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Massouana – Chapitre 6




— Ce bout de tissu est en principe destiné à être porté sur les hanches par une danseuse. Quand il est trop petit comme celui-ci, son usage est radicalement différent. Il est destiné aux petites filles en escarpins, mignonnes comme toi, avec des jambes interminables et une poitrine à damner une sainte. Passe-le!

Le ton de sa voix avait changé. L’invitation était directe et impérative.

La directrice m’avait acheté un tutu blanc à paillettes qui aurait pu être mignon à porter s’il n’avait pas été trois tailles trop petit. La large ceinture élastique me comprimaient l’abdomen si fort qu’il fallait plutôt parler de taille de moustique que de taille de guêpe. Quant aux pauvres dix centimètres de tulle, ils me faisaient une corolle purement décorative autour de la taille. En fait, ils ne servaient qu’à fixer les regards sur mon pubis lisse et mes fesses que le miroir trouvait de plus en plus callipyges. J’adorais car mes jambes apparaissaient incroyablement élancées et sexy. Ce qui m’excitait le plus était la vision de mon sexe de bébé vulnérable comme jamais. Et quand je cambrais les reins en bombant le torse, ma poitrine était tout simplement…

— Si tu savais à quel point ta poitrine est irrésistible, ma petite biche.

— Je sais. J’ai des yeux pour voir.

— Oui, pour l’instant du moins. Comment le trouves-tu?

Je n’étais pas dupe. Toutes ces femmes me considéraient comme une poupée qu’elles habillaient pour mieux s’amuser avec elle par la suite

— Choquant! Je peux le retirer?

— Ou le garder si tu souhaites continuer à nous aguicher pour que nous nous occupions de ton joli minou jusque demain matin. Tu es si appétissante que je ne doute pas un seul instant qu’elle te feront passer une nuit inoubliable.

— Bon! Je le garde si vous aimez me voir ainsi. Et ça, c’est quoi?

— Un loup pour te cacher les yeux. Ainsi tu ne verras pas ce que nous te faisons, ni qui de nous te le fait. Surprise totale, quoi! Tu étais prévenue que chacune de tes désobéissances te vaudrait un châtiment exemplaire. Puisque tu prétends jouir aussi facilement, pour ta punition, tu recommenceras autant de fois et aussi longtemps qu’elles le voudront. Nous verrons ainsi si tu ne nous a pas menti sur tes performances. Ça te plaira, tu verras.

— Je crois bien que oui. Je suis assez excitée pour ça. Je m’imaginerai être la prisonnière que vous torturez. Cette boule attachée à un collier, c’est pour m’empêcher de crier comme tout à l’heure.

— Tu en sais des choses.

— J’ai vu ça dans un film avec Charles. C’est une bonne idée. Ainsi, vous pourrez me faire délirer toute la nuit sans que je vous casse les oreilles. On commence quand?

— Quand elles auront passé les menottes qui restent au fond du sac à tes poignets.

— Vous ne me faites plus confiance alors. Pourtant je vous ai toujours laissé me faire tout ce que vous vouliez. Si je ne peux plus me servir de mes mains, je serai incapable de me rebiffer et même plus de crier avec cette boule dans ma bouche. C’est horrible, déloyal, trop facile. Vous allez me battre, c’est ça? Et je ne verrai même pas d’où le coup partira.

— C’est le risque que tu cours en effet si tu ne respectes pas les règles du carrousel.

— Toute la nuit! Qu’allez-vous me faire sur ce carrousel?

— Vilaine petite curieuse! Madame Rose a élaboré plein de projets pour jouer avec toi toute la nuit, par exemple, d’abuser de toi jusqu’au bout du bout de tes forces. Avoue que ce jeu t’excite déjà à mort, belle en cuisses!

— Je suis excitée, c’est clair et j’ai bien envie d’essayer, pourvu que tu participes aussi.

— Méfie-toi! Tu ne me connais que sous mon aspect miel. Je ne suis pas que douce. J’aime bien dominer, être très autoritaire et pas sûr que tu aimeras mon côté cactus.

— Moi bien! J’ai bien envie d’essayer. Rien ne me fait plus mal au cur que de te voir obéir aveuglément à cette Anne.

— Bon, tu l’auras voulu. A partir de maintenant, tu es mon esclave et je suis ta maîtresse. Ma première ordonnance concernera le déroulement du supplice du carrousel. En principe, ce jeu t’impose de jouir une seul fois entre les mains de chacune des six filles présentes. Tu n’auras que cinq minutes pour t’exécuter. Si tu te montres égoïste en ne jouissant pas dans le temps imparti, la fille que ton ingratitude aura vexée aura le droit de se choisir une partenaire te cravacher.

— Tu es trop cruelle de m’obliger à jouir six fois de suite avec ces femmes que je ne connais que depuis une heure.

— Ca, c’est le principe. Si tu m’aimes, tu demanderas Madame Rose de corser le divertissement en appliquant MES règles.

Ma respiration se fait anarchique. Mon cur s’emballe et ma bouche devient sèche, archi sèche.

J’essaie de lui parler, de lui faire comprendre que jouir six fois de suite est au-dessus de mes forces, mais mes mots sont malhabiles, je bafouille.

— Libre à toi de décider si tu préfères jouir ou subir le fouet. Tiens, la voilà, justement! Madame! Laure a quelque chose à vous dire.

Ouf! Elle le prend bien et me rassure d’un gracieux sourire. Nos lèvres se collent et nous échangeons un long, un très long baiser.

— Madame Rose! Je veux bien jouer avec vous au carrousel mais, comment dire? Elisa est celle qui me connait le mieux et pour que cela reste un jeu, ce serait mieux, pour toutes les deux, que vous acceptiez, si cela ne vous dérange pas trop, d’appliquer ses règles, qui seraient peut-être plus raisonnables et…Aie!

Une gifle d’anthologie me cloua le bec.

— Tiens, prends ça, gastéropode qui se vante de jouir toutes les deux minutes quand elle a le clitoris dilaté! Et ce n’est qu’un avant-goût de ce qui t’attend sous d’autres latitudes si tu continues à faire ta petite peste. Avance! Je ne supporte plus cet accent belge qui me donne envie de manger des frites. Mes amies nous attendent depuis cinq bonnes minutes. Attend! Je te confisque d’abord le diamant de cent carats qui nous cache ta petite perle…pour ne pas l’abîmer. Et maintenant, ton gage…

— Ce n’était pas mon gage !!! Ben mince alors! Elisa! Dis quelque chose!

— Madame Rose! Je crois que la petite ne mérite pas d’être menottée…

— Ah! Enfin! Aie! Mais, mais, tu me pinces le sein, là!!! Arrête!

— Ferme-la et avance! Est-ce de ma faute si tu as de gros tétons? Je te conseille vivement de ne plus jamais te plaindre quoi que je te fasse ou je te tranche un sein.

— Arrête! Tu me fais peur. Mais qu’est-ce que tu fais avec cette corde?

— Je t’attache les poignets pour que Charles puisse s’occupe plus facilement de sa sauvageonne dans son antre.

Madame Rose décrivait ma fente de ses longs ongles en s’attardant à dessein sur mon clitoris qui grossissait à vue d’il.

— Lie-lui les coudes, ce sera mieux, non? Sa poitrine ressortira davantage. Regarde! Elle est déjà nettement plus ferme et nous pourrons l’attendrir plus facilement. Serre plus fort quitte à lui déboîter les épaules!

— Ai-je la permission de me voir une dernière fois dans le miroir? Wahou! J’ai une poitrine de dingue quand je suis aussi cambrée.

— Tu as raison, ma petite chatte. Tu es mille fois plus désirable quand ses mamelles sont tendues. Serre plus fort, Lisa! Jusqu’à ce que ses coudes se rejoignent. S’il te reste un peu de ficelle, attache-lui les poignets aussi.

— Ça m’embête un peu…

— Qu’est ce qui t’embête encore ?

— Avec les bras attachés dans le dos, je ne saurai plus débarrasser la table ni faire le service.

— Pas grave! Nous serons toutes à ton service. Pas chacune à notre tour, ce serait trop facile. Nous allons changer un peu les règles du jeu.

— Pour me faciliter la vie, j’espère?

— Pas vraiment, non! Histoire de rendre cette épreuve un peu plus périlleuse pour toi et plus grisante pour nous, nous allons t’entreprendre simultanément.

— Madame, Madame! Par pitié! Ne touchez plus mon Titi! Il est trop chatouilleux. Je sens que je vais bientôt partir.

— Ah! J’oubliais! Comme nous serons six à nous occuper de toi, tu seras contrainte de jouir six fois tous les quarts d’heure.

— Mais non! Six fois cinq minutes, cela me laisse une demi-heure…

— Excellent calcul mais qui ne tient pas compte de ton gage!

— Où n’emmenez-vous? Dans la petite remise ? Vous allez n’allez quand même pas me torturer dans la remise?

    *

Pendant que j’étais à l’école, je découvris que Charles avait passé ses journées à bricoler pour me préparer une délicieuse surprise à la mesure de mes appétits. Trop occupé à fignoler son installation, il ne nous entendit pas pousser la porte.

— Ne t’impatiente pas, Aisha! J’ai encore quelques problèmes à régler avec la coordination de mes deux treuils et ce n’est pas ce mode d’emploi en anglais qui me facilite la tâche. Pour interpréter une symphonie brillante, il faut un groupe suffisant de musiciens de haut niveau, des instruments de qualité, un chef d’orchestre inspiré et une partition captivante. Ce sont les instruments qui me causent des soucis pour le moment.

— Je vous apporte la partition, Charles.

    *

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