Histoires de sexe noir Histoires gays

Vie de famille – Chapitre 3




LISA LA VIERGE

Les cours à la fac se déroulent au mieux car j’ai réussi toutes mes UV malgré quelques bouleversement de ces derniers temps.

Je m’intéresse beaucoup plus à Lisa, la provocatrice qui parle beaucoup de cul et allume les mecs depuis deux ans

que je la connais.

Elle s’intéresse d’autant plus à mois que je l’ignorais jusqu’à présent.

C’est une belle fille brune, cheveux courts, toujours la minijupe ras du cul et de la chatte. Ses pulls échancrés

qui ne cachent pas ses seins, font bander tous les mecs ; parfois, ils sont si moulants sans soutien qu’ils permettent de voir sa magnifique poitrine opulente mais dressée de ces 19 ans ; une vraie petite pute.

— ? tu pourrais me donner un coup de main sur l’UV ?droit éco? ce soir ? ? me dit-elle.

Habituellement je l’oriente toujours vers un collègue plus baiseur que moi, mais maintenant que je suis ?un homme ?, j’accepte et nous voilà dans sa piaule quelques minutes après à revoir les dossiers qu’elle ne maîtrise pas trop. Comme elle est bonne élève, au bout de deux heures de boulot sérieux, nous en avons terminé et elle me propose un café.

Elle est du genre j’écarte les cuisses et en dégustant le café, face à elle, elle m’offre une vue plongeante sur sa chatte rasée, qu’aucun slip inutile ne vient cacher. Elle suit mon regard et me demande si la vue est belle.

— ? magnifique et j’en mangerais ? je lui réponds du haut de ma nouvelle assurance de baiseur confirmé.

— ? comme tu veux ? elle me répond, Elle se lève et relevant sa jupe ou plutôt sa bande de tissu de 20cm de haut qu’elle porte autour des hanches, elle écarte sa chatte avec ses doigts ; puis se rasseyant sur sa banquette où elle se positionne les jambes relevées qu’elle retient avec ses avant bras.

Elle tient son minou écarté, et comme elle est rasée, je peux admirer l’intérieur de ses lèvres, l’entrée de son

vagin et son bel anus légèrement sombre.

Je me déplace pour me mettre à genoux devant son tabernacle et approche mon visage de sa chatte imberbe. Elle s’est lavée la chatte lorsque nous sommes arrivés tout à l’heure et j’apprécie cette marque d’hygiène, l’odeur de son sexe m’enivre car manifestement il luit déjà de foutre qui suinte de son vagin.

J’approche ma langue et commence à lui lécher l’ensemble de sa vulve de haut en bas en tentant une descente vers son anus. Comme elle ne réagit que positivement à mes caresses en gémissant doucement, je poursuis plus en profondeur en entrant ma langue alternativement dans l’entrée de son vagin et de son anus bien serré ; puis, je remonte vers son clitoris peu saillant par rapport à celui de ma mère ou de Christine.

Je ne peux que comparer à mes références que sont les trois femmes que j’ai baisées à ce jour, Lisa est ma quatrième et je suis seul avec elle, personne pour m’indiquer la marche à suivre et ma seule imagination pour guide.

Manifestement je dois me débrouiller assez bien, puisque Lisa commence à crier sa joie puis se met à jouir dans un jaillissement de foutre qui inonde sa belle chatte de jeunette et me parfume le visage.

Je commence à mettre un doigt dans son conduit vaginal et je sens la présence d’un obstacle, je relève la tête et là, je constate qu’elle me regarde également, les yeux légèrement embués de plaisir et elle me dit :

— ? je suis vierge ?

— ? vierge ? ? je reprends incrédule.

— ? et oui, malgré l’image que je donne à tous, seul des langues de filles m’ont touchée à ce jour ; mais tu sais, je suis prête à te donner ce pucelage qui commence à devenir encombrant ?.

Je ne réponds pas et reprends mon léchage de chatte jusqu’à ce que je l’amène au bord du plaisir et là, j’interromps mes caresses, pour tout en restant à genoux baisser mon pantalon et mon slip.

Ma queue et prête, car après les caresses que j’ai pratiqué à Lisa, je bande comme un taureau. Heureusement que j’étais en tenue de sport, car un Jean’s n’aurait pas résisté.

Elle regarde ma queue avec me semble-t-il un peu d’appréhension aussi, je me couche sur elle et l’embrasse

en la rassurant que je ne lui ferai pas de mal.

En vérité, je n’en sais rien puisque je n’ai jamais dépucelé une fille, mais çà, elle ne le sait pas et semble

s’accrocher à sa confiance en moi.Je continue de l’embrasser tout en lui caressant sa magnifique poitrine dressée et son clitoris ; l’excitation remonte en elle et j’en profite pour d’une main frotter ma queue sur sa vulve, histoire de la lubrifier correctement, puis je présente mon engin devant l’entrée de sa chatte.Elle ferme les yeux, gémissant et j’en profite pour rentrer lentement jusqu’à la membrane que je sens bien car elle crée un goulet plus étroit mais souple et par bonheur, ma bitte entre plus à fond, déchirant sans doute la faible membrane de son hymen sans qu’elle n’en souffre trop.Libre de mes mouvements, je commence mon va et vient dans sa chatte qui semble maintenant très accessible et douce à pénétrer ; Lisa jouit de nouveau en hurlant et je sens que je ne vais pas tarder à éjaculer.

— ? ne gicle pas dedans ? me dit-elle ; sans doute qu’elle ne prend pas la pilule ; aussi au moment de jouir, je

ressors de sa chatte et lui prend le poignet, afin de lui faire prendre ma bitte dans sa main, elle comprend vite et me branle avec efficacité jusqu’à ce que mon sperme inonde son ventre et le bas de ses seins car mes giclées sont intenses, alors que je la caresse, histoire de la finir à la main ainsi qu’elle fait pour moi.

Je me couche à nouveau sur elle pour l’embrasser, son regard reconnaissant me comble de joie, car je sens que je

ne l’ai pas déçu ; et surtout qu’elle n’a pas eu mal.

— ? je n’ai pas eu mal et je t’en remercie ; je vais

prendre la pilule désormais car j’espère que tu voudras bien recommencer ?

— autant que tu veux et même plus ? je lui réponds.

Je me dis en moi-même qu’il pourrait être sympa de l’amener chez moi dans quelques temps.

Il est 20 heures et je dois rentrer, aussi j’abandonne une Lisa heureuse qui souhaite se reposer et se nettoyer.

Je rentre à la maison et mes parents sont à table, je les y rejoins tout en leur racontant mes cours et autres

nouvelles qui peuvent les intéresser.

J’arrive à l’épisode Lisa à la fin du repas et nous passons au salon où je leur relate dans le détail le dépucelage de Lisa sous le regard humide de ma mère qui commence à remuer du cul au fur et à mesure de mon histoire.Comme elle est en robe ample, elle la soulève et je constate comme mon père qu’elle n’a pas de slip ce qui fait qu’en m’écoutant, elle se caresse d’excitation.

Mon père, lui, a sortit sa queue et commence à ce branler lentement en m’écoutant.

Mon récit achevé, ma mère me dit :

— ? bouffes-moi la chatte mon chéri, je suis trop excité de ton histoire ?

— ? oh oui bouffes-lui la chatte à cette pute, car elle va me sucer? renchérit mon père.

Je m’exécute immédiatement en me positionnant à genoux entre les cuisses largement ouvertes de ma mère et commence

à lui lécher la chatte avec grand plaisir.

Mon père, quant à lui en profite pour lui enlever son pull qu’elle porte sans soutien-gorge ce qui fait que ses beaux nichons sont libérés et montrent leur agressivité des tétons.

Mon père se déshabille et continue à genoux de sucer les nichons de ma mère tout en l’embrassant à pleine bouche.

Je continue mon léchage qui devient pénétrant dans sa chatte et son cul très poilu en comparaison de Lisa. Son

vagin dégouline de mouille et m’enivre d’odeurs aphrodisiaques. Ma mère gémit comme une chienne en chaleur

puis saisit la queue de mon père pendant que je rapproche ma bouche des ses seins souhaitant les lui sucer ; c’est

alors qu’elle me tend la bitte à mon père et me dit :

— ? tiens suces lui sa grosse queue à ce pédé?

— ? vas-y ? me dit mon père, suce-moi bien après, j’ai envie que tu m’encules.

bien que surpris, tout d’abord, je m’exécute avec plaisir et engouffre sa grosse queue dans ma bouche et commence à le sucer en lui caressant ses grosses couilles poilues, son gland violacé est lisse et doux et je passe ma langue sur le filet et le trou du bout avec un plaisir non dissimulé. J’y avais pensé bien souvent mais jamais je n’aurais imaginé faire une pipe à mon père un jour ; ma mère partage cette friandise avec moi et nos langues se caresse sur la grosse queue de mon père qui augmente de volume avec la jouissance ; je l’avale jusqu’à la glotte à m’en étouffer tellement j’aime bien le sucer ; il m’appuie sur la tête pour m’enfiler bien à fond et il gémit de bonheur.

Ma mère en profite pour m’ôter mon pantalon et se positionnant derrière moi, commence à me branler en frottant son pubis sur mes fesses.

Mon père est maintenant assis, moi entre ses cuisses, je le suce et je sens que ma mère, m’introduit son index dans le cul.

— ? petit pédé, je vais t’en mettre plein le cul, tu vas aimer ? me dit-elle

Ces mots me font bander encore plus et sans doute mon père aussi car je sens sa queue enfler dans ma bouche et je

commence à étouffer, il relève les jambes et je lui lèche le cul car il aime ça manifestement. Quand j’ai la langue ailleurs qu’autour de sa queue, je le masturbe lentement et il gémit comme une petite salope.

Mon père se dégage alors de moi et se met à quatre pattes les avants bras sur le sol.

— ? Encule-moi bien à fond ? me dit-il Ma mère sort alors un tube de vaseline et enduit l’orifice anal de mon père ainsi que ma queue présente mon gland devant son trou de cul.

Je suis tellement excité que je saisis mon père aux hanches et tout en embrassant ma mère sur la bouche, je l’embroche violemment par le cul autant que la longueur de ma queue me le permet. Je sens une chaleur intense autour de mon gourdin et je dois augmenter de volume il écarquille les yeux tout grand en se retournant vers moi.

Mon père émet un son rauque de plaisir et ma mère glisse sa tête entre ses jambes, en se couchant au sol pour lui faire une pipe pendant que je lui bourre le cul.

L’excitation devient telle que ma mère jouit en se caressant et que je sens la queue de mon père qui tressaute

au niveau de son anus devinant qu’il gicle dans la bouche de ma salope de mère ; je ne peux plus me retenir, aussi en criant à mon tour j’envoie ma sauce dans le cul de mon vieux en m’accrochant à ces hanches jusqu’à le griffer de mes ongles. Je vois le sperme qui déborde de la bouche de ma mère, elle passe ses doigts sur sa joue pour ne rien perdre, je sais maintenant que c’est sa sauce préférée à cette pute.

Mon père a l’air d’apprécier mes coups de queue dans son anus car il cri à son tour tout en malaxant activement les seins de ma mère.

Nous tombons au sol, tous les trois, essoufflés et repus, nos corps se mélange et s’embrassent tendrement dans un

trio incestueux.

(à suivre)

[email protected]

Related posts

Surprise de femmes – Chapitre 1

historiesexe

Ceux qui boivent pas sont ceux qui baisent – Chapitre 1

historiesexe

?lisa… la dernière! – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .