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Maîtresse et femme – Chapitre 2




Pourquoi le nier, je me sens abandonné depuis son départ en vacances. Naturellement elle est près de moi le soir, dans le lit. Elle a toujours envie de se laisser aller dans lorgasme. Quelle idée daller chez ses parents, même pour une semaine.

Dès le premier soir jai eu envie. Je me suis couché comment dhabitude nu, comme toujours. Là jai bandé seul comme un con. La suite est normale, je me suis touché la queue, jai bandé et me suis branlé. Cétait bon, mais pas comme avec elle.

Le lendemain je me suis décidé à lever une fille du quartier qui me plaît. Autour de 25 ans, seule visiblement, brune, yeux azur. Nous marchions presque ensemble quand directement jai posé la question de savoir si elle voulait coucher avec moi. Jattendais une gifle, lai eu un beau sourire.

Cest chez elle que nous sommes retrouvés plus tard. Jattendais une fille chaude, jai eu une fille ultra chaude, pleine daudaces et de demandes. Ma première surprise était quand elle était nue devant moi, une main sur sa chatte déjà en train de se caresser. Croyiez moi, voir une fille se donner du plaisir dès le début vous fait plus que bander. Jen étais au point de me toucher moi aussi. Jétais contre elle mes mains dans son dos, caressant ses épaules, sa taille. Elle continuait sa masturbation en disant des gros mots. Je me place derrière elle. Je sens ses bras qui bougent pour son plaisir à elle. Ma bite se cale entre ses fesses. Sa raie est agréable à sillonner. Je me masturbe contre elle. Si je continue je vais jeter ma semence sur ses fesses.

En me baissant jarrive juste au niveau de son cul pour y entrer. Jespère quelle me voudra dans son anus. Je passe une main devant elle quand elle arrête de se masturber. Je continu à sa place : elle tend son pubis vers ma main.

Je ne pensais jamais avoir affaire à une telle femelle. Son plaisir prime sur le couple. Si elle m’entraine sur son lit ce nest que pour être à laise. Ses jambes sécartent seules, son con se tend vers ma queue. Jentre en elle comme dans du beurre. Cest bon, elle aussi cri son plaisir longuement, comme un feulement. Une chatte nen fait pas autant.

Elle se crispe quand elle jouit avant moi alors que jaurais du partir avant elle. Ses spasmes serrent ma queue. Elle me fait sorti pour que je change dendroit : elle me donne son cul sans effort. Je reconnais quelle est aussi bonne, sinon meilleure à enculer qu’à baiser. Son bassin se plie à ses désirs en allant et venant de haut en bas. Elle me fait jouir royalement. Dès son orgasme prit elle se lève pour aller prendre une douche. Je la suis pour la voir se rincer le corps.

Je vois leau couler sur son corps, glisser sur sa peau, sinfiltrer dans ses secrets. Elle passe sa main entre ses jambes, cherche encore dans sa chatte. En passant derrière elle, même si jai débandé, je reste encore assez viril. Elle le sent bien quand elle prend à nouveau ma queue. Elle fait passer le gland entre ses fesse, jusquà son anus. Je recommence à bander. Je suis assez en forme pour la baiser encore autant de fois quelle voudra.

Ma main droite passe vers sa chatte. Sa moule est mouillée je ne sais si cest à cause de leau ou de lexcitation. Je commence le branle comme je sais le faire aux filles. Elle apprécie profondément quand elle me donne son abricot complément à la recherche de lorgasme futur. Elle se retrouve presque pliée en deux sous le plaisir. Placée comme elle est je peux lenfiler encore. Je ne men prive pas. Je lencule sous la douche. Elle cri son plaisir en gros mots. Cest une grosse salope qui aime se faire mettre devant ou derrière debout ou couchée, même assise.

Elle s’essuie rapidement se recouche, mattire encore. Elle me tire les dernières gouttes de sperme. Je mendors contre elle et au matin je me réveille avec ma queue dans sa main. Elle veut me sucer. Quel meilleur réveil que ça ?

Entraîné par le plaisir je lui demande de venir quand ma femme sera là, pour la baiser. Ce que je dis dans le plaisir qui monte ne compte pas pour moi. Pour elle si.

Le lendemain de son retour, après lavoir baisée, javoue à ma douce ce que jai fait avec cette fille. Elle ne men veut pas trop, enfin cest ce quelle dit. Le lendemain, nous sommes encore attablés quand ma petite amis de la semaine vient nous voir. Et cest bien NOUS quelle vient voir. Ma femme est étonnée quand elle se laisse embrasser sur la bouche par une presque inconnue. Je vois le moment où pour se débarrasser de limportune, elle allait la gifler. La gifle se transforme en caresse sur la joue.

Ce que je grafignais se transforme en lutte féminine, pour finir sur le divan. Ma femme couche la fille le dos contre le dossier, ses lèvres contre les siennes. Les deux mains entourent ma femme. Les lèvres se quittent, elles se transforment en sourire. Les mains de lune caressent le corps de lautre. Elles se donnent lune à lautre comme je ne lai jamais vu. Je savais bien que me femme se donnait du plaisir en se caressant la chatte. Mais que dire quand elle masturbe lautre fille qui ferme les yeux sous la caresse. Ma femme ouvre ses jambes pour laisser le passage aux mains de lautre qui lenvoi au paradis des femmes en duo.

Elles sont pratiquement nues quand elle vont dans la chambre. Je suis invité à les regarder saimer. Cest plus quexcitant de voir sa femme et sa maîtresse dun soir ensemble sur son lit. Cest la première fois que jassiste à genre dexercice féminin. Cest ma femme qui a linitiative : elle agit comme si elle avait lhabitude de ce genre de baise. Si, couchées cote à cote elles se branlent normalement, le coup daprès, pleines de désir elles se retrouvent en 69. Voir les têtes entre les cuisses de lautre est plus quexcitant. Je suis vers elle en bandant, ma queue bien visible, prête à l entrer dans lune ou lautre.

Je suis là, spectateur dun redoutable spectacle. Elles se donnent complètement aux plaisirs. Jen suis réduit à me branler. Ma main va et vient sur ma queue. Je suis le rythme de leurs langues sur la chatte de lautre. Elles jouissent plusieurs fois à la suite. Mon jet va sur elle sans que je sache laquelle profite de mon jus. Elles finissent lasses de leurs orgasmes.

Pour la suite je sais quelles vont de revoir, quelles baiseront sans moi. Je sais que je baiserais ma femme quand nous voudrons. Pour ma maîtresse sera pareil, à moins que nous nous décidions de vivre en ménage à trois. Pourquoi pas ?

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