et que tu l’aimes ma bite dans ton cul.

— Oui Maître, je suis ta salope, ta pute, ton vide couilles, et c’est un honneur de recevoir ta queue.

— Salope, pute, chienne, vicieuse, cochonne, enculée, je vais t’en donner de la queue, putain de trainée.

Il me lime, me ramone, m’embroche, me défonce, comme jamais je ne l’ai été. Je subis ses assauts pendant une heure encore, et il termine en déchargeant au fonds de mon trou. Il se retire, me donne sa queue à nettoyer, et pendant que je le suce il me fouille le cul pour récupérer son foutre et me le faire bouffer. Il débande enfin et se rhabille pour partir.

Il est encore là le lendemain et me donne rendez-vous pour une nouvelle baise, à vingt heures, juste après le repas. J’essaie de refuser, disant que j’ai un rendez vous avec mon copain, et je me prends une tarte dans la gueule. Il ne veut rien savoir, veut que je sois là, et me propose d’inviter mon pote pour nous baiser tous les deux. Il est dominant, me fascine, et j’accepte.

Arrive le lendemain, je vais au sex-shop pour dix-heures, mon ami est là, et je lui fais part du changement de programme. Il accepte sans hésiter.

Dix-neuf heures, on va à la chambre de notre mâle. On part diner tous les trois, et on finit dans ma chambre. On va passer plus de trois heures de baise intense, trois heures durant lesquelles on va se faire un 69 avec Adrien, trois heures où notre amants va nous sodomiser à tour de rôle, trois heures où on va tous se vider les couilles à plusieurs reprises.

Presque minuit, mes partenaires me quittent.

On s’est échangé nos numéros dans l’espoir de se revoir.

 

              

 

  

 

 

 









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