Le lendemain, c’est Delphine qui amène les enfants à l’école. Moi je reste un peu au lit, je reçois un message de Delphine. C’est une photo de Leïla devant l’école. Elle l’a pris discrètement cette photo pour me faire voir la tenue qu’elle porte. Elle est vêtue d’un jeans slim montée sur des escarpins vernie, en haut elle a une petite veste en cuir rouge style perfecto fermé qui ne laisse pas voir ce qu’elle porte dessous. Je souris et repose mon téléphone. Delphine rentre à la maison et vient directement me rejoindre dans la chambre. Sans un mot elle plonge sur ma bite et me suce comme elle sait si bien le faire. Je ne mets pas longtemps à me décharger dans sa bouche. Après un nettoyage en bonne et due forme, Delphine se redresse.
– On fait quoi aujourd’hui ?
– On regarde ma salope faire du shopping et on lui donne des ordres !
– NOTRE salope !
– Oui, tu as raison notre salope.
Nous nous levons et allons déjeuner. Vers les 09h00, je reçois un premier message.
– Je suis prête pour le shopping, tu veux que j’aille où Ben ?
– Tu es ma salope, en tant que salope tu n’as pas le droit de m’appeler « Ben » pour toi je serais « monsieur » ! Compris ?
– Oui !
– Oui qui ?
– Oui monsieur.
– Voilà c’est mieux ! Bon tu vas où tu veux, sûr que tu as bon goût, tu as les directives donc fais en sorte de me satisfaire !
– Oui monsieur
Je suis content je vois qu’elle percute vite à mes ordres, je vais bien pouvoir augmenter d’un cran ma domination sur elle. Vers les 10h00 je reçois une photo. C’est elle qui me montre une jupe droite noire encore sur cintre.
– Je veux la voir sur toi !
La photo d’après c’est elle prise dans le reflet du miroir, elle a mis la jupe et porte toujours sa veste en cuir fermé.
– Retire ta veste que je vois ce que tu as dessous !
La photo d’après, elle apparait toujours en jupe et en petit top noir laissant deviner qu’elle pointe dessous.
– Très bien je valide cette jupe, par contre ton top est moche retire-le !
– Mais j’ai rien en dessous !
– Je sais tu resteras nue sous ta veste, dépêche-toi ! Ton top tu le laisseras dans la cabine.
– Ok !
– Comment !!!
– Oui, monsieur.
– J’aime mieux ! une dernière chose, montre-moi ce que tu portes sous ta jupe !
Elle m’envoie presque immédiatement le résultat. Je vois son mont de Vénus complètement imberbe. Je souris et montre la photo à Delphine. Elle répond un « SALOPE » et se lève pour partir je ne sais où.
– Très bien trouve d’autres vêtements et envoie-moi les photos !
– Oui, monsieur.
– Dernière chose, tous tes essayages ce feront topless quand ce sera des bas uniquement !
– Oui, monsieur.
Elle rentre dans le moule. En attendant la suite, je m’affaire à mes tâches du jour. 30 minutes après je reçois une série de photos. Dessus, Leïla porte différentes jupes ou robes plus sexy les unes que les autres. Je choisi les plus jolies à mon goût.
– Maintenant tu vas passer aux sous-vêtements !
– Oui monsieur.
– Pareil ! sur les photos je ne veux te voir qu’en sous-vêtement, pas d’autre tissu.
– Oui, monsieur.
Encore 30 minutes et je reçois les premières photos d’elle vêtue uniquement de string ou d’ensemble de lingerie très sexy. Je suis ravi, elle se prête au jeu plus facilement que je le pensais. J’ai trouvé une perle qui s’ignorait sûrement.
– Trouve-toi des corsets et des porte-jarretelles aussi
– Bien monsieur !
Après 3 bonnes heures de shopping, je lui ordonne de retourner chez elle. Elle obéit et moi je vais en bas de son immeuble pour la retrouver. Je suis là depuis 5 minutes quand je la vois pointer le bout de son nez sur le trottoir. En me voyant son visage s’illumine.
– Tu ne devais pas rester chez toi avec ta femme ?
– Qu’est ce que ça peux te faire ? Rentre !
Elle ouvre la porte d’entrée et nous nous dirigeons vers l’ascenseur. La porte est à peine ouverte, que je pousse dedans. Sous l’effet de surprise elle lâche ses sacs en criant. Agrippée à la barre de l’ascenseur et face au miroir, elle gémit quand je l’embrasse dans le cou, j’ouvre son perfecto laissant échapper ses seins libres. Ma main droit pince un des ses tétons pendant que ma main gauche plonge dans son jeans. Toujours cramponnée à la barre, elle lance sa tête en arrière et commence à me mordiller le lobe de l’oreille. Mais doigts arrive dans son sillon intime déjà tout liquéfié. Je la pénètre avec 2 doigts. Cette intromission la fait chavirée. Ses jambes sont comme du coton. L’ascenseur sonne, nous sommes arrivés à son étage. Elle sort pantalon et veste ouverts. Sa porte d’appartement à peine ouverte que je la pousse dedans, je la retourne face à moi, la plaque sur le mur en face de la porte et l’embrasse. Après cette joute linguale, je me recule et baisse son pantalon jusqu’aux genoux, je lui somme de se mettre à 4 pattes. Elle exécute toujours sans broncher. Je me place derrière elle, j’appuie sur sa nuque pour lui mettre le visage au sol, je m’arrange pour que son regard fixe la porte d’entrée encore ouverte. Là elle commence à vouloir se relever, mais forçant sur ma position plus qu’avantageuse, elle s’aperçoit qu’elle n’aura pas gain de cause.
– Ben ! il faut qu’on ferme la porte, les voisins vont nous voir !
Je lui claque le cul fortement, la marque ma main apparait en rouge vif et boursouflée sur sa fesse.
– Comment tu m’as appelé ?
– Monsieur, il faut fermer la porte.
– Non, tu es une salope et tout le monde doit le savoir.
Sur cette phrase, je sers sa nuque encore plus fort et de ma main libre, je déboutonne mon pantalon pour en sortir ma bite qui commence à me faire mal tellement je désire baiser cette chienne. Bite en main, je me dirige vers sa chatte luisante de mouille. Le gland à peine en contact avec ses grandes lèvres, que je la pénètre de tout mon long. Elle crie de surprise.
– Ecarte ton cul avec tes mains pour que je profite un max de tes trous !
Tout en couinant, elle écarte, tant bien que mal ses 2 magnifiques globes fessiers. Elle se mord les lèvres pour éviter d’attirer ses voisins. Ne criant pas assez fort à mon goût, je me retire d’elle sans prévenir et perfore son cul d’un trait. La violence et telle, que Leïla hurle de douleur et s’effondre à plat ventre sur le lino de l’entrée, m’amenant avec elle dans sa chute. Toujours caler dans son rectum, je relève mon buste en mettant mes mains sur ses épaules pour l’empêcher de se dégager. Le visage toujours vers la porte d’entrée, les bras le long du corps et ne pouvant pas bouger, Leïla n’a pas d’autre option que de subir cette sodomie bestiale. Je la lime encore de longue minute, des larmes coulent et tombent par terre. Je sens que je vais venir, je me retire et d’un geste brusque la retourne sur le dos. Bite en main, je commence à me branler face à elle. Les yeux pleins de larme, elle me regarde faire. Je viens, je dirige les jets de sperme sur sa poitrine si généreuse. Une petite rivière de foutre se forme dans son entre-sein. Un fois fini, je passe ma main derrière sa tête et lui soulève. J’approche ma bite de sa bouche qu’elle garde fermer. Tout en la giflant avec ma bite, je lui dis :
– Suce-moi c’est un ordre !
– Mais, tu l’as mi
Je profite qu’elle ouvre la bouche pour parler pour lui enfoncer ma bite. Elle fait la grimace et bouge la tête de gauche à droite. Je lui lâche la tête ce qui la fait basculer en arrière. Elle se rattrape, j’en profite pour m’avancer d’un pas et lui renfoncer ma bite dans la bouche. Ayant les 2 mains de libre, je la saisis pas les cheveux et commence à lui baiser la bouche pour lui faire comprendre qu’elle n’a pas le pouvoir de décision. Après quelques va-et-vient je la rejette en arrière une nouvelle fois. Elle tombe sur le dos, les jambes relevées. Tout en m’habillant, je me dirige vers la porte et la ferme. Quand je me retourne, Leïla essaye de se relever.
– Tu m’as fait mal, enculé !
– C’est toi l’enculée dans l’histoire et je te signale que je suis ton maître et TOI ma salope ! Alors tu fermes ta gueule et tu vas me faire un café !
– Mais
Je lui claque le cul encore nu.
– Aïe !! Oui, monsieur.
– J’aime mieux ça ! Dépêche-toi ! Et enlève tes vêtements, ne garde que tes chaussures !
– Oui, monsieur.
Elle se déshabille et pars vers la cuisine en boitant un peu et se frottant la marque que la dernière fessée à faite. Elle revient rapidement avec mon café.
– Assieds-toi !
– Où ?
– Par terre bien sûr, tu ne va pas tâcher ton canapé, non ?
– Tu as raison.
– Comment ! C’est simple pour te rappeler qui je suis pour toi, maintenant en plus du « monsieur », tu vas me vouvoyer. Compris !
– Compris monsieur, comme tu euh !!! Comme vous voulez.
– C’est mieux. Bon maintenant je vais t’expliquer ce que j’attends de toi exactement. Tu es MA chose, MA salope si je veux te baiser devant des gens, je le ferais, j’ai le droit exclusif sur ton corps, tes orifices et je décide SEUL de ce que je mets dedans. Ta garde robe va encore évoluer, en plus des vêtements demain nous irons acheter des sextoys que tu utiliseras seule ou avec moi. Ok ?
– Oui, monsieur.
– Bon, maintenant tu as de la crème pour l’erythème fessier ?
– Non !
– Tu iras en acheter à la pharmacie en allant à l’école.
– D’accord, monsieur
– Bien ! Tu prends la pilule ?
– Non.
– J’ai pas envie de te voir enceinte, tu prends rendez-vous chez ta gynéco et tu demande pour la pilule.
– Ok !
– Maintenant, tu me fais voir sur toi les habits que tu t’es achetée.
Leïla se lève difficilement, ce que me fais sourire, elle le voit et me fusille du regard et me tire la langue.
– Attention à toi tu veux que je recommence ?
– Non monsieur ! enfin pas tout de suite en tout cas.
Elle se dépêche pour aller chercher ses sacs.
– Reviens te changer là !
– Oui, monsieur.
Elle est obéissante, après les essayages, c’est bientôt l’heure d’aller chercher nos enfants respectifs.
– Aller, c’est l’heure de descendre, mets juste ta jupe plissée ton perfecto et tes escarpins.
– Pas de
– J’ai dis JUSTE !
– Oui, monsieur ! je peux au moins faire un brin de toilette, j’ai votre sperme sur la poitrine ?
– Non, ce sera ton parfum pour cet après-midi.
Elle s’habille et nous nous dirigeons vers l’ascenseur. Dans l’ascenseur.
– Ouvre ta veste et lèves ta jupe !
Elle le fait, je prends mon portable et la prends en photo. Une fois fini, je passe ma main entre ses cuisses et lui enfonce 2 doigts dans sa chatte, Leïla toujours tenant sa jupe levée, geint de plaisir.
– C’est bon ferme ta veste prépare-toi à sortir.
Elle a à peine le temps de fermer sa veste que les portes de l’ascenseur s’ouvrent. En sortant nous tombons sur sa vieille voisine qui peste en nous croisant. Leïla part à la pharmacie et moi je vais directement à l’école. Sur la route, j’envoie la photo à Delphine lui indiquant que je viens de l’enculer à sec devant sa porte d’entrée encore ouverte, qu’elle avait hurlé à la mort et que maintenant elle boitait un peu. Pour toute réponse je reçue une photo de sa chatte luisante et cette phrase : « j’ai envie de toi ! »
Je suis devant l’école quand Leïla arrive, tous les papas qui attendent, se retournent sur elle. Ces pervers ne se gênent pas pour reluquer ses jambes fines et galbées ainsi que son décolleté plongeant. Elle fait genre de ne s’apercevoir de rien et prend son téléphone. Le mien vibre dans ma poche, je le prends et je vois que c’est elle qui m’écrit.
– Je peux venir près de vous ? je suis pas rassurée.
– Non, tu reste où tu es, devant l’école on se parle que le minima.
– Ok ! J’ai mal !
– Où ?
– Devinez ?
– Je sais très bien, mais je veux que tu l’écrives !
– J’ai mal aux fesses.
– Pas comme ça je veux que tu le dises plus crument !
–
– Alors j’attends !
– J’ai mal au cul !
– Voilà c’est mieux. Et pourquoi ?
– Parce que vous m’avez enculé.
– J’aime ça, sache que tant que tu n’auras pas repris la pilule, c’est le seul trou hormis ta bouche qui connaitra ma bite.
– Vrai ?
– Oui, alors il va falloir t’y habituer !
La sonnerie de l’école sonne, je range mon portable après lui avoir envoyé la tenue et l’heure à la quelle je l’attends demain pour ses prochaines courses.
Vivement demain, j’ai déjà plein d’idées en tête pour elle.