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Elle était ma meilleure amie – Chapitre 1




On dit que l’amitié homme/femme n’existe pas. Que dans tous les cas, l’un ou l’autre a un minimum d’attirance pour son "ami". Ça serait dans les gènes apparement, comme si on était tous des animaux assoiffés de sexe et de plaisir. Moi je n’y croyais pas. Mais ça c’était avant un événement, point de départ d’un nouveau plaisir.

Moi c’est Théo. Âgé de 23 ans, plutôt pas mal sans me vanter, j’ai toujours la possibilité d’avoir des filles et d’être actif. Grand brun ténébreux avec une barbe de trois jours, un physique plutôt mince mais assez athlétique.

Lors des événements de cette histoire j’étais en couple avec une fille qui m’aimais et que j’aimais beaucoup mais je savais que ça n’était que pour un temps et que ça ne durerai pas. Ce que je ne savais pas c’est que c’était ma meilleure amie qui allait tout changer.

Elle, c’est Nina, 22 ans et rencontrée lors de nos années au lycée. Nous étions très différents au début et pas du tout sur la même longueur d’onde mais à force on est quasiment devenu inséparable. Les années ont passé et je la voyais toujours chaque semaine au moins. La seule connaissance qui me reste du lycée d’ailleurs. 

Je ne cache pas que Nina était très belle. Blonde à la poitrine généreuse et à la taille fine, elle ne m’avait jamais laissé indifférent. Pourtant jamais il n’aurait pu se passer quelque chose avec elle. C’était mon amie, ma confidente, presque ma sur. Elle était en couple depuis pas mal de temps avec un bon gars. Je ne l’appréciais pas beaucoup mais bon j’étais obligé de le fréquenter.

Nina partions le plus possible en voyage à deux en laissant nos moitiés sur les quais de la gare. Cette fois si c’était à Amsterdam, la cité ou le sexe et la drogue sont rois. Cette Ville si charmante et si festive nous correspondait. On se baladait dans le quartier rouge au milieu des prostitués. Nous n’avions aucun tabou sur aucuns sujets. C’est pour ça que nous parlions de sexe couramment en déambulant dans le musée du sexe. 

— "Tu ferrais ça toi ?", me demandait Nina en me montrant une plaquette qui expliquait une pratique sexuelle qui consistait à uriner sur son ou sa partenaire. 

— "Mmh, comme ça là non, pas vraiment et toi ?"

-"Je ne sais pas, peut être si j’étais fortement excitée."

Ses réponses ne me surprenait plus vraiment. Elle était très ouverte d’esprit et avouait souvent perdre le contrôle lorsqu’il s’agissait d’excitation.

Après le sexe, nous nous sommes rendus dans les coffees shoot pour goûter à l’autre vice de la Ville.

Nous avions prévu de sortir en boîte apres et donc de prendre un peu de drogue avant pour se sentir bien. Sauf que nous n’étions pas habitués à voir autant de variété de drogue par chez nous.  Nous ne sommes pas de grands consommateurs mais de temps en temps ça ne fait pas de mal. 

Nina décidait de prendre plusieurs drogue dont un sac de cachet "love" qui promet une excitation maximum.

-"Il faut bien mettre du piment dans son couple",  se justifiait-elle timidement.

Apres les "courses", nous avons trouvé une boite électro comme on aime. Après avoir pas mal bu dedans, Nina me disait qu’il était temps de prendre un remontant. Dans le noir et seulement éclairé des néons, je me suis empressé d’avaler le cachet que Nina me tendait. 

Tres vite, nous nous sommes aperçu qu’elle avait confondu les sacs que nous avions pris la pilule "love". Cela se ressentait à l’état de chaleur qui nous prenait soudain.

Impossible de faire marche arrière, nous nous sommes rapprochés pour danser beaucoup serrés que d’habitude. Je me collais contre ses fesses ce qui la faisait réagir. Elle prenait mes mains et les faisaient se balader sur ses hanches. Elle ondulait du bassin pour toucher au plus près cette bosse qui se formait sous mon jean. 

-"Hum, j’espère que c’est le cachet qui te fait cet effet là", me glissait-elle à l’oreille.

-" Pas que."

-" On joue un jeu dangereux, mais je suis tellement moite."

Elle se retournait face à moi et me pris de nouveau la main pour que je la mette sur son entrejambe.

— "Tu sens comme j’ai chaud ?"

À ce moment là, je ne savais plus ce que je faisais. Je me rappelle juste du regard interloqué de nos voisins de danse.

Nous avons continué à nous chauffer jusqu’à l’aube. Sans jamais en faire trop. 

En rentrant à l’hôtel, Nina n’en pouvait plus. Elle se mettait en sous vêtement sous mes yeux. Ce n’était pas la première fois que je voyais ce spectacle mais cette fois ci je ne pouvais résister à la fixer. Elle enlevait son chemisier puis un petit débardeur bien moulant. Elle était là en soutien gorge rose à dentelle, sous mes yeux. J’imaginais sa poitrine qui semblait so ronde et ferme. 

Elle ne s’arrêtait pas et enlevait son jean pour m’apparaître en culotte qui allait avec le soutien gorge. Quel pied, je sentais mon sexe dur comme du bois sous mes vêtements et prêt à jouir. 

— "Mais tu ne te couche pas ?", me dit Nina qui me coupait dans mes pensées.

— "Si biensur." Je me déshabillait pendant qu’elle se lavait dans la salle de bain. Nous étions habitués à dormir en sous vêtements dans le même lit. Ce qui revenait moins cher de prendre une chambre que deux.

Mais la situation me gênait. En caleçon, mon érection ne laissait plus de doute quant à mon état d’excitation.

Nina revenait et je m’empressait d’aller à mon tour faire ma toilette.

À mon retour dans la chambre, Nina était déjà couchée, prête à s’endormir. Comme si c’était possible.Je faisais de même et nous étions partis pour dormir tranquillement. 

Mais au bout d’une demi-heure environ, Nina se retournait vers moi et me disait : 

-" Écoute tu m’en veux pas mais j’ai vraiment trop envie de jouir. Cette drogue est bien trop forte." 

— " Je suis d’accord. J’ai une erection depuid plus d’une heure, je ne savais même pas que c’était possible."

— "Je te propose un marché, on se masturbe chacun de notre côté sans sous entendu."

J’étais d’accord de toute manière mon état d’excitation ne me permettait pas de refuser. A peine avait-je le temps de penser à ce qui allait se passer que Nina se retrouvait nue à côté de moi à se caresser. Elle avait une main sur un sein et l’autre sur son vagin trempée d’excitation. Elle se caressait le clitoris et gémissait à côté de moi. 

Je l’a suivais et me mettais nu et commençait à me soulager. La proximité nous obligeait à avoir un contact physique. Sa jambe gauche et ma jambe droite se croisait ce qui rendait notre séance de sexe beaucoup plus excitante. Nina s’était enfoncé deux doigts son sexe dégoulinant. Je pouvais observer des petits poils sur son pubis, signe d’une épilation qui datait un petit peu. 

Ses cris et sa respiration s’accélérait ce qui ne me laissait aucune chance de résister. 

Beaucoup trop excité, je jouissais bruyamment. Je dirigeait mon sperme sur sa jambe gauche, prétextant de ne pas avoir contrôlé. Nina n’en avait que faire. Cela l’excitait même encore plus. Elle s’enfonçait trois doigts et se caressait le clitoris avec sa deuxième main. Submergée, elle criait bruyamment et se contractait de tous ses muscles. Je n’avais jamais vu une femme jouir autant. 

Apres être revenue à ses esprits. Elle se léchait les mains.

" -Hum je ne sais plus où je suis", me disait-elle.

— "On n’aurait pas dû faire ça."

— "T’inquiètes pas, il n’y a rien eu."

Elle essayait de me rassurer juste avant de se tourner de son côté du lit pour s’endormir. N’essayant même pas d’essuyer les gouttes de sperme sur elle. 

Cette nuit ne resterait pas sans conséquence. C’était évident.

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