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Jeune fille au pair, de mormone coincée à soumise – Chapitre 2




Finalement, Sharon, qui paraissait avoir toutes les vertus, était loin d’être la petite fille sage qu’on pourrait penser. Jean-Luc savait qu’elle lui avait caché qu’elle était allée dans sa pièce secrète. En plus, sa curiosité semblait prendre le dessus sur sa morale, ce qui satisfaisait son patron.

Au fur et à mesure que le temps passait, Jean-Luc observait sa « proie ». Après quelques semaines, il voyait bien que ses seins avaient gonflés. Elle aussi a fini par le remarquer. Au début, elle avait bêtement pensé que ses sous-vêtements avaient rétréci au lavage mais quand elle a voulu en racheter, ceux qui lui allait dorénavant avait une taille de bonnet en plus. Jean-Luc se régalait de la voir toute nue dans la salle de bain. Il se taquinait popole en espérant un jour pouvoir la toucher et l’avoir dans son lit, rien que pour son plaisir. Quand il croisait Sharon le soir, il voyait bien que ses chemisiers étaient un peu sérés. Tant et si bien qu’elle avait fini par ouvrir un bouton de plus. Ça avait tendance à refiler à Jean-Luc une érection qu’il avait du mal à cacher rien que s’imaginant pouvoir y mettre les mains.

Sharon, de son côté avait essayé plusieurs fois de retourner dans cette petite pièce mais elle était verrouillée et ça, Jean-Luc s’en est vite aperçu. Il eut l’idée un jour de simplement laisser la clé sur la porte. Une autre fois, il laissa la clé sur son bureau et une autre fois il laissa ouvert le tiroir dans laquelle elle était cachée. A partir du moment où Sharon savait où était cette clé, elle n’avait plus aucune difficulté pour entrer et satisfaire sa curiosité. Jean-Luc s’amusait de voir sa réaction face à certains films. Il a ri quand il l’a vu faire la grimace au moment où elle a visionné sa première fellation en gros plan mais ça n’était rien après la tête qu’elle a fait quand elle a vu une sodomie de près. A force de regarder ces films et ces magazines, elle se demandait « c’est ça le sexe ? C’est vraiment dégoutant » ou encore « mais pourquoi elles crient toutes comme ça ? Elles se font torturer ou quoi ? ». Tout ça, ça lui faisait peur pour l’avenir et pourtant elle y retournait.

Plus le temps passait, plus Jean-Luc remarquait qu’elle regardait les films en serrant les jambes. « Bah alors ma belle ? Ça te démange ? Ça te chatouille entre les cuisses ? » Pensa-t-il au début puis, plus tard, il la vit commencer à se frotter l’entrejambe. « Ça te fait quelque chose ma jolie hein ? Ne t’en fais pas. Si je réussi ce que j’ai prévu pour toi, ce sera encore meilleur » se disait-il en continuant de la regarder. Au bout d’un moment, voyant qu’elle y passait de plus en plus de temps, Jean-Luc passa à l’étape suivante de son plan : la faire culpabiliser et lui faire peur. Ainsi, peut-être allait-elle faire plus d’effort pour le satisfaire, espérait-il. Pour cela, il avait prévu de la surprendre durant une de ses séances de visionnage.

Sachant pertinemment qu’elle allait dans sa pièce privée durant la sieste du petit, il avait prévu de rentrer plus tôt, prétextant une réunion d’annulée et l’envie de vouloir passer du temps avec Oscar. Il avait ainsi pris sa demi-journée pour cela. Après la pause de midi, il prit sa voiture et fit le trajet du retour. Durant le trajet, il reçut une alerte sur son téléphone lui indiquant qu’elle était entrée dans son bureau (oui je sais le téléphone au volant c’est mal). Une fois arrivé et s’être garé, il regarda son téléphone et il vit qu’elle était assise dans le fauteuil en train de se toucher, devant un film. Il entra dans la maison en faisant le moins de bruit possible.

Une fois devant la porte de son bureau, qui était la seul issue pour sortir de sa pièce spéciale, il entra en donnant de la voix : « Bonjour ! Sharon, Je suis rentrée plus tôt car j’avais une réunion qui a été annulée et j’ai pensé venir passer du temps avec Oscar. Vous êtes là ? Non ? Y a personne ? C’est bizarre, je ne la trouve pas. Elle est forcément ici, le petit dort dans sa chambre. Elle ne serait pas partie en le laissant ici sans personne quand même ? Bon bah j’espère qu’elle n’est pas partie parce que si c’est le cas et qu’elle a laissé le petit seul, elle va m’entendre. Bon je vais immédiatement ranger le nouveau "Pussy-Boobs’mag" que je viens d’acheter dans ma collection »

En l’entendant dans la pièce à coté, Sharon a pris peur. Elle eut à peine le temps de réagir, d’éteindre la télé et de se cacher grossièrement derrière un meuble avant qu’il n’entre.

— Tiens comment ça se fait que ce soit ouvert ? Je suis certain d’avoir fermé pourtant . C’est quoi ce bordel ? Pourquoi il y a des magazines et des DVD de sortis ? .. Bon sang Sharon que faites-vous là ? Ne vous cachez pas, je vous vois. Sortez.

— Excusez-moi monsieur.

— Vous pouvez me dire ce que vous faites là ? Je vous avais pourtant dit que moi seul avait le droit d’entrer ici.

— Je . Je voulais faire le ménage et .

— Le ménage ? Alors pourquoi vous vous êtes caché ?

— J’ai cru qu’un voleur était entré et

— Un voleur ? Je veux bien le croire compte tenu que je suis rentré plus tôt que prévu et sans prévenir mais alors expliquez-moi, si vous comptiez nettoyer, pourquoi n’y a-t-il aucun matériel de nettoyage ? Et pourquoi y a-t-il un DVD qui tourne dans le lecteur ? demanda-t-il avant d’allumer la télé et de voir une fille à gros nibard se faire prendre violement par un black bien membré.

— Je .

— Vous quoi ? Si vous êtes curieuse au niveau du sexe, il y a internet. Vous me décevez. Vous vous êtes immiscé dans mon intimité sans mon autorisation.

— Je sais que je regardais .

— Je vous arrête tout de suite. Ce n’est pas le fait que vous regardiez du porno qui me dérange. C’est de votre âge et tant que ça ne vous empêche pas de faire votre travail, ça ne me pose aucun problème. J’ai bien compris que vous faisiez ça quand Oscar dormait. Non, ce qui me dérange c’est que vous ayez fait quelque chose que je vous avais interdit. Que vous ayez fouillé dans mes affaires pour trouver la clé, .

— Je suis désolé.

— Vous pouvez. Du coup je me pose des questions sur votre honnêteté et si je dois vous garder.

— Non, s’il vous plait. Je suis une fille sérieuse.

— Permettez-moi d’en douter après ce que je viens de voir.

— Je ne recommencerais plus.

— J’espère bien.

— Qu’allez-vous faire ?

— Je ne sais pas encore. Je vais y réfléchir.

Jean-Luc venait de mettre une épée de Damoclès au-dessus de Sharon qui ne savait plus où se mettre. Sharon se sentait coupable car tout ce qu’il lui avait dit était vrai. Elle n’aurait jamais dû entrer et regarder tous ces trucs. Jean-Luc la voyait mal à l’aise et l’ambiance pour le reste de la journée fut glaciale entre eux deux. Ce n’est que dans la soirée que le dialogue reprit. Jean-Luc convoqua Sharon dans son bureau pour une mise au point. Il décida d’être indulgent pour une fois car, hormis cet écart de conduite, elle avait toujours été irréprochable. Sharon lui promit alors de ne plus recommencer.

Durant les semaines qui suivirent, la tentation pour Sharon de retourner dans cette pièce pour satisfaire sa curiosité fut grande. Maintenant qu’elle savait ce que cachait cette porte, Jean-Luc ne la fermait plus. Sharon y entrait tout de même mais uniquement pour y faire le ménage car c’était vraiment dégueulasse. Jean-Luc avait prévu autre chose pour la déstabiliser mais le destin fut plus rapide que lui. En effet, son père n’ayant jamais approuvé que sa fille parte à l’étranger, Sharon recevait souvent des nouvelles de sa part lui indiquant par exemple « La date de ton mariage est fixée », « quand tu reviendras, tu essayeras ta robe ». Sharon avait encore un an de travail à faire en France et, plus le temps passait, moins elle avait envie de revenir à son ancienne vie. Cette situation la préoccupait tellement qu’elle finit par accumuler les petites boulettes. Un jour, en faisant le repassage elle a cramé des chemises de monsieur. Voulant bien faire, elle a voulu laver plusieurs de ses costumes et au final, ils étaient bons à jeter. Bien évidemment, pour ça elle s’est pris une bonne soufflante mais un jour, elle fit la boulette à ne surtout pas faire.

Rien que le fait de devoir rentrer chez elle, dans la ferme de son père au milieu du désert de l’Utah pour devoir se marier avec un homme riche certes mais surtout gros, moche et qui traite ses femmes comme ses jouets sexuels ne l’enchantait guerre. C’est toute cette tension qui fut à l’origine des petites bêtises qu’elle avait malencontreusement provoquées. Ce jour-là, elle était dans un bus avec Oscar dans sa poussette. Jean-Luc, son patron, lui avait demandé d’aller faire une course pour lui durant la journée, ne pouvant le faire lui-même. Son attention était tellement focalisée sur tout ce qui lui arrivait qu’au moment où elle est descendue du bus, après deux secondes d’hésitation, elle s’est dit « mince la poussette ». Elle s’est retournée mais le bus était déjà reparti. Elle tenta de courir pour le rattraper, sans y parvenir.

« Oh non mon dieu mais qu’est-ce-que j’ai fait ? Comment je vais le retrouver ? Là c’est sûr, je peux faire mes valises ». Elle est restée là, ahurie de ce qu’il venait de se passer en se disant « mais comment j’ai fait mon affaire. Ça ne me ressemble tellement pas ». Ne voulant pas aggraver la situation, C’est en pleure qu’elle prit son téléphone, en fait un téléphone que monsieur lui avait payé exprès en cas d’urgence et elle l’appela, sachant qu’elle allait se faire engueuler.

— Allo monsieur ?

— Sharon, c’est vous ? Vous avez pensé à faire ce que je vous ai demandé ?

— Oui mais. Il y a un problème, un très gros problème. Commença-t-elle à dire avec un début de sanglot dans la voix

— Rien de grave j’espère ? Vous m’inquiétez. Mais vous pleurez ? Que se passe-t-il ?

— J’ai . J’ai perdu Oscar dans le bus, je suis désolé répondit-elle avec de fondre en larme au téléphone.

— QUOI ? Ce n’est pas possible ? Ce n’est pas vrai ? Vous n’avez pas fait ça ? Mais comment ça a pu arriver ?

— Je . Je l’ai oublié dans le bus. J’ai eu la tête ailleurs durant quelques secondes et .

— Je n’arrive pas à y croire . Vous les accumuler en ce moment. Bon reprenons depuis le début. On va se calmer. C’était où, quand, quel bus, à quel arrêt, je veux tous les détails.

Sharon avait du mal à donner les infos tellement sa voix tremblait mais elle y est parvenue. Son patron était en colère et il avait raison.

— Bon je pense que j’ai tout. Je m’en occupe.

— Vous ne voulez pas que

— Vous en avez assez fait pour aujourd’hui. Vous rentrez à la maison et on en discutera à mon retour.

L’ambiance n’était pas à la fête. A peine rentrée, Sharon se voyait déjà dans l’avion. Elle avait même commencé à faire sa valise. Pendant ce temps-là, Jean-Luc avait téléphoné à la compagnie de Bus. Il avait exposé la situation selon les renseignements qu’il avait. Curieusement, la personne au téléphone semblait être déjà au courant car le chauffeur correspondant à cette ligne avait déjà rapporté par radio la présence d’un enfant dans une poussette qui pleurait dans son bus sans personne pour l’accompagner. Un agent était alors parti à la rencontre du bus pour ramener le bébé au siège. Entendant ça, Jean-Luc prit congé de ses collègues et parti en direction d’un lieu défini pour récupérer son fils. Quand il arriva, depuis sa voiture, il le voyait dans les bras d’une femme, assez calme mais dès qu’il s’est montré, Oscar s’est mis à gigoter de partout avec un sourire jusqu’aux oreilles. Ouf, plus de peur que de mal.

Une fois de retour, Oscar était visiblement fatigué. Selon celle qui s’était occupé de lui, il avait beaucoup pleuré. Résultat, en rentrant, il dormait sur l’épaule de son père. Quand Jean-Luc arriva Sharon était là et elle n’en menait pas large. Son patron n’eut même pas un mot pour elle. Il coucha Oscar dans son lit puis en sortant de la chambre, avec un regard froid en direction de son employé il lui lança sèchement « Dans mon bureau, dans cinq minutes ».

Dans le bureau de Jean-Luc, on entendait les mouches voler. D’un côté, il y avait Sharon qui n’était vraiment pas à l’aise, assise sur sa chaise. De l’autre, le maître de maison qui, même s’il ne laissait rien paraître, était curieusement et intérieurement ravi de cette situation. Bien évidemment, il se serait bien passé de cette frayeur qu’il a eue mais il s’est rendu compte que ça pouvait lui être profitable. Il s’était donné un but : essayer de soumettre cette frêle jeune fille à ses envies, sans grand succès jusqu’à présent. Il était parvenu à stimuler sa curiosité pour la chose et après l’avoir pris la main dans le sac, quelques minutes plus tôt c’était la main dans la culotte, il l’avait fait culpabiliser de ne pas avoir suivi les règles établies dans cette maison. Sa maladresse de ces dernières semaines n’était pas pour lui déplaire car ça lui avait permis d’assurer son rapport de supériorité sur elle. Maintenant que cette histoire de bébé oublié dans le bus était réglée, il comptait bien la mettre à profit.

— Sharon Que vais-je faire de vous ?

— Vous vous rendez-compte qu’à l’origine, vous occuper d’Oscar c’est votre boulot ? C’est bien pour ça que vous avez été engagée ?

— Oui monsieur.

— Je peux passer les chemises brulées au fer à repasser et mon costume que vous avez bousillé en le lavant avec le mauvais programme à la machine mais là, vous comprendrez que je ne peux pas laisser passer.

— Je comprends. Je vais faire mes valises et .

— Attendez, je n’ai pas fini. Rasseyez-vous.

— Oui monsieur.

— Vous voir partir, je n’en ai aucune envie. J’ai besoin de vous au quotidien pour garder mon fils et pour s’occuper de la maison. En plus, Oscar vous aime bien et au final moi aussi. Malgré tout il faut bien sanctionner ce qu’il s’est passé. J’y ai réfléchi et .. On va aller sur le canapé, on sera plus à l’aise.

Ils se sont alors assis, l’un à côté de l’autre sur le canapé. Jean-Luc ayant une lueur un peu coquine dans le regard.

— Voilà, on sera plus à l’aise. Donc J’ai réfléchi et je crois que j’ai trouvé quelque chose qui pourrait nous être profitable à tous les deux.

— C’est-à-dire ?

— Je pense ne pas me tromper en disant que, plus le temps passe et moins vous avez envie de revenir à votre ancienne vie. Je me trompe ?

— . Non. C’est vrai que j’aime être ici mais je ne veux pas non plus quitter ma famille.

— Dites-moi, quand vous aurez fini votre contrat ici, que se passera-t-il ?

— Et bien je rentrerais chez moi et je me marierai surement avec celui que mon père a choisis.

— Ça n’a pas l’air de vous emballer, vu la manière dont vous en parler ?

— Quand j’ai rencontré mon futur mari, il m’a paru dur et il avait un regard vicieux.

— Et ça doit vraiment se passer ? Je veux dire c’est votre vie quand même, c’est à vous de décider.

— Oui mais, chez moi, c’est comme ça que ça se passe.

— Bon, OK . D’après vous comment va se passer votre nuit de noce ? Et la suite ?

— Ça m’angoisse. J’ai peur qu’il me fasse mal. Mais pourquoi vous me posez toutes ces questions ?

— J’y viens. Comme vous l’avez surement remarqué, vous me troublez et je me suis dit qu’on pourrait se rendre service mutuellement.

— Comment ça ?

— Comment dire ça . Je m’étais dit qu’on pourrait se faire plaisir l’un l’autre. Je vous initie à certains plaisirs charnels et .

— Vous voulez faire du sexe avec moi ? Hors de question, il faut que je reste vierge pour le mariage. Vous n’imaginez pas la honte que ça apporterait sur ma famille si .

— Laissez-moi finir. Tout d’abord le sexe ce n’est pas que la pénétration vaginale. Il y a plein de chose qui peuvent être faite en préservant votre vertu. Et puis d’après la manière dont vous me parlez de cet homme, il n’est surement pas du genre à prendre des gants ou à s’attarder sur le plaisir de sa partenaire. Si on n’est pas préparé, certaines pratiques peuvent faire mal ou être désagréables au mieux.

— Je crois que je comprends. Vous voulez faire du sexe pour que je sois plus à l’aise et que ça ne soit pas trop traumatisant pour moi ?

— C’est . A peu près ça.

— Vous êtes sûr qu’il n’y a pas une autre raison ?

— Vous êtes intelligente. Bon je ne vais pas vous mentir c’est aussi pour moi l’occasion de prendre du plaisir avec une jolie jeune fille. Depuis le décès de Cécile, je n’ai pas . Enfin vous comprenez ?

— Oui je comprends. Je peux réfléchir ?

— Bien sûr. Je comprends que ce ne soit pas facile à décider pour vous. Sachez cependant que, si vous acceptez, j’irais doucement, progressivement. Je n’irais pas jusqu’à vous violer plusieurs fois par jour. Non, Je respecterai votre choix de préserver votre virginité. Nous passerons de bons moments de partage réciproque.

Sharon était presque choquée de cette proposition. Il était évident, pour elle, que monsieur souhaitait profiter de la situation. Toutefois, ayant été élevée dans une doctrine dérivée du catholicisme, elle avait souvent uvrée dans des associations d’aide aux nécessiteux et « passer du temps » avec son patron pouvait être assimilé à de la charité. Là, elle avait vu son patron assez timide et pas très à l’aise. Il avait besoin de retrouver un peu d’amour et avait envisagé cette solution. Elle ne savait pas quoi penser. Elle était tiraillée entre sa curiosité qui la poussait à vouloir essayer et sa morale qui lui disait de refuser. De son côté, Jean-Luc se disait « mais quel gros niais tu fais. T’avais l’air de rien. On aurait dit que tu lui faisais la mendicité pour un bisou. T’étais pathétique mon pauvre vieux. Tout ce que tu vas gagner c’est qu’elle va se barrer en claquant la porte et en criant qu’elle n’est pas une pute et toi t’auras plus qu’à te finir à la main ».

Le lendemain, au petit déjeuner, ils se sont à peine adressé la parole. C’est à la fin du repas au moment où il allait partir que Jean-Luc voulu s’excuser, pensant avoir fait une erreur en lui ayant fait une telle proposition.

— Ecoutez Sharon, pour hier soir je voulais .

— C’est d’accord.

— . C’est d’accord pour ?

— Pour essayer les pratiques que vous avez évoquées.

— OK . Je peux savoir ce qui vous a décidé ?

— Au début je ne voulais pas et puis, comme avec votre pièce personnelle où je suis entré, je me suis dit « On s’en balance ! Papa n’est pas là. Il n’en saura rien ». Autant que je sois préparé et puis je suis curieuse.

— Très bien . Je suis ravi de l’entendre. On commencera dès ce soir.

— Vous vouliez me dire quelque chose ?

— Non, non rien. J’espérais juste ne pas vous avoir choqué avec ça c’est tout.

De retour dans son bureau avant de partir au travail, Jean-Luc s’imaginait déjà, assis dans le canapé, en train de se faire sucer longuement par Sharon et de lui ploter les seins à volonté. En la jouant fine, il pouvait sexuellement la soumettre et peut-être même la convaincre de lui offrir sa vertu mais pour ce dernier point ça risquait d’être un long travail.

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